Abbaye d'Orval
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Abbaye d'Orval: Visite, Restaurant, Balade, Vue, Musée

L'Abbaye d'Orval est un lieu incontournable à visiter pour les amateurs de bière et les passionnés d'histoire. Située à l'adresse Orval 1, 6823 Florenville, cette abbaye offre une expérience unique. Vous pourrez déguster et acheter les célèbres bières d'Orval, et profiter du restaurant sur place pour une pause gourmande. Les environs pittoresques de l'abbaye invitent à de belles balades, offrant une vue panoramique exceptionnelle. N'oubliez pas de visiter le musée pour plonger dans l'histoire fascinante de cet endroit emblématique. Consultez les horaires d'ouverture selon la saison et les tarifs des entrées pour planifier au mieux votre visite. Une escapade à l'Abbaye d'Orval promet une journée enrichissante et mémorable pour tous les visiteurs.

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#Tags souvent utilisés
#Visite #Restaurant #Musée #Monument #Balade
Ce qu'en disent les utilisateurs

"L’Orval 😍😍 que cette bière est bonne … et la visite de l’abbaye est magnifique déjà faite 4 fois et j’ai eu la chance de visiter la brasserie et la chaine de fabrication juste exceptionnel "

@fabriceweindorf

"https://youtu.be/0GP4X8DB8gs L'abbaye se visite, les chiens sont interdits. Balade autour possible. Abbaye d’Orval où est faite la fameuse bière d’Abbaye d’Orval. Lieu mystique à visiter avec possibilité d’acheter des bières pour celui qui aime cela. Il y a moyen de se parquer le long de la route l‘adresse : Orval 1, 6823 Florenville. HEURES D’OUVERTURE Hiver (novembre- février) : 10 h 30 - 17 h 30, ticket jusque 16h45 Entre-saison : 9 h 30 -18 h 00, ticket jusque 17h00 Été (juin - septembre) : 9 h 30 - 18 h 30, ticket jusque 17h30 TARIFS DES ENTRÉES Adultes 7,00 €"

@nathcharente

"Cernée de forêts, jalonnée de sources et ruisseaux, l'abbaye d'Orval a acquis une notoriété mondiale pour sa bière au parfum ambré et singulier. Mais on vient aussi de toute l'Europe pour se retirer dans ce monastère cistercien et trappiste fondé en 1131, après que des moines bénédictins se furent établis ici dès le XIe. Entièrement reconstruit au XXe siècle tout en préservant des ruines majestueuses, ce site est l'un des plus visités de Wallonie, remarquable pour son ensemble architectural exceptionnel dans un cadre verdoyant aux confins des Ardennes belges et de la Lorraine gaumaise... 𝐋'𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐚𝐛𝐛𝐚𝐲𝐞 𝐝'𝐎𝐫𝐯𝐚𝐥 Comme le rappelle les moines présentant leur monastère, celui-ci est le fruit d'une longue histoire... Il y a 165 millions d'années, lorsque la mer recouvrait encore nos régions, au fond des eaux se formait déjà la pierre de teinte ocre jaune, dite pierre de France, qui servirait pour la construction du monastère. Il y a quinze mille ans, sous l'effet de la dernière glaciation, se creusait le vallon destiné à accueillir l'abbaye en son sein. Trois mille ans plus tard, les premiers arbres y apparaissaient, pins sylvestres, bouleaux, puis hêtres: toute une forêt que l'homme commença à défricher entre 1800 et 1200 avant l'ère chrétienne. Y a-t-il eu sur ce site quelque habitat humain, un village, avant l'établissement des moines ? Rien ne le prouve dans l'état actuel de nos connaissances. On n'a retrouvé que des tombes mérovingiennes, aux abords de la source. Les premiers moines à s'installer à Orval arrivèrent du sud de l'ltalie en 1070. Le seigneur de l'endroit, le comte Arnould de Chiny, les accueillit et leur donna des terres prélevées sur son domaine. L'église et les bâtiments conventuels furent aussitôt mis en chantier. Pour des motifs que nous ignorons, ces pionniers se retirèrent après une quarantaine d'années. Othon, fils d'Arnould, les remplaça alors par une petite communauté de chanoines qui put mener à bonne fin les constructions entreprises par leurs prédécesseurs; en 1124, I'église achevée était consacrée par Henri de Winton, évêque de Verdun. Mais les chanoines connurent bientôt des difficultés d'ordre économique. Ce qui les poussa à solliciter leur rattachement à l'Ordre de Cîteaux, alors en pleine expansion. Leur demande fut transmise à saint Bernard, qui accepta, et confia la reprise d'Orval à l'aînée de ses maisons-filles, l'abbaye de Trois-Fontaines en Champagne. Le 9 mars 1132, sept moines cisterciens arrivèrent à Orval, avec à leur tête Constantin. Moines et chanoines s'unirent en une seule communauté, et s'employèrent aussitôt à adapter les bâtiments aux usages cisterciens. La nouvelle église fut achevée avant 1200. Les cisterciens veillèrent aussi à créer un domaine agricole et forestier, dont l'exploitation leur permettrait de vivre selon leurs observances. Les terres qui entourent immédiatement le monastère sont pauvres et ne conviennent pas à la culture. Dès 1132, les religieux reçurent un petit domaine à une vingtaine de kilomètres de chez eux, à proximité de Carignan ; ce devait être le noyau de leur plus belle "grange", celle de Blanchampagne. Au cours des années qui suivirent, ils reçurent d'autres terres en donation. Parmi elles, il convient de mentionner le groupe de Buré-Villancy, en Meurthe-et-Moselle, qui sera le centre de l'industrie du fer des moines d'Orval. Durant cinq siècles, Orval ne connut qu'une existence effacée, semblable à celle de beaucoup de monastères de l'Ordre. Pendant le 12e siècle, I'abbaye paraît avoir été prospère ; dès le milieu du siècle suivant, les calamités seront souvent son lot pour de longues périodes. Elle fut ravagée vers 1252 par un incendie dont les conséquences pesèrent sur la communauté pendant près d'un siècle. Certains bâtiments durent être entièrement reconstruits. La misère fut même un moment si grave que les autorités de l'Ordre de Cîteaux allèrent jusqu'à envisager la suppression du monastère. 𝐋𝐚 𝐥𝐞́𝐠𝐞𝐧𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐨𝐧𝐝𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝'𝐎𝐫𝐯𝐚𝐥 La veuve Mathilde, ayant par mégarde laissé tomber son anneau nuptial dans la fontaine de cette vallée, se mit à supplier Dieu, et aussitôt une truite apparut à la surface de l'eau, portant en sa gueule le précieux anneau. Mathilde s'écria alors : Vraiment, c'est ici un Val d'or !, et elle décida par reconnaissance de fonder un monastère en ce lieu béni. La comtesse est à la fois peu et beaucoup évoquée à Orval : la fontaine éponyme est un point du site incontournable encore majoré depuis la réalisation de la fresque de Jean-Claude Servais. La truite de la légende est sans cesse sur les bouteilles, les verres, les ferronneries d’art dans toute l’abbaye. On véhicule quotidiennement sa légende mais que sait-on d’elle historiquement dans nos contrées? Pas assez assurément. Mathilde de Canossa est un personnage central de l’histoire médiévale italienne, en raison surtout de son rôle dans la délicate période historique du Moyen-Age européen qui vit s’opposer le pouvoir temporel de l’empereur et celui spirituel du pape. Femme de guerre (on la surnomme parfois la Jeanne d’Arc italienne) au service du pape Grégoire VII puis du pape Victor, opposée à l’empereur Henri III puis Henri IV, elle est une des premières femmes à stature européenne. Régnant alors sur une bonne partie du centre et du nord de l’Italie, elle géra ses terres d’une main de fer tout en promouvant la conciliation. Son empreinte se marqua également dans le domaine culturel et … gastronomique. Au Vatican, trois femmes seulement sont ensevelies dans la basilique St Pierre même : la reine Christine de Suède, la princesse Marie-Clémentine Sobieska et Mathilde de Canossa. La reine Charlotte de Chypre, quant à elle, repose dans la crypte de St Pierre. Pour finir, notons que la Sainte-Face présente dans le musée de l'abbaye d'Orval (et qui date du XVIIe siècle), servit de couverture à Gérard de Sède pour son fameux livre "La race fabuleuse - Extraterrestres et mythologie mérovingienne" … ! 𝐋’𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐫𝐨𝐢 𝐦𝐞́𝐫𝐨𝐯𝐢𝐧𝐠𝐢𝐞𝐧 𝐃𝐚𝐠𝐨𝐛𝐞𝐫𝐭 𝐈𝐈 𝐞𝐭 𝐬𝐨𝐧 𝐥𝐢𝐞𝐧 𝐬𝐮𝐫𝐩𝐫𝐞𝐧𝐚𝐧𝐭 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥'𝐚𝐛𝐛𝐚𝐲𝐞 𝐝'𝐎𝐫𝐯𝐚𝐥 (𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝑹𝒆𝒏𝒏𝒆𝒔-𝒍𝒆-𝑪𝒉𝒂̂𝒕𝒆𝒂𝒖 𝑨𝒓𝒄𝒉𝒊𝒗𝒆𝒔) 𝑁𝑒́ 𝑒𝑛 652, 𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑢𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑔𝑖𝑠𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼𝐼 𝑒𝑡 𝑑'𝐼𝑚𝑚𝑎𝑐ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒, 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡‑𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝑒𝑟. 𝐴𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼, 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝐺𝑟𝑖𝑚𝑜𝑎𝑙𝑑 𝑎𝑑𝑜𝑝𝑡𝑎 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒 𝑓𝑖𝑙𝑠 𝐶ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒𝑏𝑒𝑟𝑡 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑣𝑜𝑢𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑟𝑜𝑖. 