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"Medieval++ avec petite cour interieur, beau et calme++"
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"Bâtie à la fin du XIe siècle par la famille St André, elle est dédiée à l’apôtre du même nom. Au XIVe siècle cette famille donne l’église aux hospitaliers de St Jean de Jérusalem. Elle devient un lieu d’accueil pour les pèlerins en route pour St Jacques. Au XVIe siècle, les hospitaliers devenus chevaliers de Malte construisent le rempart circulaire, créant une enceinte pour protéger la population des « miquelets », bandits Aragonais écumant la région. La tour dite de l’arsenal servait alors de dépôt de munitions. A l’intérieur, une débauche d’or et de feu ! Que ce soit dans la représentation du Christ en majesté peint sur la coupole du chœur, le tabernacle et autres angelots…Egalement quelques boiseries intéressantes, en particulier une chaire sculptée. En façade sud, ne manquez pas de visiter le petit musée aménagé dans la chapelle ND de pitié du XVIIe siècle. Chapelle construite en ex-voto lors de l’épidémie de peste noire de 1650. En ce lieu une « méga super sympa » vierge romane vous attends avec bien d’autres joyaux ! Saluez de ma part l’aimable gardienne. "Eglise à nef unique voûtée en berceau brisé sur les quatre travées, terminée par une abside en cul-de-four à l'ouest. Les chapelles latérales dédiées à Saint-Joseph et à la Vierge sont à croisées d’ogives toriques sur culot nu. L’église a été beaucoup remaniée au XIXè siècle et a perdu de son authenticité en perdant ses étroites baies romanes au profit de fenêtres plus larges et bien d’autres ajouts comme une tribune pour recevoir plus de fidèles. L’autel et la chaire datent du XVIIè siècle. On doit au Père Riboux, second prix de Rome, la fresque de la voûte de l’abside. Sur fond d’or, Saint-André offre au Christ la palme de son martyre. On trouve aussi des tableaux représentant le baptême de Sainte Clotilde et La prière de Saint-Louis devant la couronne d’épines. L’orgue installé en 2011, de style allemand a été fabriqué par l’entreprise alsacienne Koenig. Les fonts baptismaux datent du XIIè siècle et le bénitier en marbre des Pyrénées date du XVIIIè. L’autel principal est un « autel privilégié à perpétuité ». Ces autels sont apparus après le Concile de Trente vers 1563. Ils permettaient de donner des messes d’indulgence." Renseignements d’après le fascicule de Laure Latanne-Bey sur l’église. Le musée-trésor, installé dans la chapelle Notre-Dame de la Pitié, abrite des de précieux objets du culte et une statuaire . Sa visite est gratuite."
@p.second
"Une magnifique église gothique fortifiée dans un cadre exceptionnel."
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"Une magnifique église gothique fortifiée dans un cadre exceptionnel."
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"Cette église est une des rares églises fortifiées en parfait état de conservation et elle est pourtant marquée par divers développements de l'histoire. Bâtie à la fin du XII e siècle, elle est dite " des Templiers ", bien qu'ayant été construite par la famille de Saint-André, qui la dédia à cet apôtre. Leurs descendants donnèrent l'église aux Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, au XIV e siècle. Ils y accueillirent les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle et fortifièrent l'église en 1340 afin de se protéger contre les bandits aragonais, les fameux Miquelets que l'on retrouve chez Victor Hugo. Ils construisirent des remparts percés de créneaux autour de l'église et la rehaussèrent. En 1789, les Hospitaliers perdirent leurs droits et devinrent plus tard les Chevaliers de Malte. Quant aux fameux Templiers, ne vous étonnez pas de ne trouver aucune trace de leur passage, ils n'y sont jamais venus ! A droite de l'autel central, vous trouverez un musée trésor, dont une partie vient des personnages célèbres venus prendre les eaux à Luz. En son coeur, des statues des XII e et XVII e siècles mais aussi des tableaux des XVI e et XVII e siècles, des outils, des armes et des objets de culte d'époque."
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