Mausoleo di Santa Costanza
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Rome 2018
@petitfute
3201followers
333places
"Peut-être fille de Constantin, Constance fut guérie de la lèpre après avoir passé une nuit près du tombeau de sainte Agnès. Datant du IVe siècle, le mausolée a gardé son architecture d'origine et des mosaïques de l'époque. Le bâtiment est rond, précédé d'un vestibule ovale. La coupole repose sur des colonnes jumelées, à l'extérieur desquelles se trouve une sorte de déambulatoire voûté orné de mosaïques préchrétiennes à motifs floraux, avec des portraits en médaillon. Dans les niches creusées en dessous de cette voûte, les thèmes sont chrétiens et les oeuvres plus récentes. Le mausolée de Constance est d'autant plus important qu'il existe peu de bâtiments de ce type qui nous soient parvenus dans cet état."


Histoire Itinérante
@histoireitinerante
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6724places
"𝑳'𝒖𝒏 𝒅𝒆𝒔 𝒆𝒙𝒆𝒎𝒑𝒍𝒆𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒎𝒊𝒆𝒖𝒙 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒆𝒓𝒗𝒆́𝒔 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒊𝒕𝒆𝒄𝒕𝒖𝒓𝒆 𝒑𝒂𝒍𝒆́𝒐𝒄𝒉𝒓𝒆́𝒕𝒊𝒆𝒏𝒏𝒆 𝒂̀ 𝑹𝒐𝒎𝒆 ! Construite à la demande de l'empereur romain Constantin Ier, l'église Santa Costanza est un mausolée pour sa fille Constance (« Costanza »). Une autre fille de Constantin, Hélène, y est également enterrée. Conçu comme un mausolée, elle est, avec le Saint Sépulcre de Jérusalem, un des exemples les plus primitifs d'église à plan centré parvenu jusqu'à nos jours. Les douze doublets de colonnes géminées en granite gris et rose, avec des chapiteaux et entablements de marbre, supportent à eux seuls un tambour épais et une coupole massive. Les mosaïques paléochrétiennes de la voûte du déambulatoire et des culs-de-four des absidioles sont aussi dans un excellent état de conservation, et sont un exemple du style de la mosaïque du Bas Empire au ive siècle, dans son évolution vers ce que deviendra plus tard la mosaïque byzantine. La coupole en revanche, même si elle est d'époque, a perdu tout son décor d'origine. On peut observer des mosaïques de la même période sur la coupole de la Rotonde de Galère à Thessalonique. Les parties verticales (murs du déambulatoires, arcades, tambour du dôme) étaient à l'origine recouverts de riches opus sectile (marqueterie de marbres polychromes), qui ont perduré jusqu'à la Renaissance où ils ont été retirés pour être remplacés par une décoration de style Renaissance, elle même supprimée lors d'une restauration du XIXe siècle visant à retrouver la structure paléochrétienne, ce qui laissa les murs en brique nue que l'on voit aujourd'hui. L'église abritait autrefois le sarcophage monumental de Constance, un fastueux ouvrage en porphyre rouge. Mais celui-ci est aujourd'hui exposé au musée du Vatican. 𝐑𝐨𝐦𝐞 𝐞𝐭 𝐥'𝐈𝐭𝐚𝐥𝐢𝐞, 𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐟𝐨𝐲𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐥'𝐚𝐫𝐭 𝐩𝐚𝐥𝐞́𝐨𝐜𝐡𝐫𝐞́𝐭𝐢𝐞𝐧 Les premiers développements de l'art chrétien, qui n'est à l'origine qu'une branche de l'art antique et qui naît avec le poids millénaire des habitudes de l'art méditerranéen, sont liés aux besoins du culte et aux conditions dans lesquelles il s'exerce. Il dépend de la situation des chrétiens par rapport au pouvoir impérial. De 200 jusque vers 260, époque à laquelle l'édit de Galien rend aux chrétiens leurs lieux de culte, les chrétiens ont une vie semi-clandestine. Puis une émergence dure jusqu'à 313, date de l'ordonnance de Licinius reconnaissant officiellement le christianisme. La sortie de la clandestinité se fait progressivement jusqu'en 330, date de l'édit impérial instituant le christianisme comme religion d'État, puis avec en 391 l'interdiction du culte païen. Dans la dernière période, le développement de l'église ou de la basilique remplaçant l'ancienne maison chrétienne (domus ecclesiae) est spectaculaire. L'art paléochrétien est un art universel qui tient au caractère universel de la religion. En Occident, il faut attendre la rupture du début du Moyen Âge pour constater une évolution quand apparaissent les œuvres grossières barbares d'où part un nouveau rejeton de l'art chrétien qui se manifeste dans les arts romans et gothiques. En Orient qui résiste au contraire aux invasions barbares, les traditions se maintiennent sous le style byzantin. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍'𝑼𝑵𝑬𝑺𝑪𝑶 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"


