Le Square Trousseau

"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

@francois.gigandet6

"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

@palomap

"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Très beau café typique parisien à l’ancienne "

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"Vieux café parisien (Maps) : café "

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"On peut réserver la salle "

@gchardeau18

"Bistrot classique. Possibilités de grandes tablées ou salon privé"

@carolinebismuth

"Charmant, chic, calme, mais cher "

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"By Angie. Bistrot très bon."

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"Riz de veau préféré de chouchou "

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"Reco de Véro. Salle pour 16 pers dispo "

@ca_li_e

"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la "

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la "

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"Le lieu a beaucoup d’allure, avec ses atours de brasserie parisienne face à un joli square du 11è. Testé pour un petit-déjeuner d’été, au calme avec sa formule des plus classiques (boisson chaude, jus de fruit frais, coquette salade de fruits et viennoiserie) mais qui ne manque pas d’être tarifé sur le haut du panier (24€… ça gratte un peu…). Reste à se faire (peut-être) une idée de la cuisine en journée ou soirée. "

@jcbeaumont

"provare i profiteroles qui"

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Cadre classique pour un café ou un tea time "

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"Bar restaurant avec bo décors style café français "

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la "

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Bistrot parisien à l’ancienne, QG d’Edwy Plenel"

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"Adresse conseillée par Amandine "

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"Omelette blanche à la Brousse corse"

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Carte sympa. Tarte citron délicieuse. Carte très variée. Tout est bon et frais. "

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Salle à manger privatisable "

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Emkipop meilleures glaces bâtonnet "

@meryem_bm

"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"Près du marché d'Aligre dans le 12 e  arrondissement, le Square Trousseau a conservé son style début XX e avec le comptoir en étain, les moulures et les banquettes, un effet de style voulu par Mickaël Jarno, le grand patron, et qui n'est pas pour nous déplaire. Au square Trousseau, on se détend en terrasse ou dans la belle salle pour déguster des plats bistrotiers réalisés avec passion et saveurs. Malheureusement, quand on reçoit l'addition, les prix restent un peu en travers de la gorge. Même si la qualité est au rendez-vous, on a surtout l'impression de payer cher le joli cadre dans lequel on se trouve."

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"Le Square Trousseau 📍 Superbe dîner au Square Trousseau 😍 On a pris en entrée des asperges mousseline que j’ai oubliés de prendre en photo. En plat principal, nous avons pris l’agneau de Pacques en côtelettes et le cocotte de poulet aux morilles. Les deux étaient vraiment excellents (petit bémol pour les frites pas du tout croustillantes très dommage). Au dessert, j’ai choisi la tarte au citron qui se partage honnêtement vu la portion (moi qui n’aime pas la meringue, j’ai adoré). Le vin 🍷 parfait également. Le seul bémol je le répète les frites sinon le reste était parfait. Je recommande totalement, je vais y retourner c’est sûr ! Approved by @godsplate 👍🏼"

@godsplate

"Classique style Costes et petite terrasse calme "

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"Rien n’est plus nécessaire que de pousser la porte d’un bistrot de quartier, s’attabler en terrasse et commander le p’tit noir qui ouvre la journée en parcourant son quotidien préféré. À la Parisienne ! Ça peut paraître rétro, en total décalage avec nos vies intensément connectées, et pourtant notre art de vivre achronique n’est-il pas envié par les touristes du monde entier ? Non loin des bureaux du magazine que vous tenez entre vos mains, le Square Trousseau remplit cet office de café-brasserie bon enfant. La maison n’a que 30 ans d’âge mais on dirait qu’elle campe là depuis un siècle. Le décor en témoigne, dans son jus de staff fleuris, de miroirs nostalgiques, d’opalines et de chaises Thonet… Des habits Belle Époque aussi passe-partout que rassurants. Lors du rachat de l’affaire il y a huit ans, Mickaël et Laurence Jarno ont eu l’intelligence de ne presque rien changer, tout en mettant leur formidable énergie au service d’un terreau d’habitués. Certes, la graphiste Carlotta a griffonné sa petite foule sur les stores et Jean-Louis Costes s’est invité dans le tour de table mais rien n’est venu bouleverser le ronron des traditions. Ici, personne ne vient chercher une tendance. Cependant, à voir les architectes et designers qui fréquentent les lieux (Wilmotte, Jouin-Manku, Duchaufour-Lawrence, Arik Levy…), on se laisse à penser que les nappes en papier et les craies d’écolier posées sur chaque table redessinent jour après jour les contours du design et de l’innovation hexagonale. Et si on y croise autant d’actrices qui habitent le quartier (Emma de Caunes, Lou Doillon…) que d’acteurs locaux, primeurs du marché d’Aligre, faubourgeois du meuble ou patrons des médias (Radio Nova ou Mediapart), cela illustre le magma en fusion perpétuelle qu’est ce périmètre posté à l’ombre du Génie de la Liberté, place de la Bastille. Un totem aussi rayonnant que celui de la République."

