Église Notre-Dame de Dijon
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Église Notre-Dame de Dijon : un monument à voir

L'Église Notre-Dame de Dijon, située place Notre Dame dans le quartier éponyme, est un monument emblématique de la ville. Construite entre 1230 et 1250, cette église à l'architecture bourguignonne du XIIIe siècle a été fondée par des artisans locaux, témoignant du riche passé religieux et historique de Dijon. Elle conserve des éléments architecturaux remarquables, notamment ses gargouilles, ses vitraux colorés et sa façade ornementée, qui en font un site incontournable pour les amateurs d’histoire et de patrimoine. La légende veut que la chouette sculptée sur une chapelle attenante porte bonheur, une tradition locale que les visiteurs aiment perpétuer lors de leur visite.


L'Église Notre-Dame se distingue par ses points forts, notamment ses vitraux magnifiques, ses gargouilles anciennes et l’horloge Jacquemart, ramenée du beffroi de Courtrai. Elle offre une expérience unique pour ceux qui souhaitent découvrir un monument chargé d’histoire, tout en profitant d’une visite culturelle enrichissante. La proximité avec d’autres sites historiques en fait également un lieu idéal pour une exploration approfondie du centre-ville de Dijon.


L’ambiance à l’intérieur de l’église est à la fois paisible et chargée d’histoire, avec une décoration simple mais élégante. La lumière filtrant à travers les vitraux crée une atmosphère chaleureuse et contemplative. La structure, à la fois ancienne et authentique, reflète le charme d’un monument qui a su traverser les siècles tout en conservant son caractère original. La visite de Notre-Dame de Dijon reste une étape incontournable pour découvrir le patrimoine religieux et architectural de la région.


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#Monument #Eglise #Visite #Église #Culture
Ce qu'en disent les utilisateurs

"C’est la doyenne des églises de Dijon, et certainement la plus familière ! Commencée en 1230, elle fut achevée en 1250. Elle présente une façade remarquable avec son triple rang de fausses gargouilles encadrant de fines arcatures. Tout au-dessus, Jacquemart administre l’heure depuis 1383 : l’automate et son horloge furent ramenés du beffroi de Courtrai par Philippe le Hardi, comme prise de guerre. Une petite chouette sculptée sur une chapelle attenante à l’Eglise est devenue le porte bonheur de Dijon : la caresser de la main gauche en formulant un vœu fait partie de la tradition à Dijon ! 𝐋'𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐞́𝐠𝐥𝐢𝐬𝐞 𝐍𝐨𝐭𝐫𝐞-𝐃𝐚𝐦𝐞 A l'origine, l'église Notre-Dame-du-Marché est édifiée vers 1150, de style purement roman. Possession du monastère Saint-Etienne, elle devient église paroissiale en 1178 et dès 1183 abrite les archives de la Commune. L'église actuelle, du premier tiers du XIIIe siècle, est de style gothique. Elle est consacrée en 1334 par Hugues, évêque de Thabarie, en présence de l'abbé de Saint-Etienne. L'espace exigu encore disponible dans un quartier alors en pleine expansion, nécessita de véritables prouesses de construction. Son plan est en forme de croix latine. Une abside à 5 pans succède au choeur profond. Deux absidioles s'ouvrent entre choeur et transept. Le chevet dispose d'une élévation sur 4 niveaux. La nef en a 3 seulement ; elle est couverte de voûtes sexpartites. Les collatéraux disposent de voûtes quadripartites. Des similitudes architecturales et décoratives sont évidentes avec Saint-Etienne d'Auxerre et Notre-Dame d'Auxonne. Durant la Révolution, le décor sculpté des portails a été totalement détruit hormis deux têtes; l'intérieur fut ravagé. L'édifice déclaré « bien national » a servi de dépôt de marchandises. En 1860, enfin, une vaste campagne de restauration fut entreprise (architecte Jean-Charles Laisné). La flèche et le deuxième étage de la tour de croisée ont été remplacés par la tour-lanterne actuelle. La façade occidentale a également été modifiée. Des éléments sculptés furent déposés et remplacés par des copies, taillées à l'identique. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑫𝒊𝒋𝒐𝒏 𝑻𝒐𝒖𝒓𝒊𝒔𝒎𝒆 ; 𝒑𝒂𝒏𝒏𝒆𝒂𝒖𝒙 𝒅'𝒊𝒏𝒇𝒐𝒓𝒎𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝒎𝒖𝒔𝒆́𝒆 𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆́𝒐𝒍𝒐𝒈𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒊𝒋𝒐𝒏 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"Chef-d'œuvre de l'architecture bourguignonne du XIIIe siècle, Notre-Dame se distingue par sa façade embellie de délicates colonnettes et de rangs de fausses gargouilles. Couronnée par le "Jacquemart", trophée de guerre de Philippe le Hardi, cette sculpture rythme invariablement la vie du quartier. Le saviez-vous: il subsiste seulement quelques gargouilles datant du XIIIe siècle, présentes sur les côtés et à l'arrière de la façade. Selon la légende, un usurier, venu pour célébrer son mariage, aurait été écrasé par l'une de ces gargouilles ! Suite à cet incident, ses pairs ont réussi à obtenir le retrait de ces sculptures... Ce n'est qu'entre 1880 et 1882 que sept sculpteurs furent chargés de concevoir les gargouilles actuelles, reproductions fidèles de l'époque. Histoire de Jacquemart: Le duc acquit cette horloge à Courtal, en Belgique, en 1382 et la présenta aux Dijonnais en 1383, en signe de gratitude pour leur soutien pendant la guerre des Flandres. Au XVIIe siècle, les moqueries sur le célibat de Jacquemart ont conduit à l'ajout, en 1651, d'une compagne dénommée Jacqueline. En 1714, leur incapacité à avoir des enfants a été tournée en dérision, donnant naissance à un petit Jacquelinet. En 1884, Jacquelinette a rejoint le couple pour sonner les quarts d'heure avec eux."

