Cathédrale de Gênes - Visite, Monument, Musée, Culture
La Cathédrale de Gênes, également connue sous le nom de Cattedrale di San Lorenzo, est un lieu de culte majeur et un monument incontournable de la ville. Fondée au IXe siècle, elle est le cœur historique de Gênes depuis plus de 1000 ans. Après avoir été reconstruite dans un style gothique suite à un incendie en 1296, la cathédrale a été complétée au XVIIe siècle avec une décoration remarquable de l'abside. Lors de votre visite, explorez les éléments romans le long des flancs de la cathédrale, témoins de son histoire liée à la première croisade. Admirez les portails du XIe et XIIe siècle, dont celui dédié à saint Jean Baptiste et celui de San Gottardo. La façade, de style gothique français, est ornée de riches portails et de deux tours campanaires. À l'intérieur, les trois nefs vous plongent dans une ambiance romane, avec des éléments du XIVe siècle et des fresques du XIIIe siècle. Ne manquez pas la somptueuse Chapelle de San Giovanni et le Musée du Trésor. Le transept et le chœur, redessinés par Galeazzo Alessi au XVIe siècle, sont ornés de stucs dorés du siècle suivant. La Cathédrale de Gênes est un trésor culturel à visiter absolument lors de votre séjour à Genova.
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"Le Sacro Catino (« bassine sacrée » en italien) est un plat, exposé actuellement à la cathédrale Saint-Laurent de Gênes, qui passait pour être en émeraude et pour avoir été offert par la Reine de Saba à Salomon et avoir servi lors de la Cène. Il est en verre coloré vert, de forme hexagonale d'une cinquantaine de centimètres de diamètre. Selon l'Histoire d'Outremer de Guillaume de Tyr (vers 1170) les Génois la choisirent comme butin dans une mosquée lors du sac de Césarée par les croisés en 1101. Une chronique espagnole raconte qu'il fut pris en 1147 à Almeria lors de la prise de la ville par Alphonse VII avec l'aide des Génois, qui la prirent en guise de paiement. Son identification avec le Graal doit s'être faite après les textes de Robert de Boron et le milieu du xiiie siècle, quand il fut généralement considéré comme une coupe ou un calice2. Jacques de Voragine dans sa Chronique de Gênes (Chronicon januense, fin du xiiie siècle) dit que Jésus et ses disciples mangèrent dans un plat d'or ou d'émeraude lors de la Cène, et que, selon certains livres anglais, Nicodème utilisa pour recueillir le sang du Christ, un vase d'émeraude appelé Sangraal. Durant la campagne d'Italie menée par Napoléon Bonaparte, il fut dérobé à la cathédrale et emmené à Paris en 1809, où il fut étudié par une commission de l'Académie des sciences de l'Institut de France qui conclut qu'il était fait en verre coloré (cristal byzantin) et non pas en émeraude. Il fut alors conservé au cabinet des antiques. Il fut cassé lorsqu'il fut rendu après la défaite de Napoléon et un morceau même fut perdu dans le trajet de Turin à Gênes. 𝐃𝐮 𝐦𝐲𝐭𝐡𝐞 𝐝𝐞 𝐏𝐲𝐫𝐞̀𝐧𝐞 𝐚𝐮𝐱 𝐖𝐢𝐬𝐢𝐠𝐨𝐭𝐡𝐬 𝐞𝐭 𝐚𝐮 𝐒𝐚𝐢𝐧𝐭-𝐆𝐫𝐚𝐚𝐥 (𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒖 𝑺𝒂𝒏𝒈 𝒅𝒆𝒔 𝑪𝒂𝒕𝒉𝒂𝒓𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑮𝒆́𝒓𝒂𝒓𝒅 𝒅𝒆 𝑺𝒆̀𝒅𝒆) 𝐿𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑢𝑑𝑟𝑜𝑛𝑠, 𝑣𝑎𝑠𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑜-𝑒𝑢𝑟𝑜𝑝𝑒́𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑗𝑜𝑢𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑓𝑓𝑖𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑠'𝑎𝑏𝑟𝑒𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑗𝑜𝑢𝑖𝑟 𝑑'𝑜𝑢𝑏𝑙𝑖 𝑜𝑢 𝑑𝑒 𝑢𝑛 𝑠𝑖 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑟𝑜̂𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑒𝑠 𝐶𝑒𝑙𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑎𝑢𝑥𝑞𝑢𝑒𝑙𝑠 𝑚𝑒́𝑚𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑜𝑢 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́ 𝑑'𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑎𝑢 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐵𝑖𝑒𝑛ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑛𝑡 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒́, 𝑟𝑒𝑚𝑝𝑙𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑟𝑒𝑢𝑣𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 ℎ𝑎𝑙𝑙𝑢𝑐𝑖𝑛𝑎𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑙𝑠 𝑞𝑢'𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑜𝑐𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑟𝑢𝑖𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑒𝑢𝑏𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑚𝑎𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑖𝑒́𝑡𝑒́𝑠. 