Musée Smithsonian - Musée d'Histoire Naturelle
Le Musée Smithsonian d'Histoire Naturelle, établi en 1910 et situé sur le National Mall, est un musée prestigieux faisant partie de l'Institution Smithsonian. Il abrite la collection la plus vaste au monde de spécimens d'histoire naturelle et d'artefacts humains, y compris les restes de dinosaures et les outils utilisés par les premiers hommes. L'entrée est gratuite et vous pourrez passer des heures à explorer ce musée passionnant. Ne manquez pas les mises en scène, les films et les squelettes de dinosaures impressionnants. Une visite incontournable pour les amateurs de musée et les amoureux de la nature.
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"𝑳𝒂 𝑺𝒎𝒊𝒕𝒉𝒔𝒐𝒏𝒊𝒂𝒏 𝑰𝒏𝒔𝒕𝒊𝒕𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒆𝒔𝒕 𝒖𝒏𝒆 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒊𝒕𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒓𝒆𝒄𝒉𝒆𝒓𝒄𝒉𝒆 𝒔𝒄𝒊𝒆𝒏𝒕𝒊𝒇𝒊𝒒𝒖𝒆, 𝒄𝒓𝒆́𝒆́𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒍'𝒆́𝒈𝒊𝒅𝒆 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒅𝒎𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒂𝒎𝒆́𝒓𝒊𝒄𝒂𝒊𝒏𝒆 𝒆𝒏 1846. 𝑬𝒍𝒍𝒆 𝒂 𝒂𝒖 𝒇𝒊𝒍 𝒅𝒆𝒔 𝒂𝒏𝒏𝒆́𝒆𝒔 𝒅𝒆́𝒗𝒆𝒍𝒐𝒑𝒑𝒆́ 𝒔𝒆𝒔 𝒗𝒐𝒄𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒆́𝒅𝒊𝒕𝒐𝒓𝒊𝒂𝒍𝒆𝒔, 𝒎𝒖𝒔𝒆́𝒐𝒈𝒓𝒂𝒑𝒉𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔, 𝒑𝒆́𝒅𝒂𝒈𝒐𝒈𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒆́𝒅𝒖𝒄𝒂𝒕𝒊𝒗𝒆𝒔. 𝑬𝒍𝒍𝒆 𝒆𝒔𝒕 𝒂𝒔𝒔𝒐𝒄𝒊𝒆́𝒆 𝒂̀ 𝒖𝒏 𝒗𝒂𝒔𝒕𝒆 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒍𝒆𝒙𝒆 𝒅𝒆 𝒗𝒊𝒏𝒈𝒕-𝒆𝒕-𝒖𝒏 𝒎𝒖𝒔𝒆́𝒆𝒔, 𝒗𝒊𝒏𝒈𝒕-𝒆𝒕-𝒖𝒏𝒆 𝒃𝒊𝒃𝒍𝒊𝒐𝒕𝒉𝒆̀𝒒𝒖𝒆𝒔, 𝒒𝒖𝒂𝒕𝒐𝒓𝒛𝒆 𝒄𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒓𝒆𝒄𝒉𝒆𝒓𝒄𝒉𝒆 𝒆𝒕 𝒅'𝒆́𝒅𝒖𝒄𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏, 𝒆𝒕 𝒖𝒏 𝒛𝒐𝒐, 𝒑𝒓𝒊𝒏𝒄𝒊𝒑𝒂𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒊𝒕𝒖𝒆́𝒔 𝒂̀ 𝑾𝒂𝒔𝒉𝒊𝒏𝒈𝒕𝒐𝒏, 𝑫.𝑪., 𝒆𝒕 𝒈𝒆́𝒓𝒆́𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒔𝒐𝒏 𝒐𝒓𝒈𝒂𝒏𝒊𝒔𝒎𝒆 𝒇𝒐𝒏𝒅𝒂𝒕𝒆𝒖𝒓, 𝒍𝒆 𝒈𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓𝒏𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒇𝒆́𝒅𝒆́𝒓𝒂𝒍 𝒂𝒎𝒆́𝒓𝒊𝒄𝒂𝒊𝒏. 𝑼𝒏 𝒎𝒂𝒈𝒂𝒛𝒊𝒏𝒆 𝒎𝒆𝒏𝒔𝒖𝒆𝒍, 𝒑𝒖𝒃𝒍𝒊𝒆́ 𝒑𝒂𝒓 𝒍’𝒊𝒏𝒔𝒕𝒊𝒕𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏, 𝒆𝒔𝒕 𝒆́𝒈𝒂𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒂𝒑𝒑𝒆𝒍𝒆́ 𝑺𝒎𝒊𝒕𝒉𝒔𝒐𝒏𝒊𝒂𝒏. La Smithsonian Institution est née de la volonté du scientifique britannique James Smithson. Dans son testament ouvert en 1826, Smithson établit que si son neveu, Henry James Hungerford, venait à décéder sans avoir de descendants (ce qui fut le cas) sa fortune serait alors attribuée « aux États-Unis d'Amérique pour fonder, à Washington, sous le nom de The Smithsonian Institution, une institution pour l’accroissement et la diffusion du savoir pour tous les hommes ». À la mort de Hungerford en 1835, le président Andrew Jackson informe le Congrès de cette donation qui s’élève à 500 000 dollars, une somme alors colossale. Par son testament de 1826, James Smithson lègue une fortune de 100 000 livres sterling à une éventuelle institution américaine qui se consacrerait à promouvoir la science. Son vœu, compromis par un procès entre le notaire et ses héritiers en ligne indirecte, ne se réalise que dans les années 1840 lorsque des membres du Congrès des États-Unis, initialement mal informés, se décident à s’enquérir de ce curieux legs. En 1846, un apport de l’État américain permet la création de la Smithsonian Institution. Les motivations de cette donation sont à ce jour inconnues : Smithson ne s’est en effet jamais rendu aux États-Unis et ne semble pas avoir entretenu de correspondance avec des scientifiques américains. On sait seulement qu’à Oxford, il fréquentait l’Ashmolean Museum et qu’ayant toujours porté intérêt aux idéaux de l’instruction publique et de la démocratie, il fut enthousiasmé par la création à Paris (où il était né) d’un « Muséum central des arts de la République » et d’un « Muséum national d'histoire naturelle ». Par la suite, il souhaita favoriser l’émergence d’une institution similaire en Amérique, pays neuf et encore dépourvu de grandes institutions de ce type. En 1843, le Congrès publie un acte signé comme loi le 10 août 1846 par le président James Knox Polk établissant officiellement l'institution sous forme d’un partenariat entre privé et public. Lorsqu’en 1842 l’expédition conduite par Charles Wilkes revient après quatre années de voyage dans le Pacifique Sud, l'institution acquiert l’ensemble des spécimens et des échantillons récoltés qui seront présentés au public à partir de 1858. Ainsi, elle se positionne comme la vitrine des plus grandes expéditions scientifiques et comme gardien des trésors nationaux. Cette image sera ensuite renforcée par différentes expéditions, notamment en Alaska en 1859. En 1855, l'institution établit ses quartiers dans le Smithsonian Institution Building bâti sur le Mall par James Renwick, Jr. et son architecture spécifique l’a rapidement fait surnommer « Le Château » par ses occupants. Pour l’anecdote, l’astéroïde (3773) Smithsonian a été nommé ainsi en l’honneur de l’institution. Du point de vue des milieux "ésotériques", l'Institution est célèbre pour être celle qui aurait dissimulée et fait disparaître les centaines d'ossements de "géants" qui auraient été découverts principalement au cours du XIXe siècle jusqu'au début du XXe siècle – découvertes parfois relayées par des articles de journaux locaux. 𝐋𝐞𝐬 𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐧𝐬 𝐠𝐞́𝐚𝐧𝐭𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐫𝐞́𝐠𝐧𝐚𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐮𝐫 𝐥’𝐀𝐦𝐞́𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝑂𝑢𝑏𝑙𝑖𝑒𝑧, 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑢𝑛 𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡, 𝑙𝑒𝑠 𝑡ℎ𝑒́𝑜𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑧 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑖𝑒́𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑐𝑜𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐̧𝑜𝑛𝑠. 𝐼𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑠... 𝑖𝑙 𝑦 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠. 𝑈𝑛𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑃𝑎𝑖𝑢𝑡𝑒 𝑟𝑎𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒 𝑙'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑖-𝑇𝑒-𝐶𝑎ℎ, 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑢𝑥 𝑟𝑜𝑢𝑥 𝑐𝑎𝑛𝑛𝑖𝑏𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑎 𝑠𝑒𝑚𝑒́ 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑙𝑒 𝑁𝑒𝑣𝑎𝑑𝑎. 𝐿𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑒 𝑙𝑖𝑡𝑡𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 "𝑚𝑎𝑛𝑔𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑗𝑜𝑛𝑐" 𝑒𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒́𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑎̀ 𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑎𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑑𝑒𝑎𝑢𝑥, 𝑢𝑡𝑖𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑛𝑛𝑒𝑚𝑖𝑠 𝑃𝑎𝑖𝑢𝑡𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑒𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡, 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑙𝑖𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑔𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖, 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑙𝑖𝑡𝑠, 𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑖𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒𝑟. 