Pont Valentré - Monument emblématique de Cahors
Le Pont Valentré, classé monument historique, est l'emblème de Cahors. Sa vue panoramique sur le Lot en fait une balade incontournable pour les visiteurs. Une visite guidée vous plongera dans son histoire fascinante, marquée par sa construction légendaire et sa relation avec le diable. Un véritable coup de cœur pour les amateurs d'architecture et d'histoires mystérieuses. Ne manquez pas l'opportunité de découvrir ce monument emblématique lors de votre passage à Cahors.
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Mademoiselle Bon Plan
@mellebonplan
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1886places
"Pour en savoir plus sur cette adresse n'hésitez pas à aller voir mon article de blog sur Cahors et la vallée du Lot !"
Histoire Itinérante
@histoireitinerante
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"Le Pont Valentré est le monument le plus fameux et celui à ne pas manquer lors d'une visite de Cahors, cité médiévale du sud de la France. Remarquable témoignage de l’architecture médiévale, le pont Valentré est classé au titre des Monuments Historiques et inscrit depuis 1998 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO dans le cadre des Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. D'une longueur de 172 mètres, le pont Valentré possède huit arches, retombant sur des piles pourvues d'un avant-bec. Il possède trois tours, dont seules les deux placées sur les rives étaient fortifiées de mâchicoulis et d'archères. Chaque extrémité était à l'origine protégée par un châtelet, ces éléments ayant presque disparu de nos jours. LA CONSTRUCTION En 1306, les consuls de la ville de Cahors décident de la construction d'un pont au lieu-dit "Valandre", sur la partie Ouest du méandre de Cahors. Deux autres ponts existaient alors à Cahors : le pont Vieux au Sud et le pont Neuf à l'Est. La première pierre du nouvel ouvrage d'art est posée solennellement en 1308 par le premier consul Géraud de Sabanac. Le chantier va durer près de 70 ans, donnant naissance à la légende selon laquelle le diable aurait apporté son concours à l'architecte. En 1345 on peut circuler sur le tablier, les trois tours n'étant sans doute achevées que vers 1380, en dépit des crises de la guerre de Cent ans. LA LEGENDE L'histoire du Pont Valentré se raconte également au travers d’une légende. En effet, ce pont piéton raconte à qui veut bien s’aventurer sur ses arches, sa petite histoire. Celle de sa construction ! Imaginé pour servir de forteresse contre les attaques venant du sud, il mit donc plus d’un demi-siècle à voir le jour. Ce fut si long, qu’une légende naquit : celle du Diable de Valentré… : « 𝐿’𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑜𝑛𝑡 𝑉𝑎𝑙𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́, 𝑒𝑥𝑎𝑠𝑝𝑒́𝑟𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑢𝑥, 𝑒𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑎̀ 𝑆𝑎𝑡𝑎𝑛 𝑒𝑡 𝑓𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑝𝑎𝑐𝑡𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑢𝑖. 𝐿𝑒 𝑑𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑠’𝑒𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒𝑎𝑖𝑡 𝑎̀ 𝑙’𝑎𝑖𝑑𝑒𝑟 𝑝𝑎𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑢𝑖 𝑜𝑏𝑒́𝑖𝑟 𝑝𝑜𝑛𝑐𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑞𝑢’𝑖𝑙 𝑝𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑐𝑒𝑣𝑜𝑖𝑟. 𝐿𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝑓𝑖𝑛𝑖, 𝑙’𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑢𝑖 𝑎𝑏𝑎𝑛𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑎̂𝑚𝑒 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑖𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑖 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑛, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑎𝑢𝑠𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑒, 𝑛’𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑎̀ 𝑎𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢’𝑎𝑢 𝑏𝑜𝑢𝑡, 𝑖𝑙 𝑝𝑒𝑟𝑑𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑥 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐿’𝑒́𝑑𝑖𝑓𝑖𝑐𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑎𝑝𝑖𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑛𝑡 𝑓𝑢𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑖𝑛𝑖, 𝑙’𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑎̂𝑚𝑒. 𝐼𝑙 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎 𝑢𝑛 𝑐𝑟𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑖𝑑𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑎𝑠𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́ 𝑒𝑡 𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑎 𝑑’𝑎𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑙’𝑒𝑎𝑢 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑒𝑠 𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑒𝑟𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑟𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑛’𝑎 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒́ 𝑙’𝑒𝑎𝑢. 