Lac de Bethmale
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Lac de Bethmale : Découvrez ce joyau naturel en automne

Le Lac de Bethmale, situé dans la vallée éponyme, est un véritable trésor naturel à découvrir, particulièrement en automne. Les commentaires élogieux des visiteurs soulignent la beauté magique de ce lac, avec ses reflets émeraude et ses arbres aux couleurs flamboyantes. Que vous soyez en quête d'une balade tranquille ou d'une randonnée plus sportive, ce lieu offre des paysages dignes d'une carte postale. Profitez d'une petite randonnée de 30 minutes autour du lac, à une altitude de plus de 1000m, pour vous imprégner de la splendeur de la nature environnante. Assurez-vous de planifier votre visite en automne pour admirer pleinement les couleurs chatoyantes de la saison. N'oubliez pas de consulter les conditions météorologiques et l'état du col, pouvant être fermé en cas de neige abondante. Que vous soyez amateur de pique-nique ou de photographie, le Lac de Bethmale saura vous charmer avec son atmosphère paisible et ses panoramas à couper le souffle.

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#Nature #Balade #Lac #Randonnée #Rando
Ce qu'en disent les utilisateurs

"En plein cœur du Parc Naturel Régional des Pyrénées Ariégeoises, le Couserans et ses 18 vallées constituent un vaste territoire partagé entre la haute montagne, les vallons verdoyants et le piémont, dominé par les 2838 mètres du « Seigneur du Couserans », le Mont Valier. Dans ce cadre naturel spectaculaire, le lac de Bethmale est une vraie merveille de la nature avec ses eaux cristallines couleur émeraude et sa forêt de feuillus. On est immédiatement surpris par ses eaux calmes et limpides, ainsi que par le silence qui y règne. Ici, le lac n’est pas alimenté par une rivière, ni par un torrent. Pourtant, à proximité du parking, la cascade qui découle du lac témoigne d’un fort débit d’eau. Alors, comment ce lac s’est-il formé ? La légende raconte qu’une méchante sorcière vivait jadis cachée au lac de Bethmale. Sa présence maléfique empoissonnait la vie des habitants du village et provoquait tous les jours leur colère, si bien qu’ils décidèrent de monter vers le col de la Core avec leurs fourches pour se débarrasser d’elle. Poursuivie et prise au piège par les Bethmalais, elle sauta dans le lac habillée d’une robe bleu-vert en jurant qu’elle ne disparaîtrait jamais. Restée au fond du lac, elle hante toujours les lieux en lui conférant ses reflets si particuliers… En réalité, le lac de Bethmale fait partie des plus belles sources karstiques des Pyrénées. L’eau s’y infiltre par le sol alimenté par un vaste réseau souterrain qui se faufile dans les calcaires entre le Mont Valier et le lac de Bethmale. La source souterraine, visible depuis les rives, arbore une couleur bleu turquoise et alimente donc ce plan d’eau d’un hectare depuis les profondeurs de la terre ! Si la baignade et les sports nautiques sont interdits dans les eaux du lac de Bethmale pour protéger les poissons et son écosystème unique, ce plan d’eau naturel offre un large panel d’activités et de plaisirs simples : prendre le temps de déambuler sur ses rives plantées de hêtres, se poser pour contempler ce qui nous entoure, pique-niquer, se balader, lire à l’ombre d’un arbre, installer son hamac, observer la faune et la flore aquatique, admirer ses incroyables reflets et sa somptueuse palette de couleurs variant du bleu turquoise au vert émeraude. Un sentier pédestre ombragé parcourt le tour du lac et donne accès à de nombreux autres chemins de randonnées balisés. 𝐁𝐞𝐭𝐡𝐦𝐚𝐥𝐞 : 𝐮𝐧𝐞 𝐯𝐚𝐥𝐥𝐞́𝐞 𝐫𝐢𝐜𝐡𝐞 𝐞𝐧 𝐥𝐞́𝐠𝐞𝐧𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐟𝐨𝐥𝐤𝐥𝐨𝐫𝐞𝐬... Riche de légendes, cette petite vallée a une identité très forte avec un particularisme marqué notamment par le costume traditionnel avec les sabots de Bethmale recourbés (toujours fabriqués à Samortein) et aujourd'hui porté et promu par les groupes Les Bethmalais et La Bethmalaise. Fabriqués en bois de hêtre et à la pointe longue recourbée vers le haut, ces sabots sont une particularité vestimentaire forte de la petite vallée des Pyrénées centrales en Ariège qui leur a donné le nom. Ils constituent l’élément le plus singulier du costume traditionnel bethmalais lequel est, selon Simone Henry1, « le plus original, pour les hommes comme pour les femmes…, un des plus beaux costumes régionaux français et même européens ». 