Abbatiale Saint-Gilles du Gard
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"La ville, qui doit son nom au célèbre abbé Gilles l'Ermite dont elle garde le tombeau, est connue pour ancienne abbaye. Edifiée au XIIe Siècle, l'abbatiale de Saint-Gilles était en effet, au Moyen-Âge, le 4ème lieu de pèlerinage du monde Chrétien après Jérusalem, Rome et Saint-Jacques-de-Compostelle. Autrefois très fréquenté par les pèlerins du monde entier, ce joyau de l'architecture romane est aujourd’hui inscrit au Patrimoine Mondial de l’Humanité au titre du bien en série « Les Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France ». Située sur la Voie d'Arles, Saint-Gilles en constitue en effet la première étape (qui couvre 21,7km depuis Arles au milieu de la Camargue). L'abbaye constitue également le terminus d'un sentier de Grande Randonnée (GR) : le chemin de Saint-Gilles (ou voie Regordane), qui la relie au Puy-en-Velay. L'HISTOIRE DE SAINT GILLES Au VIe siècle, Saint Gilles, ermite d’origine grecque, aurait élu domicile dans une forêt au sud de Nîmes, selon la légende. L’histoire raconte qu’il aurait été blessé à la main par une flèche décochée par un roi wisigoth lors d’une partie de chasse, visant à défendre sa biche familière. En signe de repentir, le roi aurait ordonné la construction d’une abbaye, avec Gilles devenant son premier abbé. LE GRAND PÈLERINAGE DU MOYEN-ÂGE En raison de son emplacement géographique stratégique, la ville de Saint-Gilles-du-Gard s’est transformée en un point de rencontre essentiel entre le pèlerinage vers Compostelle, les itinéraires menant à Rome et Jérusalem. Au XIe siècle, elle a acquis le statut de quatrième sanctuaire majeur de la chrétienté médiévale, devenant un lieu privilégié pour les pèlerins et le départ des croisés, attirant ainsi des foules vers le tombeau du saint ermite et de sa biche. La construction de la basilique, aussi imposante que celle de Vézelay, a débuté au début du XIIe siècle. Les reliques de saint Gilles, soigneusement préservées dans la crypte, ont attiré des pèlerins venant de toute l’Europe. À ce jour, le culte de saint Gilles perdure dans de nombreux pays, témoignant de la portée internationale de son influence spirituelle. L’OUBLI Dès la fin du XIIe siècle, les activités portuaires et commerciales de Saint-Gilles subissent une concurrence croissante de la part des villes d’Aigues-Mortes et de Beaucaire. Cette rivalité contribue au déclin du pèlerinage, un déclin accentué par les troubles liés à l’hérésie des Albigeois. Les guerres de religion au XVIe siècle causent des dommages considérables à la basilique et à la crypte, bien que le tombeau de saint Gilles y demeure protégé. Au fil du temps, le pèlerinage de Notre-Dame de Rocamadour prend de l’ampleur, éclipsant progressivement celui de Saint-Gilles qui, victime de l’oubli, perd de son éclat. LE RENOUVEAU DU PÈLERINAGE Le 29 août 1865, grâce à la persévérance d’un curé déterminé, le tombeau de saint Gilles est redécouvert. Un siècle plus tard, Marcel Girault, fervent admirateur de saint Gilles, ravive le pèlerinage en compagnie de quelques marcheurs, bénéficiant du soutien de Mgr Rougé. Depuis lors, des centaines de pèlerins reprennent le chemin vers Saint-Gilles. Chaque année, à la fin du mois d’août, ils sont chaleureusement accueillis aux portes de la ville par les habitants de Saint-Gilles et l’évêque de Nîmes. Face à l’ampleur croissante de ce pèlerinage, Monseigneur Jean Cadilhac, évêque de Nîmes, prend la décision en 1983 de créer l’association des « Chemins de saint Gilles ». Cette association se voit confier la mission d’organiser le pèlerinage actuel, témoignant de l’engagement continu envers la préservation et la promotion de la tradition de Saint-Gilles. Source(s) : Site web de l'Abbaye ; Gard Tourisme ; Site web de l'association des chemins de Saint-Gilles ; Histoire Itinérante"

