Sultanahmet Square
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"Istorijsko obilazenje imamo statuu egipatsku da vidimo"

@taramihaljica03

"A Sultanahmet, accanto alla Moschea Blu, si trovano i resti dell'antico ippodromo bizantino del quale sono rimasti i monumenti che ne decoravano il centro ovvero l'Obelisco di Teodosio e la Colonna Serpentina. Era il luogo in cui venivano decise le sorti della vita politica dell'antica Bisanzio attraverso corse di bighe che vedevano opporsi le due principali fazioni politiche: quella dei Verdi (borghesi) e quella degli Azzurri (contadini e poveri). Fortemente voluto da Costantino I l'ippodromo era dotato di gradinate in legno che poi nel decimo secolo vennero sostituire con gradinate in marmo. La parte finale dell'Ippodromo, denominato Fionda, era il luogo prescelto per le esecuzioni capitali. Torre di Galata"

@cecimori

"Son nom nous vient du véritable hippodrome qui se trouvait à cet emplacement même sur la place de Sultanahmet. Son origine remonte à l'empereur romain Septime Sévère (193-211). Par la suite, Constantin le Grand fait rajouter la spina, des galeries et de très nombreuses statues en provenance de l'Orient antique, parmi lesquelles figurent les quatre chevaux en bronze aujourd'hui placés sur la façade occidentale de l'église Saint-Marc à Venise. Lieu d'organisation de courses de chevaux et de chars, il pouvait accueillir près de 100 000 spectateurs. Une course réunissait d'ordinaire quatre quadriges et consistait en sept tours de piste, soit environ 2 500 m. Chaque conducteur portait la couleur de la faction de Constantinople qui le finançait. Les blancs et les bleus représentaient les aristocrates et les propriétaires terriens, tandis que les rouges et les verts représentaient les artistes et les commerçants, plus populaires. C'est là que la naissance officielle de la Nouvelle Rome a lieu le 11 mai 330 et que la révolte de Nika éclate le 13 janvier 532, s'achevant par le massacre de 30 000 insurgés. Deux colonnes et un obélisque, qui faisaient partie des monuments placés dans l'axe central de la piste et autour desquels se déroulaient les courses, sont toujours intacts. Le site est baptisé At Meydanı ( place des Chevaux ") par les Ottomans, car les pages du palais y jouaient régulièrement au djirit, l'ancêtre du polo. Le parc actuel a été dessiné par l'architecte Bouvier en 1890.Du nord au sud :L'obélisque de Théodose. Il provient du temple de Karnak édifié par Thoutmosis III (1483-1450 avant J.-C.). Les hiéroglyphes gravés sur les quatre faces de ce monolithe de porphyre d'une hauteur de 26 m sont dédiés au dieu Horus et célèbrent les victoires remportées par le pharaon. Transféré à Constantinople par Théodose Ier, il est installé au milieu de l'hippodrome en 390. D'une hauteur originelle de 50 m, il se casse lors du déchargement et seule la partie supérieure sera utilisée. La colonne se dresse sur un piédestal en marbre haut de 6 m, sculpté de bas-reliefs représentant Théodose et sa famille installés à la tribune impériale de l'hippodrome et remettant des couronnes aux vainqueurs des courses. L'obélisque était surmonté d'une sphère en bronze, symbolique du monde, qui s'est écroulée lors du tremblement de terre de 865.La colonne serpentine (Yilanlı Sütün). Il s'agit d'un trophée que les 31 cités grecques ont rapporté du temple d'Apollon Pythien (Delphes), après leur victoire sur les Perses lors de la bataille de Platée en 479 av. J.-C. Cette torsade, formée par l'enroulement de trois serpents, soutenait un grand trépied et un vase en or. Constantin le Grand l'a rapporté de Delphes pour l'installer sur la place de l'Hippodrome, alors que le trépied et le vase avaient déjà été dérobés. Les serpents, symboles démoniaques par excellence, n'ont plu ni aux Byzantins ni aux musulmans par la suite, et ont été mutilés à plusieurs reprises. Mehmed le Conquérant lui-même a brisé la gueule de l'un des serpents au lendemain de la prise de Constantinople. Mais, selon la légende, cet épisode a été suivi d'une invasion de serpents dans la capitale et il a alors pris la décision de les protéger. Toutes les têtes ont néanmoins disparu avec le temps. Un fragment de l'une d'entre elles est exposé au Musée archéologique.L'obélisque muré. D'une hauteur de 32m, cet obélisque est érigé au IVe siècle sur la spina de l'Hippodrome, probablement sous le règne de Constantin Ier le Grand (306-337). Formé de blocs de pierre grossièrement taillés, il demeure ainsi jusqu'à ce que Constantin VII (912-959) le fasse recouvrir de plaques en bronze doré, ornées de bas-reliefs représentant fermiers et pêcheurs. Ces plaques sont enlevées lors de la quatrième croisade (1204) pour fabriquer des pièces de monnaie. Quant à la pomme de pin placée en son sommet, elle tombe lors du tremblement de terre de 869.""