𝐿𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑣𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑟𝑒́𝑢𝑠𝑠𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐺𝑟𝑜𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑜𝑣𝑒𝑙𝑜𝑐𝑘, 𝑁𝑒𝑣𝑎𝑑𝑎, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝐼𝑛𝑑𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑚𝑝𝑖𝑙𝑒́ 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑟𝑜𝑢𝑠𝑠𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙'𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑦 𝑜𝑛𝑡 𝑚𝑖𝑠 𝑙𝑒 𝑓𝑒𝑢. 𝐶𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑎𝑠𝑝ℎ𝑦𝑥𝑖𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑓𝑢𝑚𝑒́𝑒 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑡𝑢𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑙𝑒̀𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑐𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑢 𝑠𝑜𝑙 𝑎𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑐𝑎𝑖𝑛 𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒𝑖𝑛𝑡𝑠. 𝑆𝑎𝑟𝑎ℎ 𝑊𝑖𝑛𝑛𝑒𝑚𝑢𝑐𝑐𝑎 (1844-1891), 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑣𝑎𝑖𝑛 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑔𝑒̀𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒 𝐿𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑒𝑠 𝑃𝑎𝑖𝑢𝑡𝑒𝑠 : 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑡𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑑𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 , 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑜𝑏𝑜𝑟𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒, 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑒 𝑟𝑒́𝑓𝑒̀𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑠𝑡𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑎𝑑𝑣𝑒𝑟𝑠𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒. 𝑆𝑜𝑛 𝑡𝑒́𝑚𝑜𝑖𝑔𝑛𝑎𝑔𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 "𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒 𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢 𝑑𝑒 𝑏𝑎𝑟𝑏𝑎𝑟𝑒𝑠" 𝑞𝑢𝑖 𝑚𝑎𝑛𝑔𝑒𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑖𝑟 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒 : « 𝐴𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑚𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑥𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒́𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑜𝑢𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑦-𝑑𝑜-𝑐𝑎𝑟𝑎ℎ, 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑒 '𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑡', 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 '𝑒𝑛𝑛𝑒𝑚𝑖'. 𝑀𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑥𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒́𝑒 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑢𝑥 𝑟𝑜𝑢𝑥. 𝐽𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒̀𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑢𝑥, 𝑢𝑛 ℎ𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑎𝑔𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑚𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑓𝑖𝑙𝑠. 𝐽'𝑎𝑖 𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑜𝑏𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑢𝑛 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑'𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠, 𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒́𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑐𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑢𝑥 𝑟𝑜𝑢𝑥. 𝐽'𝑎𝑖 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑒́ 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑜𝑏𝑒 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑖𝑙, 𝑒𝑡 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑛'𝑎 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑏𝑒 𝑒𝑛 𝑑𝑒ℎ𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑎 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒." 𝑃𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑, 𝑒𝑛 1911, 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑖𝑛𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝐽𝑎𝑚𝑒𝑠 𝐻𝑎𝑟𝑡 𝑒𝑡 𝐷𝑎𝑣𝑖𝑑 𝑃𝑢𝑔ℎ, 𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑑'𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑖𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛. 𝐶𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑒𝑠 "𝑐ℎ𝑎𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑'𝑜𝑠", 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑜𝑛 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑔𝑢𝑎𝑛𝑜 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑠𝑎𝑖̈𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝐻𝑎𝑤𝑎𝑖𝑖𝑎𝑛 𝐹𝑒𝑟𝑡𝑖𝑙𝑖𝑧𝑒𝑟 𝐶𝑜𝑚𝑝𝑎𝑛𝑦 𝑑𝑒 𝑆𝑎𝑛 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑖𝑠𝑐𝑜. 𝐿𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑐𝑟𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑢𝑣𝑒-𝑠𝑜𝑢𝑟𝑖𝑠, 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑜𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑢𝑡𝑖𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑒𝑛𝑔𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑖𝑙𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑡𝑖𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑢𝑑𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑎𝑛𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑠𝑖𝑓𝑠, 𝑒𝑛 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑛𝑖𝑡𝑟𝑎𝑡𝑒𝑠. 𝑇𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑖𝑜𝑐ℎ𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒́ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑒𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝐴𝑙𝑓𝑟𝑒𝑑 𝐾𝑟𝑜𝑒𝑏𝑒𝑟, 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝑑𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑'𝑎𝑛𝑡ℎ𝑟𝑜𝑝𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑈𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝐶𝑎𝑙𝑖𝑓𝑜𝑟𝑛𝑖𝑒. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑥𝑝𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎̀ 𝐿𝑜𝑣𝑒𝑙𝑜𝑐𝑘, 𝑒𝑛 1912, 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑 𝑒𝑛 1924. 𝐿𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑜𝑟𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝐿𝐿 𝐿𝑜𝑢𝑑 𝑒𝑡 𝑠'𝑎𝑣𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑐𝑟𝑜𝑦𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑟𝑢𝑐𝑡𝑢𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠, 𝑐𝑎𝑟 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢'𝑎̀ 𝑑𝑖𝑥 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑚𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑗𝑜𝑢𝑟: 𝑝𝑎𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑣𝑎𝑠𝑒𝑠, 𝑜𝑢𝑡𝑖𝑙𝑠, 𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠, 𝑜𝑠, 𝑎𝑝𝑝𝑎̂𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑎𝑛𝑎𝑟𝑑 - 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑎𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒, 𝑝𝑎𝑟𝑚𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑚𝑒𝑠 𝑎𝑡𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒́𝑒𝑠 - 𝑒𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑥𝑎𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑚𝑖𝑒𝑠. 