Cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle
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Cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle : visite incontournable

Située dans la Praza do Obradoiro à Santiago de Compostela, la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle a été fondée en 1075. Ce monument religieux, chef-d'œuvre de l'architecture romane, est un lieu de pèlerinage depuis des siècles, attirant chaque année des milliers de visiteurs et de pèlerins du monde entier. La cathédrale a connu plusieurs phases de construction et de restauration, témoignant de son importance historique et religieuse. Son emplacement au cœur de la vieille ville, classée parmi les plus beaux quartiers urbains, en fait un site incontournable pour toute visite dans la région. La visite de ce monument permet de découvrir son riche passé, ses sculptures et ses portails remarquables, notamment le portail de la Gloire.


La cathédrale se distingue par ses points forts, notamment le musée de la cathédrale, accessible sur réservation, et ses toits offrant une vue imprenable sur la ville. La structure abrite également un magnifique porche de la Gloire, symbole de l’histoire chrétienne de la région. L’intérieur, impressionnant par sa grandeur et ses détails architecturaux, nécessite souvent une longue file d’attente pour y accéder, mais la visite en vaut la peine. L’ambiance y est à la fois solennelle et mystérieuse, avec un décor mêlant styles roman, gothique et baroque, qui transporte les visiteurs dans un voyage à travers l’histoire religieuse et architecturale de la région. La cathédrale reste un monument incontournable pour toute visite à Santiago de Compostela.


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"https://www.instagram.com/reel/DM5EstwMUYK/?igsh=eGtoYWZ6Nm9iYWpm"

@claudio.bo

"A Coruña Province, Galicia, Spain"

@interesting

"Arrivati a Santiago il 30 luglio"