@vspahn18

"Son nom nous vient du véritable hippodrome qui se trouvait à cet emplacement même sur la place de Sultanahmet. Son origine remonte à l'empereur romain Septime Sévère (193-211). Par la suite, Constantin le Grand fait rajouter la spina, des galeries et de très nombreuses statues en provenance de l'Orient antique, parmi lesquelles figurent les quatre chevaux en bronze aujourd'hui placés sur la façade occidentale de l'église Saint-Marc à Venise. Lieu d'organisation de courses de chevaux et de chars, il pouvait accueillir près de 100 000 spectateurs. Une course réunissait d'ordinaire quatre quadriges et consistait en sept tours de piste, soit environ 2 500 m. Chaque conducteur portait la couleur de la faction de Constantinople qui le finançait. Les blancs et les bleus représentaient les aristocrates et les propriétaires terriens, tandis que les rouges et les verts représentaient les artistes et les commerçants, plus populaires. C'est là que la naissance officielle de la Nouvelle Rome a lieu le 11 mai 330 et que la révolte de Nika éclate le 13 janvier 532, s'achevant par le massacre de 30 000 insurgés. Deux colonnes et un obélisque, qui faisaient partie des monuments placés dans l'axe central de la piste et autour desquels se déroulaient les courses, sont toujours intacts. Le site est baptisé At Meydanı ( place des Chevaux ") par les Ottomans, car les pages du palais y jouaient régulièrement au djirit, l'ancêtre du polo. Le parc actuel a été dessiné par l'architecte Bouvier en 1890.Du nord au sud :L'obélisque de Théodose. Il provient du temple de Karnak édifié par Thoutmosis III (1483-1450 avant J.-C.). Les hiéroglyphes gravés sur les quatre faces de ce monolithe de porphyre d'une hauteur de 26 m sont dédiés au dieu Horus et célèbrent les victoires remportées par le pharaon. Transféré à Constantinople par Théodose Ier, il est installé au milieu de l'hippodrome en 390. D'une hauteur originelle de 50 m, il se casse lors du déchargement et seule la partie supérieure sera utilisée. La colonne se dresse sur un piédestal en marbre haut de 6 m, sculpté de bas-reliefs représentant Théodose et sa famille installés à la tribune impériale de l'hippodrome et remettant des couronnes aux vainqueurs des courses. L'obélisque était surmonté d'une sphère en bronze, symbolique du monde, qui s'est écroulée lors du tremblement de terre de 865.La colonne serpentine (Yilanlı Sütün). Il s'agit d'un trophée que les 31 cités grecques ont rapporté du temple d'Apollon Pythien (Delphes), après leur victoire sur les Perses lors de la bataille de Platée en 479 av. J.-C. Cette torsade, formée par l'enroulement de trois serpents, soutenait un grand trépied et un vase en or. Constantin le Grand l'a rapporté de Delphes pour l'installer sur la place de l'Hippodrome, alors que le trépied et le vase avaient déjà été dérobés. Les serpents, symboles démoniaques par excellence, n'ont plu ni aux Byzantins ni aux musulmans par la suite, et ont été mutilés à plusieurs reprises. Mehmed le Conquérant lui-même a brisé la gueule de l'un des serpents au lendemain de la prise de Constantinople. Mais, selon la légende, cet épisode a été suivi d'une invasion de serpents dans la capitale et il a alors pris la décision de les protéger. Toutes les têtes ont néanmoins disparu avec le temps. Un fragment de l'une d'entre elles est exposé au Musée archéologique.L'obélisque muré. D'une hauteur de 32m, cet obélisque est érigé au IVe siècle sur la spina de l'Hippodrome, probablement sous le règne de Constantin Ier le Grand (306-337). Formé de blocs de pierre grossièrement taillés, il demeure ainsi jusqu'à ce que Constantin VII (912-959) le fasse recouvrir de plaques en bronze doré, ornées de bas-reliefs représentant fermiers et pêcheurs. Ces plaques sont enlevées lors de la quatrième croisade (1204) pour fabriquer des pièces de monnaie. Quant à la pomme de pin placée en son sommet, elle tombe lors du tremblement de terre de 869.""

