Area archeologica di Tharros
Area archeologica di Tharros Area archeologica di Tharros Area archeologica di Tharros Area archeologica di Tharros Area archeologica di Tharros Area archeologica di Tharros Area archeologica di Tharros Area archeologica di Tharros

Area archeologica di Tharros: storia, natura e spiaggia

L'Area archeologica di Tharros, situata a Località Tharros, 09072 San Giovanni di Sinis, Cabras OR, Italia, è un sito di grande rilevanza storica e culturale. Fondata dai fenici nell'VIII secolo a.C., questa area ha visto il susseguirsi di civiltà, passando dai cartaginesi ai romani, lasciando un patrimonio archeologico ricco di rovine e testimonianze antiche. Aperta al pubblico nel corso degli anni, oggi rappresenta un punto di riferimento per gli appassionati di visita e storia, offrendo un affascinante viaggio nel passato tra resti di strade, acquedotti e templi. La sua posizione privilegiata permette di godere di una vista spettacolare sul mare blu del Golfo di Oristano, creando un connubio perfetto tra archeologia e natura. La vicinanza alla spiaggia di San Giovanni di Sinis rende questa destinazione ideale per chi desidera combinare cultura, relax e paesaggi marini incontaminati. La visita al sito permette di immergersi in un ambiente unico, tra rovine antiche e il profumo del mare, in un contesto che invita alla scoperta e alla contemplazione della storia e della natura sarda.


Vous pensez qu'il y a une erreur sur ce lieu ?

Vos retours sont importants pour nous. Si vous avez remarqué une erreur concernant ce lieu, merci de nous en informer pour que nous puissions la corriger.

Signaler une erreur
Propriétaire de ce lieu ?

Nous récupérons automatiquement les informations disponibles sur votre lieu. Si jamais celles-ci ne sont pas correctes, connectez-vous gratuitement sur notre tableau de bord pour les modifier et bonus, accédez à vos statistiques détaillées.

mapstr icon Modifier les informations de votre lieu
La communauté mapstr
Enregistré par

163 utilisateurs

#Tags souvent utilisés
#Musée #Natura #Museo #Ristorante #Visita
Ce qu'en disent les utilisateurs

"31/07/2025 - Site archéologique magnifique avec une jolie plage. Retrouve Elena au concert classique de sa sœur flûtiste Lisa (Peer Gynt). "

@loreliadb

"Rovine nuragiche e poi fenicie a picco sul mare. Non abbiamo fatto la visita guidata, ma le abbiamo ammirate dal mare. "

@

"mare spesso agitato, a sinistra spiaggia a destra roccia. controllare il vento prima di andare"