𝐿𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑣𝑎𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑐𝑒𝑠 𝑜𝑏𝑗𝑒𝑡𝑠 𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑎𝑏𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑒𝑛 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑠𝑢̂𝑟 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑒́𝑠𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑏𝑏𝑎𝑦𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑁𝑜𝑟𝑚𝑎𝑛𝑑𝑠. 𝐼𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑎̀ 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑑'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑢𝑥 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑟𝑒́𝑐𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑒́𝑠, 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 ℎ𝑎𝑠𝑎𝑟𝑑. 𝐹𝑎𝑢𝑡-𝑖𝑙 𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑜𝑏𝑗𝑒𝑡𝑠 𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑟𝑜𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑃𝑦𝑟𝑒̀𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑑'𝑒́𝑚𝑒𝑟𝑎𝑢𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑢𝑡 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑊𝑖𝑠𝑖𝑔𝑜𝑡ℎ𝑠 ? 𝐶𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑠𝑡𝑒́, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑤𝑖𝑠𝑖𝑔𝑜𝑡ℎ𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒́𝑑𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑜𝑏𝑗𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒, 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑛𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́, 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑗𝑎𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒́𝑔𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑛𝑛𝑒𝑚𝑖𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑞𝑢'𝑖𝑙𝑠 𝑒𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑢𝑡𝑒𝑛𝑖𝑟 ; 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑢𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑤𝑖𝑠𝑖𝑔𝑜𝑡ℎ 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑒𝑠 𝑊𝑖𝑠𝑖𝑔𝑜𝑡ℎ𝑠 𝑑'𝐸𝑠𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑣𝑜𝑦𝑒́𝑒 𝑒𝑛 𝑆𝑦𝑟𝑖𝑒. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛 𝑆𝑦𝑟𝑖𝑒 𝑞𝑢𝑒, 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑎𝑑𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝐺𝑒́𝑛𝑜𝑖𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒́𝑒, 𝑐𝑟𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡-𝑖𝑙𝑠, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑒́𝑚𝑒𝑟𝑎𝑢𝑑𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑏𝑙𝑜𝑐. 𝐼𝑙𝑠 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑐𝑒𝑡 𝑜𝑏𝑗𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑖𝑔𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛 𝑓𝑢𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑡𝑜̂𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑣𝑎𝑖𝑛𝑐𝑢 𝑞𝑢𝑒 𝑐'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑖𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑒̀𝑛𝑒. 𝐴𝑢 𝑋𝑉𝐼𝐼𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑡ℎ𝑒́𝑚𝑎𝑡𝑖𝑐𝑖𝑒𝑛 𝑠𝑢𝑖𝑠𝑠𝑒 𝐵𝑒𝑟𝑛𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑖 𝑙𝑒 𝑟𝑎𝑦𝑎 𝑠𝑢𝑏𝑟𝑒𝑝𝑡𝑖𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑖𝑑𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑑𝑖𝑎𝑚𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑝𝑢𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑡𝑒𝑟 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑣𝑒𝑟𝑟𝑒. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒 𝐺𝑟𝑎𝑎𝑙 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑣𝑒́𝑛𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑎̀ 𝐺𝑒̂𝑛𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 𝑆𝑎𝑐𝑟𝑜 𝐶𝑎𝑡𝑖𝑛𝑜. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑳𝒆 𝒔𝒂𝒏𝒈 𝒅𝒆𝒔 𝑪𝒂𝒕𝒉𝒂𝒓𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑮𝒆́𝒓𝒂𝒓𝒅 𝒅𝒆 𝑺𝒆̀𝒅𝒆 (𝒑. 150) ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@histoireitinerante
"Molto bello e interessante sia all’interno che all’esterno"
@cristiana.lugato
"sa-So geschlossen Eintritt Kathedrale frei, Glockenturm 5 Euro "
@ligurien
"La cattedrale gotica di Genova e la piazza antistante. Tutti i bimbi genovesi hanno la foto a cavallo del leone."
@sandrabutta
"Genova è piena di chiese bellissime, partite dalla sua cattedrale per visitarle tutte. Di solito i bambini impazziscono quando si trovano davanti una granata navale inglese che il 9 febbraio 1941 colpí la chiesa, distrusse il tetto ma non esplose. "
@martine.ce
"Était entourée de maison médiévale "
@karinphilippe51