𝐿𝑎 𝑑𝑎𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑢 𝑟𝑎𝑑𝑖𝑜𝑐𝑎𝑟𝑏𝑜𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑛𝑠𝑒𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 5.000 2.850 𝑎𝑛𝑠 : 𝑙𝑎 𝑔𝑟𝑜𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑧 𝑜𝑐𝑐𝑢𝑝𝑒́𝑒 𝑒𝑛 1.000 440 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝐽.-𝐶., 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑋𝑁𝑈𝑀𝑋 𝑋𝑁𝑈𝑀𝑋 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝐽.-𝐶., 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢'𝑒𝑛 𝑋𝑁𝑈𝑀𝑋 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝐽.-𝐶., 𝑙𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑜𝑛𝑑𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎 𝑏𝑙𝑜𝑞𝑢𝑒́ 𝑙'𝑎𝑐𝑐𝑒̀𝑠 𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑟𝑜𝑡𝑡𝑒.. 𝐷𝑒̀𝑠 𝑙𝑜𝑟𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑢𝑣𝑒𝑠-𝑠𝑜𝑢𝑟𝑖𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑢𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑠 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑟𝑜𝑡𝑡𝑒, 𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑡𝑒𝑓𝑎𝑐𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒 𝑑'𝑒𝑥𝑐𝑟𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙'𝑒́𝑝𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝑣𝑎𝑟𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑢𝑛 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠. 𝐷𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒𝑠 : 𝑖𝑙𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑢𝑥 𝑟𝑜𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛𝑛𝑒. 𝐼𝑙 𝑦 𝑎 𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑜𝑚𝑖𝑒 𝑓𝑒𝑚𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 ℎ𝑎𝑢𝑡, 𝑡𝑎𝑛𝑑𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑚𝑖𝑒 𝑚𝑎̂𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑎𝑟𝑎𝑛𝑡𝑒! 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡, 𝑐𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑔𝑟𝑜𝑡𝑡𝑒 𝐿𝑜𝑣𝑒𝑙𝑜𝑐𝑘 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 : 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑑𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 38 𝑐𝑚 𝑑𝑒 𝑙𝑜𝑛𝑔 - 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑢𝑟𝑒 54 ! -, 𝑙'𝑒𝑚𝑝𝑟𝑒𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑛, 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑔𝑟𝑜𝑠𝑠𝑒 𝑞𝑢'𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑛 "𝑛𝑜𝑟𝑚𝑎𝑙𝑒" 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑜𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠, 𝑓𝑟𝑎𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒́𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑐𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑒𝑙𝑙𝑒. 𝐵𝑟𝑒𝑓 : 𝑙'𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑐𝑎𝑛𝑛𝑖𝑏𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑛𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑓𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑟 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒. 𝐸𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐿𝑜𝑣𝑒𝑙𝑜𝑐𝑘 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡... 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑒𝑛 𝑡ℎ𝑒́𝑜𝑟𝑖𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑡𝑒𝑓𝑎𝑐𝑡𝑠 𝑚𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑠 𝑝𝑒𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑣𝑢𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑚𝑢𝑠𝑒́𝑒𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑎̂𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑎𝑛𝑎𝑟𝑑 𝑎𝑢 𝑆𝑚𝑖𝑡ℎ𝑠𝑜𝑛𝑖𝑎𝑛 𝑎̀ 𝑊𝑎𝑠ℎ𝑖𝑛𝑔𝑡𝑜𝑛 𝐷𝐶, 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑠 𝑎𝑢 𝑁𝑒𝑣𝑎𝑑𝑎 𝑆𝑡𝑎𝑡𝑒 𝑀𝑢𝑠𝑒𝑢𝑚 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑎𝑟𝑡𝑒𝑓𝑎𝑐𝑡𝑠 𝑎𝑢 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑚𝑢𝑠𝑒́𝑒 𝑑'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑊𝑖𝑛𝑛𝑒𝑚𝑢𝑐𝑐𝑎, 𝑁𝑒𝑣𝑎𝑑𝑎. 𝐷𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑐𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡, 𝑖𝑙 𝑛𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒. 𝑆𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠, 𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑒𝑛𝑑𝑜𝑚𝑚𝑎𝑔𝑒́𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑒𝑟𝑑𝑢𝑠 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑛'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑙'𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑖𝑡𝑢𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑟𝑖𝑔𝑢𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑠 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 : 𝑜𝑛 𝑑𝑖𝑡 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑠𝑝𝑒́𝑐𝑖𝑚𝑒𝑛𝑠 𝑓𝑢𝑡 𝑚𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑏𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑖𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑒́𝑡𝑟𝑢𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑙𝑜𝑔𝑒 𝑚𝑎𝑐̧𝑜𝑛𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑜𝑐𝑎𝑙𝑒, 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑢𝑡𝑖𝑙𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑞𝑢𝑒𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑛𝑠 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑠𝑒́𝑒𝑠. 𝑆𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠, 𝑐𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡, 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑙𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒́. 𝑃𝑎𝑟𝑚𝑖 𝑒𝑢𝑥, 𝑙'𝑎𝑛𝑡ℎ𝑟𝑜𝑝𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝐴𝑑𝑟𝑖𝑒𝑛 𝑀𝑒𝑦𝑒𝑟, 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑟𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑐𝑎𝑛𝑢𝑙𝑎𝑟 𝑖𝑛𝑣𝑒𝑛𝑡𝑒́ 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑎𝑡𝑡𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑟𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑁𝑒𝑣𝑎𝑑𝑎, 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑞𝑢𝑒𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑟𝑚𝑎𝑙𝑒 . 𝑀𝑒𝑦𝑒𝑟 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑢𝑣𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑚𝑖𝑒𝑠 : 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑑'𝑒𝑛𝑓𝑜𝑢𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑠𝑜𝑙 𝑎𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑙𝑖𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑐ℎ𝑖𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠, 𝑙𝑒 𝑝𝑖𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑠'𝑜𝑥𝑦𝑑𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑏𝑟𝑢𝑛 𝑟𝑜𝑢𝑔𝑒𝑎̂𝑡𝑟𝑒, 𝑢𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑚𝑖𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑐𝑢𝑖𝑟𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠. 𝐼𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒𝑢𝑥 𝑟𝑜𝑢𝑥 𝑎𝑢𝑥𝑞𝑢𝑒𝑙𝑠 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒́𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑟𝑏𝑒𝑎𝑢, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑛𝑑𝑖𝑒𝑛𝑠. 