𝐸𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑔𝑖𝑠𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼𝐼 𝑒𝑛 656, 𝑖𝑙 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑎 𝑎̀ 𝐺𝑟𝑖𝑚𝑜𝑎𝑙𝑑 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑖𝑙𝑠 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠, 𝑣𝑜𝑦𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑙𝑢𝑖 𝑢𝑛 𝑓𝑢𝑡𝑢𝑟 𝑟𝑜𝑖 𝑝𝑜𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙, 𝑙'𝑒́𝑐𝑎𝑟𝑡𝑎 𝑑𝑢 𝑡𝑟𝑜̂𝑛𝑒. 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑙𝑎, 𝑖𝑙 𝑙𝑒 𝑓𝑖𝑡 𝑡𝑜𝑛𝑑𝑟𝑒 (𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑙𝑒̀𝑣𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑠) 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑎 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑃𝑜𝑖𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠 𝐷𝑖𝑑𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑙'𝑒𝑥𝑖𝑙𝑎 𝑒𝑛 𝐼𝑟𝑙𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑠𝑎 𝑚𝑒̀𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑎𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑙𝑎𝑛𝑒 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑒́ 𝑎𝑢 𝑛𝑜𝑟𝑑 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑖𝑡𝑒́, 𝑙'𝑎𝑐𝑡𝑢𝑒𝑙 𝐷𝑢𝑏𝑙𝑖𝑛. 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 4 𝑎𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑜𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑙𝑒 𝑟𝑎𝑦𝑎 𝑙𝑖𝑡𝑡𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑦𝑛𝑎𝑠𝑡𝑖𝑒. 𝐶ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒𝑏𝑒𝑟𝑡 𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑠𝑎 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑡 𝐶ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼𝐼 𝑙'𝑎𝑑𝑜𝑝𝑡𝑒́. 𝐶𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑜𝑞𝑢𝑎 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑑'𝐴𝑢𝑠𝑡𝑟𝑎𝑠𝑖𝑒, 𝑒𝑡 𝐶ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼𝐼, 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒́ 𝑎𝑢𝑥 𝑁𝑒𝑢𝑠𝑡𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠, 𝑓𝑢𝑡 𝑚𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑚𝑜𝑟𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑒̀𝑟𝑒 𝐺𝑟𝑖𝑚𝑜𝑎𝑙𝑑. 𝐿𝑒𝑠 𝑁𝑒𝑢𝑠𝑡𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑜̂𝑛𝑒 𝑑'𝐴𝑢𝑠𝑡𝑟𝑎𝑠𝑖𝑒 𝐶ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒́𝑟𝑖𝑐 𝐼𝐼. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝐶𝑙𝑜𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝐼𝐼𝐼 𝑒𝑛 673, 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑁𝑒𝑢𝑠𝑡𝑟𝑖𝑒, 𝐸́𝑏𝑟𝑜𝑖̈𝑛, 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑠𝑖𝑡 𝑇ℎ𝑖𝑒𝑟𝑟𝑦 𝐼𝐼𝐼 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟. 𝐿𝑒𝑠 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑑'𝐴𝑢𝑠𝑡𝑟𝑎𝑠𝑖𝑒 𝑠𝑒 𝑟𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑟𝑒́𝑐𝑙𝑎𝑚𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝐶ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒́𝑟𝑖𝑐 𝐼𝐼 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑟𝑜𝑖. 𝐸𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑠𝑎 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟, 𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟 𝑓𝑖𝑡 𝑡𝑜𝑛𝑑𝑟𝑒 𝐸́𝑏𝑟𝑜𝑖̈𝑛 𝑒𝑡 𝑇ℎ𝑖𝑒𝑟𝑟𝑦 𝐼𝐼𝐼, 𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑓𝑒𝑟𝑚𝑎 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑎𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒. 𝐶'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑚𝑖𝑠 𝑑'𝐸́𝑏𝑟𝑜𝑖̈𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑙'𝑎𝑠𝑠𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑠𝑎 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑒𝑖𝑛𝑡𝑒. 𝑃𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑐𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠‑𝑙𝑎̀, 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑓𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑖 𝑝𝑎𝑟 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑊𝑖𝑙𝑓𝑟𝑖𝑑, 𝑙𝑒 𝑓𝑢𝑡𝑢𝑟 𝑒́𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑑'𝑌𝑜𝑟𝑘 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒̀𝑔𝑒𝑟𝑎 𝑒𝑛 𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 15 𝑎𝑛𝑠. 𝑊𝑖𝑙𝑓𝑟𝑖𝑑 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑎 𝑙𝑒 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑣𝑖𝑡𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑡𝑖𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑡𝑟𝑜̂𝑛𝑒 𝑑'𝐴𝑢𝑠𝑡𝑟𝑎𝑠𝑖𝑒. 𝐼𝑙 𝑠'𝑜𝑐𝑐𝑢𝑝𝑎 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑢𝑖 𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑒́𝑑𝑢𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛 𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑐𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑒𝑛 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝐸𝑛 666, 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑒́𝑝𝑜𝑢𝑠𝑎 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑡𝑒, 𝑀𝑎𝑡ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒, 𝑒𝑛 𝐼𝑟𝑙𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑖𝑙𝑠 𝑠'𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑙𝑙𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑌𝑜𝑟𝑘 𝑒𝑛 𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒. 𝐼𝑙𝑠 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑢 3 𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠. 𝑆𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒, 𝑀𝑎𝑡ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑢𝑟𝑢𝑡 𝑒𝑛 670, 𝑒𝑡 𝑊𝑖𝑙𝑓𝑟𝑖𝑑 𝑜𝑟𝑐ℎ𝑒𝑠𝑡𝑟𝑎 𝑢𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑛 671 (𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 21 𝑎𝑛𝑠) 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝐺𝑖𝑠𝑒̀𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑅ℎ𝑒𝑑𝑎𝑒, 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑒́𝑟𝑎 𝐼𝐼, 𝑐𝑜𝑚𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑅𝑎𝑧𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑔 𝑤𝑖𝑠𝑖𝑔𝑜𝑡ℎ, 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑚𝑒̀𝑟𝑒 𝐺𝑖𝑠𝑙𝑖𝑐𝑎 𝑑𝑒 𝑊𝑖𝑠𝑖𝑔𝑜𝑡ℎ𝑖𝑒. 𝑇𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒, 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑞𝑢𝑖𝑡𝑡𝑎 𝑙'𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑆𝑒𝑝𝑡𝑖𝑚𝑎𝑛𝑖𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐿𝑎𝑛𝑔𝑢𝑒𝑑𝑜𝑐 𝑜𝑢̀ 𝑖𝑙 𝑠𝑒 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑎. 𝐿𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑜𝑚𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑤𝑖𝑠𝑖𝑔𝑜𝑡ℎ𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑢𝑡 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑅ℎ𝑒𝑑𝑎𝑒. 𝐿'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝑉𝑜𝑖𝑐𝑖 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑀𝑒́𝑟𝑜𝑣𝑖𝑛𝑔𝑖𝑒𝑛, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑔 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑟𝑎𝑐𝑒, 𝑠𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑒 𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 𝑊𝑖𝑠𝑖𝑔𝑜𝑡ℎ𝑒, 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑒𝑛𝑛𝑒𝑚𝑖 𝑗𝑢𝑟𝑒́ 𝑑𝑒 𝐶𝑙𝑜𝑣𝑖𝑠. 𝐷𝑒 𝑐𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑎𝑔𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑛𝑒́ 𝑆𝑖𝑔𝑖𝑠𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝑉 (𝐿𝑒 𝑟𝑒𝑗𝑒𝑡𝑜𝑛 𝑎𝑟𝑑𝑒𝑛𝑡) 𝑒𝑛 676. 𝐶𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒, 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑠𝑡𝑒́, 𝑐𝑎𝑟 𝑖𝑙 𝑛𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑠𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑢𝑣𝑒 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐴𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙'𝑎𝑠𝑠𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛𝑎𝑡 𝑑𝑒 𝐶ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒́𝑟𝑖𝑐 𝐼𝐼, 𝑙𝑒𝑠 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑑'𝐴𝑢𝑠𝑡𝑟𝑎𝑠𝑖𝑒 𝑒𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑜𝑏𝑗𝑒𝑐𝑡𝑖𝑓 : 𝑟𝑒𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑜̂𝑛𝑒. 𝑊𝑢𝑙𝑓𝑜𝑎𝑑, 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑑'𝐴𝑢𝑠𝑡𝑟𝑎𝑠𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝐺𝑟𝑖𝑚𝑜𝑎𝑙𝑑 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑎 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑟𝑑𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠. 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝑓𝑢𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑙𝑎𝑚𝑒́ 𝑅𝑜𝑖 𝑑'𝐴𝑢𝑠𝑡𝑟𝑎𝑠𝑖𝑒 𝑒𝑛 674 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑖𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑊𝑖𝑙𝑓𝑟𝑖𝑑 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝐼𝑂𝑁 𝑒𝑛 𝑆𝑢𝑖𝑠𝑠𝑒. 𝐷𝑒𝑣𝑒𝑛𝑢 𝑟𝑜𝑖, 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑠'𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑎 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑣𝑖𝑡𝑒 𝑒𝑛 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑟𝑖𝑚𝑎𝑛𝑡 𝑙'𝑎𝑛𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑒. 𝐼𝑙 𝑓𝑢𝑡 𝑎𝑐𝑐𝑒𝑝𝑡𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑖𝑛𝑐𝑒𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑁𝑒𝑢𝑠𝑡𝑟𝑖𝑒. 𝐼𝑙 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑖𝑡 𝑙'𝐴𝑞𝑢𝑖𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑒𝑛 679 𝑔𝑟𝑎̂𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑝𝑝𝑢𝑖 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑅ℎ𝑒𝑑𝑎𝑒. 