𝐿𝑒 𝑑𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑠𝑒 𝑚𝑜𝑟𝑑𝑖𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑒̀𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑖𝑡 𝑐𝑎𝑟 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑛𝑒 𝑝𝑢𝑡 𝑡𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑗𝑢𝑟𝑎 𝑑𝑒 𝑠𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑔𝑒𝑟. 𝐴𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑙𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑐̧𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒́ 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙𝑒, 𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑒𝑛𝑣𝑜𝑦𝑎 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑑𝑖𝑎𝑏𝑙𝑜𝑡𝑖𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑐ℎ𝑎𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑢𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑡𝑖𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑛𝑜𝑟𝑑-𝑜𝑢𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑟. 𝐿’𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑎𝑢𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑃𝑎𝑢𝑙 𝐺𝑜𝑢𝑡, 𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑖𝑚𝑚𝑜𝑟𝑡𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑒́𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑛𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑’𝑎𝑟𝑟𝑎𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑜𝑛𝑡 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑛’𝑦 𝑝𝑎𝑟𝑣𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠, 𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑖𝑔𝑡𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑖𝑛𝑐𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑗𝑜𝑖𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒. » LA RESTAURATION Mentionné en 1840 dans la première liste de Monuments Historiques, le Pont Valentré est restauré vers 1880 par l'architecte Paul Gout, qui fait sculpter par l'artiste local Cyprien-Antoine Calmon le fameux petit diable au sommet de la tour centrale. Le pont Valentré est piéton depuis 1995."
LOT
@petitfute
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"Presqu'île enserrée dans un méandre du Lot, l'histoire de Cahors est depuis toujours liée à celle de sa rivière. Découvrir la ville en bateau, c'est se promener au travers de son passé antique, médiéval et contemporain. Partagez le quotidien des bateliers d'antan en franchissant l'écluse du Moulin de Coty. Tarifs malins : jumelez avec la visite de Cahors en Petit Train, qui vous permettra de sillonner le coeur de la ville médiévale et de découvrir ses différents quartiers (la cathédrale St Etienne, la Maison Henri IV, les remparts nord, la tour du Pape Jean XII...)"
Mademoiselle Modeuse
@mademoisellemodeuse
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La Bougeotte Française
@labougeottefrancaise
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"Pont le plus connu de Cahors, hyper connu pour sa super vue sur le Lot une fois dessus, et pour son histoire avec le diable 😈 Il faut essayer de le trouver sur une des tours :)"
@charlxcx
"1378_Pont Valentré_inscit au patrimoine mondial de l'Unesco"
@jdsbt
"On raconte que le diable pour se venger du chef de chantier faisait enlever chaque nuit la dernière pierre."
@valentinsalomon
"Le Pont Valentré est le monument le plus fameux et celui à ne pas manquer lors d'une visite de Cahors, cité médiévale du sud de la France. Remarquable témoignage de l’architecture médiévale, le pont Valentré est classé au titre des Monuments Historiques et inscrit depuis 1998 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO dans le cadre des Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. D'une longueur de 172 mètres, le pont Valentré possède huit arches, retombant sur des piles pourvues d'un avant-bec. Il possède trois tours, dont seules les deux placées sur les rives étaient fortifiées de mâchicoulis et d'archères. Chaque extrémité était à l'origine protégée par un châtelet, ces éléments ayant presque disparu de nos jours. LA CONSTRUCTION En 1306, les consuls de la ville de Cahors décident de la construction d'un pont au lieu-dit "Valandre", sur la partie Ouest du méandre de Cahors. Deux autres ponts existaient alors à Cahors : le pont Vieux au Sud et le pont Neuf à l'Est. La première pierre du nouvel ouvrage d'art est posée solennellement en 1308 par le premier consul Géraud de Sabanac. Le chantier va durer près de 70 ans, donnant naissance à la légende selon laquelle le diable aurait apporté son concours à l'architecte. En 1345 on peut circuler sur le tablier, les trois tours n'étant sans doute achevées que vers 1380, en dépit des crises de la guerre de Cent ans. LA LEGENDE L'histoire du Pont Valentré se raconte également au travers d’une légende. En effet, ce pont piéton raconte à qui veut bien s’aventurer sur ses arches, sa petite histoire. Celle de sa construction ! Imaginé pour servir de forteresse contre les attaques venant du sud, il mit donc plus d’un demi-siècle à voir le jour. Ce fut si long, qu’une légende naquit : celle du Diable de Valentré… : « 𝐿’𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑜𝑛𝑡 𝑉𝑎𝑙𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́, 𝑒𝑥𝑎𝑠𝑝𝑒́𝑟𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑢𝑥, 𝑒𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑎̀ 𝑆𝑎𝑡𝑎𝑛 𝑒𝑡 𝑓𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑝𝑎𝑐𝑡𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑢𝑖. 