𝐸𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡, 𝑖𝑙 𝑐𝑜𝑛𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒, 𝑚𝑎𝑙𝑔𝑟𝑒́ 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑢𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑓𝑖𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑠, 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑟𝑒́𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑠'𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑏𝑠𝑜𝑙𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝐼𝑙 𝑦 𝑎 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑟𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑡 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑡𝑜̂𝑡, 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑒́𝑔𝑖𝑒 𝑑𝑒́𝑙𝑖𝑏𝑒́𝑟𝑒́𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑢𝑣𝑒𝑠. 𝐸𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑖-𝑇𝑒-𝐶𝑎ℎ 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒 𝑑'𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑐𝑎𝑖𝑛 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑟𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑔𝑖𝑔𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠 : 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝐼𝑟𝑜𝑞𝑢𝑜𝑖𝑠, 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑒́𝑠 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑢 𝑛𝑜𝑟𝑑-𝑒𝑠𝑡, 𝑖𝑙𝑠 𝑟𝑎𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑀𝑎𝑛𝑡𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒, "𝐹𝑢𝑟 𝑜𝑓 𝑆𝑡𝑜𝑛𝑒", 𝑢𝑛 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 (𝑜𝑢, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑎𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠) 𝑑𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡 𝑑'𝑒́𝑐𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑢𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑙𝑒̀𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑜𝑟𝑑𝑖𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠. 𝐴𝑠𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑠 𝑎̀ 𝑙'ℎ𝑖𝑣𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑔𝑙𝑎𝑐𝑒, 𝑐𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑚𝑎𝑛𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠. 𝑆𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒𝑠, 𝑙𝑒 𝑀𝑎𝑛𝑡𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑖𝑙𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑎𝑙𝑒́𝑑𝑖𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑐𝑎𝑛𝑛𝑖𝑏𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑐𝑎𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑚𝑒́𝑐ℎ𝑎𝑛𝑐𝑒𝑡𝑒́, 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑒 𝑊𝑖𝑛𝑑𝑖𝑔𝑜 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢 𝐶ℎ𝑖𝑝𝑝𝑒𝑤𝑎 . 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒𝑠, 𝑐𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡, 𝑙𝑒 𝑀𝑎𝑛𝑡𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑖𝑙𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑖𝑡𝑖𝑓𝑠. 𝐸𝑛 𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑙𝑎𝑐̧𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑢 𝑠𝑢𝑑, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑃𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠, 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑐𝑜𝑚𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒 𝑅𝑎𝑦 𝑉𝑖𝑏𝑟𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑟𝑎𝑐𝑜𝑛𝑡𝑎, 𝑒𝑛 1857, 𝑙'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑟𝑎𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑏𝑙𝑎𝑛𝑐𝑠 "[…] 𝑇𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 ℎ𝑎𝑢𝑡 𝑞𝑢𝑖, 𝑖𝑙 𝑦 𝑎 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑙𝑢𝑛𝑒𝑠, 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑓𝑙𝑜𝑟𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑛'𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑣𝑖𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑝𝑎̂𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑐𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑞𝑢𝑖 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑠'𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑛𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙 𝑠𝑒 𝑙𝑒̀𝑣𝑒 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢'𝑎̀ 𝑙'𝑒𝑛𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑜𝑢̀ 𝑖𝑙 𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒. " 𝐸𝑛 𝑒́𝑙𝑎𝑟𝑔𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑠, 𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑡𝑦𝑝𝑒 𝑑𝑢 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑠'𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑎𝑢-𝑑𝑒𝑙𝑎̀ 𝑑𝑒 𝑙'𝐴𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑁𝑜𝑟𝑑 : 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑒𝑥𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑇𝑖𝑡𝑎𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝐶𝑦𝑐𝑙𝑜𝑝𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑒́𝑚𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑐𝑙𝑎𝑠𝑠𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑎𝑢𝑥 𝑁𝑒𝑝ℎ𝑖𝑙𝑖𝑚 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑡𝑠 𝑏𝑖𝑏𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠. , 𝑎𝑢𝑥 𝑜𝑔𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑟𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑢 𝑓𝑜𝑙𝑘𝑙𝑜𝑟𝑒 𝑎𝑛𝑑𝑖𝑛 . 𝐿'𝑎𝑛𝑡ℎ𝑟𝑜𝑝𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝑖𝑡𝑎𝑙𝑖𝑒𝑛 𝑀𝑎𝑟𝑖𝑜 𝑃𝑜𝑙𝑖𝑎, 𝑒𝑛 𝑎𝑛𝑎𝑙𝑦𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑐𝑢𝑟𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑠 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠, 𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒 "[...] 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒𝑠, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑙𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙'𝑎𝑏𝑠𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑜𝑖𝑠 𝑚𝑜𝑟𝑎𝑙𝑒𝑠 - 𝑙𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑖𝑑𝑒𝑠, 𝑐𝑎𝑛𝑛𝑖𝑏𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑖𝑛𝑐𝑒𝑠𝑡𝑢𝑒𝑢𝑥 -, 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑛𝑎𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 - 𝑖𝑙𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑜𝑦𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑖𝑙𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐷𝑖𝑒𝑢 𝑒𝑡 𝑒𝑚𝑝𝑒̂𝑐ℎ𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑐ℎ𝑎̂𝑡𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 -, 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑢𝑥 ℎ𝑦𝑑𝑟𝑎𝑢𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑢 𝑡𝑖𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑚𝑎𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑒́𝑔𝑎𝑡𝑖𝑓 : 𝑖𝑙𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑟𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠." 𝑆𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 « 𝑖𝑛𝑠𝑜𝑙𝑖𝑡𝑒𝑠 » 𝑎𝑢𝑥 𝐸́𝑡𝑎𝑡𝑠-𝑈𝑛𝑖𝑠, 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝐺𝑟𝑜𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑜𝑣𝑒𝑙𝑜𝑐𝑘 𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑢𝑛𝑖𝑐𝑢𝑚. 𝐴𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑋𝐼𝑋𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑒𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑎𝑢 𝑑𝑒́𝑏𝑢𝑡 𝑑𝑢 𝑋𝑋𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑑'𝑜𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 "𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑟𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒́𝑛𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠" 𝑜𝑛𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑛𝑎𝑢𝑥., 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 . 