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒́𝑑𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́, 𝑒𝑡 𝑖𝑙 𝑣𝑜𝑢𝑙𝑢𝑡 𝑟𝑎𝑝𝑖𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑎𝑢𝑟𝑒𝑟 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑚𝑒́𝑟𝑜𝑣𝑖𝑛𝑔𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑒𝑛 𝑠'𝑜𝑝𝑝𝑜𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑣𝑖𝑜𝑙𝑒𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑀𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑃𝑒́𝑝𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝐻𝑒𝑟𝑠𝑡𝑎𝑙 (635‑714), 𝑚𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑐𝑎𝑟𝑜𝑙𝑖𝑛𝑔𝑖𝑒𝑛 𝑑'𝐴𝑢𝑠𝑡𝑟𝑎𝑠𝑖𝑒 𝑎̀ 𝑞𝑢𝑖 𝑖𝑙 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑟𝑖𝑚𝑎 𝑙𝑒 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑔𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑛𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑠𝑎 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒. 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑚𝑖𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑢𝑛 𝑓𝑟𝑒𝑖𝑛 𝑎̀ 𝑙'𝑒𝑥𝑝𝑎𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝐸́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑅𝑜𝑚𝑒 𝑒𝑡 𝑠'𝑜𝑝𝑝𝑜𝑠𝑎 𝑎𝑢𝑥 𝑛𝑜𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑑'𝑖𝑛𝑑𝑒́𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠. 𝐼𝑙 𝑠'𝑎𝑡𝑡𝑎𝑐ℎ𝑎 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑎̀ 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑎𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑠𝑠𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑒́𝑑𝑒́𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝐶ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒́𝑟𝑖𝑐 𝐼𝐼, 𝑢𝑛 𝑀𝑒́𝑟𝑜𝑣𝑖𝑛𝑔𝑖𝑒𝑛. 𝐼𝑙 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑎𝑛𝑡𝑎 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑚𝑒́𝑟𝑜𝑣𝑖𝑛𝑔𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑎̀ 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦. 𝐶𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢𝑟𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑎 𝑝𝑒𝑟𝑡𝑒, 𝑒𝑡 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑜𝑡 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑃𝑒́𝑝𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝐻𝑒𝑟𝑠𝑡𝑎𝑙 (𝑠𝑢𝑟 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝐸́𝑏𝑟𝑜𝑖̈𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠), 𝑓𝑢𝑡 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒́ 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑖𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑝𝑒. 𝐋’𝐚𝐬𝐬𝐚𝐬𝐬𝐢𝐧𝐚𝐭 𝐝𝐞 𝐃𝐚𝐠𝐨𝐛𝐞𝐫𝐭 𝐈𝐈 𝐞𝐧 𝟔𝟕𝟗 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑙𝑒 23 𝑑𝑒́𝑐𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒 679. 𝐴𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑐ℎ𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑒̂𝑡 𝑑𝑒 𝑊𝑜𝑒̈𝑣𝑟𝑒 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦 (𝑎𝑢 𝑛𝑜𝑟𝑑 𝑑𝑒 𝑉𝑒𝑟𝑑𝑢𝑛 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒), 𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑟𝑟𝑒̂𝑡𝑒 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑠'𝑒𝑛𝑑𝑜𝑟𝑡. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑎 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑚𝑝𝑟𝑢𝑑𝑒𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑙𝑜𝑖𝑔𝑛𝑒́𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒. 𝐼𝑠𝑜𝑙𝑒́, 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑎𝑠𝑠𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑢𝑛 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠. 𝐼𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑢𝑒́ 𝑑'𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑑𝑒 𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'œ𝑖𝑙 𝑒𝑡 𝑜𝑛 𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑐𝑙𝑜𝑢𝑒́ 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑎𝑟𝑏𝑟𝑒. 𝐼𝑙 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 27 𝑎𝑛𝑠. 𝑆𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑐𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑟𝑎𝑚𝑒𝑛𝑎 𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑎̀ 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑚𝑜𝑦 𝑒𝑡 𝑖𝑙 𝑓𝑢𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒́ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑠𝑖𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑅𝑒́𝑚𝑖 𝑑𝑒 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦. 𝐽𝑜𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑒𝑛𝑜𝑚𝑚𝑒́𝑒 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑓𝑢𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑙𝑎𝑚𝑒́ 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑚𝑎𝑟𝑡𝑦𝑟. 𝐿𝑒 10 𝑠𝑒𝑝𝑡𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒 872, 𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎 𝑝𝑎𝑟 ℎ𝑎𝑠𝑎𝑟𝑑, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑐ℎœ𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑠𝑖𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼. 𝐿𝑒 𝑅𝑜𝑖 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑙𝑒𝑠 𝐼𝐼 𝑙𝑒 𝐶ℎ𝑎𝑢𝑣𝑒 𝑒𝑥ℎ𝑢𝑚𝑎 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎 𝑎̀ 𝐷𝑜𝑢𝑧𝑦 𝑜𝑢̀ 𝑖𝑙 𝑓𝑢𝑡 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑎𝑛𝑜𝑛𝑖𝑠𝑒́ 𝑙𝑒 10 𝑠𝑒𝑝𝑡𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒 872 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑖𝑙𝑒 𝑚𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑝𝑜𝑙𝑖𝑡𝑎𝑖𝑛. 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑙𝑒𝑠 𝐼𝐼 𝑓𝑖𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑎̀ 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦, 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑠𝑖𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡. 𝑈𝑛𝑒 𝑐ℎ𝑎̂𝑠𝑠𝑒 𝑑'𝑜𝑟 𝑒𝑡 𝑑'𝑎𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑢𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙'𝑜𝑐𝑐𝑎𝑠𝑖𝑜𝑛. 𝑂𝑛 𝑦 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒𝑟𝑎 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑎𝑙𝑙𝑎 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑏𝑏𝑎𝑦𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑢𝑣𝑖𝑔𝑛𝑦. 𝐿'𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑖𝑒́𝑡𝑒́ 𝑑'𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑖𝑔𝑛𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛. 𝑃𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑, 𝑒𝑛 1093, 𝑢𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛, 𝑑𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑚𝑒́𝑟𝑜𝑣𝑖𝑛𝑔𝑖𝑒𝑛, 𝑠𝑖𝑒́𝑔𝑒𝑎 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑟𝑒́𝑐𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑐𝑡𝑢𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝐸𝑛 1789, 𝑙𝑎 𝑅𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒́𝑡𝑟𝑢𝑖𝑠𝑖𝑡 𝑙'𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑒𝑟𝑠𝑒́𝑒𝑠. 𝑆𝑒𝑢𝑙, 𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑟𝑎̂𝑛𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑟𝑒́𝑐𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑠œ𝑢𝑟𝑠 𝑛𝑜𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑀𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑛 𝐵𝑒𝑙𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐋𝐚 𝐥𝐞́𝐠𝐞𝐧𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐒𝐢𝐠𝐢𝐬𝐛𝐞𝐫𝐭 𝐈𝐕, 𝐟𝐢𝐥𝐬 𝐝𝐞 𝐃𝐚𝐠𝐨𝐛𝐞𝐫𝐭 𝐈𝐈 𝐶𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑅𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑙𝑒 𝐶ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝐷𝑎𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐶ℎ𝑒𝑣𝑎𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝐵𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑔𝑒𝑟 𝑆𝑎𝑢𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑙𝑒𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑚𝑒́𝑟𝑜𝑣𝑖𝑛𝑔𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒. 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑢 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑢𝑛 𝑓𝑖𝑙𝑠, 𝑆𝑖𝑔𝑖𝑠𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝑉 𝑒𝑛 676 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝐺𝑖𝑠𝑒̀𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑅ℎ𝑒𝑑𝑎𝑒 († 678). 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠, 𝑖𝑙 𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑚𝑜𝑟𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑒̂𝑡 𝑑𝑒 𝑊𝑜𝑒̈𝑣𝑟𝑒, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑖𝑙 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑣𝑒́𝑐𝑢, 𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑒́ 𝑎𝑓𝑖𝑛 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑛𝑒 𝑠𝑢𝑏𝑖𝑠𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑒̀𝑟𝑒. 𝐿'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑜𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑛'𝑒𝑢𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑖𝑙𝑠, 𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛 𝑒́𝑙𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡 𝑑'𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝑂𝑛 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑒́𝑑𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑓𝑎𝑖𝑠𝑐𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑜𝑚𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑛𝑞𝑢𝑒̂𝑡𝑒 𝑝𝑜𝑙𝑖𝑐𝑖𝑒̀𝑟𝑒. 