@nathcharente

"La ville, qui doit son nom au célèbre abbé Gilles l'Ermite dont elle garde le tombeau, est connue pour ancienne abbaye. Edifiée au XIIe Siècle, l'abbatiale de Saint-Gilles était en effet, au Moyen-Âge, le 4ème lieu de pèlerinage du monde Chrétien après Jérusalem, Rome et Saint-Jacques-de-Compostelle. Autrefois très fréquenté par les pèlerins du monde entier, ce joyau de l'architecture romane est aujourd’hui inscrit au Patrimoine Mondial de l’Humanité au titre du bien en série « Les Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France ». Située sur la Voie d'Arles, Saint-Gilles en constitue en effet la première étape (qui couvre 21,7km depuis Arles au milieu de la Camargue). L'abbaye constitue également le terminus d'un sentier de Grande Randonnée (GR) : le chemin de Saint-Gilles (ou voie Regordane), qui la relie au Puy-en-Velay. L'HISTOIRE DE SAINT GILLES Au VIe siècle, Saint Gilles, ermite d’origine grecque, aurait élu domicile dans une forêt au sud de Nîmes, selon la légende. L’histoire raconte qu’il aurait été blessé à la main par une flèche décochée par un roi wisigoth lors d’une partie de chasse, visant à défendre sa biche familière. En signe de repentir, le roi aurait ordonné la construction d’une abbaye, avec Gilles devenant son premier abbé. LE GRAND PÈLERINAGE DU MOYEN-ÂGE En raison de son emplacement géographique stratégique, la ville de Saint-Gilles-du-Gard s’est transformée en un point de rencontre essentiel entre le pèlerinage vers Compostelle, les itinéraires menant à Rome et Jérusalem. Au XIe siècle, elle a acquis le statut de quatrième sanctuaire majeur de la chrétienté médiévale, devenant un lieu privilégié pour les pèlerins et le départ des croisés, attirant ainsi des foules vers le tombeau du saint ermite et de sa biche. La construction de la basilique, aussi imposante que celle de Vézelay, a débuté au début du XIIe siècle. Les reliques de saint Gilles, soigneusement préservées dans la crypte, ont attiré des pèlerins venant de toute l’Europe. À ce jour, le culte de saint Gilles perdure dans de nombreux pays, témoignant de la portée internationale de son influence spirituelle. L’OUBLI Dès la fin du XIIe siècle, les activités portuaires et commerciales de Saint-Gilles subissent une concurrence croissante de la part des villes d’Aigues-Mortes et de Beaucaire. Cette rivalité contribue au déclin du pèlerinage, un déclin accentué par les troubles liés à l’hérésie des Albigeois. Les guerres de religion au XVIe siècle causent des dommages considérables à la basilique et à la crypte, bien que le tombeau de saint Gilles y demeure protégé. Au fil du temps, le pèlerinage de Notre-Dame de Rocamadour prend de l’ampleur, éclipsant progressivement celui de Saint-Gilles qui, victime de l’oubli, perd de son éclat. LE RENOUVEAU DU PÈLERINAGE Le 29 août 1865, grâce à la persévérance d’un curé déterminé, le tombeau de saint Gilles est redécouvert. Un siècle plus tard, Marcel Girault, fervent admirateur de saint Gilles, ravive le pèlerinage en compagnie de quelques marcheurs, bénéficiant du soutien de Mgr Rougé. Depuis lors, des centaines de pèlerins reprennent le chemin vers Saint-Gilles. Chaque année, à la fin du mois d’août, ils sont chaleureusement accueillis aux portes de la ville par les habitants de Saint-Gilles et l’évêque de Nîmes. Face à l’ampleur croissante de ce pèlerinage, Monseigneur Jean Cadilhac, évêque de Nîmes, prend la décision en 1983 de créer l’association des « Chemins de saint Gilles ». Cette association se voit confier la mission d’organiser le pèlerinage actuel, témoignant de l’engagement continu envers la préservation et la promotion de la tradition de Saint-Gilles. Source(s) : Site web de l'Abbaye ; Gard Tourisme ; Site web de l'association des chemins de Saint-Gilles ; Histoire Itinérante"