𝐷𝑒 𝑙'𝑂ℎ𝑖𝑜 𝑎𝑢 𝑊𝑖𝑠𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑛, 𝑑𝑢 𝑁𝑒𝑣𝑎𝑑𝑎 𝑎𝑢 𝑁𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢-𝑀𝑒𝑥𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑒𝑛𝑛𝑠𝑦𝑙𝑣𝑎𝑛𝑖𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝐸́𝑡𝑎𝑡 𝑑𝑒 𝑊𝑎𝑠ℎ𝑖𝑛𝑔𝑡𝑜𝑛, 𝑖𝑙 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑧𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑧𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑛𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑢𝑥 𝑡𝑖𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑠𝑖𝑓𝑠 𝑡𝑒𝑙𝑠 𝑞𝑢𝑒 : "𝐴𝑚𝑎𝑧𝑖𝑛𝑔 𝐺𝑖𝑎𝑛𝑡𝑠", "𝐺𝑖𝑎𝑛𝑡 𝑆𝑘𝑢𝑙𝑙𝑠 𝐷𝑖𝑠𝑐𝑜𝑣𝑒𝑟𝑒𝑑", "𝐻𝑖𝑑𝑑𝑒𝑛 𝐶𝑎𝑣𝑒 𝑅𝑒𝑣𝑒𝑎𝑙𝑠 𝑎 𝑆𝑢𝑟𝑝𝑟𝑖𝑠𝑖𝑛𝑔 𝐷𝑖𝑠𝑐𝑜𝑣𝑒𝑟𝑦" . 𝐷'𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑠𝑒𝑛𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑞𝑢𝑖 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒, 𝑒𝑡, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑐𝑎𝑠, 𝑑𝑒 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑏𝑢𝑓𝑓𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑡𝑢𝑐𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒́𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑑𝑒𝑠 𝑝ℎ𝑜𝑡𝑜𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑑𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝐶𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡, 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑑𝑜𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑎̀ 𝑟𝑒́𝑓𝑙𝑒́𝑐ℎ𝑖𝑟. 𝑃𝑎𝑟𝑚𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑖𝑙 𝑦 𝑎 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑡𝑒́𝑚𝑜𝑖𝑔𝑛𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑥𝑐𝑒𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙 : 𝐴𝑏𝑟𝑎ℎ𝑎𝑚 𝐿𝑖𝑛𝑐𝑜𝑙𝑛 (1809-1865). 𝐸𝑛 1848 𝑎̀ 𝐴𝑙𝑏𝑎𝑛𝑦, 𝑙𝑒 𝑓𝑢𝑡𝑢𝑟 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝐸́𝑡𝑎𝑡𝑠-𝑈𝑛𝑖𝑠 𝑑'𝐴𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑚𝑢 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛 𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑎𝑐𝑙𝑒 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒𝑙 𝑒𝑥𝑡𝑟𝑎𝑜𝑟𝑑𝑖𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑝𝑟𝑜𝑛𝑜𝑛𝑐𝑒 𝑢𝑛 𝑑𝑖𝑠𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑖𝑙 𝑑𝑒́𝑐𝑙𝑎𝑟𝑒 : " 𝐶ℎ𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑁𝑖𝑎𝑔𝑎𝑟𝑎! 𝑄𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑡𝑡𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑁𝑖𝑎𝑔𝑎𝑟𝑎 ? [...] 𝐿𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢𝑒 𝐶ℎ𝑟𝑖𝑠𝑡𝑜𝑝ℎ𝑒 𝐶𝑜𝑙𝑜𝑚𝑏 𝑎 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡 𝑐𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑠 - 𝑙𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝐶ℎ𝑟𝑖𝑠𝑡 𝑎 𝑠𝑜𝑢𝑓𝑓𝑒𝑟𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑥 - 𝑙𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑀𝑜𝑖̈𝑠𝑒 𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑖𝑡 𝐼𝑠𝑟𝑎𝑒̈𝑙 𝑎̀ 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑎 𝑚𝑒𝑟 𝑅𝑜𝑢𝑔𝑒 - 𝑛𝑜𝑛, 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑙𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢'𝐴𝑑𝑎𝑚 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝐶𝑟𝑒́𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 - 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡, 𝑁𝑖𝑎𝑔𝑎𝑟𝑎 𝑟𝑢𝑔𝑖𝑠𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑖𝑐𝑖. 𝐿𝑒𝑠 𝑦𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑟𝑎𝑐𝑒 𝑒́𝑡𝑒𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑠 𝑟𝑒𝑚𝑝𝑙𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝐴𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒́ 𝑁𝑖𝑎𝑔𝑎𝑟𝑎, 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑛𝑜̂𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑐𝑒 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝐶𝑜𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑜𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑎𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒, 𝑙𝑒 𝑁𝑖𝑎𝑔𝑎𝑟𝑎 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑒𝑡 𝑓𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑦 𝑎 𝑑𝑖𝑥 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑛𝑠. 𝐿𝑒 𝑀𝑎𝑚𝑚𝑜𝑢𝑡ℎ 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑀𝑎𝑠𝑡𝑜𝑑𝑜𝑛 - 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒𝑖𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑠𝑖 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑛𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑜𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡𝑒́𝑚𝑜𝑖𝑔𝑛𝑒𝑟 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑗𝑜𝑢𝑟 𝑖𝑙𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑣𝑒́𝑐𝑢, 𝑖𝑙𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒́ 𝑁𝑖𝑎𝑔𝑎𝑟𝑎 […]. " 𝐶𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠, 𝐴𝑏𝑟𝑎ℎ𝑎𝑚 𝐿𝑖𝑛𝑐𝑜𝑙𝑛 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑜𝑢 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑛𝑡ℎ𝑟𝑜𝑝𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑜𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒́𝑚𝑜𝑖𝑔𝑛𝑒𝑛𝑡, 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠, 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑟𝑜𝑦𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑎𝑛𝑐𝑟𝑒́𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑓𝑙𝑒𝑥𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠. 𝑁𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑎, 𝑖𝑙 𝑟𝑒𝑠𝑠𝑜𝑟𝑡 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝑑𝑖𝑠𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑒𝑥𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑎𝑟𝑠𝑒̀𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑐𝑎𝑖𝑛. 𝐿𝑎 𝑟𝑒́𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑀𝑜𝑢𝑛𝑑𝑠, 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑜𝑙𝑜𝑚𝑏𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 3500 𝑎𝑣. 𝐶. 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑖𝑠𝑠𝑖𝑠𝑠𝑖𝑝𝑝𝑖. 𝐶𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠, 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑛𝑠 𝑠𝑒́𝑝𝑢𝑙𝑐𝑟𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑐𝑒́𝑟𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑠 : 𝑝𝑦𝑟𝑎𝑚𝑖𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑛𝑞𝑢𝑒́𝑒𝑠, 𝑝𝑙𝑎𝑡𝑒𝑠-𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠, 𝑐𝑜̂𝑛𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑛𝑞𝑢𝑒́𝑠 𝑜𝑢 𝑎𝑟𝑟𝑜𝑛𝑑𝑖𝑠 𝑜𝑢, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑠 𝑑𝑢 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒 𝑆𝑒𝑟𝑝𝑒𝑛𝑡 𝑀𝑜𝑢𝑛𝑑 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑂ℎ𝑖𝑜, 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒𝑥𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑧𝑜𝑜𝑚𝑜𝑟𝑝ℎ𝑒𝑠. 𝐴𝑢 𝑠𝑒𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑖𝑙 𝑦 𝑎 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑢𝑏𝑙𝑒𝑠, 𝑡𝑒𝑙𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑜𝑢 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑖𝑗𝑜𝑢𝑥, 𝑞𝑢𝑖 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑓𝑢𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡, 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒. 