𝐴𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙'𝑎𝑠𝑠𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛𝑎𝑡 𝑑𝑒 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑃𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠, 𝐸𝑏𝑟𝑜𝑖𝑛, 𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑣𝑜𝑢𝑙𝑢 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑓𝑖𝑛𝑖𝑟 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑆𝑖𝑔𝑖𝑠𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝑉, 𝑟𝑜𝑖 𝑝𝑜𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙. 𝐼𝑙 𝑑𝑒́𝑝𝑙𝑜𝑦𝑎 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑝𝑎𝑟𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑎̀ 𝑠𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑛𝑠. 𝐶𝑜𝑛𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑑𝑎𝑛𝑔𝑒𝑟, 𝐺𝑖𝑠𝑒̀𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑅ℎ𝑒𝑑𝑎𝑒, 𝑙𝑎 𝑚𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑢𝑡𝑢𝑟 𝑟𝑜𝑖, 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑑𝑎 𝑑𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒́𝑔𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝑙'𝑒́𝑙𝑜𝑖𝑔𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦. 𝐼𝑙 𝑓𝑎𝑙𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑛𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑐𝑟𝑒̀𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑦𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑜𝑡, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑙𝑒 𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑏𝑟𝑖 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑠𝑢̂𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡. 𝐸𝑏𝑟𝑜𝑖𝑛 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑎 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑆𝑖𝑔𝑖𝑠𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝑉 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛, 𝑒𝑛 𝑣𝑎𝑖𝑛. 𝐺𝑖𝑠𝑒̀𝑙𝑒, 𝑎𝑖𝑑𝑒́𝑒 𝑑'ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑣𝑜𝑢𝑒́𝑠 𝑎̀ 𝑠𝑎 𝑐𝑎𝑢𝑠𝑒, 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑎 𝑙𝑒 𝑣𝑜𝑦𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑖𝑙𝑠. 𝐶𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑢𝑛 𝑣𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒́𝑗𝑜𝑢𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑢𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑡𝑒́𝑠 𝑒𝑡 𝑏𝑟𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠. 𝑆𝑖𝑔𝑖𝑠𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝑉 𝑓𝑢𝑡 𝑒𝑛𝑣𝑜𝑦𝑒́ 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑒𝑛𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑑𝑖𝑎𝑚𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑝𝑝𝑜𝑠𝑒́ 𝑎̀ 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐶𝑜𝑚𝑡𝑒́ 𝑑𝑢 𝑅𝑎𝑧𝑒̀𝑠, 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑖𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑢𝑑 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐺𝑎𝑢𝑙𝑒... 𝑎̀ 𝑅ℎ𝑒𝑑𝑎𝑒 (𝑅𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑙𝑒 𝐶ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢). 𝐴̀ 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒, 𝑅𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑙𝑒 𝐶ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑤𝑖𝑠𝑖𝑔𝑜𝑡ℎ𝑒. 𝐿𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑎𝑑𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑒́𝑒 𝑎𝑢 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑖𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑡𝑒́𝑚𝑜𝑖𝑔𝑛𝑎𝑔𝑒 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖, 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒́𝑝𝑢𝑡𝑒́𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑟𝑒𝑛𝑎𝑏𝑙𝑒. 𝐷𝑢 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑡, 𝑙𝑎 𝑣𝑢𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝐴𝑢𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑆𝑎𝑙𝑠. 𝐿𝑒𝑠 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒𝑛𝑡 𝑑'𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 : 𝑅ℎ𝑒𝑑𝑎𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝐶𝑎𝑟𝑐𝑎𝑠𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑁𝑎𝑟𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑥𝑡𝑒, 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑒́𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑆𝑖𝑔𝑖𝑠𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝑉, 𝑚𝑖𝑠 𝑎𝑢 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡, 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑢 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝐴𝑖𝑛𝑠𝑖, 𝑙𝑒 𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼, 𝑑𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑅𝑒𝑗𝑒𝑡𝑜𝑛 𝐴𝑟𝑑𝑒𝑛𝑡, 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑖𝑠 𝑑'𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒́𝑒 𝑚𝑒́𝑟𝑜𝑣𝑖𝑛𝑔𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑎̀ 𝑅𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝐿𝑒 𝐶ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑐𝑎𝑠 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑡ℎ𝑒̀𝑠𝑒𝑠. 𝐵𝑖𝑒𝑛 𝑠𝑢̂𝑟, 𝑖𝑙 𝑛'𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑢𝑣𝑒 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑐𝑖. 𝐐𝐮𝐞 𝐬𝐞𝐫𝐚𝐢𝐭 𝐝𝐞𝐯𝐞𝐧𝐮 𝐥𝐞 𝐫𝐨𝐢 𝐩𝐞𝐫𝐝𝐮 𝐒𝐢𝐠𝐢𝐬𝐛𝐞𝐫𝐭 𝐈𝐕 ? 𝑂𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑙𝑒 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒𝑡, 𝑐𝑎𝑟 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑛'𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒. 𝐼𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑆𝑖𝑔𝑖𝑠𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝑉 𝑠'𝑖𝑙 𝑒𝑢𝑡 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒́, 𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑚𝑜𝑟𝑡 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒, 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒 𝑡𝑒𝑛𝑢 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑒 𝑒𝑥𝑡𝑟𝑒̂𝑚𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒. 𝑁𝑒́𝑎𝑛𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠, 𝑙𝑒 𝑃𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒́ 𝑑𝑒 𝑆𝐼𝑂𝑁 𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒𝑠 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑠𝑢̂𝑟 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑝𝑟𝑒́𝑡𝑒𝑟 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑝𝑟𝑢𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑖𝑔𝑛𝑜𝑟𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑜𝑏𝑗𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́. 𝑂𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝐷𝑎𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐶ℎ𝑒𝑣𝑎𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑆𝑎𝑢𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝐴𝑛𝑡𝑜𝑖𝑛𝑒 𝐵𝑖𝑔𝑜𝑢 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑒𝑙 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑙'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑦𝑝𝑡𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑀𝑎𝑟𝑖𝑒 𝑀𝑎𝑑𝑒𝑙𝑒𝑖𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑒́𝑝𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑔𝑖𝑠𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝑉. 200 𝑎𝑛𝑠 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼, 𝑠𝑎 𝑠𝑒́𝑝𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 ℎ𝑎𝑠𝑎𝑟𝑑 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑐ℎœ𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑠𝑖𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡‑𝑅𝑒́𝑚𝑦 𝑑𝑒 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦 𝑜𝑢̀ 𝑖𝑙 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒́. 𝐿𝑒 𝑟𝑜𝑖 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑙𝑒𝑠 𝐼𝐼 𝑙𝑒 𝐶ℎ𝑎𝑢𝑣𝑒 𝑓𝑖𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑒𝑥ℎ𝑢𝑚𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑒́𝑟𝑎 𝑎̀ 𝐷𝑜𝑢𝑧𝑦 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑛𝑜𝑛𝑖𝑠𝑒𝑟. 𝐶𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒 10 𝑠𝑒𝑝𝑡𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒 872 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑖𝑙𝑒 𝑚𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑝𝑜𝑙𝑖𝑡𝑎𝑖𝑛 𝑑'𝑒́𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒𝑠. 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙'𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑚𝑎𝑟𝑡𝑦𝑟. 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑙𝑒𝑠 𝐼𝐼 𝑓𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑎̀ 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦, 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑠𝑖𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡. 𝑈𝑛𝑒 𝑐ℎ𝑎̂𝑠𝑠𝑒 𝑑'𝑜𝑟 𝑒𝑡 𝑑'𝑎𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑢𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑦 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑎𝑙𝑙𝑎 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑏𝑏𝑎𝑦𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑢𝑣𝑖𝑔𝑛𝑦. 