CENTRE HISTORIQUE VALMY 1792
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Ce qu'en disent les utilisateurs

"Pierre-Louis Faloci_2014_ Centre historique Valmy "

@jdsbt

"𝑴𝒖𝒔𝒆́𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒄𝒆́𝒍𝒆̀𝒃𝒓𝒆 𝒗𝒊𝒄𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒂𝒓𝒎𝒆́𝒆𝒔 𝒓𝒆́𝒗𝒐𝒍𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏𝒏𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝑷𝒓𝒖𝒔𝒔𝒊𝒆𝒏𝒔 𝒅𝒆 𝑩𝒓𝒖𝒏𝒔𝒘𝒊𝒄𝒌. 𝑽𝒊𝒄𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒔𝒂𝒖𝒗𝒆 𝒑𝒓𝒐𝒗𝒊𝒔𝒐𝒊𝒓𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒍𝒂 𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒓𝒆́𝒗𝒐𝒍𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏𝒏𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝒍𝒂 𝑪𝒐𝒏𝒗𝒆𝒏𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒍'𝒊𝒏𝒗𝒂𝒔𝒊𝒐𝒏 𝒆́𝒕𝒓𝒂𝒏𝒈𝒆̀𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝒅𝒖 𝒓𝒆́𝒕𝒂𝒃𝒍𝒊𝒔𝒔𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑹𝒐𝒚𝒂𝒖𝒕𝒆́ 𝒒𝒖𝒆 𝒄𝒆𝒍𝒍𝒆-𝒄𝒊 𝒆́𝒕𝒂𝒊𝒕 𝒗𝒆𝒏𝒖𝒆 𝒓𝒆́𝒊𝒏𝒔𝒕𝒂𝒖𝒓𝒆𝒓. 𝐕𝐚𝐥𝐦𝐲, 𝟏𝟗𝟗𝟐 : 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐮𝐧𝐞 𝐜𝐚𝐧𝐨𝐧𝐧𝐚𝐝𝐞 𝐚𝐫𝐫𝐞̂𝐭𝐞 𝐥'𝐢𝐧𝐯𝐚𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐧𝐧𝐞𝐦𝐢𝐞 𝐞𝐭 𝐬𝐚𝐮𝐯𝐞 𝐏𝐚𝐫𝐢𝐬 𝐞𝐭 𝐬𝐚 𝐑𝐞́𝐯𝐨𝐥𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 En 1789, la France accomplit une Révolution dont les principes menacent l'ordre monarchique de l'Europe entière. La chute de la féodalité, l'établissement de l'égalité entre les individus (la fin des privilèges et de la division en "ordres"), la substitution d'une monarchie constitutionnelle à une monarchie absolue, puis l'instauration de la République (la chute de la monarchie sera proclamée par la Convention le lendemain de Valmy… !), sont autant d'événements que les royautés ne peuvent supporter. Pourtant, c'est bien la France qui prend l'initiative de la guerre. Voulue par les Girondins, déclarée le 20 avril 1792, celle-ci commence de façon catastrophique. Sans homogénéité, commandée par des chefs incertains de leur devoir comme de la stratégie à suivre, l'armée française lâche pied sur la frontière belge. Cet échec persuade l'Autriche et la Prusse qu'elles peuvent aisément remporter la victoire. Commandant en chef des forces coalisées, Charles Guillaume Ferdinand, duc de Brunswick Lunebourg – un homme de 58 ans – est chargé de rompre la frontière à l'Est et de marcher sur Paris. Les premières semaines de son avance se passent conformément à ses désirs : la frontière est franchie le 19 août, les places fortes censées défendre le territoire en Lorraine tombent l'une après l'autre, Longwy le 24, et Verdun le 2 septembre. La Révolution, pourtant, ne désarme pas. Le « Manifeste » signé par Brunswick et publié le 25 juillet, quelques jours avant l’invasion, et par lequel il menaçait de détruire la capitale, a réussi seulement à exaspérer l’ardeur républicaine et belliqueuse. Le 10 août, la monarchie est renversée et, le 2 septembre, dans les prisons de Paris, de nombreux captifs sont massacrés pour entente avec l’ennemi. Les armées révolutionnaires, après ces événements, sont condamnées à se battre et à remporter la victoire. ***** Sept heures du matin, le 20 septembre 1792. Sur une route qui, longeant l’Argonne va de Grandpré à Châlons, l’avant-garde de l’armée prusienne surgit du brouillard. Postés sur la crête Les-Maigneux-La-Lune, 35 000 Prussiens commandés par Brunswick s’apprêtent à affronter les troupes françaises commandées par Kellermann. Les Français sont en nombre supérieur – entre 50 000 et 64 000. Ils sont établis sur deux buttes, le mont Yvron et un tertre étroit surmonté d’un moulin, à faible distance du village de Valmy. La bataille, en fait, s’apparente à une simple canonnade et un assaut avorté des Prussiens. Lorsque ces derniers avancent sur les bataillons français, Kellermann joue le tout pour le tout et avance à leur rencontre à la tête de trois colonnes au célèbre cri de « Vive la Nation ! », tandis que derrière eux, l’artillerie continue à faire pleuvoir les boulets sur les régiments prussiens exposés. Devant cette situation, Brunswick, par deux fois, est forcé de reculer. La seconde fois, il décide qu’il ne mènera pas à bien l’assaut contre le tertre du fameux « moulin de Valmy » ; mais sa retraite (qui se fait en bon ordre) est suivie d’une résolution encore plus importante encore. Le soir, en effet, il convainc le roi de Prusse Frédéric-Guillaume du danger qu’il y aurait à continuer ainsi l’aventure vers Paris, face à des hommes nombreux et déterminés. Si la bataille n’a fait que 500 morts (200 côté prussien et 300 dans les rangs français), elle se solde ainsi par la victoire française – la première victoire de la Révolution ! – et par le retrait de l’armée d’invasion, qui rebrousse chemin et quitte le territoire français. Fausse bataille, simple canonnade ? Certes, mais vraie victoire pour la Révolution : Valmy prend le symbole de la victoire morale de la démocratie en armes, de la mobilisation populaire, des citoyens contre les rois. Face à une armée de métier dressée à une discipline de fer, une armée nouvelle, nationale, l’a emporté lors d’une bataille rangée. Et ça, pour l’époque, c’est aussi une petite révolution… ! 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑳𝒆𝒔 𝒈𝒓𝒂𝒏𝒅𝒆𝒔 𝒃𝒂𝒕𝒂𝒊𝒍𝒍𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒍'𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 (𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆 𝑳𝒂𝒓𝒐𝒖𝒔𝒔𝒆) ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

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