𝐋𝐚 𝐥𝐞́𝐠𝐞𝐧𝐝𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐚𝐛𝐨𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐁𝐞𝐭𝐡𝐦𝐚𝐥𝐞 𝐶’𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙’𝑎𝑛 𝑚𝑖𝑙. 𝑙𝑒𝑠 "𝑀𝑜𝑟𝑒𝑠" 𝑛𝑒 𝑐𝑒𝑠𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑦𝑟𝑒́𝑛𝑒́𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝐴𝑙-𝑀𝑎𝑛𝑠𝑜𝑢𝑟. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑑𝑒 "𝑉𝑎𝑙𝑚𝑎𝑙𝑒" (𝐵𝑒𝑡ℎ𝑚𝑎𝑙𝑒), 𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝐵𝑟𝑎𝑚𝑒-𝑉𝑎𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑖𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑒𝑥𝑖𝑔𝑒𝑎𝑛𝑡𝑠. 𝐶𝑒𝑠 "𝑀𝑜𝑟𝑒𝑠" 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑎𝑙𝑙𝑢𝑟𝑒, 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑟𝑢𝑒𝑙𝑠 𝑒𝑡 𝑣𝑜𝑙𝑢𝑝𝑡𝑢𝑒𝑢𝑥 ; 𝑖𝑙𝑠 𝑠’𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑡𝑜̂𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 "𝑓𝑎𝑖𝑏𝑙𝑒", 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑢𝑥, 𝑒𝑡 𝑝𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑠’𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑎 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑑𝑒 𝑓𝑒̂𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠𝑒𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒́𝑗𝑜𝑢𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠...𝐿𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑏𝑜𝑡𝑠 𝑏𝑒𝑡ℎ𝑚𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝐻𝑒́𝑙𝑎𝑠, 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑏𝑒𝑡ℎ𝑚𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑡𝑜𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒́𝑠, 𝑑𝑒́𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒́𝑠 ? 𝐵𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑐𝑎𝑟 𝑝𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢 𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑑𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 "𝑏𝑜𝑢𝑟𝑑𝑎𝑜𝑢𝑠". 𝐼𝑙𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎̀ -ℎ𝑎𝑢𝑡. 𝑅𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑠𝑜𝑢𝑓𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 ℎ𝑎𝑖𝑛𝑒, 𝑖𝑙𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙𝑙𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑑𝑒́𝑐𝑢𝑝𝑙𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑔𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́, 𝑟𝑢𝑚𝑖𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑔𝑒𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑖𝑏𝑙𝑒. 𝐶ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛 𝑓𝑜𝑟𝑔𝑒𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑎𝑟𝑚𝑒 : 𝑎𝑟𝑐, 𝑓𝑙𝑒̂𝑐ℎ𝑒𝑠, 𝑒́𝑝𝑖𝑒𝑢𝑥, 𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠. 𝑈𝑛 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑜𝑏𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑐𝑟𝑒𝑢𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑏𝑜𝑡𝑠... 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑛 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑓𝑓𝑖𝑙𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑠’𝑒𝑛 𝑚𝑜𝑞𝑢𝑒𝑟. 𝑈𝑛 𝑗𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑒́𝑚𝑖𝑠𝑠𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑛𝑛𝑜𝑛𝑐𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 "𝑀𝑜𝑟𝑒𝑠" 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑏𝑖 𝑢𝑛𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑎 𝑀𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑛𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑞𝑢’𝑎𝑢 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒 𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑏𝑢𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑛𝑢𝑖𝑡𝑠... 𝐶𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑑𝑒́ : 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑏𝑜𝑢𝑡, 𝑎𝑟𝑚𝑒́𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑏𝑟𝑢𝑖𝑡, 𝑑𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑑𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒. 𝑇𝑜𝑢𝑡 𝑑𝑜𝑟𝑚𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙’𝑎𝑙𝑐𝑜𝑜𝑙... 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑓𝑢𝑡 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́ 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑟𝑒́𝑣𝑒𝑖𝑙. 𝐴𝑢 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑗𝑜𝑢𝑟, 𝑎𝑢 𝑠𝑜𝑛 𝑑’𝑢𝑛 "ℎ𝑖𝑙𝑙𝑒𝑡" 𝑣𝑎𝑖𝑛𝑞𝑢𝑒𝑢𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑔𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑙𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒́𝑝𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒̂𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑎𝑖𝑛𝑐𝑢𝑠. 