BRUXELLES
Exit le folklore à colonnades, le sirtaki et les plats bourratifs.Le sage Constantin fait revivre les recettes de la terre de ses ancêtres et les adapte à la gastronomie actuelle. L'inévitable tarama n'a pas la teinte Barbie de ses congénères de supermarchés : il est beige. Pour le plat fétiche de la maison, l'arvanitiko, rien que des éloges : on a failli verser des larmes sur cette poularde rôtie et farcie de foie de canard et raisins secs. La carte des vins est du même tonneau : longue, belle et typique. Depuis quelques temps, le midi, la carte se fait plus simple et le Notos propose ses "petits plats" chaud ou froids, un mezze qui ne dit pas son nom avec des propositions originales mais toujours l'indétrônable tarama !