Musée Fantastique de la Bête du Gévaudan
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Ce qu'en disent les utilisateurs
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"Succession de scènettes telle une histoire racontée: simple efficace."
@soniatoihein
"Intéressant petit musée racontant, via un parcours de 22 scènes, l'histoire (romancée) de la fameuse bête du Gévaudan. Une bonne entrée en matière si l'on a pas peur du côté forcément glauque de cette mise en scène via des scénettes représentant la grande fresque des événements.. ***** La Bête du Gévaudan (Bèstia de Gavaudan en occitan) est un animal à l'origine d'une série d'attaques contre des humains survenues entre le 30 juin 1764 et le 19 juin 1767. Ces attaques, le plus souvent mortelles, entre 88 à 124 recensées selon les sources, eurent lieu principalement dans le nord de l'ancien pays du Gévaudan, dans cette région alors située aux confins des provinces du Languedoc et de l'Auvergne, et qui comptaient parmi les plus reculées du royaume de France. La « Bête du Gévaudan » dépassa rapidement le stade du fait divers, au point de mobiliser de nombreuses troupes royales et de donner naissance à toutes sortes de rumeurs, tant sur la nature de cette « bête » (vue tour à tour comme un loup, un animal exotique et même un loup-garou, voire un tueur en série à une époque plus récente) que sur les raisons qui la poussaient à s'attaquer aux populations (du châtiment divin à la théorie de l'animal dressé pour tuer). Parmi les nombreux animaux abattus au cours de cette période, deux canidés sont soupçonnés d'être la Bête. Le premier est un grand loup tué par François Antoine, porte-arquebuse du roi de France, sur le domaine de l'abbaye royale des Chazes en septembre 1765. Une fois ce loup empaillé à Versailles, les journaux et la Cour se désintéressèrent de cette affaire, bien que d'autres morts aient été déplorées ultérieurement. Jean Chastel, paysan originaire de La Besseyre-Saint-Mary, tua le second fauve, identifié comme un loup ou un grand chien, en juin 1767. Selon la tradition, l'animal tué par Chastel était bien la Bête du Gévaudan car, passé cette date, plus aucune attaque mortelle ne fut signalée dans la province. C'est ainsi dans ces bois que la "Bête" fut officiellement le 19 juin 1767 par Jean Chastel, au lieu-dit la sogne d'Auvers (à l'époque une clairière, aujourd'hui en plein forêt). Un lieu accessible via une courte randonnée (se garer au village d'Auvers, près de la statue de la Bpete), certes quelconque aujourd'hui, mais très imprégnant, dans ces bois où la Bête avait son repaire.. 𝑱𝒆 𝒓𝒆𝒏𝒗𝒐𝒊𝒆 𝒅'𝒂𝒊𝒍𝒍𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒊𝒏𝒕𝒆́𝒓𝒆𝒔𝒔𝒆(𝒆́)𝒔 𝒅𝒆 𝒄𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒔𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆 𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒗𝒆𝒓𝒔 𝒍𝒂 𝒓𝒊𝒄𝒉𝒆 𝒅𝒐𝒖𝒃𝒍𝒆 𝒒𝒖𝒂𝒅𝒓𝒊𝒍𝒐𝒈𝒊𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒆 𝒍𝒖𝒊 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒂𝒄𝒓𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒐𝒏 𝒃𝒍𝒐𝒈. 𝑫𝒆𝒖𝒙 𝒔𝒆́𝒓𝒊𝒆𝒔 𝒅'𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒏 𝒇𝒐𝒓𝒎𝒆 𝒅𝒆 𝒈𝒓𝒂𝒏𝒅𝒆 𝒇𝒓𝒆𝒔𝒒𝒖𝒆 𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆, 𝒆𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒕𝒊𝒕𝒖𝒂𝒏𝒕 𝒖𝒏 𝒓𝒆𝒎𝒂𝒓𝒒𝒖𝒂𝒃𝒍𝒆 𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒊𝒍 𝒗𝒆𝒓𝒔 𝒍'𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝒍𝒂 𝒈𝒆́𝒐𝒈𝒓𝒂𝒑𝒉𝒊𝒆 𝒅𝒆 𝒄𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒎𝒂𝒈𝒏𝒊𝒇𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒓𝒆́𝒈𝒊𝒐𝒏, 𝒂𝒊𝒏𝒔𝒊 𝒒𝒖𝒆 𝒗𝒆𝒓𝒔 𝒍𝒆 𝒑𝒂𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏𝒏𝒂𝒏𝒕 𝒆𝒕 𝒕𝒓𝒐𝒑 𝒎𝒆́𝒄𝒐𝒏𝒏𝒖 𝒔𝒖𝒋𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒏𝒅𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒑𝒂𝒚𝒔𝒂𝒏𝒏𝒆 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒓𝒈𝒂𝒏𝒊𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒔𝒐𝒄𝒊𝒂𝒍𝒆 𝒆𝒕 𝒑𝒐𝒍𝒊𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒇𝒊𝒏 𝒅𝒆 𝒍'𝑨𝒏𝒄𝒊𝒆𝒏 𝑹𝒆́𝒈𝒊𝒎𝒆 (𝒍𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒊-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔 👇) !"
@histoireitinerante