𝑃𝑎̂𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑚𝑎𝑖𝑔𝑟𝑒, 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑒 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑓𝑓𝑖𝑙𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑏𝑜𝑡𝑠, 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑜𝑟𝑐𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑖𝑟 𝑠𝑎𝑛𝑔𝑢𝑖𝑛𝑜𝑙𝑎𝑛𝑡𝑒... 𝐿𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑓𝑖𝑎𝑛𝑐𝑒́ 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑠𝑒́𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟... "𝐴𝑜𝑢𝑖𝑡𝑜 𝑝𝑙𝑎 𝑎𝑐𝑜, 𝑐𝑎𝑡𝑖𝑛 ! 𝐸 𝑞𝑢𝑒́ 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑐ℎ𝑖𝑜 𝑑𝑒́ 𝑙𝑒́𝑐̧𝑜𝑢𝑛 !" (𝑅𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒𝑧 𝑏𝑖𝑒𝑛, 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑓𝑖𝑑𝑒̀𝑙𝑒𝑠 ! 𝑄𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑎 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑐̧𝑜𝑛 !) 𝐸𝑡 𝑙’ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑟𝑎𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑒𝑐̧𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑑𝑢𝑟𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠... 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑐𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑟, 𝑙𝑒 "𝑛𝑜𝑢𝑏𝑖𝑜" (𝑓𝑖𝑎𝑛𝑐𝑒́) 𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑓𝑓𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑠𝑎 𝑓𝑖𝑎𝑛𝑐𝑒́ 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑒𝑢𝑟 𝑔𝑟𝑎𝑣𝑒́ 𝑎𝑢 𝑏𝑎𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑢𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑒. 𝐶𝑟𝑖𝑐-𝑐𝑟𝑎𝑐, 𝑚𝑜𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑢𝑛𝑑𝑒́ 𝑒𝑠 𝑎𝑐𝑎𝑏𝑎𝑡𝑐ℎ ! 𝐋𝐚 𝐥𝐞́𝐠𝐞𝐧𝐝𝐞 𝐝𝐮 𝐜𝐨𝐬𝐭𝐮𝐦𝐞 𝐛𝐞𝐭𝐡𝐦𝐚𝐥𝐚𝐢𝐬 𝐶’𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑠𝑜𝑖𝑟 𝑑’𝑒́𝑡𝑒́, 𝑣𝑒𝑟𝑠 1600... 𝐷𝑢 𝑐𝑜𝑙 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑜𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝑓𝑜𝑛𝑑 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒, 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑖𝑥 𝑠’𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑢𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡... 𝐿𝑒𝑠 𝑙𝑜𝑢𝑝𝑠 𝑛’𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑟𝑒𝑠 𝑏𝑒𝑟𝑔𝑒𝑟𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑎𝑠𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒́ ℎ𝑎̂𝑡𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑔𝑟𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 "𝑏𝑎𝑟𝑔𝑢𝑒́𝑟𝑜𝑠 𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑠 𝑜𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑜𝑠" [1] 𝑎𝑖𝑑𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑣𝑖𝑔𝑖𝑙𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑢 𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑑𝑜𝑢𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒"𝑒𝑠𝑐𝑜𝑢𝑟𝑎𝑜𝑢𝑠" [2]. 𝐶’𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙’ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠’𝑎𝑝𝑎𝑖𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝐴𝑠𝑠𝑖𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 "𝑏𝑜𝑢𝑟𝑑𝑎𝑜𝑢𝑠" [3], 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑖𝑚𝑜𝑛𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 "𝑡𝑢𝑠𝑠𝑒𝑡" 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑑𝑒 "ℎ𝑜𝑢𝑟𝑚𝑎𝑑𝑔𝑒́ 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑐ℎ" [4] 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑒𝑟𝑔𝑒𝑟𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑓𝑟𝑢𝑔𝑎𝑙 𝑟𝑒𝑝𝑎𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑠 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑔𝑎𝑔𝑛𝑒́ 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 "𝑡𝑒́𝑛𝑖𝑠" 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑏𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑝𝑖𝑛... ... 𝑒𝑡 𝑐’𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑞𝑢’𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑢𝑚𝑒𝑢𝑟 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑎 𝑝𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢... 𝑠’𝑒𝑚𝑝𝑙𝑖𝑓𝑖𝑎, 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒́ℎ𝑒𝑛𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 : 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑙 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑜𝑟𝑒... 𝑑𝑢 𝑏𝑟𝑢𝑖𝑡, 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑟𝑖𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑡𝑖𝑠... 𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑢𝑟 𝑠’𝑒𝑚𝑝𝑎𝑟𝑎 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑒̂𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑙𝑜𝑢𝑎 𝑠𝑢𝑟 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑑𝑒́𝑏𝑜𝑟𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐶𝑟𝑜𝑖𝑥. 