𝐿𝑒 𝑑𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑠’𝑒𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒𝑎𝑖𝑡 𝑎̀ 𝑙’𝑎𝑖𝑑𝑒𝑟 𝑝𝑎𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑢𝑖 𝑜𝑏𝑒́𝑖𝑟 𝑝𝑜𝑛𝑐𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑞𝑢’𝑖𝑙 𝑝𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑐𝑒𝑣𝑜𝑖𝑟. 𝐿𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝑓𝑖𝑛𝑖, 𝑙’𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑢𝑖 𝑎𝑏𝑎𝑛𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑎̂𝑚𝑒 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑖𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑖 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑛, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑎𝑢𝑠𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑒, 𝑛’𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑎̀ 𝑎𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢’𝑎𝑢 𝑏𝑜𝑢𝑡, 𝑖𝑙 𝑝𝑒𝑟𝑑𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑥 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐿’𝑒́𝑑𝑖𝑓𝑖𝑐𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑎𝑝𝑖𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑛𝑡 𝑓𝑢𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑖𝑛𝑖, 𝑙’𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑎̂𝑚𝑒. 𝐼𝑙 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎 𝑢𝑛 𝑐𝑟𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑖𝑑𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑎𝑠𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́ 𝑒𝑡 𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑎 𝑑’𝑎𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑙’𝑒𝑎𝑢 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑒𝑠 𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑒𝑟𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑟𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑛’𝑎 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒́ 𝑙’𝑒𝑎𝑢. 𝐿𝑒 𝑑𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑠𝑒 𝑚𝑜𝑟𝑑𝑖𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑒̀𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑖𝑡 𝑐𝑎𝑟 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑛𝑒 𝑝𝑢𝑡 𝑡𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑗𝑢𝑟𝑎 𝑑𝑒 𝑠𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑔𝑒𝑟. 𝐴𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑙𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑐̧𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒́ 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙𝑒, 𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑒𝑛𝑣𝑜𝑦𝑎 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑑𝑖𝑎𝑏𝑙𝑜𝑡𝑖𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑐ℎ𝑎𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑢𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑡𝑖𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑛𝑜𝑟𝑑-𝑜𝑢𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑟. 𝐿’𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑎𝑢𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑃𝑎𝑢𝑙 𝐺𝑜𝑢𝑡, 𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑖𝑚𝑚𝑜𝑟𝑡𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑒́𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑛𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑’𝑎𝑟𝑟𝑎𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑜𝑛𝑡 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑛’𝑦 𝑝𝑎𝑟𝑣𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠, 𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑖𝑔𝑡𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑖𝑛𝑐𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑗𝑜𝑖𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒. » LA RESTAURATION Mentionné en 1840 dans la première liste de Monuments Historiques, le Pont Valentré est restauré vers 1880 par l'architecte Paul Gout, qui fait sculpter par l'artiste local Cyprien-Antoine Calmon le fameux petit diable au sommet de la tour centrale. Le pont Valentré est piéton depuis 1995."
@histoireitinerante
"Pont fortifié du XIVe siècle : légende : « Commencé en 1308, la dernière pierre du pont ne sera posée que 70 ans plus tard ! Désespéré par « ce temps perdu », l’architecte sollicite le diable pour l’aider à terminer l’ouvrage, en échange de quoi il lui abandonnerait son âme en guise de paiement. Mais lorsque le pont est presque terminé, l’architecte joue un tour au malin en le convoquant à nouveau et en lui ordonnant de remonter de l’eau au sommet de la tour centrale, à l’aide d’un tamis. Dans le but de gâcher le mortier permettant de sceller la dernière pierre du pont. N’y parvenant pas malgré ses efforts, le diable ne peut pas tenir son engagement d’achever l’ouvrage. En conséquence, l’architecte sauve son âme. Furieux, Satan revient chaque nuit arracher la dernière pierre du pont que les maçons ont mis en place. Il tente de se venger en essayant de démanteler le pont. »"
@octave_ps
"Le diable a été rajouté lors d'une restauration au XIXeme siècle mais l'histoire est amusante."
@gites.de.cenac