@daniela.santella81

"Ce célèbre lieu de pèlerinage situé dans le nord-ouest de l'Espagne est devenu un symbole de la lutte des chrétiens espagnols contre l'islam. Détruite par les musulmans à la fin du Xe siècle, la ville a été complètement reconstruite au siècle suivant. La vieille ville de Saint-Jacques constitue l'un des plus beaux quartiers urbains du monde avec ses monuments romans, gothiques et baroques. Les monuments les plus anciens sont regroupés autour de la tombe de saint Jacques et de la cathédrale qui s'ouvre par le magnifique portail de la Gloire. 𝐀𝐮 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐜𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐥𝐚 𝐥𝐞́𝐠𝐞𝐧𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐒𝐚𝐢𝐧𝐭-𝐉𝐚𝐜𝐪𝐮𝐞𝐬... Avec Pierre, André et Jean, Jacques – appelé aussi Jacques le Majeur – faisait partie du groupe de pêcheurs parmi lesquels Jésus choisit ses quatre premiers disciples. Après avoir tenté d'évangéliser la péninsule Ibérique, Jacques rentra en Palestine, où il fut décapité en 44 ap. J.-C. Sa dépouille, recueillie par ses disciples, fut déposée dans une embarcation et, guidée par un ange, accosta sur les côtes de Galice après avoir franchi miraculeusement les Colonnes d'Hercule (aujourd'hui Gibraltar). Légende ou vérité historique ? Chacun jugera selon ses convictions. 𝐂𝐨𝐦𝐩𝐨𝐬𝐭𝐞𝐥𝐥𝐞… 𝐮𝐧 𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐧 𝐬𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐩𝐞̀𝐥𝐞𝐫𝐢𝐧𝐚𝐠𝐞 𝐩𝐚𝐢̈𝐞𝐧 𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐂𝐡𝐫𝐞́𝐭𝐢𝐞𝐧𝐬 ? Le chemin de Compostelle suit la Voie lactée et se termine au Cabo Fisterra ou cap Finisterre, un lieu qui serait considéré comme magique depuis la nuit des temps. Les Romains y auraient même découvert un autel consacré au soleil érigé par d'anciens peuples. Le chemin des Étoiles était-il un lieu de pèlerinage ancestral qui fut « repris » par les Chrétiens? Sur ce sujet, le mystère reste entier… 𝐋𝐚 𝐫𝐞𝐝𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐭𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐛𝐮𝐭 𝐝𝐮 𝐩𝐞̀𝐥𝐞𝐫𝐢𝐧𝐚𝐠𝐞 Le corps de saint Jacques resta ignoré jusqu'au 25 juillet 813. Cette nuit-là, une étoile vint indiquer à l'ermite Pelagius l'emplacement exact de la sépulture. On appela alors ce lieu Campus Stellae (« le « champ de l'Étoile »). qui serait l'étymologie du nom « Compostelle ». Le roi Alphonse II le Chaste y fit ériger une église et un monastère, prémices de la cathédrale de Compostelle, et un culte régional se développa. En l'an 950, le pèlerinage au tombeau de saint Jacques connaît un nouvel élan, lorsque Godescalc, évêque du Puy-en-Velay, décide de l'entreprendre accompagné d'un long cortège. Compostelle prend alors sa place parmi les points phare de la chrétienté. Dès le XIe siècle, les évêques de Saint-Jacques-de-Compostelle, les ordres religieux, les rois et la noblesse se mobilisent pour créer un chemin à travers l'Espagne. Clovis, Pépin le Bref, Saint Louis, Philippe Auguste, Richard Cœur-de-Lion se seraient ainsi recueillis à la basilique Saint-Martin, sur la voie de Tours. Mais rien ne prouve qu'ils aient poursuivi leur route jusqu'à Compostelle. En revanche, saint François d'Assise aurait accompli le pèlerinage dans son entier. Une grande sculpture de bronze sur le Monte del Gozo célèbre son passage. En ce tournant du Second millénaire, la notoriété du lieu grandit rapidement, et l'on commence à se déplacer de loin pour venir honorer les reliques de Jacques. En 1121, le pape Calixte II rassemble les textes dispersés dans un manuscrit que l'on connaît sous le nom de Codex Calixtinus. Il renforce ainsi la dévotion à l'apôtre et la puissance de Saint- Jacques-de-Compostelle, qui est promu au rang d'archevêché. Au XIIe siècle, le Codex Calixtinus, recueil de textes consacrés à saint Jacques le Majeur et à son pèlerinage, décrit les quatre grands chemins français ainsi que les étapes espagnoles. Pourtant, à cette époque, ces chemins ne sont pas exclusivement dédiés au pèlerinage comme aujourd'hui : il s'agit plutôt de grandes routes commerciales que les pèlerins empruntent par commodité. 𝐋𝐚 𝐜𝐚𝐭𝐡𝐞́𝐝𝐫𝐚𝐥𝐞, 𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐮𝐬 𝐝𝐮 𝐥𝐨𝐧𝐠 𝐩𝐞̀𝐥𝐞𝐫𝐢𝐧𝐚𝐠𝐞 La cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle remonte à la découverte des reliques de l'apôtre : le premier édifice fut construit sous le règne d'Alphonse II le Chaste en 834. Mais la basilique elle-même, celle que le pèlerin découvre aujourd'hui, a été achevée en 1128. Elle comporte trois nefs et de nombreuses chapelles rayonnantes. C'est ici que le pèlerin se recueille. A l'intérieur de la cathédrale trône une colossale statue de saint Jacques datant du XIIIe siècle : les pèlerins viennent lui donner l'accolade. Pour l'approcher d'encore plus près, il faut descendre dans la crypte. C'est là que se trouve la châsse en argent qui abrite les reliques de l'apôtre et de ses disciples, saint-Théodore et saint-Athanase. Tous les jours à midi, dans la cathédrale de Compostelle, a lieu la messe du pèlerin. C'est un moment d'émotion certain pour le marcheur car, au début de la messe, il entendra son nom, cité au côté de tous ceux qui se sont vu remettre leur compostela dans les vingt-quatre dernières heures. Parfois, un immense encensoir (le botafumeiro) oscille à plus de 20 mètres de hauteur dans la cathédrale, au son des orgues baroques. Chaque année, le 25 juillet, jour de la Saint-Jacques, Compostelle revêt ses plus beaux atours traditionnels et c'est la fête ! Pendant deux semaines, la Fiesta de Santiago Apóstol fait vibrer la ville au rythme des pièces de théâtre, des concerts, des défilés de confréries et des danses régionales. La cathédrale elle-même s'illumine avec un son et lumière et résonne au son des fameux gaitas (sorte de cornemuse), héritage du passé celtique de la Galice… ! 𝐔𝐧 𝐩𝐞̀𝐥𝐞𝐫𝐢𝐧𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐟𝐞𝐫𝐯𝐞𝐮𝐫 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐩𝐚𝐬 𝐝𝐞́𝐬𝐢𝐧𝐭𝐞́𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞́ Aux XIe et XIIe siècles, le pèlerinage attirait des personnes de toutes conditions. Il faut dire qu'à l'époque cette pérégrination permettait d'obtenir l'indulgence, c'est-à-dire la rémission de ses péchés. Ces indulgences s'obtenant même par procuration, les plus riches n'hésitaient pas à envoyer des pèlerins plus pauvres accomplir le Chemin à leur place ! Au fil des siècles, la coquille Saint-Jacques est devenue le symbole par excellence des marcheurs qui cheminent vers Compostelle. Autrefois, les pèlerins ramassaient celles qu'ils trouvaient sur les plages de Galice pour témoigner qu'ils étaient allés jusqu'au bout de leur périple. Aujourd'hui, le pèlerin l'arbore fièrement sur son sac dès ses premiers jours de marche. 𝐔𝐧 𝐜𝐡𝐞𝐦𝐢𝐧 𝐚𝐲𝐚𝐧𝐭 𝐬𝐮𝐬𝐜𝐢𝐭𝐞́ 𝐮𝐧 𝐩𝐚𝐭𝐫𝐢𝐦𝐨𝐢𝐧𝐞 𝐫𝐞𝐦𝐚𝐫𝐪𝐮𝐚𝐛𝐥𝐞… Le Chemin est ponctué d'abbayes et d'églises abbatiales remarquables, superbes témoignages de l'art roman. Certaines ont même été inscrites au Patrimoine mondial de l'humanité, telles que l'abbatiale Sainte-Foy de Conques (Aveyron), l'abbatiale Saint-Pierre de Moissac (Tarn-et-Garonne), l'abbaye de Saint-Sever (Landes) ou l'abbaye Saint-Jean de Sorde (Landes). Aux premières heures du pèlerinage, ces édifices accueillaient les nombreux pèlerins. Que l'on soit croyant ou non, on peut toujours vivre l'expérience insolite de dormir dans un couvent ou un monastère. Dans ces institutions centenaires, la tradition hospitalière prend tout son sens. Le temps d'une soirée, le laïc découvrira la vie de religieux : la prière, la vie communautaire, le recueillement… Et appréciera un cadre d'exception qui change des gîtes d'étape! 𝐒𝐚𝐢𝐧𝐭-𝐉𝐚𝐜𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐞𝐭 𝐠𝐮𝐞́𝐫𝐢𝐬𝐬𝐞𝐮𝐫... Saint Jacques a toujours entretenu un rapport tout particulier avec ses pèlerins. Le Livre II du Codex Calixtinus est même entièrement consacré aux miracles qu'il réalise pour eux. On apprend ainsi que saint Jacques prête son âne à un pèlerin, qu'il libère des prisonniers innocents, sauve des naufragés, ou encore qu'il ressuscite un enfant… Il fait même témoigner un poulet rôti pour sauver un pendu ! 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑮𝒂𝒍𝒊𝒄𝒆 𝑻𝒐𝒖𝒓𝒊𝒔𝒎𝒆 ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕𝒔 𝒅'𝒖𝒏 𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒎𝒊𝒏 𝒅𝒆 𝑪𝒐𝒎𝒑𝒐𝒔𝒕𝒆𝒍𝒍𝒆 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"Iniziata nel 1075, sempre stata chiesa di pellegrinaggio. I capitelli dell’antico deambulatorio sono simili a quelli della Porte des Comtes di Sernin (Tolosa) mentre quella di Miegeville (con timpano) puó essere accostata al portale degli Orafi (sud) l’unico che conserva la maggior parte delle sculture del XII (altre parti sono del 1200)."

