Rapides de Lachine
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"𝑳𝒆𝒔 𝒓𝒂𝒑𝒊𝒅𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑳𝒂𝒄𝒉𝒊𝒏𝒆 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒓𝒂𝒑𝒊𝒅𝒆𝒔 𝒅𝒖 𝒇𝒍𝒆𝒖𝒗𝒆 𝑺𝒂𝒊𝒏𝒕-𝑳𝒂𝒖𝒓𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒊𝒕𝒖𝒆́𝒔 𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒍𝒆 𝒍𝒂𝒄 𝑺𝒂𝒊𝒏𝒕-𝑳𝒐𝒖𝒊𝒔 𝒆𝒕 𝒍𝒆 𝒃𝒂𝒔𝒔𝒊𝒏 𝒅𝒆 𝑳𝒂 𝑷𝒓𝒂𝒊𝒓𝒊𝒆, 𝒂𝒖 𝒔𝒖𝒅 𝒅𝒆 𝒍'𝒊̂𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝑴𝒐𝒏𝒕𝒓𝒆́𝒂𝒍. 𝑰𝒍𝒔 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝒖𝒏 𝒐𝒃𝒔𝒕𝒂𝒄𝒍𝒆 𝒏𝒂𝒕𝒖𝒓𝒆𝒍 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒊𝒅𝒆́𝒓𝒂𝒃𝒍𝒆 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒏𝒂𝒗𝒊𝒈𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒇𝒍𝒆𝒖𝒗𝒆 𝒆𝒏 𝒊𝒏𝒕𝒆𝒓𝒅𝒊𝒔𝒂𝒏𝒕 𝒍’𝒂𝒄𝒄𝒆̀𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒆𝒏 𝒂𝒎𝒐𝒏𝒕 𝒂̀ 𝒕𝒐𝒖𝒕𝒆 𝒆𝒎𝒃𝒂𝒓𝒄𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏, 𝒈𝒓𝒐𝒔𝒔𝒆 𝒐𝒖 𝒑𝒆𝒕𝒊𝒕𝒆. 𝑪𝒆𝒔 𝒓𝒂𝒑𝒊𝒅𝒆𝒔 𝒅𝒆́𝒕𝒆𝒓𝒎𝒊𝒏𝒆𝒏𝒕 𝒂̀ 𝒆𝒖𝒙 𝒔𝒆𝒖𝒍𝒔 𝒍'𝒊𝒎𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒈𝒆́𝒐𝒔𝒕𝒓𝒂𝒕𝒆́𝒈𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑴𝒐𝒏𝒕𝒓𝒆́𝒂𝒍, 𝒃𝒊𝒆𝒏 𝒂𝒗𝒂𝒏𝒕 𝒍'𝒂𝒓𝒓𝒊𝒗𝒆́𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓𝒔 𝒆𝒙𝒑𝒍𝒐𝒓𝒂𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒆𝒖𝒓𝒐𝒑𝒆́𝒆𝒏𝒔 𝒂𝒖 𝑿𝑽𝑰𝒆 𝒔𝒊𝒆̀𝒄𝒍𝒆. 𝑳’𝒆𝒂𝒖 𝒚 𝒆𝒔𝒕 𝒊𝒎𝒑𝒆́𝒕𝒖𝒆𝒖𝒔𝒆, 𝒍𝒆 𝒅𝒆́𝒏𝒊𝒗𝒆𝒍𝒆́ 𝒅𝒆 13 𝒎 𝒆𝒏 𝒂̀ 𝒑𝒆𝒊𝒏𝒆 10 𝒌𝒎 𝒑𝒓𝒐𝒅𝒖𝒊𝒕 𝒖𝒏 𝒄𝒐𝒖𝒓𝒂𝒏𝒕 𝒑𝒓𝒐𝒅𝒊𝒈𝒊𝒆𝒖𝒙 𝒆𝒕 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒍'𝒂𝒓𝒔𝒆𝒏𝒂𝒍 𝒅𝒆 𝒑𝒊𝒆̀𝒈𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒐𝒑𝒓𝒆 𝒂𝒖𝒙 𝒓𝒂𝒑𝒊𝒅𝒆𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒅𝒂𝒏𝒈𝒆𝒓𝒆𝒖𝒙 𝒔'𝒚 𝒕𝒓𝒐𝒖𝒗𝒆. 𝑹𝒆𝒎𝒐𝒏𝒕𝒆𝒓 𝒄𝒆 𝒄𝒐𝒖𝒓𝒂𝒏𝒕 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒗𝒐𝒊𝒍𝒆 𝒐𝒖 𝒂̀ 𝒍'𝒂𝒗𝒊𝒓𝒐𝒏 𝒆́𝒕𝒂𝒊𝒕 𝒊𝒎𝒑𝒐𝒔𝒔𝒊𝒃𝒍𝒆. 𝑶𝒏 𝒑𝒐𝒖𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒕𝒐𝒖𝒕𝒆𝒇𝒐𝒊𝒔 𝒍𝒆 𝒅𝒆𝒔𝒄𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆 𝒂̀ 𝒄𝒐𝒏𝒅𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅'𝒆̂𝒕𝒓𝒆 𝒖𝒏 𝒂𝒅𝒓𝒐𝒊𝒕 𝒏𝒂𝒗𝒊𝒈𝒂𝒕𝒆𝒖𝒓. Samuel de Champlain évoque les rapides dans ses écrits, notamment puisqu'un de ses jeunes explorateurs, nommé Louis, s'y noya. Champlain nomma ces rapides Sault Saint-Louis, sault en ancien français désignant des rapides ou des chutes d'eau. En 1611, il publie Les Voyages du Sieur de Champlain et y insère un plan, intitulé Île de Montréal et fleuve Saint-Laurent, qui fut reproduit en 1930 par le peintre Paul-Émile Borduas. Ce plan est maintenant visible au Grand Chalet du Mont-Royal. Ces rapides étaient pour des siècles une barrière au trafic fluvial jusqu'à ce que le canal de Lachine soit creusé au XIXe siècle. Ils obligeaient les voyageurs à les contourner par un portage de plusieurs kilomètres avant que les embarcations puissent être remises à l’eau. Même après la mise en service du canal, il se révéla tout aussi pratique de transporter par rail les biens jusqu'à Montréal, d'où ils étaient ensuite expédiés du Vieux-Port de Montréal. C'est pour cette raison que la ville abritait longtemps le nœud ferroviaire et la zone portuaire les plus importants du Canada. Les rapides sont désormais contournés au sud par la voie maritime du Saint-Laurent, plus adaptée aux gros tonnages. Les rapides sont aussi utilisés pour le kayak d'eau vive, le rafting, et les expéditions en motomarine. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

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