𝐼𝑙𝑠 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑑𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡, 𝑚𝑎𝑟𝑚𝑜𝑡𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠, 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒. "𝑀𝑜𝑢𝑛 𝐷𝑖𝑜𝑢 𝑑𝑒𝑡 𝐶𝑒̀𝑜𝑢 !! 𝑌𝑜 𝑖𝑚𝑏𝑎𝑠𝑖𝑜 !!" 𝐿𝑎 𝑟𝑢𝑚𝑒𝑢𝑟 𝑏𝑜𝑢𝑔𝑒𝑎𝑖𝑡, 𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑝𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑣𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑑’𝐸𝑠𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢 𝑠𝑢𝑟𝑔𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑖𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑙𝑜𝑢𝑟𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒́𝑠, 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑠, 𝑡𝑟𝑎𝑝𝑢𝑠 𝑐𝑟𝑖𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒𝑢𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑣𝑒𝑛𝑡. 𝑈𝑛 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑏𝑟𝑒𝑓, 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑟𝑎𝑣𝑎𝑛𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 ℎ𝑎𝑙𝑡𝑒. 𝑈𝑛 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠’𝑎𝑣𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑒̂𝑡𝑢. 𝐼𝑙 𝑠’𝑎𝑟𝑟𝑒̂𝑡𝑒, 𝑒́𝑚𝑢, 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑒𝑟𝑔𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒.. 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑢𝑒 : "𝐴𝑑𝑖𝑠𝑠𝑖𝑎𝑡𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑖𝑠 ! 𝐸 𝑛𝑜𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑒́𝑐ℎ𝑒̀𝑠 𝑐𝑎𝑝 ? 𝐽𝑜𝑢𝑎𝑛𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢 !!" [5] 𝐿𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑔 𝑟𝑒𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑒𝑟𝑔𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙’𝑒𝑛𝑡𝑜𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡, ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑠𝑖 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠. 𝐼𝑙 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒́, 𝐽𝑜𝑢𝑎𝑛𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢, 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑞𝑢’𝑖𝑙 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑖𝑡𝑡𝑒́ 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠’𝑒𝑛 𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝐺𝑟𝑒̀𝑐𝑒. 𝐿𝑎̀, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑎𝑟𝑑𝑠, 𝑖𝑙 𝑠’𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑣𝑖𝑡𝑒 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑢𝑒́ 𝑎𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑢𝑡𝑢𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒𝑠. 𝐿𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑒 𝑙’𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑟𝑖𝑐ℎ𝑖 𝑒𝑡 𝑖𝑙 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑖 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑡𝑢𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑒𝑛𝑣𝑎ℎ𝑖𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑇𝑢𝑟𝑐𝑠 : 𝑖𝑙 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑜𝑛 ℎ𝑎𝑟𝑒𝑚. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑙 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑒𝑡 𝑖𝑙 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑑𝑎 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑢𝑖 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐̧𝑎𝑛𝑡. 𝐼𝑙 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑠𝑖𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 12 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠, 30 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑢𝑥 [6] 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑒𝑛𝑑𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑒𝑡 12 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒̀𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑒 𝑚𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑠𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑎𝑔𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠. 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡, 𝑖𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑑’𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑒́. 𝑇𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑙𝑢𝑖 𝑓𝑖𝑡 𝑓𝑒̂𝑡𝑒 : 𝑖𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑐𝑎𝑚𝑝 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑚𝑜𝑛𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑’𝑜𝑢̀ 𝑙’𝑜𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒. 