@maria.antonietta

"In posizione spettacolare su un promontorio incorniciato dalle acque verdi e blu del Mediterraneo, l’Area Archeologica di Tharros è uno dei siti archeologici più affascinanti dell’isola. Nell’antichità Tharros era un centro molto importante, e oggi le sue rovine incantano i visitatori digradando dal promontorio a Capo San Marco, l’estrema propaggine meridionale della Penisola del Sinis. Cercate di andarci al mattino presto o poco prima del tramonto, quando ci sono pochi visitatori e il luogo è molto più tranquillo e suggestivo. A Tharros si accede attraverso la cittadina di San Giovanni di Sinis, 1 km a nord, dove si trova una delle chiese più antiche della Sardegna. 1 Che cosa vedere oArea Archeologica di Tharros SITO ARCHEOLOGICO (%0783 37 00 19; www .tharros .sardegna .it; interi/ ridotti €5/4, biglietto cumulativo con la Torre di San Giovanni €6/5, biglietto cumulativo con il Museo Civico di Cabras $8/6; h9-19 giu, lug e set, fino alle 20 agosto, fino alle 18 apr, mag e ott, fino alle 17 nov-nar) Il mare blu del Golfo di Oristano crea uno sfondo di straordinaria bellezza per le rovine dell’antica Tharros. Fondata dai fenici nell’VIII secolo a.C., la città divenne un’importante base navale cartaginese, per passare poi sotto il controllo dei romani. I resti che si vedono oggi risalgono per lo più al II e III secolo d.C., quando furono realizzate le strade in basalto e costruiti l’acquedotto, i bagni e altri monumenti di rilievo. Avvicinandosi al sito, è impossibile vedere le rovine fino a quando si raggiunge la biglietteria in cima alla collina. Da qui, si percorre un breve tratto del cardo (così si chiamava la strada principale di un insediamento romano) fino a incontrare, sulla sinistra, il castellum aquae, il principale serbatoio idrico della città. Nell’area della piazza si notano ancora due file di colonne. Dalla piazza, il cardo massimo, la principale arteria cittadina, conduce a una spoglia altura sormontata da un’acropoli cartaginese e da un tofet, un’area consacrata in cui venivano sepolti i bambini. In questa area si possono anche scorgere le tracce dell’originale insediamento nuragico. In fondo al cardo massimo, il decumano porta al mare passando accanto a ciò che resta di un tempio punico e di un tempio tetrastilo di epoca romana, di cui sono rimaste in piedi soltanto due colonne – si tratta in real tà di ricostruzioni, anche se il capitello corinzio collocato sopra una di esse è autentico. Nelle vicinanze si trovano le terme e, a nord, le vestigia di un battistero paleocristiano. All’estremità meridionale dell’insediamento si scorgono i resti di un altro edificio termale, risalente al III secolo d.C. Per ammirare il sito dall’alto salite sulla Torre di San Giovanni (interi/ridotti €3/2, biglietto cumulativo con il sito archeologico €6/5), costruita alla fine del XVI secolo e utilizzata occasionalmente per mostre temporanee. Oltre alle rovine vedrete la celebre Spiaggia di San Giovanni di Sinis, che si estende su entrambi i lati della torre. Se lo desiderate, potrete anche avventurarvi lungo i sentieri sterrati che conducono a Capo San Marco e al faro"

@

"Serve prenotazione, 10 euro circa"