𝐸𝑛 1069, 𝑙𝑒 𝐷𝑢𝑐 𝑑𝑒 𝐿𝑜𝑟𝑟𝑎𝑖𝑛𝑒, 𝑞𝑢𝑖 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑‑𝑝𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛, 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑙'𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑒́𝑝𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑓𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑡𝑜𝑢𝑟𝑛𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑝𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝑎̀ 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦. 𝐿𝑎 𝑏𝑎𝑠𝑖𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡‑𝑅𝑒́𝑚𝑦 𝑑𝑒 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑙'𝑜𝑏𝑗𝑒𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑒̂𝑡𝑒 𝑎𝑛𝑛𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙𝑒 23 𝑑𝑒́𝑐𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒, 𝑟𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑎𝑢 𝑟𝑜𝑖 𝑝𝑒𝑟𝑑𝑢. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑡𝑡𝑎𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑢𝑔𝑢𝑒𝑛𝑜𝑡𝑠 𝑎̀ 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦 𝑒𝑛 1591, 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑒𝑟𝑠𝑒́𝑒𝑠. 𝑇𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 ? 𝑁𝑜𝑛, 𝑐𝑎𝑟 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑙𝑒 𝑐𝑟𝑎̂𝑛𝑒 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑜𝑠𝑒́ 𝑑𝑒 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑓𝑢𝑡 𝑚𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑏𝑟𝑖 𝑎̀ 𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑅𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑐𝑟𝑎̂𝑛𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒𝑎 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑖𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝐼𝑙 𝑓𝑢𝑡 𝑟𝑒́𝑐𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑆œ𝑢𝑟𝑠 𝑁𝑜𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑀𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑛 𝐵𝑒𝑙𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒́ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑀𝑎𝑑𝑒𝑙𝑒𝑖𝑛𝑒. 𝐼𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝ℎ𝑜𝑡𝑜 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑢𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑏𝑙𝑒𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑡 𝑑𝑢 𝑐𝑟𝑎̂𝑛𝑒. 𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑑𝑢𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑡𝑢𝑚𝑒 𝑚𝑒́𝑟𝑜𝑣𝑖𝑛𝑔𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑒́𝑝𝑎𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐸𝑛 1910, 𝑀𝑔𝑟 𝑀𝑎𝑛𝑔𝑖𝑛, 𝑐𝑢𝑟𝑒́ 𝑑𝑒 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦, 𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑚𝑖𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑑𝑒̀𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑟𝑎𝑚𝑒𝑛𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑟𝑎̂𝑛𝑒 𝑎̀ 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦. 𝐶'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑔𝑒𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑠œ𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑀𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑟𝑒́𝑓𝑢𝑔𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 ℎ𝑖𝑒́𝑟𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑓𝑢𝑠𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝑀𝑔𝑟 𝑀𝑎𝑛𝑔𝑖𝑛 𝑚𝑜𝑢𝑟𝑢𝑡 𝑙𝑒 9 𝑠𝑒𝑝𝑡𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒 1914 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑎𝑏𝑜𝑢𝑡𝑖𝑟. 𝐿𝑒 𝑓𝑙𝑎𝑚𝑏𝑒𝑎𝑢 𝑓𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑒𝑛 1962 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑎𝑏𝑏𝑒́ 𝑉𝑖𝑔𝑛𝑒𝑟𝑜𝑛, 𝑐𝑢𝑟𝑒́ 𝑑𝑒 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦. 𝑃𝑜𝑢𝑟𝑠𝑢𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑠, 𝑙'𝑎𝑏𝑏𝑒́ 𝑉𝑖𝑔𝑛𝑒𝑟𝑜𝑛 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑎 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑟𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑀𝑔𝑟 𝑀𝑎𝑛𝑔𝑖𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑡 𝑑'𝑢𝑛 𝑐𝑢𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑎𝑛𝑢𝑠𝑐𝑟𝑖𝑡. 𝑀𝑔𝑟 𝑀𝑎𝑛𝑔𝑖𝑛 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑙'𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒𝑚𝑖𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑛𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑅𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́ 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑞𝑢𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑑'𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑒́𝑟𝑒́ 𝑎̀ 𝑀𝑜𝑛𝑠. 𝑄𝑢𝑒 𝑑𝑖𝑡 𝑐𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒𝑚𝑖𝑛 ? 𝐿'𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒́ 𝑑𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 𝐼𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒, 𝑎𝑏𝑏𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑑'𝑂𝑒𝑟𝑒𝑛 𝑒𝑛 708, 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼, 𝑟𝑎𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒 𝑙'𝑎𝑠𝑠𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛𝑎𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑒̀𝑟𝑒, 𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑓𝑢𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑟𝑒̀𝑟𝑒 𝑆𝑖𝑔𝑖𝑠𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝑉 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑎𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒 𝑑'𝑂𝑒𝑟𝑒𝑛, 𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑙𝑒 17 𝑗𝑎𝑛𝑣𝑖𝑒𝑟 681 𝑎̀ 𝑅ℎ𝑒𝑑𝑎𝑒, 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑅𝑎𝑧𝑒̀𝑠. Une ville plus connue aujourd’hui sous le nom de Rennes-le-Château, le village qui occupe le sommet de la colline de Rhedae, célèbre pour ses légendes de trésors et ses mystères, bien au-delà de l’énigme de l’abbé Saunière… 𝐆𝐨𝐝𝐞𝐟𝐫𝐨𝐲 𝐝𝐞 𝐁𝐨𝐮𝐢𝐥𝐥𝐨𝐧, 𝐥𝐚 𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐂𝐫𝐨𝐢𝐬𝐚𝐝𝐞, 𝐉𝐞́𝐫𝐮𝐬𝐚𝐥𝐞𝐦 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐟𝐨𝐧𝐝𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥'𝐎𝐫𝐝𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐒𝐢𝐨𝐧 Si Godefroy de Bouillon est bien connu des historiens pour avoir été l'un des grands commandants de la Première Croisade et l'artisan de la libération de Jérusalem, il l'est encore plus d'un certain milieu ésotérique pour son rôle de supposé fondateur du mythique Ordre de Sion, qui s'apparente au célèbre Prieuré de Sion révélé par Pierre Plantard et popularisé par le Da Vinci Code de Dan Brown. Cette mythologie du Prieuré de Sion et l'hypothétique liste de ses grands-maîtres se fondent sur des documents déposés à la BnF dans les années 1950, connus aujourd'hui sous le nom de "Dossiers secrets d'Henri Lobineau". Voici la thèse qu'ils véhiculent (𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝑹𝒆𝒏𝒏𝒆𝒔-𝒍𝒆-𝑪𝒉𝒂̂𝒕𝒆𝒂𝒖 𝑨𝒓𝒄𝒉𝒊𝒗𝒆𝒔) : 𝑆𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝐷𝑜𝑠𝑠𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡𝑠, 𝑙'𝑂𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́ 𝑒𝑛 𝑇𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑒 15 𝑗𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑡 1099, 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑒́𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚. 𝐷'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑐𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑐𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑑𝑒 1090. 𝑆𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑣𝑖𝑐𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒, 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛 𝑜𝑟𝑑𝑜𝑛𝑛𝑎 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑏𝑏𝑎𝑦𝑒 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑡𝑟𝑒 𝐷𝑎𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛, 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑏𝑦𝑧𝑎𝑛𝑡𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑎𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝐼𝑉𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑒́𝑒 𝑠𝑢𝑟 "𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑖𝑛𝑒 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒" 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑡 𝑆𝑖𝑜𝑛, 𝑒𝑛 𝑑𝑒ℎ𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚, 𝑎𝑢 𝑠𝑢𝑑 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛. 𝐴𝑖𝑛𝑠𝑖, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑜𝑛 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 "𝑙𝑎 𝑚𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒𝑠" 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑡 𝑙'𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑒́𝑝𝑢𝑙𝑐𝑟𝑒. 𝑃𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒, 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑏𝑏𝑎𝑦𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒́𝑒 𝑎𝑏𝑟𝑖𝑡𝑎 𝑑𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑔𝑢𝑠𝑡𝑖𝑛𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛 𝑢𝑡𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟𝑠. 