Archeste, restaurant étoilé Michelin dans le 16e à Paris
Fondé en 2021 par le chef japonais Yoshiaki Ito, Archeste est rapidement devenu une référence dans le paysage gastronomique parisien. Situé au 79 Rue de la Tour dans le quartier de la Porte de Saint-Cloud, cet établissement propose une expérience culinaire exceptionnelle, mêlant techniques japonaises et saveurs françaises. Depuis son ouverture, il a su séduire les amateurs de gastronomie étoilée, notamment grâce à ses menus évolutifs et sa cuisine raffinée. La philosophie du chef repose sur l’utilisation de produits d’exception, issus de petits producteurs, pour offrir une cuisine authentique et inventive. La reconnaissance Michelin, avec une étoile, témoigne de la qualité et du savoir-faire présents dans chaque assiette. Archeste s’inscrit ainsi comme une adresse incontournable pour les gourmets en quête d’une expérience gastronomique unique à Paris. La réputation de Yoshiaki Ito, chef passionné, contribue à faire de cet établissement un lieu d’exception. La cuisine y est un véritable voyage sensoriel, où chaque plat est pensé comme une œuvre d’art culinaire.
L’atmosphère de l’Archeste est à la fois moderne et apaisante, avec un décor épuré aux tons beiges et grèges, évoquant un espace zen propice à la concentration et à la dégustation. La salle, confortable et élégante, dispose de tables bien espacées, favorisant l’intimité et la convivialité. La cuisine, orchestrée par le chef japonais, propose un menu à la carte ou en formule, avec des options de trois, six ou sept mouvements selon le moment de la journée. La finesse des plats, la sélection de vins et l’attention portée aux détails créent une ambiance sophistiquée mais chaleureuse, idéale pour apprécier pleinement chaque instant du repas. Archeste incarne ainsi l’alliance parfaite entre gastronomie étoilée, ambiance raffinée et respect des traditions culinaires, offrant une expérience mémorable à chaque visite.
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Guide Lebey 2020 des Restaurants
@guidelebey
"La salle à manger n'affiche pas toujours complet, surtout au déjeuner, et pourtant la cuisine de Yoshiaki Ito, d'une rare élégance, mériterait une plus grande affluence. L'établissement porte bien son nom (qu'il faut prononcer "arkeste") : ce mot-valise évoque à la fois l'art et l'orchestre, et en effet chaque plat est une petite oeuvre, pièce originale d'un repas symphonique. Au déjeuner, vous devrez simplement choisir le nombre de mouvements de votre concert gastronomique, soit trois soit six (au dîner, vous en aurez sept). Puis, dans ce décor zen qui invite à la concentration, sur des tons beiges et grèges, laissez-vous guider par le chef. Une longue séquence de plaisir commence à l'amuse-bouche, un beignet d'aubergine et parmesan flanqué d'une chips à l'encre de seiche et à la mousse de haddock, pour s'achever sur un somptueux finale, un café accompagné d'un cannelé au cognac et d'une géniale truffe au chocolat fourrée au thé noir (attention ça coule). Entre ces deux, entrées, plats et desserts sont virtuoses, purs, sans effets inutiles. Ici, chaque ingrédient a été patiemment choisi. Tous les produits peuvent produire leur carte d'identité : carottes d'Annie Bertin, en Bretagne, thon de Saint-Jean-de-Luz, beurre normand de la maison Borniambuc... Un peu plus de chaleur humaine suffirait à ranger cette adresse parmi les meilleures de l'ouest parisien."


Les adresses Laurent-Perrier
@champagnelaurentperrier


"Menu imposé , un voyage incroyable "
@bbgmarie
"Service bien trop lent 1* Moyen Je n’y retournerai pas "
@valeriedoucet
"La salle à manger n'affiche pas toujours complet, surtout au déjeuner, et pourtant la cuisine de Yoshiaki Ito, d'une rare élégance, mériterait une plus grande affluence. L'établissement porte bien son nom (qu'il faut prononcer "arkeste") : ce mot-valise évoque à la fois l'art et l'orchestre, et en effet chaque plat est une petite oeuvre, pièce originale d'un repas symphonique. Au déjeuner, vous devrez simplement choisir le nombre de mouvements de votre concert gastronomique, soit trois soit six (au dîner, vous en aurez sept). Puis, dans ce décor zen qui invite à la concentration, sur des tons beiges et grèges, laissez-vous guider par le chef. Une longue séquence de plaisir commence à l'amuse-bouche, un beignet d'aubergine et parmesan flanqué d'une chips à l'encre de seiche et à la mousse de haddock, pour s'achever sur un somptueux finale, un café accompagné d'un cannelé au cognac et d'une géniale truffe au chocolat fourrée au thé noir (attention ça coule). Entre ces deux, entrées, plats et desserts sont virtuoses, purs, sans effets inutiles. Ici, chaque ingrédient a été patiemment choisi. Tous les produits peuvent produire leur carte d'identité : carottes d'Annie Bertin, en Bretagne, thon de Saint-Jean-de-Luz, beurre normand de la maison Borniambuc... Un peu plus de chaleur humaine suffirait à ranger cette adresse parmi les meilleures de l'ouest parisien."
