Elbi

"cuisine égyptienne prometteuse avec une belle déco et un super service Askip "

@gaelthbs

"Ces temps-ci, Omar Dhiab est au four et au moulin. A l’heure du déjeuner, on trouve le chef dans le 1er arrondissement de Paris, tiré à quatre épingles pour se fondre dans le décor feutré de sa table étoilée, posée tout près de la place des Victoires. Le soir, l’homme troque sa veste contre un tee-shirt et un tablier blancs, avant de rejoindre les cuisines d’Elbi, adresse nettement plus décontractée qu’il inaugurait, fin mai, au 54 de la rue de Paradis, dans le 10e. Une double vie loin de déplaire au trentenaire, qui se félicite au contraire d’être aux manettes de deux établissements a priori aux antipodes. Côté pile, le restaurant gastronomique classique, avec ses fauteuils en laine bouclée et son atmosphère tamisée ; côté face, à moins de 2 kilomètres, un écrin tout en longueur fait d’alu, de béton brossé et de tubes LED, dont on doit l’allure ultra-contemporaine au studio d’architecture Mur. Mur. Deux lieux, deux ambiances, « mais le même ADN », assure Omar Dhiab. Né en région parisienne d’une mère tunisienne et d’un père égyptien, l’intéressé est connu pour teinter la plupart de ses préparations de subtiles allusions à ses racines méditerranéennes. « Mettre en avant les saveurs de mon enfance en me servant de la technique française, c’est ce que j’ai toujours fait, peut-être dans une moindre mesure au restaurant gastronomique. Certains clients regrettaient que je ne rende pas un hommage encore plus franc à mes origines », glisse celui qui entend bien changer la donne avec Elbi (« cœur », en arabe). Un hawawshi farci au bœuf Un simple survol de la carte suffit pour constater qu’il a tenu promesse. S’y succèdent une vingtaine d’intitulés classés selon leur mode de cuisson – vapeur, frit, grillé, rôti… –, tous inspirés des séjours du chef en Egypte. Parmi eux, une impeccable aubergine laquée à la mélasse de grenade et à la crème de sésame ; une harissa mijotée discrètement relevée ; et une salade de tomates, concombres et oignons, dont on retient surtout le jus gorgé d’épices. Suivra un hawawshi, autre référence à l’héritage égyptien du cuisinier. Une sorte de pita, nous dit-il, farcie au bœuf avant d’être cuite dans un four à pizza. Ce pain garni servi brûlant, aussi croustillant sur les bords que parfumé à cœur, s’accommode avec l’acidité des légumes en pickles (bâtonnets de carottes, têtes de choux-fleurs, lamelles d’oignons rouges et piments doux) qui l’escortent. Il se pourrait bien que l’on tienne là le climax du repas. La volaille de Bresse à la corète d’Omar Dhiab : « C’était le plat du dimanche midi de mon père » A moins que ce ne soit avec ces morceaux de volaille désossée, alanguis sur une nappe de sauce à la corète potagère (« “molokheya” pour les intimes », précise la carte). « Mon poulet du dimanche à moi ! », résume Omar Dhiab, avant de poursuivre au sujet de l’accompagnement : « C’est avec ce plat que se marie le mieux le riz traditionnel égyptien. Un mélange de riz blanc et de vermicelles grillés, cuit dans un bouillon, puis recouvert d’oignons frits et de cébette. » De quoi magnifier le goût délicat de la corète, cette plante aux notes herbacées et légèrement amères, semblables à celles de l’épinard ou de l’oseille D’autres assiettes se voulant plus hybrides parfont l’expérience. A l’instar du scotch egg à l’égyptienne, maligne revisite de cet emblème de la cuisine écossaise, la chair à saucisse en moins, l’enrobage à la façon d’un falafel en plus. Mais aussi cet œuf cocotte façon « beurrette », relecture cette fois de l’œuf en meurette, plat bourguignon, ici exempt de vin rouge mais rehaussé d’un ragoût de merguez. Ou encore de ce sorbet à la fraise, dont le doux parfum débonnaire est relevé par l’intensité de l’olive noire, déclinée en huile et en morceaux On n’en attendait pas moins d’un homme au parcours jalonné d’expériences étoilées – du Pavillon Ledoyen (trois astres au Michelin), dirigé à l’époque par Christian Le Squer, au restaurant Lasserre (autrefois triplement étoilé, sous la houlette de Christophe Moret), en passant par Loiseau Rive Gauche (une étoile au Guide rouge), où il prit sa première place de chef en 2019. Six ans plus tard, non content d’avoir une table gastronomique à son nom, Omar Dhiab brille dans le registre de la bistronomie égyptienne. Un grand écart dont il confie, tout sourire, « avoir toujours rêvé »."

@jnelson

"Concept de la carte original, les plats sont rangés par températures de cuisson. Service au top. Plats originaux un peu relevés. "

@mariepgn

"45-50€/tête sans vin Menu en fonction des températures de cuisson"

@a.desegonzac

"2e table du chef Dhiab plus chill que l'ambiance gastro, français rempli d'accents égyptiens. Ambiance métal brossé et néons "

@antoine.poli

"4 juillet 2025 Ouverture du restaurant joli lieu Tour est ok mais rien de transcendant - il manque à chaque fois un twist bonus harissa et salade"

@simonmounia

"Carte 40-70€. Tendance orientale mais classique aussi "

@laurentgrc

"Fusion orientale Environ 50 par personne "

@thomasfauthoux

"Bistrot égyptien Nouveau "

@maelis.flet3

"égyptien excellent ~80€/pers"

@alxrba

"Bistrot inspiration égyptienne Recommandé par Wanda"

@lucie.leforestier

"adresse d’Omar Dhiab, est un bistrot contemporain où la convivialité et le partage sont rois. Inspiré des origines égyptiennes du chef, le lieu propose une cuisine créative, rythmée par les saisons. "

@nickoparis15

"Bistrot égyptien avec une vrai cuisine d’auteur et de bons goûts"

@theo.pouillet

"Cuisine ouverte, équipe hyper sympa et service parfait !! Coup de cœur pour l’aubergine laquée à la grenade ❤️"

@pippa.coates

"bistrot de Omar dhiab, fusion cuisine française et égyptienne "

@nolwennquere14

"bistrot égyptien chef omar dhiab"

@florabtl

"bistrot égyptien (hungryconsti)"

@annemarie.thomasemil

"Genial demande la cuvee speciale du chef ‘ "

@gaeldtr

"Manger au bar pour échanger avec le chef. Cuisine égyptienne ++"

@mariama.ka95

"60 euros mini reco Figaro second restaurant de l'etoilé Omar dhiab vin cher 13 euros le verre mini 45 euros la bouteille a essayer "

@chdelion

"Reco La Tribune du Dimanche "

@jeangeorges.dressel

"Nouveau restaurant du chef Omar Dhiab, qui propose des plats a partager. des plats d origine orientale. la cuisine est ouverte ce qui permet d observer ce que realisent les chefs en cuisine. La cuisine est succulente, l oeuf cocotte sauce merguez merguez un delice, la harissa sompteuse et le homard également "

@adrien.dejean

"Cuisine fraîche, épicée et créative "

@jccoulloux

"restaurant by Omar Dhiab, influence égyptienne et tunisienne "

@nsanjakdar