@federico7

"Situées au bord de la mer, à l'extrémité de la péninsule de Sinis, les ruines de Tharros mêlent les époques. La presqu'île est occupée dès l'ère nuragique, avant de devenir une cité phénicienne, puis romaine. Malheureusement, Tharros a été mise à sac au XI e siècle et surtout au XIX e siècle. Des témoins de l'époque, dont Honoré de Balzac, évoquent les milliers de trésors découverts et volés par les pilleurs de tombes. Aujourd'hui, on peut se promener dans les anciennes rues romaines et contempler les ruines du temple érigé sur les fondations d'un lieu de culte carthaginois. Quelques vestiges se trouvent à l'extérieur du site. Ils sont présentés ici du nord au sud, en partant du village de San Giovanni di Sinis. La nécropole nord. Au nord du village, derrière la plage principale. Petite et assez méconnue elle compte des tombes des ères phéniciennes et puniques. Les Phéniciens incinéraient leurs défunts, soit en brûlant le corps directement dans la tombe, soit en utilisant un crématorium. Dans les deux cas, les os étaient disposés au fond de la tombe ensuite recouverte d'une dalle scellée. Il semble qu'à partir de l'époque carthaginoise les corps soient enterrés dans des tombeaux plus élaborés. L'aqueduc-canal. Au bout de la plage, en face des toilettes publiques. Il reste un bout bien visible de cet ancien aqueduc construit par les Romains pour irriguer la ville de Tharros. Il est vraisemblable que l'ouvrage reliait un puits situé à l'extérieur de la ville au château d'eau qui se trouvait au centre de la ville. Su Murru Mannu.  A l'extrémité nord du site de Tharros se télescopent des vestiges de toutes les périodes antiques, à commencer par ceux d'un village nuragique. Les fondation des maisons circulaires demeurent bien visibles. Il semble que le village ait été abandonné avant l'arrivée des Phéniciens. Les bases d'un mur de fortification ceignent en partie le village. De l'autre côté de ce mur, le tophet mis au jour en 1962 fait partie des découvertes les plus importantes du site. C'est dans ce sanctuaire à ciel ouvert que les Carthaginois procédaient aux sacrifices. On y a découvert des urnes contenant des restes d'enfants ou d'animaux. Le temple était dédié au dieu Baal Hammon et à la déesse Tanit. Une ancienne forge du V e siècle av. J.-C. clôt cette partie du site. On y fondait du fer venu des mines de Montiferru. Le temple de Déméter. A mi-chemin entre Su Murru Mannu et l'entrée du site. Il ne reste pas grand-chose de ce temple qui a été saccagé et pillé. Les restes de la chapelle votive datent de l'époque romaine mais la base de la structure remonte à l'occupation carthaginoise. Deux artefacts en argile faisant référence à Déméter, la déesse de l'agriculture et des moissons, ont été retrouvés sur le site. Le temple est relié par un cardo maximus à la ville. La zone résidentielle. Les vestiges des maisons de la cité de Tharros remontent à l'ère romaine, mais les plans et le style des maisons remontent à la période carthaginoise. Les toits des maisons étaient plats et faits en matériaux végétaux : bois, branchages, roseaux. De longues citernes étaient enterrées sous les maisons ou les rues pour stocker l'eau. Le château d'eau. Au bout du cardo maximus , les restes du château d'eau sont bien identifiables. Sa structure carrée était alimentée par un aqueduc. Le long du mur sud, on peut encore apercevoir les fondations d'un ancien bassin et d'une fontaine. Les bains romains. Les Romains ne pouvaient se passer de bains publics avec des piscines d'eau chauffée ou d'eau fraîche. La ville de Tharros en comptait trois. Le premier, à peine discernable, se trouve tout de suite à gauche en partant du château d'eau vers la mer. Au bout de cette rue se trouve le deuxième bain, en bien meilleur état. Le troisième se trouve à l'extrémité sud du site de Tharros. Il était construit sur trois étages et comprenait une salle de change, un frigidarium, un tepidarium et un caldarium. Les bains étaient alimentés par une citerne construite sur le site. Le temple aux colonnes doriques. Ce temple était le lieu principal de dévotion sous les Carthaginois. Il fut mis au jour par Gennaro Pesce en 1959. Cet archéologue napolitain suppose que le temple a connu trois phases successives. Lors de la première phase, les dévots creusèrent des trous dans le rocher pour y déposer des offrandes. Vers le III e siècle av. J.-C., un temple est érigé sur ce socle naturel. La partie supérieure du temple était ornée de colonnes doriques et de pilastres en relief. Les Romains ont probablement détruit ce temple et érigé par-dessus un nouveau sanctuaire de forme carrée. Le temple tétrastyle. Il reste deux colonnes encore debout de ce temple qui en comptait quatre et qui fut érigé au I er siècle av. J.-C. Il était probablement dédié à à la triade capitoline, à savoir Jupiter, Junon et Minerve. Le temple K. Au sud du site, entre la route et les bains romains. Il reste encore quelques marches de l'escalier en basalte qui menait à un complexe monumental. Celui-ci comprenait un haut portique impérial et un petit temple de granit où des inscriptions puniques ont été décelées. En revanche, aucun élément n'a permis de définir à quel(s) dieu (x) le temple était dédié. Par conséquent, il porte le nom de "K", de la lettre apposée par son découvreur. Pratique.  Restauration et parking à l'entrée. Plan du site fourni à la billetterie."

@

"Resti di un villaggio di età punica e di una città romana."

@

"sito archeologico sembra molto bello"

@

"Rovine con biglietto all’ingresso"

@eleonora.soro7

"Tharros era un’antica stazione commerciale fondata dai Fenici, oggi le rovine fanno parte di un sito archeologico visitabile "

@martine.ce

"p98 site archéologique au bord de la mer"

@

"Tharros era prima un villaggio nuragico, poi fu utilizzato dai fenici ed infine, dai romani."

@

"site archéologique sur un site magnifique bordée d'une belle plage. "

@nezha63

"Ruins of ancient Tharros, founded by the Phoenicians in the 8th century BC. Much of what you see today dates to the 2nd and 3rd centuries AD"

@

"Site archéologique (5€ - ouvert tous les jours) Pousser jusqu'à la tour di San Giovanni + Capo San Marco pour balade et points de vue "

@

"ruines https://www.lafilledelencre.fr/sardaigne-incontournables/"

@

"Site archéologique fondé par les phéniciens "

@

Approuvé par 1 partenaires officiels
Autres lieux à voir autour
La meilleure expérience Mapstr est sur l'application mobile.
Enregistrez vos meilleures adresses, partagez les plus belles avec vos amis, découvrez les recommendations de vos magazines et influcenceurs préférés.