@histoireitinerante

"Construction XIIe Siècle Culte : catholique romain Architecture : roman provençal Edifiée au XIIe Siècle, l'abbatiale de Saint-Gilles était, au Moyen-Âge, le 4ème lieu de pèlerinage du monde Chrétien après Jérusalem, Rome et Saint-Jacques-de-Compostelle. L'abbatiale actuelle a conservé sa façade sculptée, sa crypte monumentale et son escalier en vis. Elle est inscrite sur la liste du Patrimoine Mondial de l'Humanité au titre des biens en série des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France. était, au Moyen-Âge, le 4ème lieu de pèlerinage du monde Chrétien après Jérusalem, Rome et Saint-Jacques-de-Compostelle. L'abbatiale actuelle a conservé sa façade sculptée, sa crypte monumentale et son escalier en vis. Elle est inscrite sur la liste du Patrimoine Mondial de l'Humanité au titre des biens en série des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France. En 1902-1903, Stanford White prit modèle sur le portail de l'abbatiale pour embellir l'église Saint-Barthélémy de New York (en anglais St. Bartholomew, plus communément appelée St. Bart's, à Midtown Manhattan) par un triple portail néo-roman directement inspiré de celui de l'église abbatiale de Saint-Gilles du Gard, qu'il avait admirée en 1878."

@lebowski_

"Provenza. Questa abbazia è un grande centro pellegrinale, stazione di partenza per Santiago. Iniziata a fine XI è completata nel XII. Grande portale con tre arconi monumentali (giá Poitiers) in stile classico, con una grande decorazione nei tre timpani, nelle pareti e negli architravi — pseudo portico — si ispira a quello di Saint-Trophime ad Arles (ripresa antica anche nel chiostro)"

@caterinarimensi96

"p 147 9h30 12h30 - 14h 18h abbatiale * façade ** vis de de St Gilles (escalier) * crypte *"

@huteaumathieu

"À Saint-Gilles Les seules rizières françaises. Fermé le mercredi. faible hauteur. Longue façade ornée de trois portails et d’une tour carrée. cette partie s’appelle l’église haute par opposition à l’église basse qui abrite une vaste crypte où se trouve le tombeau de Saint-Gilles. art roman languedocien. derrière l’abbatiale se tiennent les ruines du cœur roman et la vis de Saint-Gilles : escalier hélicoïdal presque unique au monde l’ensemble construit au Xe siècle a hélas beaucoup souffert des guerres de religion et des méfaits de la révolution"

@cgnaya

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Guide Vert MICHELIN Languedoc

@guidevert

751followers 143places
"On a du mal aujourd'hui à imaginer l'importance de l'abbaye de St-Gilles à son apogée car ne subsistent qu'une magnifique façade (12e s.) - l'un des plus beaux exemples de statuaire romane provençale -, et quelques vestiges du choeur et la crypte, qui renferme le tombeau de saint Gilles. Véritable curiosité des lieux, la vis de St-Gilles (1142) fascine les compagnons tailleurs de pierre qui, dans leur tour de France, ne manquent pas de venir étudier ce remarquable escalier hélicoïdal. Informations complémentaires : 3 € crypte, 3 € ancien choeur ; 5 € crypte + ancien choeur, 6 € crypte, ancien choeur + musée (-18 ans gratuit)"
certified badge GARD

GARD

@petitfute

34followers 403places
"A l'entrée de la Camargue, dans le village de Saint-Gilles, se dresse l'abbatiale du même nom, dont la magnifique façade est classée au Patrimoine mondial de l'UNESCO au titre des chemins de St-Jacques de Compostelle depuis 1998. C'est un chef-d'oeuvre du XII e de l'art roman antique, médiéval, et oriental, avec ses scènes de l'ancien et du nouveau testament, les statues d'apôtres, un bestiaire fabuleux, et une frise relatant la passion du Christ. Édifiée au XII e siècle sur le site d'un monastère du VII e dédié à St-Pierre, St-Paul puis plus tard à St-Gilles ermite local qui avait distribué tous ses biens aux pauvres, et dont les reliques sont entreposées dans l'abbatiale. C'était le quatrième lieu de pèlerinage du monde chrétien après Rome, Jérusalem et Saint-Jacques-de-Compostelle. Cette façade était un véritable livre de pierre à destination des fidèles souvent illettrés de l'époque. Les guerres de religion et les saccages de la Révolution ont mis à mal l'édifice. Il a cependant conservé sa façade sculptée, sa crypte monumentale et son escalier à vis (forme hélicoïdale). La crypte, véritable église basse, renferme le tombeau de Saint-Gilles. Elle est exceptionnelle par ses dimensions et par la qualité de ses voûtes. Elle donne accès aux vestiges du cloître, jadis au coeur de l'ancien monastère, dont les fouilles sont étonnantes. Son étude demeure encore aujourd'hui une étape incontournable du tour de France de l'apprentissage des Compagnons tailleurs de pierre."
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La Bougeotte Française

@labougeottefrancaise

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