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑’ℎ𝑢𝑖 𝑙’𝑒𝑚𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒 "𝑉𝑖𝑙𝑙𝑎𝑟𝑔𝑒𝑖𝑛". 𝑃𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢, 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑠-𝑓𝑖𝑙𝑠, 𝑎𝑟𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒-𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑠-𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒. 𝐶𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑎𝑛𝑔𝑢𝑖𝑛𝑠 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑢𝑟𝑒𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒, 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒́𝑒, 𝑒𝑛𝑟𝑖𝑐ℎ𝑖𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑠𝑡𝑢𝑚𝑒 𝑠𝑖 𝑏𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑡 𝑠𝑖 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑏𝑟𝑜𝑑𝑒𝑟𝑖𝑒𝑠. 𝐵𝑒𝑡ℎ𝑚𝑎𝑙𝑒 - 𝐿𝑎 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑠𝑡𝑢𝑚𝑒 𝑏𝑒𝑡ℎ𝑚𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝐶’𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑠𝑜𝑖𝑟 𝑑’𝑒́𝑡𝑒́, 𝑣𝑒𝑟𝑠 1600... 𝐷𝑢 𝑐𝑜𝑙 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑜𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝑓𝑜𝑛𝑑 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒, 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑖𝑥 𝑠’𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑢𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡... 𝐿𝑒𝑠 𝑙𝑜𝑢𝑝𝑠 𝑛’𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑟𝑒𝑠 𝑏𝑒𝑟𝑔𝑒𝑟𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑎𝑠𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒́ ℎ𝑎̂𝑡𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑔𝑟𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 "𝑏𝑎𝑟𝑔𝑢𝑒́𝑟𝑜𝑠 𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑠 𝑜𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑜𝑠" [1] 𝑎𝑖𝑑𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑣𝑖𝑔𝑖𝑙𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑢 𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑑𝑜𝑢𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒"𝑒𝑠𝑐𝑜𝑢𝑟𝑎𝑜𝑢𝑠" [2]. 𝐶’𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙’ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠’𝑎𝑝𝑎𝑖𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝐴𝑠𝑠𝑖𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 "𝑏𝑜𝑢𝑟𝑑𝑎𝑜𝑢𝑠" [3], 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑖𝑚𝑜𝑛𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 "𝑡𝑢𝑠𝑠𝑒𝑡" 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑑𝑒 "ℎ𝑜𝑢𝑟𝑚𝑎𝑑𝑔𝑒́ 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑐ℎ" [4] 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑒𝑟𝑔𝑒𝑟𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑓𝑟𝑢𝑔𝑎𝑙 𝑟𝑒𝑝𝑎𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑠 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑔𝑎𝑔𝑛𝑒́ 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 "𝑡𝑒́𝑛𝑖𝑠" 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑏𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑝𝑖𝑛... ... 𝑒𝑡 𝑐’𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑞𝑢’𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑢𝑚𝑒𝑢𝑟 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑎 𝑝𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢... 𝑠’𝑒𝑚𝑝𝑙𝑖𝑓𝑖𝑎, 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒́ℎ𝑒𝑛𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 : 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑙 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑜𝑟𝑒... 𝑑𝑢 𝑏𝑟𝑢𝑖𝑡, 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑟𝑖𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑡𝑖𝑠... 𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑢𝑟 𝑠’𝑒𝑚𝑝𝑎𝑟𝑎 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑒̂𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑙𝑜𝑢𝑎 𝑠𝑢𝑟 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑑𝑒́𝑏𝑜𝑟𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐶𝑟𝑜𝑖𝑥. 𝐼𝑙𝑠 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑑𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡, 𝑚𝑎𝑟𝑚𝑜𝑡𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠, 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒. "𝑀𝑜𝑢𝑛 𝐷𝑖𝑜𝑢 𝑑𝑒𝑡 𝐶𝑒̀𝑜𝑢 !! 𝑌𝑜 𝑖𝑚𝑏𝑎𝑠𝑖𝑜 !!" 