@guidelebey2024
"Gastronomique Nourriture française Recommandé par MyBetterSlef"
@margauxpenet
"Testé au déjeuner dans leur offre la plus « basique » (plat + dessert à 60€) … c’est en tous points remarquable et donne envie de revenir pour une expérience plus complète! Belle salle confortable, design, tables bien espacées, service « pro » et souriant pas guindé du tout (Janson de Sailly est juste à côté mais le restau ne fait pas 16e arrondissement bourgeois daté ennuyeux) Pour le déjeuner, une ribambelle d’amuse bouches et de délicieux petits-fours sont servis pour compléter le plat (lotte sauvage et champignons des bois) et le dessert (tarte tatin revisitée). Dans cette formule, ce sont le plat et le dessert du jour (on ne choisit pas sur une carte mais j’imagine que si un convive ne mangeait pas de poisson, ils auraient proposé une alternative) Une coupe de champagne (excellent à défaut d’être d’une maison très prestigieuse) et un verre de vin blanc (parfait « pairing » avec la lotte) Le tout de mon point de vue plus proche de 2 étoiles Michelin que d’une seule (leur classement actuel). Bravo au chef Yoshiaki Ito! (Le chef est Japonais mais la cuisine ne l’est pas - c’est gastronomique européen… peut-être utilisant des techniques Japonaises) "
@pierrejauffret
"昼 85€ 2 entrées plats dessert"
@bleriot
"Amoureux du terroir, le chef Yoshiaki Ito et toute l'équipe de l'Archeste vous accueillent pour vous faire vibrer au rythme des saisons, au gré de petits producteurs et leurs produits d'exception et nos vins de vignerons partageant notre passion pour la gastronomie."
@appartement
"1 étoile au Guide Michelin Les menus (3 ou 6 temps à midi, 7 le soir) évoluent chaque jour au gré des humeurs du chef."
@swingevent
"chef japonais. cuisine raffinée "
@ely18.malca
"Les chefs japonais passionnés par la cuisine française abondent désormais dans la capitale. Dans un 16e arrondissement ronronnant, cette belle adresse une étoile, bien tenue par Yoshiaki Ito, longtemps en cuisine chez Hiramatsu, mérite d’être saluée. Tables espacées, ambiance feutrée et service aux petits soins : ici, les plats se succèdent avec élégance dans un cadre épuré et reposant."
@deyv100
"Menu St Valentin covid février 2021 360€"
@babamorin
"La salle à manger n'affiche pas toujours complet, surtout au déjeuner, et pourtant la cuisine de Yoshiaki Ito, d'une rare élégance, mériterait une plus grande affluence. L'établissement porte bien son nom (qu'il faut prononcer "arkeste") : ce mot-valise évoque à la fois l'art et l'orchestre, et en effet chaque plat est une petite oeuvre, pièce originale d'un repas symphonique. Au déjeuner, vous devrez simplement choisir le nombre de mouvements de votre concert gastronomique, soit trois soit six (au dîner, vous en aurez sept). Puis, dans ce décor zen qui invite à la concentration, sur des tons beiges et grèges, laissez-vous guider par le chef. Une longue séquence de plaisir commence à l'amuse-bouche, un beignet d'aubergine et parmesan flanqué d'une chips à l'encre de seiche et à la mousse de haddock, pour s'achever sur un somptueux finale, un café accompagné d'un cannelé au cognac et d'une géniale truffe au chocolat fourrée au thé noir (attention ça coule). Entre ces deux, entrées, plats et desserts sont virtuoses, purs, sans effets inutiles. Ici, chaque ingrédient a été patiemment choisi. Tous les produits peuvent produire leur carte d'identité : carottes d'Annie Bertin, en Bretagne, thon de Saint-Jean-de-Luz, beurre normand de la maison Borniambuc... Un peu plus de chaleur humaine suffirait à ranger cette adresse parmi les meilleures de l'ouest parisien."
@guidelebey2020.restaurant
"(1*, 75016, 65/90€ dej, ferme Sam midi et dim)"
@french.gourmet
"Repas en 5 services très bon, de belles associations, cadre et environnement très calme, bon service"
@titanicswimteam
"Chef Yoshiaki au fourneau, 1 étoile, menu 48€ midi, 68€ et 98€"
@karinphilippe51