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"belle terrasse calme. bon. ambiance particulière "

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"This neighborhood remained very authentic with it's small atelier and streets"

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"Happy Birthday ma Pupute ❤️ Love Forever @marinebraunschvig"

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"Brasserie posh - marché d’Aligre "

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"Elle / déjeuner dimanche en famille / terrasse Très bruyant / peu de lumière / pas donné pour ce type de resto "

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"Brasserie d’époque, du classique, simple et bons produits, on paie un peu cher le cadre, la qualité et le service "

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"Jolie cadre 19eme, plats tradi français classique copieux et bon, prix correct"

@fapiou

"Brasserie parisienne, donne sur un square, tables dehors "

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"Bosse déjà avec la parisienne, pas intéressé en tout cas pour l’hiver, repasser dans 3mois "

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"Assez cher mais super bon. Meilleur purée de ma vie 💝. Les desserts sont chers mais tout autant généreux : sorbet TOP, tarte au citron meringuée TOP"

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"Fi’s cafe rouge owners friend favourite restaurant Paris"

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"Conseillé par Vincent Boulin "

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"salle a manger ancienne privative"

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"recommandé par un guide ? beau cadre bistrot ancien 40€"

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"très sympa le soir pour un dîner en amoureux aux chandelles"

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"Bistrot classique mais chic. Recommandé par Jacques"

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"Bonne brasserie, un peu cher, desserts pas oufs"

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"La garde sans inspi, les prix trop hauts: un peu le Costes du 12e. Mais c'est bien bon, super loup servi entier (26), soupe petit pois (12)."

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"tres bon. a la fois cuisine francaise classique et original"

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"Riz de veau préféré de chouchou "

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"Chère. plat minimum 25€. plutôt bon mais l'impression de payer l'emplacement et les serveurs en costard. quantités petites."

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"Risotto gambas profiteroles with ice cream and tarte 🍋 "

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"Cantine SNPP. Dessert maison / Tarte au citron à tomber Pavlova également divine 😜👍"

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"brasserie parisienne version chic"

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"Une brasserie ancienne dans son décor ancien. Charmant et bon"

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"Recommandé dans Elle à table. Beauté du lieu. Bon service. "

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"Adresse elle à table ailleurs"

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"La pavlova est à mourir (et à partager...) !"

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"Ouvert tous les jours en continu de 8:00 à 2:00 : resto ou salon de thé Très bon mais cher (50€ sans le vin) Pavlova en dessert top"

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"Very nice and typical bistro serving from 8.00 am to 2.00am. French classic dishes. Great for a late night hunger!"

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"Entrée + dessert très bon et très suffisant "

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"Super mignonne square place préférée de felix "

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"ludo tip - nice french brasserie"

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"Rizito sa skampima (nema vise) Thai dobar al jak zacin Pavlova sa vocem mnogo slatko (kula slaga) Floating island ogromne snenokle"

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"Mon avis : belle et bonne brasserie, fréquentée par les bobos du quartier et quelques célébrités. Service pro. Dommage que la carte ne change pas plus souvent. "

@annatraveladdict

"Delphine & Anne france- Ideat"

@ikeaps2017

"Very nice and typical bistro serving from 8.00 am to 2.00am. French classic dishes. Great for a late night hunger!"

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"amazing French cuisine. a bit pricey but to all the worth it!!"

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"Café Resto typique parisien. Un peu cher ?"

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"Resto très chic, avec des People souvent. cher et assez bon. délicieux desserts tarte au citron et pavlova fruits rouges. "

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"Very nice and typical bistro serving from 8.00 am to 2.00am. French classic dishes. Great for a late night hunger, a big family lunch."

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"Terrasse geniale, assiette toujours au top et equipe adorable"

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"Super mignonne square place préférée de felix "

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"Super mignonne square place préférée de felix "

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"Brasserie un peu chic €€ très bon et copieux "

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"Il faut avoir du budget. Les plats sont en moyenne à 25€. Lieu plutôt classe "

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"Très français, cadre classique, très bon"

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"Restau coste. Mention + cadre très sympa, super desserts, bonnes frites"

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"Cuisine française raffinée dans un cadre agréable "

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"Tlj de 8h à 2h. Service continu"

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