𝐿𝑎 𝑟𝑢𝑚𝑒𝑢𝑟 𝑏𝑜𝑢𝑔𝑒𝑎𝑖𝑡, 𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑝𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑣𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑑’𝐸𝑠𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢 𝑠𝑢𝑟𝑔𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑖𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑙𝑜𝑢𝑟𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒́𝑠, 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑠, 𝑡𝑟𝑎𝑝𝑢𝑠 𝑐𝑟𝑖𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒𝑢𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑣𝑒𝑛𝑡. 𝑈𝑛 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑏𝑟𝑒𝑓, 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑟𝑎𝑣𝑎𝑛𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 ℎ𝑎𝑙𝑡𝑒. 𝑈𝑛 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠’𝑎𝑣𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑒̂𝑡𝑢. 𝐼𝑙 𝑠’𝑎𝑟𝑟𝑒̂𝑡𝑒, 𝑒́𝑚𝑢, 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑒𝑟𝑔𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒.. 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑢𝑒 : "𝐴𝑑𝑖𝑠𝑠𝑖𝑎𝑡𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑖𝑠 ! 𝐸 𝑛𝑜𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑒́𝑐ℎ𝑒̀𝑠 𝑐𝑎𝑝 ? 𝐽𝑜𝑢𝑎𝑛𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢 !!" [5] 𝐿𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑔 𝑟𝑒𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑒𝑟𝑔𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙’𝑒𝑛𝑡𝑜𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡, ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑠𝑖 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠. 𝐼𝑙 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒́, 𝐽𝑜𝑢𝑎𝑛𝑖𝑠𝑠𝑜𝑢, 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑞𝑢’𝑖𝑙 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑖𝑡𝑡𝑒́ 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠’𝑒𝑛 𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝐺𝑟𝑒̀𝑐𝑒. 𝐿𝑎̀, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑎𝑟𝑑𝑠, 𝑖𝑙 𝑠’𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑣𝑖𝑡𝑒 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑢𝑒́ 𝑎𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑢𝑡𝑢𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒𝑠. 𝐿𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑒 𝑙’𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑟𝑖𝑐ℎ𝑖 𝑒𝑡 𝑖𝑙 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑖 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑡𝑢𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑒𝑛𝑣𝑎ℎ𝑖𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑇𝑢𝑟𝑐𝑠 : 𝑖𝑙 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑜𝑛 ℎ𝑎𝑟𝑒𝑚. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑙 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑒𝑡 𝑖𝑙 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑑𝑎 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑢𝑖 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐̧𝑎𝑛𝑡. 𝐼𝑙 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑠𝑖𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 12 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠, 30 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑢𝑥 [6] 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑒𝑛𝑑𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑒𝑡 12 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒̀𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑒 𝑚𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑠𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑎𝑔𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠. 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡, 𝑖𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑑’𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑒́. 𝑇𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑙𝑢𝑖 𝑓𝑖𝑡 𝑓𝑒̂𝑡𝑒 : 𝑖𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑐𝑎𝑚𝑝 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑚𝑜𝑛𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑’𝑜𝑢̀ 𝑙’𝑜𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒. 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑’ℎ𝑢𝑖 𝑙’𝑒𝑚𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒 "𝑉𝑖𝑙𝑙𝑎𝑟𝑔𝑒𝑖𝑛". 𝑃𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢, 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑠-𝑓𝑖𝑙𝑠, 𝑎𝑟𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒-𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑠-𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒. 