@caterinarimensi96

"Cathédrale emblématique de Santiago. Absolument magnifique, à voir absolument! "

@abert.quentin

"Impressive cathedral but long queues to go inside"

@liv.curtis8

"UNESCO World Heritage The name of Santiago de Compostela is known and revered throughout the Christian world. Its links with the relics of St. James (Santiago in Spanish) have made it the most important destination for pilgrims, after Jerusalem and Rome. Santiago's cathedral is certainly worthy of a visit in its own right. It has the unusual distinction of being a Romanesque building, concealed within the shell of a Baroque exterior. The original church was founded in the ninth century, but this building was destroyed by the Moors in 997. The present structure dates from the late eleventh century, when the increased number of pilgrims provided ample funds for a new church. Much of the Romanesque building is well preserved in the interior, but the exterior was largely remodeled during the eighteenth century by a local architect, Fernando Casas y Novoa. The architecture, however, must take second place to the medieval legend that provided the raison d'être for the Catedral del Apostol. According to this legend, the apostle St. James the Greater preached throughout Spain before being martyred in Rome. His remains were carried back to Spain and buried in Compostela. His grave was forgotten until 813, when it was rediscovered by a hermit who was led to it by a star. After this event, large numbers of pilgrims began to travel to Compostela to pay homage at his shrine. When they arrived at the cathedral, then as now, their first action was to kiss or touch the saint's statue on the Porch of Glory (Master Mateo's original doorway to the church). They would then touch a similar figure behind the altar and collect their compostellana (a confirmation of their pilgrimage). Pilgrims continue to flock to Santiago to this day. The numbers of visitors are particularly high in "Holy Years," those years when the feast day of St. James-July 25-falls on a Sunday."

@nchavotier

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