Anna Scrigni
@anna.scrigni
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667places
Autres lieux à voir autour
"𝑳'𝒖𝒏 𝒅𝒆𝒔 𝒆𝒙𝒆𝒎𝒑𝒍𝒆𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒎𝒊𝒆𝒖𝒙 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒆𝒓𝒗𝒆́𝒔 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒊𝒕𝒆𝒄𝒕𝒖𝒓𝒆 𝒑𝒂𝒍𝒆́𝒐𝒄𝒉𝒓𝒆́𝒕𝒊𝒆𝒏𝒏𝒆 𝒂̀ 𝑹𝒐𝒎𝒆 ! Construite à la demande de l'empereur romain Constantin Ier, l'église Santa Costanza est un mausolée pour sa fille Constance (« Costanza »). Une autre fille de Constantin, Hélène, y est également enterrée. Conçu comme un mausolée, elle est, avec le Saint Sépulcre de Jérusalem, un des exemples les plus primitifs d'église à plan centré parvenu jusqu'à nos jours. Les douze doublets de colonnes géminées en granite gris et rose, avec des chapiteaux et entablements de marbre, supportent à eux seuls un tambour épais et une coupole massive. Les mosaïques paléochrétiennes de la voûte du déambulatoire et des culs-de-four des absidioles sont aussi dans un excellent état de conservation, et sont un exemple du style de la mosaïque du Bas Empire au ive siècle, dans son évolution vers ce que deviendra plus tard la mosaïque byzantine. La coupole en revanche, même si elle est d'époque, a perdu tout son décor d'origine. On peut observer des mosaïques de la même période sur la coupole de la Rotonde de Galère à Thessalonique. Les parties verticales (murs du déambulatoires, arcades, tambour du dôme) étaient à l'origine recouverts de riches opus sectile (marqueterie de marbres polychromes), qui ont perduré jusqu'à la Renaissance où ils ont été retirés pour être remplacés par une décoration de style Renaissance, elle même supprimée lors d'une restauration du XIXe siècle visant à retrouver la structure paléochrétienne, ce qui laissa les murs en brique nue que l'on voit aujourd'hui. L'église abritait autrefois le sarcophage monumental de Constance, un fastueux ouvrage en porphyre rouge. Mais celui-ci est aujourd'hui exposé au musée du Vatican. 𝐑𝐨𝐦𝐞 𝐞𝐭 𝐥'𝐈𝐭𝐚𝐥𝐢𝐞, 𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐟𝐨𝐲𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐥'𝐚𝐫𝐭 𝐩𝐚𝐥𝐞́𝐨𝐜𝐡𝐫𝐞́𝐭𝐢𝐞𝐧 Les premiers développements de l'art chrétien, qui n'est à l'origine qu'une branche de l'art antique et qui naît avec le poids millénaire des habitudes de l'art méditerranéen, sont liés aux besoins du culte et aux conditions dans lesquelles il s'exerce. Il dépend de la situation des chrétiens par rapport au pouvoir impérial. De 200 jusque vers 260, époque à laquelle l'édit de Galien rend aux chrétiens leurs lieux de culte, les chrétiens ont une vie semi-clandestine. Puis une émergence dure jusqu'à 313, date de l'ordonnance de Licinius reconnaissant officiellement le christianisme. La sortie de la clandestinité se fait progressivement jusqu'en 330, date de l'édit impérial instituant le christianisme comme religion d'État, puis avec en 391 l'interdiction du culte païen. Dans la dernière période, le développement de l'église ou de la basilique remplaçant l'ancienne maison chrétienne (domus ecclesiae) est spectaculaire. L'art paléochrétien est un art universel qui tient au caractère universel de la religion. En Occident, il faut attendre la rupture du début du Moyen Âge pour constater une évolution quand apparaissent les œuvres grossières barbares d'où part un nouveau rejeton de l'art chrétien qui se manifeste dans les arts romans et gothiques. En Orient qui résiste au contraire aux invasions barbares, les traditions se maintiennent sous le style byzantin. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍'𝑼𝑵𝑬𝑺𝑪𝑶 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@histoireitinerante
"Mausoleo costruito tra il 340 e il 345 d.C. Ha 12 finestre con 12 doppie colonne. Esistono sul soffitto ancora i mosaici, che sono i più antici mosaici cristiani datati 360 d.C. È la prima volta in cui si adattano i temi pagani all'iconogeafia cristiana. Il mausoleo è intitolato a Santa Costanza, sorella di Costantino, il primo imperatore Cristiano."
@spud96
"As a half Roman I should know a lot of sites of my city but I’m also very lazy so I don’t. This is one of those hidden sites I should have discovered before. . . . . . . ."
@teresabisgrove
"Splendide et peu touristique"
@gconta