𝐿𝑒 𝑑𝑒́𝑏𝑎𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛. 𝐿'𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑎̀ 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑀𝑜𝑢𝑛𝑑𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝐸́𝑡𝑎𝑡𝑠-𝑈𝑛𝑖𝑠, 𝑇ℎ𝑜𝑚𝑎𝑠 𝐽𝑒𝑓𝑓𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛 (1743-1826), 𝑞𝑢𝑖, 𝑣𝑒𝑟𝑠 1770, 𝑎 𝑓𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒́ 𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑒́ 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑀𝑜𝑛𝑡𝑖𝑐𝑒𝑙𝑙𝑜, 𝑉𝑖𝑟𝑔𝑖𝑛𝑖𝑒, 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑚𝑏𝑒 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑎𝑓𝑖𝑛 𝑑'𝑒𝑛𝑞𝑢𝑒̂𝑡𝑒𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑓𝑎𝑐̧𝑜𝑛 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒́𝑠. 𝐴𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑖𝑙 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑟𝑒𝑛𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑖𝑙 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒𝑄𝑢'𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑠𝑠𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑣𝑖𝑛 𝑟𝑎𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑥𝑜𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑜𝑢 𝑑𝑢 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑣𝑖𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒́𝑠𝑖𝑚𝑒𝑠, 𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑣𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑥 𝑎𝑢 𝑏𝑟𝑜𝑢𝑒𝑡𝑡𝑒, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑜𝑛 𝑙'𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠, 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑠𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑒́𝑟𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑠𝑢𝑝𝑒𝑟𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑢𝑛𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑡𝑎𝑠, 𝑒𝑡 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑚𝑖𝑙𝑖𝑡𝑢𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑡𝑢𝑚𝑒𝑠 𝑓𝑢𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐼𝑛𝑑𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑒́𝑔𝑎𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠. 𝐽𝑒𝑓𝑓𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛 𝑎 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́ 𝑢𝑛 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 "𝑐𝑟𝑎̂𝑛𝑒𝑠, 𝑚𝑎̂𝑐ℎ𝑜𝑖𝑟𝑒𝑠, 𝑑𝑒𝑛𝑡𝑠, 𝑜𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑟𝑎𝑠, 𝑓𝑒́𝑚𝑢𝑟𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑖𝑒𝑑𝑠", 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑑𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑦𝑝𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒 𝑒𝑛 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛 𝑐𝑎𝑠 𝑑𝑒 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠. 𝐿𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑟𝑒́𝑐𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝐽𝑒𝑓𝑓𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛, 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑀𝑜𝑢𝑛𝑑𝑠 𝑙'𝑒𝑥𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑔𝑒̀𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑜𝑙𝑜𝑚𝑏𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑦𝑝𝑜𝑡ℎ𝑒̀𝑠𝑒𝑠 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑚𝑎𝑛𝑞𝑢𝑒́, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙'𝑒́𝑣𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑣𝑎 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑡𝑙𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑖𝑥 𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑑𝑢𝑒𝑠 𝑑'𝐼𝑠𝑟𝑎𝑒̈𝑙, 𝑑𝑒𝑠 𝑉𝑖𝑘𝑖𝑛𝑔𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝐸́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛𝑠. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑒̂𝑡 𝑑'𝑖𝑚𝑝𝑟𝑜𝑏𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑝𝑟𝑒́𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐺𝑢𝑖𝑙𝑙𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑃𝑖𝑔𝑒𝑜𝑛 (1800-1880), 𝑞𝑢𝑖, 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑠𝑒 𝑑'𝑎𝑛𝑎𝑙𝑦𝑠𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑧 𝑖𝑚𝑝𝑟𝑜𝑣𝑖𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́, 𝑒𝑛 𝑣𝑖𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑒́𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑙'ℎ𝑦𝑝𝑜𝑡ℎ𝑒̀𝑠𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝐷𝑒𝑒-𝐶𝑜ℎ-𝐷𝑎ℎ, 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑒𝑡 ℎ𝑜𝑠𝑡𝑖𝑙𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝐴𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑛𝑑𝑖𝑒𝑛𝑠. 𝐿𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑃𝑖𝑑𝑔𝑒𝑜𝑛, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑛𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑢𝑛𝑒, 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑑'𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒́𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑎𝑛𝑎𝑙𝑦𝑠𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝑇ℎ𝑒𝑜𝑑𝑜𝑟𝑒 𝐻. 𝐿𝑒𝑤𝑖𝑠, 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑎 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑟𝑒́𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑎̀ 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑣𝑖𝑒𝑤𝑒𝑟 𝑙'𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒́𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑀𝑜𝑢𝑛𝑑𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑜𝑐𝑐𝑢𝑝𝑒𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠 "𝑛𝑜𝑟𝑚𝑎𝑢𝑥", 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑒𝑛𝑐𝑒 : 𝑙𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑎̂𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑠𝑒́𝑝𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠. 𝐵𝑟𝑒𝑓, 𝑑'𝑢𝑛 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́ 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑧𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑎𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑟𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑔𝑖𝑔𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠, 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑖𝑛𝑒𝑥𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑓𝑎𝑐̧𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒𝑟 𝑙'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑐𝑎𝑖𝑛 . 𝐼𝑙 𝑦 𝑎 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑖𝑠𝑒𝑛𝑡, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑅𝑖𝑐ℎ𝑎𝑟𝑑 𝐷𝑒𝑤ℎ𝑢𝑟𝑠𝑡, 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑛𝑒 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑎𝑓𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑦 𝑎 𝑢𝑛 𝑣𝑟𝑎𝑖 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑒𝑖𝑛 𝑑𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑎𝑟𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑞𝑢𝑒𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑠𝑖𝑚𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑔𝑟𝑎𝑚𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑜𝑢𝑟𝑑𝑖𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑆𝑚𝑖𝑡ℎ𝑠𝑜𝑛𝑖𝑎𝑛 𝐼𝑛𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑙𝑎 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 𝑒𝑡 𝑑'𝑒𝑛𝑠𝑒𝑖𝑔𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑟𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑛𝑐𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑔𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝐸́𝑡𝑎𝑡𝑠-𝑈𝑛𝑖𝑠 𝑒𝑡, 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟, 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝐽𝑜ℎ𝑛 𝑊𝑒𝑠𝑙𝑒𝑦 𝑃𝑜𝑤𝑒𝑙𝑙, 𝑞𝑢𝑖 𝑙'𝑎 𝑑𝑖𝑟𝑖𝑔𝑒́𝑒 𝑑𝑒 1879 𝑎̀ 1902. 