@lucasricolleau

"UNESCO World Heritage Built in the third century ce. during the reign of the Roman emperor Septimius Severus in the provincial town of Byzantium, the Hippodrome- an arena for chariot racing became the sporting and social center of the Eastern Roman Emoire In 324 cE the emperor Constantine moved his capital from Home to Byzantium, which was renamed Constantinople. One of his major projects was renovating the Hippodrome: the arena was expanded to 1,500 by 425 feet (450 by 130 m), with room for 100,000 spectators. Constantine and his successors them marked the site's importance with works from around the empire, some of which remain, the area is now a park. On Constantine's orders, the Tripod of Plataea, celebrating the Greek victory over Persia in 479 B.C.E, was brought from the Temple of Apollo at Delphi. A huge column supported a gold cauldron on three serpents' heads; the cauldron disappeared in 1204, during the Fourth Crusade, and only the shorter "Serpentine Column” remains. In 390 ct. the emperor Theodosius transported an obelisk dating from around 1490 CE from the Temple of Karnak in Luxar to the Hippodrome, where the top section still stands. The core of another obelisk also survives. It was originally faced with bronze plaques, but these were stolen during the Fourth Crusade, as were the four bronze horses now atop St. Mark's Basilica in Venice. The Hippodrome remained a focal point throughout the Byzantine period. Huge amounts of money were bet on chariot races, and rivalry often spilled over into politics and religion, leading to riots. After the Sack of Constantinople in 1204, the Hippodrome fell into disrepair The Ottoman Turks, who captured the city in 1453 and made it their capital, had no interest in chariot racing. However, the site was never built over and the Turkish name, At Meydani, means "horse square.""

@nchavotier

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TURQUIE

@petitfute

431followers 817places
"Son nom nous vient du véritable hippodrome qui se trouvait à cet emplacement même sur la place de Sultanahmet. Son origine remonte à l'empereur romain Septime Sévère (193-211). Par la suite, Constantin le Grand fait rajouter la spina, des galeries et de très nombreuses statues en provenance de l'Orient antique, parmi lesquelles figurent les quatre chevaux en bronze aujourd'hui placés sur la façade occidentale de l'église Saint-Marc à Venise. Lieu d'organisation de courses de chevaux et de chars, il pouvait accueillir près de 100 000 spectateurs. Une course réunissait d'ordinaire quatre quadriges et consistait en sept tours de piste, soit environ 2 500 m. Chaque conducteur portait la couleur de la faction de Constantinople qui le finançait. Les blancs et les bleus représentaient les aristocrates et les propriétaires terriens, tandis que les rouges et les verts représentaient les artistes et les commerçants, plus populaires. C'est là que la naissance officielle de la Nouvelle Rome a lieu le 11 mai 330 et que la révolte de Nika éclate le 13 janvier 532, s'achevant par le massacre de 30 000 insurgés. Deux colonnes et un obélisque, qui faisaient partie des monuments placés dans l'axe central de la piste et autour desquels se déroulaient les courses, sont toujours intacts. Le site est baptisé At Meydanı (" place des Chevaux ") par les Ottomans, car les pages du palais y jouaient régulièrement au djirit , l'ancêtre du polo. Le parc actuel a été dessiné par l'architecte Bouvier en 1890. Du nord au sud : L'obélisque de Théodose. Il provient du temple de Karnak édifié par Thoutmosis III (1483-1450 avant J.-C.). Les hiéroglyphes gravés sur les quatre faces de ce monolithe de porphyre d'une hauteur de 26 m sont dédiés au dieu Horus et célèbrent les victoires remportées par le pharaon. Transféré à Constantinople par Théodose I er , il est installé au milieu de l'hippodrome en 390. D'une hauteur originelle de 50 m, il se casse lors du déchargement et seule la partie supérieure sera utilisée. La colonne se dresse sur un piédestal en marbre haut de 6 m, sculpté de bas-reliefs représentant Théodose et sa famille installés à la tribune impériale de l'hippodrome et remettant des couronnes aux vainqueurs des courses. L'obélisque était surmonté d'une sphère en bronze, symbolique du monde, qui s'est écroulée lors du tremblement de terre de 865. La colonne serpentine (Yilanlı Sütün). Il s'agit d'un trophée que les 31 cités grecques ont rapporté du temple d'Apollon Pythien (Delphes), après leur victoire sur les Perses lors de la bataille de Platée en 479 av. J.-C. Cette torsade, formée par l'enroulement de trois serpents, soutenait un grand trépied et un vase en or. Constantin le Grand l'a rapporté de Delphes pour l'installer sur la place de l'Hippodrome, alors que le trépied et le vase avaient déjà été dérobés. Les serpents, symboles démoniaques par excellence, n'ont plu ni aux Byzantins ni aux musulmans par la suite, et ont été mutilés à plusieurs reprises. Mehmed le Conquérant lui-même a brisé la gueule de l'un des serpents au lendemain de la prise de Constantinople. Mais, selon la légende, cet épisode a été suivi d'une invasion de serpents dans la capitale et il a alors pris la décision de les protéger. Toutes les têtes ont néanmoins disparu avec le temps. Un fragment de l'une d'entre elles est exposé au Musée archéologique. L'obélisque muré. D'une hauteur de 32m, cet obélisque est érigé au IV e siècle sur la spina de l'Hippodrome, probablement sous le règne de Constantin I er le Grand (306-337). Formé de blocs de pierre grossièrement taillés, il demeure ainsi jusqu'à ce que Constantin VII (912-959) le fasse recouvrir de plaques en bronze doré, ornées de bas-reliefs représentant fermiers et pêcheurs. Ces plaques sont enlevées lors de la quatrième croisade (1204) pour fabriquer des pièces de monnaie. Quant à la pomme de pin placée en son sommet, elle tombe lors du tremblement de terre de 869."
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