Maison d'Hôtes Le Clos Les Eydins
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Maison d'Hôtes Le Clos Les Eydins - Restaurant Gastronomique 2 Étoiles

Située au pied du village de Bonnieux, au cœur du Luberon, la Maison d'Hôtes Le Clos Les Eydins est un lieu d'exception où se mêlent l'authenticité et la gastronomie. Dirigé par le chef Christophe Bacquié, ancien 3 étoiles du Castellet, cet établissement propose une expérience culinaire unique. Avec une table d'hôtes pour 10 convives et un dîner en 8 plats, vous serez transporté dans un univers gastronomique raffiné. Le chef met en avant les produits locaux du terroir provençal, offrant des plats tels que le merlu de ligne aux truffes, les fleurs de courgettes farcies et son incontournable aïoli moderne. Profitez d'une nuitée à partir de 250 € pour prolonger cette expérience inoubliable. Réservez dès maintenant pour vivre un moment de gastronomie et de luxe à la Maison d'Hôtes Le Clos Les Eydins.

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184 utilisateurs

#Tags souvent utilisés
#Restaurant #Hotel #Gastronomique #Gastro #Hôtel
Ce qu'en disent les utilisateurs

"magnifique domaine .. bon repas .. juillet 2024 avec amis du sud "

@regula.ferrari

"Chambre d’hôtes Recommandé par vendeuse vin sur ile des Embiez (son neveu et sa nièce)"

@cecilebec

"2 Michelin stars 2024 (new) Chef Christophe Bacquié In a pretty farmhouse in the Luberon, Christophe Bacquié has at last opened his own restaurant, where he is writing a new culinary chapter in this peaceful, bucolic setting, surrounded by vineyards, olive groves and lavender fields. With his wife Alexandra and a small, charming and committed team, all sharing his passion for the South of France and its produce and wines, he serves up a single set menu with a strong Mediterranean identity. With flavour as his watchword, he prepares the finest ingredients with no frills; some of his signature dishes, such as his modern aioli or his take on a calisson ice cream, also make a comeback. The ideal place to share a wonderful culinary moment."

@nchavotier

"Chef Christophe Bacquié, ancien 3 etoiles du Castellet Trouvé dans le magasine COTE"

@marie.charlotte.thvnt

"Quel dîner, mazette ! Celui du 28 juin - coucher de soleil, canisses, glouglou de la fontaine - démontre que la cuisine de très haut vol peut se pratiquer ailleurs que dans des établissements surcodifiés. Et qu’elle ne s’offense pas si tel ou tel a choisi de la savourer en short et sandales. Les mises en bouche donnent le ton, à l’instar d’une détonante tartelette ail noir et anguille fumée, qu’avait précédée une tuile de petit épeautre sertie d’une fondante lichette de viande de taureau fouettée d’anchoïade. Lui succède une spécialité de Bacquié, ce pain vapeur tomate, olive et fleur de sel, pure gourmandise à tremper dans une huile d’olive de compétition. Voilà une ouverture en trois mouvements qui indique, sans hésitation, qu’on se trouve dans une grande maison. La preuve par le tartare de truite de L’Isle-sur-la-Sorgue, velours de salicorne et poutargue. Découpe exacte du poisson à la chair d’un rose éclatant ; jeu des couleurs (le velours est vert) sur le disque blanc de la porcelaine ; maîtrise des textures, avec les œufs de truite qui éclatent sous la dent ; équilibre des saveurs ; poutargue (venue de cette Corse chère au cœur du chef) qui transfère une partie de sa puissance marine à la délicatesse de la truite d’eau douce. C’est le moment du roulement de tambour, avec l’arrivée de l’un des plats phares de Christophe Bacquié - sinon son grand œuvre : l’aïoli moderne, créé sous le soleil varois. On le retrouve à Bonnieux comme on tombe sur un vieux copain perdu de vue, et on comprend tout de suite pourquoi on l’aime autant. Il s’agit d’une farandole de légumes de saison, de morceaux de poulpe, d’éclats de pamplemousse, à prendre avec des pincettes et à tremper dans un nuage tiède - l’aïoli passé au siphon. Le poulpe fond comme un bonbon à tentacules, les légumes apportent mâche et saveur végétale, le pamplemousse distille une splendide amertume. La version Luberon n’a rien à envier à celle du Castellet. Pari gagnant Autre classique, la fleur de courgette farcie de daurade et cuite dans un bouillon floral. Une composition qui nécessite une technique magistrale mais dont on se délecte sans se poser de questions. La concentration des sucs, la finesse du bouillon, la fusion des singularités au service d’un grand tout provençal à souhait, font de ce plat un autre moment marquant. Christophe Bacquié qui, à de rares exceptions près comme sa poutargue corse, s’approvisionne dans un rayon de 50 km, a déniché près de Gordes un éleveur passionné qui le fournit en viande de bœuf. Il envoie ce soir-là un faux-filet taillé en baguette, qu’il accompagne de caviar d’aubergine, d’une tartelette garnie de cèpes, de girolles et d’ail séché, et d’un jus surpuissant lié avec de l’anchois. La viande offre une sapidité et une tenue à la cuisson parfaites. À sa mâche diabolique, le chef oppose la finesse d’une brunoise de champignons sauvages capturés par une croustillance imparable, et aussi la suave délicatesse d’une purée d’aubergine rehaussée d’oignons façon pickles. Rien à retoucher. Un calisson revisité - sorbet au melon à se damner, crème d’amande gourmandissime - ouvre la séquence sucrée. Le dessert principal, des fruits rouges du Luberon (cerises, cassis, groseilles) dans une nage parfumée au sureau et coiffés d’un sorbet à l’oseille, est l’assiette qui nous a le moins ébouriffé : c’est très bon, la morsure acide et glacée de l’oseille stimule les papilles, mais un peu en dessous du niveau stratosphérique du repas."

@sophievincent

"Christophe Baquié ex-Castellet -200€ 8 services "

@valvalb

"Chambre d'hôtes et table d'hôtes de Christophe Bacquié. 2004 MOF 2018 *** michelin"

@timothebillon

"3* Michelin, Christophe Bacquié"

@maxime.delahodde

"christophe bacquié ancien 3 étoiles du castellet "

@yoyo69

"New restaurant by 3 Michelin starred chef Christophe Bacquié."

@luxeat

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