𝑆𝑒𝑙𝑜𝑛 𝐷𝑒𝑤ℎ𝑢𝑟𝑠𝑡, 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑜𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑢𝑙𝑡𝑖𝑝𝑙𝑒𝑠 : “[…] 𝐴𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒, 𝑙𝑒 𝑆𝑚𝑖𝑡ℎ𝑠𝑜𝑛𝑖𝑎𝑛 𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐𝑒́ 𝑎̀ 𝑎𝑑𝑜𝑝𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑙𝑖𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑'𝑒𝑥𝑐𝑙𝑢𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒̀𝑟𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑜𝑙𝑜𝑚𝑏𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠. 𝐶𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑠𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑑𝑢 𝑔𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑟𝑖𝑠𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠-𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑖𝑛𝑖𝑚𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑙𝑖𝑡 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙 𝑒𝑡 𝑒𝑡ℎ𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑓𝑟𝑎𝑔𝑖𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠-𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒. 𝐷'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒́ 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑙𝑖𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑎𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑔𝑟𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑑𝑜𝑐𝑡𝑟𝑖𝑛𝑒 𝑀𝑎𝑛𝑖𝑓𝑒𝑠𝑡 𝐷𝑒𝑠𝑡𝑖𝑛𝑦 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑟 𝑑'𝑜𝑏𝑠𝑐𝑢𝑟𝑐𝑖𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑠 𝑑𝑒́𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑎𝑛𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑖𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑒𝑥𝑝𝑎𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙'𝑂𝑐𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡. 𝐷'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑡𝑒𝑛𝑢 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑠𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑙𝑖𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑣𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑙𝑒̀𝑚𝑒 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑟𝑚𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑑𝑢𝑒𝑠 𝑑'𝐼𝑠𝑟𝑎𝑒̈𝑙 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝐴𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒. " 𝐴 𝑐𝑒𝑢𝑥-𝑐𝑖, 𝑖𝑙 𝑐𝑜𝑛𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑'𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑣𝑜𝑙𝑜𝑛𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑓𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑡ℎ𝑒́𝑜𝑟𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑟𝑒́𝑐𝑒𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒́, 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑒́𝑙𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑛𝑔𝑟𝑢𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑢 𝑙𝑒 𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑟𝑖𝑠𝑒. 𝐶𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡, 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑡ℎ𝑒́𝑜𝑟𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝐷𝑒𝑤ℎ𝑢𝑟𝑠𝑡 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑜𝑐𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑛𝑜𝑛 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑚𝑒, 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑎𝑑𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒 « 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠𝑡𝑟𝑒𝑎𝑚 » 𝑎 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑠𝑎𝑐 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑒́𝑐𝑎𝑟𝑡𝑒𝑟 𝑙'𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑'𝑒̂𝑡𝑟𝑒𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠. 𝑃𝑎𝑟𝑚𝑖 𝑐𝑒𝑢𝑥-𝑐𝑖, 𝑖𝑙 𝑦 𝑎 𝑙𝑒 𝑙𝑜𝑖 𝑑𝑢 𝑐𝑢𝑏𝑒 𝑐𝑎𝑟𝑟𝑒́, 𝑢𝑛 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑒 𝑚𝑎𝑡ℎ𝑒́𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒́𝑛𝑜𝑛𝑐𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝐺𝑎𝑙𝑖𝑙𝑒𝑜 𝐺𝑎𝑙𝑖𝑙𝑒𝑖 𝑒𝑛 1638, 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑡𝑖𝑝𝑢𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 "𝑎̀ 𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑎𝑢𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑒, 𝑠𝑜𝑛 𝑣𝑜𝑙𝑢𝑚𝑒 𝑎𝑢𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑢𝑟𝑓𝑎𝑐𝑒". 𝐶𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑒, 𝑎𝑝𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒́ 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑏𝑖𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒, 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢'𝑒𝑛 𝑎𝑢𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛, 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑑𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑣𝑜𝑙𝑢𝑚𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑜𝑟𝑒𝑙 𝑐𝑟𝑜𝑖̂𝑡𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑥𝑝𝑜𝑛𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑜𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑒𝑥𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑙'𝑎𝑓𝑓𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑒𝑛𝑜𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑑𝑢 𝑏𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛, 𝑜𝑢 𝑟𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑚𝑝𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑐œ𝑢𝑟 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑠𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠. 𝑆𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡, 𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝ℎ𝑦𝑠𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑛𝑜̂𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑓𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑝𝑜𝑖𝑑𝑠 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡. 𝐿'𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑑'𝐴𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑚𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑎𝑢𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑒́𝑙𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 : 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡, 𝑎𝑢-𝑑𝑒𝑙𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑡𝑠 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑛𝑎𝑙𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥𝑞𝑢𝑒𝑙𝑠 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒́𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒, 𝑖𝑙 𝑦 𝑎 𝑙'𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑢𝑣𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑐𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠, 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑡𝑒𝑟 𝑙'𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑏𝑖𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑎 𝑝𝑟𝑖𝑜𝑟𝑖, 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑'𝑒̂𝑡𝑟𝑒𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑟𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑔𝑖𝑔𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠 . 𝐼𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑐𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑜𝑢𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑢𝑐ℎ𝑒́𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠, 𝑟𝑢𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑞𝑢𝑒𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥, 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑠 𝑠𝑡𝑖𝑚𝑢𝑙𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑚𝑒𝑟𝑔𝑒́ 𝑛𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙'𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑓𝑜𝑛𝑑𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑'𝐴𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑁𝑜𝑟𝑑. 𝐿𝑎 𝑓𝑎𝑠𝑐𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑗𝑒𝑡𝑠 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑒́𝑐ℎ𝑎𝑝𝑝𝑒́ 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑛𝑡ℎ𝑟𝑜𝑝𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑐ℎ𝑡𝑜𝑛𝑒 𝑉𝑖𝑔𝑛𝑒 𝐷𝑒𝑙𝑜𝑟𝑖𝑎 𝐽𝑟. (1933-2005), 𝑎𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑠𝑎𝑖 𝐶𝑢𝑠𝑡𝑒𝑟 𝑒𝑠𝑡 𝑚𝑜𝑟𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣𝑜𝑠 𝑝𝑒́𝑐ℎ𝑒́𝑠 : 𝑢𝑛 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑓𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑒𝑛, 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑒́𝑐𝑙𝑎𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝑆𝑚𝑖𝑡ℎ𝑠𝑜𝑛𝑖𝑎𝑛 : "[...] 𝑖𝑙𝑠 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙 𝑑𝑢 𝑓𝑖𝑙𝑚 𝐼𝑛𝑑𝑖𝑎𝑛𝑎 𝐽𝑜𝑛𝑒𝑠 - 𝑢𝑛 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑔𝑖𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑓𝑜𝑢𝑖𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 […] 𝐿'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝑎𝑛𝑡ℎ𝑟𝑜𝑝𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑑'𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑒𝑟𝑚𝑒́ 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑝𝑟𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒́ 𝑛𝑜𝑟𝑑-𝑎𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑐𝑎𝑖𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑜𝑢𝑟𝑣𝑢 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑒́𝑙𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙 […]. 𝐿𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑖𝑛𝑡𝑟𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑠𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑓𝑢𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠, 𝑙𝑎 𝑆𝑚𝑖𝑡ℎ𝑠𝑜𝑛𝑖𝑎𝑛 𝐼𝑛𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑋𝐼𝑋𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑎 𝑐𝑟𝑒́𝑒́ 𝑢𝑛 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑎̀ 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑎̀ 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑑'𝑖𝑛𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑣𝑎𝑝𝑜𝑟𝑒́𝑠. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑢 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑓𝑓𝑟𝑒-𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑎𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑞𝑢𝑖𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑔𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝑃𝑎𝑟𝑚𝑖 𝑐𝑒𝑠 𝑜𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒𝑠 𝑖𝑛ℎ𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒́ 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑜𝑛𝑑, 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑠𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠." 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒃𝒍𝒐𝒈 𝑨𝒙𝒊𝒔 𝑴𝒖𝒏𝒅𝒊 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@histoireitinerante
"Du jeudi au samedi ouvert jusqu’à 19h30 (au lieu de 17h) pendant l’été Gratuit "
@travelbinatna
"🆓Le Musée National d’Histoire Naturelle est l’un des plus célèbres d’Amérique.il renferme une impressionnante collection de 126 millions de spécimens, plantes, insectes, poissons et autres animaux conservés dans un lieu unique. C’est ici que fût tourné le célèbre film « La Nuit au Musée » avec avec Ben Stiller ! Lors de votre visite, découvrez d’impressionnants squelettes de dinosaures à taille réelle. 🎬Note : Vous aurez peut-être une impression de déjà-vu en entrant dans le hall au rez-de-chaussée du Musée National d’Histoire Naturelle à Washington, et si vous avez vu les films La nuit au musée avec Ben Stiller , alors c’est tout à fait normal. En effet, ceux-ci ont été réalisés, en partie, à l’intérieur de ce lieu. 🕐HORAIRES En semaine : 10 h – 17 h Samedi et dimanche : 10 h – 17 h 30 A noter : en été, l’horaire change légèrement et du jeudi au samedi et vous pourrez visiter le musée jusqu’à 19 h 30 au lieu de 17 h ou 17 h 30. compter trois heures afin de voir la plupart des salles, 🍔Est-il possible de manger sur place ? Si vous prévoyez de passer la journée sur place afin de profiter de toutes les salles au maximum, il est possible de manger dans l’un des restaurants, mais aussi d’apporter votre repas avec vous. Notez cependant que vous ne pourrez pas le garder pendant votre visite et qu’il vous faudra laisser votre sac dans un casier. Ⓜ️Il est possible de prendre le métro bleu, vert ou jaune jusqu’à la Federal Triangle Station ou la Smithsonian Station afin de vous rapprocher du musée. Néanmoins, il vous faudra tout de même marcher pendant quelques minutes avant d’arriver au monument. 🚍De nombreux bus passent à proximité du musée : Bus X1, arrêt Constitution Ave NW & 10th St NW Bus 33 et 37, arrêt 10th St NW & Pennsylvania Ave NW A noter : Si vous souhaitez vous promener dans le National Mall avant de vous rendre au musée, il est possible de prendre les bus suivants jusqu’à l’arrêt Independence Ave & 12th St SW : 230, 250, 630, 725, D-300, G-100 et M-100. 🗿Dans le Hall, impossible de manquer « Henry » l’éléphant. Comme pour le musée de l’Air et de l’Espace, tout était fabuleux ! J’ai particulièrement apprécié le département des mammifères, celui des squelettes dont ceux de dinosaures et celui des pierres précieuses. Car ça n’est pas tous les jours qu’on peut apercevoir un diamant de 45 carats qui a appartenu à Marie-Antoinette ;) au département Minéraux et Fossiles : une vraie splendeur! J'ai été impressionnée, dès l'entrée, par le gigantisme des cristaux présentés. Des vitrines mettent en valeur des minéraux bruts avec, à leur côté, de merveilleux bijoux que les tailleurs de pierre et les artistes ont fabriqués. Ce n'est qu'une petite partie (et la plus 'grand public') de ce merveilleux musée"
@wolinak1
"Rocks and minerals exhibit"
@caleigh.pl
"Very nice museum with a lot of stuff to look at "
@morgantraylor7
"Washington DC, United States"
@interesting
"really cool museum, definitely could spend hours here and in the other museums too"
@laurenhenry318
"Eloise is running around like normal and crying…. Not good"
@tyler199887
"Je ne suis pas fan de musée d’histoire naturelle. Il faudrait des jours pour tout faire !"
@malocresson
"To see: Hope diamonds and stones/minerals part. Also a place where you see archaeologists work on fossils. "
@clemrn