@nadyainparis

"Très belle église celebre pour ses gargouilles 🗿 et ses vitraux "

@paulserveau

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Histoire Itinérante

@histoireitinerante

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"C’est la doyenne des églises de Dijon, et certainement la plus familière ! Commencée en 1230, elle fut achevée en 1250. Elle présente une façade remarquable avec son triple rang de fausses gargouilles encadrant de fines arcatures. Tout au-dessus, Jacquemart administre l’heure depuis 1383 : l’automate et son horloge furent ramenés du beffroi de Courtrai par Philippe le Hardi, comme prise de guerre. Une petite chouette sculptée sur une chapelle attenante à l’Eglise est devenue le porte bonheur de Dijon : la caresser de la main gauche en formulant un vœu fait partie de la tradition à Dijon ! 𝐋'𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐞́𝐠𝐥𝐢𝐬𝐞 𝐍𝐨𝐭𝐫𝐞-𝐃𝐚𝐦𝐞 A l'origine, l'église Notre-Dame-du-Marché est édifiée vers 1150, de style purement roman. Possession du monastère Saint-Etienne, elle devient église paroissiale en 1178 et dès 1183 abrite les archives de la Commune. L'église actuelle, du premier tiers du XIIIe siècle, est de style gothique. Elle est consacrée en 1334 par Hugues, évêque de Thabarie, en présence de l'abbé de Saint-Etienne. L'espace exigu encore disponible dans un quartier alors en pleine expansion, nécessita de véritables prouesses de construction. Son plan est en forme de croix latine. Une abside à 5 pans succède au choeur profond. Deux absidioles s'ouvrent entre choeur et transept. Le chevet dispose d'une élévation sur 4 niveaux. La nef en a 3 seulement ; elle est couverte de voûtes sexpartites. Les collatéraux disposent de voûtes quadripartites. Des similitudes architecturales et décoratives sont évidentes avec Saint-Etienne d'Auxerre et Notre-Dame d'Auxonne. Durant la Révolution, le décor sculpté des portails a été totalement détruit hormis deux têtes; l'intérieur fut ravagé. L'édifice déclaré « bien national » a servi de dépôt de marchandises. En 1860, enfin, une vaste campagne de restauration fut entreprise (architecte Jean-Charles Laisné). La flèche et le deuxième étage de la tour de croisée ont été remplacés par la tour-lanterne actuelle. La façade occidentale a également été modifiée. Des éléments sculptés furent déposés et remplacés par des copies, taillées à l'identique. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑫𝒊𝒋𝒐𝒏 𝑻𝒐𝒖𝒓𝒊𝒔𝒎𝒆 ; 𝒑𝒂𝒏𝒏𝒆𝒂𝒖𝒙 𝒅'𝒊𝒏𝒇𝒐𝒓𝒎𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝒎𝒖𝒔𝒆́𝒆 𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆́𝒐𝒍𝒐𝒈𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒊𝒋𝒐𝒏 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
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