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑚𝑏𝑖𝑡𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑖𝑙 𝑠𝑒 𝑏𝑎𝑡𝑡𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑒𝑎𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑟𝑜̂𝑛𝑒 𝑙'𝑒́𝑠𝑜𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑇𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑅𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒. 𝐷𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒́𝑒 𝑛𝑎𝑞𝑢𝑖𝑡 𝑙'𝑂𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛. 𝐼𝑙 𝑚𝑜𝑢𝑟𝑢𝑡 𝑙𝑒 18 𝑗𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑡 1100. 𝑇𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝐷𝑜𝑠𝑠𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟𝑠 𝑝𝑟𝑒̂𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒̀𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑒́𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑂𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢'𝑒𝑛 1118, 𝐻𝑢𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑃𝑎𝑦𝑒𝑛, 𝐵𝑖𝑠𝑜𝑙 𝑑𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑂𝑚𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝐻𝑢𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐶ℎ𝑎𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑐𝑟𝑒́𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑂𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒. 𝑈𝑛 𝑎𝑛 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑, 𝐻𝑢𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑃𝑎𝑦𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑃𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒́ 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑂𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑝𝑒, 𝑐𝑒𝑡 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑙𝑒𝑟𝑖𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑡 𝑙'𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑒𝑡 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑂𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛. 𝐸𝑡 𝑎̀ 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑎𝑡𝑒, 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑙𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑟𝑎𝑝𝑖𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒. 𝐷𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑜𝑝𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑐𝑜ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑒𝑟 : 𝐿'𝑂𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑛𝑖𝑡𝑒́ 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝑂𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑥𝑒́𝑐𝑢𝑡𝑖𝑓. 𝐿𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟, 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡, 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑃𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒́ 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛. 𝐿𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛𝑑, 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥, 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠. 𝐿𝑒 𝑟𝑒̂𝑣𝑒 𝑑𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒́ : 𝑙'𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑒𝑎𝑛 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑡 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒, 𝑎𝑟𝑚𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑃𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒́ 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛 𝑣𝑒́𝑐𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑎𝑙𝑙𝑒̀𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 40 𝑎𝑛𝑠 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢'𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑠𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒̀𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑛 1188. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑟𝑒́𝑡𝑖𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑛 𝑁𝑜𝑟𝑚𝑎𝑛𝑑𝑖𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝐺𝑖𝑠𝑜𝑟𝑠. 𝐋𝐞 𝐥𝐢𝐞𝐧 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐆𝐨𝐝𝐞𝐟𝐫𝐨𝐲 𝐝𝐞 𝐁𝐨𝐮𝐢𝐥𝐥𝐨𝐧, 𝐒𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐥𝐞́𝐠𝐞𝐧𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐚𝐛𝐛𝐚𝐲𝐞 𝐝'𝐎𝐫𝐯𝐚𝐥 𝑈𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠, 𝑣𝑜𝑖𝑐𝑖 𝑢𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 "𝑐𝑜𝑖̈𝑛𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒" ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒 𝑙'𝑎𝑓𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑅𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑙𝑒 𝐶ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢 𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑜𝑓𝑓𝑟𝑖𝑟. 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒, 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙'𝑎𝑛 𝑑𝑒 𝑔𝑟𝑎̂𝑐𝑒 1070, 𝑠𝑜𝑖𝑡 29 𝑎𝑛𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑎𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚. 𝐸𝑛 𝑙'𝑎𝑛 875, 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑏𝑒́𝑛𝑒́𝑑𝑖𝑐𝑡𝑖𝑛𝑠 𝑒𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑒𝑛𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑎𝑙𝑎𝑏𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑚𝑒𝑛𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑢𝑛 𝑑'𝑒𝑢𝑥, 𝑈𝑟𝑠𝑢𝑠, 𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑒̂𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑟𝑑𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠, 𝑛𝑜𝑛 𝑙𝑜𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦. 𝐼𝑙𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑚𝑚𝑒́𝑑𝑖𝑎𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒́𝑔𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑀𝑎𝑡ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑠𝑐𝑎𝑛𝑒, 𝑑𝑢𝑐ℎ𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑜𝑟𝑟𝑎𝑖𝑛𝑒, 𝑒́𝑝𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑦 𝑙𝑒 𝑏𝑜𝑠𝑠𝑢, 𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑚𝑒̀𝑟𝑒 𝑎𝑑𝑜𝑝𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑑𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛. 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑙𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑠𝑠𝑢 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑓𝑎𝑚𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦, 𝑟𝑒𝑛𝑑𝑢𝑒 𝑓𝑎𝑚𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒́𝑒 𝑚𝑒́𝑟𝑜𝑣𝑖𝑛𝑔𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝐷𝑎𝑔𝑜𝑏𝑒𝑟𝑡 𝐼𝐼 𝑎𝑠𝑠𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛𝑒́ 𝑒𝑛 𝑙'𝑎𝑛 679... 𝐿𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑠𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐶𝑜𝑚𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝐶ℎ𝑖𝑛𝑦 𝑎̀ 𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙, 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑀𝑎𝑡ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑠𝑐𝑎𝑛𝑒. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑑𝑟𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑 𝑙'𝑎𝑏𝑏𝑎𝑦𝑒 𝑑'𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙. 𝐿𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖𝑡𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙 𝑒𝑡 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑎𝑟𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒𝑠 𝑒𝑛 1108. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑎𝑑𝑒. 𝐶𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑠 𝑑𝑒 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑙'𝑒𝑟𝑚𝑖𝑡𝑒, 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑒𝑝𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑝𝑒 𝑈𝑟𝑏𝑎𝑖𝑛 𝐼𝐼, 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑒̀𝑠 1095 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑜𝑢𝑟𝑖𝑟 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝐴𝑙𝑙𝑒𝑚𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑚𝑒𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒 : "𝐼𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑐ℎ𝑟𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑢 𝐶ℎ𝑟𝑖𝑠𝑡 𝑒𝑡 𝑎𝑟𝑟𝑎𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑇𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑠𝑢𝑙𝑚𝑎𝑛𝑠". 𝐸𝑛 1131, 𝑙'𝑎𝑏𝑏𝑎𝑦𝑒 𝑑'𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙 𝑟𝑒𝑐̧𝑢𝑡 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝐵𝑒𝑟𝑛𝑎𝑟𝑑 𝑑𝑒 𝐶𝑙𝑎𝑖𝑟𝑣𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑡 𝑐𝑖𝑠𝑡𝑒𝑟𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒. 𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑒́ 𝑎̀ 25 𝑘𝑚 𝑑𝑒 𝑆𝑡𝑒𝑛𝑎𝑦 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑙𝑜𝑐𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑜𝑛 ℎ𝑎𝑢𝑡 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑖𝑡𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛𝑎̂𝑔𝑒𝑢𝑠𝑒. 