𝐶𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑎𝑛𝑔𝑢𝑖𝑛𝑠 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑢𝑟𝑒𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒, 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒́𝑒, 𝑒𝑛𝑟𝑖𝑐ℎ𝑖𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑠𝑡𝑢𝑚𝑒 𝑠𝑖 𝑏𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑡 𝑠𝑖 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑏𝑟𝑜𝑑𝑒𝑟𝑖𝑒𝑠. 𝑃𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐵𝑒𝑡ℎ𝑚𝑎𝑙𝑒 (1903) 𝐼𝑙𝑠 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑖𝑣𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑣𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑛, 𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒́𝑡𝑜𝑓𝑓𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑐𝑗𝑒𝑧 𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑢𝑟𝑒𝑡𝑒́ 𝑠𝑎𝑛𝑔𝑢𝑖𝑛𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒̀𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑟𝑎𝑐𝑒 𝑝𝑢𝑟𝑒 [7] 𝑞𝑢’𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑚𝑒𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐺𝑟𝑒̀𝑐𝑒 𝑠𝑒 𝑚𝑢𝑙𝑡𝑖𝑝𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑒𝑡 𝑙’𝑜𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒𝑟 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑒 6000 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒. 𝑇𝑜𝑢𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑠𝑝𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑢 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥. 𝐻𝑒́𝑙𝑎𝑠, 𝑐𝑒𝑠 𝑚œ𝑢𝑟𝑠 𝑖𝑛𝑎𝑐𝑐𝑜𝑢𝑡𝑢𝑚𝑒́𝑠 𝑠𝑐𝑎𝑛𝑑𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑖𝑠𝑖𝑛𝑒𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑚𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑎𝑢 𝑏𝑎𝑛 𝑑𝑒 𝑙’ℎ𝑢𝑚𝑎𝑛𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑡 𝑛𝑜𝑚𝑚𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 "𝑉𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑚𝑎𝑢𝑑𝑖𝑡𝑒" [8] 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑖𝑠𝑜𝑙𝑎 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑠𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑒𝑡 𝑐’𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑒𝑢𝑡-𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑙𝑎 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑗𝑜𝑙𝑖 𝑐𝑜𝑠𝑡𝑢𝑚𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑑’𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑞𝑢’𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 "𝐵𝑒𝑡ℎ𝑚𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠" ! 𝐶𝑟𝑖𝑐-𝑐𝑟𝑎𝑐, 𝑚𝑜𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑢𝑛𝑑𝑒́ 𝑒𝑠 𝑎𝑐𝑎𝑏𝑎𝑡𝑐ℎ ! 𝐸𝑥𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 : 𝐿𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑒𝑡ℎ𝑚𝑎𝑙𝑒 (𝐴𝑟𝑖𝑒̀𝑔𝑒-𝑃𝑦𝑟𝑒́𝑛𝑒́𝑒𝑠) : 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒𝑠, 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟𝑠, 𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́𝑠, 𝐽.𝐵𝐸𝐺𝑂𝑈𝐸𝑁 1962-1965 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑮𝒖𝒊𝒅𝒆 𝑻𝒐𝒖𝒍𝒐𝒖𝒔𝒆 𝑷𝒚𝒓𝒆́𝒏𝒆́𝒆𝒔 ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒖 𝒄𝒐𝒍𝒍𝒆𝒄𝒕𝒊𝒇 𝑳𝒆𝒔 𝑩𝒆𝒕𝒉𝒎𝒂𝒍𝒂𝒊𝒔 (𝒍𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒊-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔) ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"L'Ariège possède aussi ses lacs, moins connus que ceux des Pyrénées centrales mais tout aussi attrayants. C'est le cas de celui de Bethmale, dans le Haut-Couserans. Sur la D17 en direction de Seix, juste au dessous du col de la Core (1 395 m), cette tache d'eau se niche harmonieusement dans un décor rocheux et boisé, qui dégage à l'automne un romantisme fou. Peut-être le lac le plus « canadien » des Pyrénées… Très facilement accessible depuis la route, il est possible de le contourner à pied, sous la protection de hêtres majestueux. Pique-nique recommandé !"

@capu_chon

"400m, parking à l’arrivée, trop de monde en ete"

@dragon06

"10 min autour du lac, y aller plutôt le matin"

@lolotteb

"Ce lac magique est un endroit magnifique pour un pique nique, avec sa couleur émeraude et les arbres qui se reflètent dans les eaux limpides. Un paysage de carte postale en toute saison."

@pernellevoyage

"rando cirque de campuls, cascade"

@josmont

"⛰Randonnée assez simple magnifique paysage Ariégeois superbe lac d’une couleur turquoise vraiment sublime. Je recommande cette rando ☺️"

@keoradventures

"Autour cirque de campulse + étang d’Ayes + cabane Eliet GR10 30-3-21"

@damizaa

Approuvé par 2 partenaires officiels
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