𝐿'𝑎𝑏𝑏𝑎𝑦𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝐵𝑒𝑟𝑛𝑎𝑟𝑑 𝑑𝑒 𝐶𝑙𝑎𝑖𝑟𝑣𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑢 𝑋𝐼𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑢𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑙𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠. 𝐿'𝑎𝑏𝑏𝑎𝑦𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 900 𝑎𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑣𝑖𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎𝑢 𝑙𝑜𝑛𝑔 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑖𝑙𝑙𝑢𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑀𝑎𝑙𝑎𝑐ℎ𝑖𝑒 𝑜𝑢 𝑁𝑜𝑠𝑡𝑟𝑎𝑑𝑎𝑚𝑢𝑠. 𝐸𝑛 1076, 𝑀𝑎𝑡ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑠𝑐𝑎𝑛𝑒, 𝑀𝑎𝑟𝑞𝑢𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑚𝑒̀𝑟𝑒 𝑎𝑑𝑜𝑝𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑑𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛, 𝑝𝑒𝑟𝑑𝑖𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑚𝑎𝑟𝑖 𝑎𝑠𝑠𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑢𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑎̀ 𝑔𝑎𝑔𝑒𝑠. 𝑃𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑, 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑚𝑒𝑛𝑎𝑑𝑒, 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑔𝑙𝑖𝑠𝑠𝑎 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑔𝑒𝑙𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑆𝑒𝑚𝑜𝑖𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑒 𝑛𝑜𝑦𝑎. 𝐿𝑒 𝑁𝑜𝑚 "𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙" 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 : 𝑎𝑐𝑐𝑎𝑏𝑙𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑑𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟, 𝑀𝑎𝑡ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑎 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑐𝑙𝑜𝑖̂𝑡𝑟𝑒́𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑎𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑒, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑'𝑜𝑢̀ 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑎𝑢 𝑓𝑟𝑜𝑖𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑖𝑚𝑝𝑖𝑑𝑒. 𝐴𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑜𝑛𝑔𝑒𝑎 𝑠𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑦 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑎𝑢, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑒𝑓𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑎𝑙𝑙𝑖𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑛𝑢𝑝𝑡𝑖𝑎𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑢𝑏𝑖𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑖𝑡𝑡𝑒́ 𝑠𝑜𝑛 𝑑𝑜𝑖𝑔𝑡 𝑒𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑒́𝑒 𝑎𝑢 𝑓𝑜𝑛𝑑 𝑑𝑢 𝑏𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛. 𝐿𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑎𝑛𝑛𝑒𝑎𝑢 𝑑'𝑜𝑟 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑎𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒. 𝐿𝑎 𝑓𝑜𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑'𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙 𝐿𝑎 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑖𝑠𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑜𝑟𝑎 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑢𝑖 𝑟𝑎𝑚𝑒𝑛𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑏𝑖𝑗𝑜𝑢 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑣œ𝑢 𝑓𝑢𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖𝑡𝑜̂𝑡 𝑒𝑥𝑎𝑢𝑐𝑒́ 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑞𝑢'𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑏𝑜𝑛𝑑𝑖𝑡 ℎ𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑡 𝑗𝑒𝑡𝑎 𝑙'𝑎𝑛𝑛𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑛. 𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑠'𝑒𝑥𝑐𝑙𝑎𝑚𝑎 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖𝑡𝑜̂𝑡 : "𝑉𝑜𝑖𝑐𝑖 𝑙'𝑜𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑎𝑖𝑠, ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑚𝑒 𝑙'𝑎 𝑟𝑒𝑛𝑑𝑢𝑒, 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠'𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑠𝑜𝑟𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒 𝑉𝑎𝑙 𝑑𝑒 𝑙'𝑂𝑟". 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑑𝑎 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑎𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑏𝑒́𝑛𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙. 𝐶𝑢𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑠𝑒 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑒 𝑏𝑖𝑏𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 : 𝐿𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑡𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑀𝑎𝑡ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑠𝑐𝑎𝑛𝑒 (𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑒́ 𝑎̀ 𝑆𝑡 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑅𝑜𝑚𝑒 𝑎𝑢 𝑉𝑎𝑡𝑖𝑐𝑎𝑛) 𝑆𝑎𝑙𝑜𝑚𝑜𝑛, 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑗𝑒𝑡𝑒́ 𝑢𝑛 𝑎𝑛𝑛𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑚𝑒𝑟, 𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑝𝑜𝑖𝑠𝑠𝑜𝑛, 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑢𝑖 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑠𝑎 𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑡𝑖𝑚𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑛 𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚. 𝐿𝑎 𝑝𝑎𝑟𝑎𝑏𝑜𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑀𝑎𝑡ℎ𝑖𝑙𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑠𝑐𝑎𝑛𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑒̀𝑟𝑒 𝑎𝑑𝑜𝑝𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑑𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑦 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑢𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑠𝑒́ 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚. 𝐶𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙'𝑎𝑛𝑛𝑒𝑎𝑢 𝑟𝑒𝑛𝑣𝑜𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑒́𝑣𝑖𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑒 : 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑒́𝑠, 𝑖𝑡𝑎𝑙𝑖𝑒𝑛𝑠, 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑏𝑏𝑎𝑦𝑒, 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 "𝐶𝑒𝑟𝑐𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝐻𝑖𝑒́𝑟𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑉𝑎𝑙 𝑑'𝑂𝑟". 𝐶𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑛𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑈𝑟𝑠𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠'𝑒́𝑙𝑜𝑖𝑔𝑛𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑐ℎ𝑟𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑜𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑞𝑢'𝑖𝑙𝑠 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒́𝑒 𝑒́𝑠𝑜𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝐽𝑒𝑎𝑛. 𝐿'𝑎𝑏𝑏𝑎𝑦𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑐𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑒𝑛 1793 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑀𝑒𝑡𝑧 . 𝐶𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑐𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑝ℎ𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑃ℎ𝑖𝑙𝑖𝑝𝑝𝑒 𝐷𝑖𝑒𝑢𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́ 𝑒𝑡 𝑁𝑜𝑒̈𝑙 𝑂𝑙𝑖𝑣𝑎𝑟𝑖𝑢𝑠, 𝑐ℎ𝑖𝑟𝑢𝑟𝑔𝑖𝑒𝑛 𝑒𝑡 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒. 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑐𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑠𝑡𝑟𝑎𝑑𝑎𝑚𝑢𝑠. 𝑄𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙 ? 𝐿𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑠𝑠𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡𝑠 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑐𝑒𝑠. 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑎𝑡𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑒́𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑂𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛 : 1099 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚, 𝑒𝑡 1090 𝑠𝑜𝑖𝑡 9 𝑎𝑛𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑜̂𝑡. 𝑆𝑖 𝑙'𝑜𝑛 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑜𝑠𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑒́𝑠 𝑒𝑡 𝑞𝑢'𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒́𝑒 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑒𝑟 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑓𝑖𝑙 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑖𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙, 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛, 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑒𝑝𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑙'𝑒𝑟𝑚𝑖𝑡𝑒, 𝑎𝑟𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑓𝑒𝑛𝑠𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑎𝑑𝑒. 𝐼𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑙'𝑒𝑟𝑚𝑖𝑡𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙'𝑢𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠. 𝑄𝑢'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑣𝑒𝑛𝑢𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑙𝑎𝑏𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙 ? 𝐼𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑜𝑏𝑗𝑒𝑐𝑡𝑖𝑓 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒 𝑠𝑢𝑓𝑓𝑖𝑠𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑚𝑒𝑛𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑎𝑑𝑒. 𝐶𝑒 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑙'𝑒𝑟𝑚𝑖𝑡𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑑'𝑂𝑟𝑣𝑎𝑙 𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑝𝑎𝑠 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑏𝑏𝑎𝑦𝑒 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑡𝑟𝑒 𝐷𝑎𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛 ? 𝐸𝑡 𝑠𝑖 𝑜𝑢𝑖, 𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑖𝑙𝑠 𝑎̀ 𝑙'𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑂𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛, 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑒𝑥𝑒́𝑐𝑢𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚 ? 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑎𝑏𝑙𝑒 ... 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑙'𝐸𝑟𝑚𝑖𝑡𝑒, 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑣𝑟𝑎𝑖 𝑛𝑜𝑚 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑'𝐴𝑐ℎ𝑒𝑟𝑖𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑'𝐴𝑚𝑖𝑒𝑛𝑠. 𝐼𝑙 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚 𝑒𝑛 1093 𝑜𝑢̀ 𝐼𝑙 𝑒𝑢𝑡, 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑒́𝑝𝑢𝑙𝑐𝑟𝑒, 𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 : "𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑙𝑒̀𝑣𝑒 𝑡𝑜𝑖 ! 𝐶𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑎𝑛𝑛𝑜𝑛𝑐𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑚𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑝𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛. 𝑄𝑢𝑒 𝑚𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑚𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑑𝑒́𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒́𝑒!" 𝐷𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑃𝑎𝑙𝑒𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒, 𝑖𝑙 𝑠𝑒 𝑗𝑒𝑡𝑎 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑖𝑒𝑑𝑠 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑝𝑒 𝑈𝑟𝑏𝑎𝑖𝑛 𝐼𝐼 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑒 𝑚𝑖𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑛𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒. 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑙'𝐸𝑟𝑚𝑖𝑡𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑜𝑢𝑟𝑢𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑙'𝐸𝑢𝑟𝑜𝑝𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑢𝑙𝑒, 𝑝𝑖𝑒𝑑𝑠 𝑛𝑢𝑠, 𝑢𝑛 𝑐𝑟𝑢𝑐𝑖𝑓𝑖𝑥 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑛. 𝑂𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑒́𝑙𝑜𝑞𝑢𝑒𝑛𝑡, 𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑡 𝑓𝑎𝑛𝑎𝑡𝑖𝑠𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑐𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑐𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑛𝑣𝑜𝑦𝑒́ 𝑑𝑒 𝑑𝑖𝑒𝑢. 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑙'𝐸𝑟𝑚𝑖𝑡𝑒 𝑚𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑙'𝐸𝑟𝑚𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑎𝑙 𝑝𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑐𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑎𝑑𝑒. 𝐼𝑙 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖̂𝑛𝑎 𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑎 𝑇𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑛 1096, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑚𝑜𝑢𝑟𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑑'𝑎𝑡𝑡𝑒𝑖𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑏𝑢𝑡. 𝐸𝑛 1099, 𝑖𝑙 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑖𝑝𝑎 𝑎𝑢 𝑠𝑖𝑒̀𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚 𝑒𝑛 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛 ℎ𝑎𝑟𝑎𝑛𝑔𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑒́𝑠. 𝐿𝑒 𝑝𝑎𝑝𝑒 𝑈𝑟𝑏𝑎𝑖𝑛 𝐼𝐼 𝑐𝑜𝑛𝑣𝑜𝑞𝑢𝑎 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑖𝑙𝑒 𝑙𝑒 14 𝑛𝑜𝑣𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒 1095 𝑎̀ 𝐶𝑙𝑒𝑟𝑚𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑠'𝑎𝑑𝑟𝑒𝑠𝑠𝑎 𝑎𝑢𝑥 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒. 𝑆𝑜𝑛 𝑑𝑖𝑠𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑠𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑎 𝑝𝑎𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑡𝑠 : "𝐷𝑖𝑒𝑢 𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑢𝑡 ! 𝐷𝑖𝑒𝑢 𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑢𝑡 !" 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒𝑥𝑐𝑙𝑎𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑎𝑑𝑒𝑠. 𝐴𝑢 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙, 𝑖𝑙𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 100 000 𝑐𝑎𝑣𝑎𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠, 300 000 𝑓𝑎𝑛𝑡𝑎𝑠𝑠𝑖𝑛𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠, 𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑎𝑟𝑑𝑠, 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠... 𝐴𝑢 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 600 000 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒́𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒𝑟 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚. 𝐿𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑎𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐𝑒𝑟. 𝐸𝑛 1099, 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚, 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑙𝑎𝑣𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑓𝑢𝑡 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑒́. 𝐿𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑖𝑝𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝐺𝑢𝑖𝑙𝑙𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑦𝑟 𝑑𝑖𝑟𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑒́𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝐶𝑎𝑙𝑎𝑏𝑟𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢 𝑝𝑎𝑟𝑚𝑖 𝑒𝑢𝑥 (𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑐𝑒 𝑈𝑟𝑠𝑢𝑠 ?) 𝑄𝑢𝑒𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙'𝑜𝑏𝑗𝑒𝑐𝑡𝑖𝑓 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑜𝑛 ? 𝑇𝑜𝑢𝑡 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑙𝑖𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑟𝑜𝑖 : 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚. 𝑇𝑜𝑢𝑡 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑓𝑢𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑠𝑒́ 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑙𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑟𝑒𝑓𝑢𝑠𝑎 𝑝𝑟𝑒́𝑓𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒𝑟 𝑠𝑎 𝑚𝑖𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑓𝑒𝑛𝑠𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑒́𝑝𝑢𝑙𝑐𝑟𝑒. 𝑆𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝐷𝑜𝑠𝑠𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡𝑠 𝑖𝑙 𝑓𝑢𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑒́ 𝑎𝑢 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑚𝑒́𝑟𝑜𝑣𝑖𝑛𝑔𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒. 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖 𝑟𝑒𝑓𝑢𝑠𝑎 𝑒𝑡 𝑐𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑟𝑒̀𝑟𝑒 𝐵𝑎𝑢𝑑𝑜𝑖𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑐𝑐𝑒𝑝𝑡𝑎 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑜̂𝑛𝑒. 𝑂𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑒𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑐𝑎𝑠 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑣𝑜𝑙𝑜𝑛𝑡𝑒́ 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑙𝑎𝑣𝑒 𝑑𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑙𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑡𝑖𝑡𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖. 𝐵𝑎𝑢𝑑𝑜𝑖𝑛 1𝑒𝑟, 𝑓𝑟𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝐺𝑜𝑑𝑒𝑓𝑟𝑜𝑖, 𝑓𝑢𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑜𝑛𝑛𝑒́ 𝑙𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑒̈𝑙 1100. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑺𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒃𝒃𝒂𝒚𝒆 𝒅'𝑶𝒓𝒗𝒂𝒍 ; 𝑽𝒊𝒔𝒊𝒕 𝑨𝒓𝒅𝒆𝒏𝒏𝒆 ; 𝑴𝒆𝒓𝒄𝒖𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝑮𝒂𝒊𝒍𝒍𝒐𝒏 (𝒅𝒐𝒔𝒔𝒊𝒆𝒓 𝒅𝒖 𝒎𝒂𝒈𝒂𝒛𝒊𝒏𝒆 𝒏°4 𝒅𝒆𝒔 𝑨𝒓𝒄𝒉𝒊𝒗𝒆𝒔 𝒅𝒖 𝑺𝒆𝒓𝒑𝒆𝒏𝒕 𝑹𝒐𝒖𝒈𝒆) ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝑹𝒆𝒏𝒏𝒆𝒔-𝒍𝒆-𝑪𝒉𝒂̂𝒕𝒆𝒂𝒖 𝑨𝒓𝒄𝒉𝒊𝒗𝒆𝒔 (𝒍𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒊-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔) ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"Indispensable pour Beer Lovers!"

@jsprite

"Ancienne abbaye qu'on peut visiter (brasserie trappiste) Très sympa Boutique souvenirs où un peut acheter des verres et des bières et autre Y a la Orval vieille (ma préférée), la Orval jeune et la Orval verte (pas incroyable) Difficile d'accès si on a pas de voiture, comme c'est à la campagne y a genre 2 bus par jour"

@est.feg

"Super jolie ! Par contre beaucoup d’explications sur les moines etc.. et la bière ou le fromage pas de dégustation .. mais ça vaut le coup quand même "

@alexianem00

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