Fort de Bonne-Espérance
Fort de Bonne-Espérance Fort de Bonne-Espérance Fort de Bonne-Espérance Fort de Bonne-Espérance Fort de Bonne-Espérance Fort de Bonne-Espérance Fort de Bonne-Espérance Fort de Bonne-Espérance Fort de Bonne-Espérance
Vous pensez qu'il y a une erreur sur ce lieu ?

Vos retours sont importants pour nous. Si vous avez remarqué une erreur concernant ce lieu, merci de nous en informer pour que nous puissions la corriger.

Signaler une erreur
Propriétaire de ce lieu ?

Nous récupérons automatiquement les informations disponibles sur votre lieu. Si jamais celles-ci ne sont pas correctes, connectez-vous gratuitement sur notre tableau de bord pour les modifier et bonus, accédez à vos statistiques détaillées.

mapstr icon Modifier les informations de votre lieu
La communauté mapstr
Enregistré par

61 utilisateurs

#Tags souvent utilisés
#Zu versuchen #Museum #Visited #Activiteit #Activities
Ce qu'en disent les utilisateurs

"City’s oldest building, the seventeenth-century fort’s courtyards and rooms were the centre of colonial administration The Cape of Good Hope was named by the Portuguese navigator Bartholomew Diaz when he rounded it in 1487, and the Portuguese, under the command of Antonio de Saldanha, landed in Table Bay, more or less by mistake, in 1503. However, it was not until 1652 that the first permanent European settlement in South Africa was established. The Dutch East India Company sent Jan Van Riebeeck with three ships and ninety men to create a base at the foot of Table Mountain, which would serve as a staging post where ships going to and from the East could out in for supplies and repairs. Van Riebeeck built a small clay and timber fort and laid out a garden for growing vegetables and fruit, which is still there today as a botanical garden. Although the early settlers were nervous about this strange country and its animals-they thought there were unicorns in the interior- -the base grew into Cape Town. A more substantial, five-pointed stone castle was built between 1666 and 1679 on Strand Street along the edge of the harbor-though the water has receded a long way since then. The Castle of Good Hope is South Africa's oldest survivind colonial building and the original bell-weighing just over 660 pounds (300 kg) -still hangs in the entrance tower. As a tribute to the castle's strength, it has never heard a shot fired in anger. The castle originally housed a church, bakery, workshops, living quarters, shops, and cells graffiti scrawled by prisoners can be seen in the dungeons. Under the British it was the government headquarters and since 1917 it has been used by the South African Defence Force. The Secunde's House is where the Dutch East India Company's deputy governor lived. The imposing battlements command fine views over Table Bay and there is a ceremonial changing of the guard every day. The castle also has a military museum and collections of Dutch furniture and paintings."

@nchavotier

Approuvé par 2 partenaires officiels
certified badge Histoire Itinérante

Histoire Itinérante

@histoireitinerante

1140followers 5332places
"Situé au cœur de la ville moderne du Cap, ce fort en étoile fut bâti par Hollandais au XVIIe siècle, sur la côte originelle de la baie de la Table (dorénavant au centre de la ville étant donné le terrain gagné sur la mer). 𝐋𝐚 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐮𝐫𝐨𝐩𝐞́𝐞𝐧𝐧𝐞 𝐝'𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐮 𝐒𝐮𝐝 Bâti par la Compagnie néerlandaise des Indes orientales entre 1666 et 1679, le fort remplaça une ancienne forteresse dénommé Redout Duijnhoop fait d'argile et de bois, construit par le Néerlandais Jan van Riebeeck à son arrivée au cap de Bonne-Espérance en 1652. Le but de ces deux ouvrages était de servir de station de relais et de réapprovisionnement pour les bateaux effectuant le voyage entre les Provinces-Unies et les Indes orientales néerlandaises. Au cours de l'année 1664, les tensions entre les Anglais et les Néerlandais s'accrurent avec des rumeurs de guerre imminente — la même année, le commandant Zacharias Wagenaer donna instruction de bâtir une forteresse pentagonale. Le 26 avril 1679, les cinq bastions furent dénommés d'après les titres principaux de Guillaume d'Orange : Leerdam à l'ouest, avec respectivement dans l'ordre des aiguilles d'une montre, Buren, Katzenelnbogen, Nassau et Oranje. En 1682, une porte ferma le porche ouvert vers l'océan. Un clocher, situé au-dessus de l'entrée principale, fut construit en 1684 — la cloche originelle, la plus vieille d'Afrique du Sud, fut coulée à Amsterdam en 1697 par Claude Frémy et pèse exactement 300 kilogrammes. Elle était utilisée pour annoncer l'heure, ainsi que pour avertir les colons en cas de danger, pouvant être entendue à 10 kilomètres de distance. Elle était également utilisée pour avertir d'annonces importantes. 𝐋'𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐥𝐨𝐧𝐢𝐞 𝐝𝐮 𝐂𝐚𝐩, 𝐝𝐞𝐬 𝐇𝐨𝐥𝐥𝐚𝐧𝐝𝐚𝐢𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐁𝐫𝐢𝐭𝐚𝐧𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 C'est le 3 février 1488, à Mossel Bay, que débarque pour la première fois sur les rives sud-africaines un équipage européen. Après avoir longé le sud-ouest de la côte africaine, la flotte, commandée par le Portugais Bartolomeu Dias, est emportée vers le sud, dépassant le point le plus méridional du continent. Après avoir continué vers l'est, il se dirige à nouveau vers le nord jusqu'au Rio do Infante (actuelle Great Fish river) avant de longer la côte vers l'ouest et, plus tard, d'atteindre le cap des Aiguilles. Sur le chemin du retour vers le Portugal, Dias repère ce qu'il nomme le « cap des Tempêtes » en raison des vents qui y sévissent et des courants qui y sont très forts. Ce cap est finalement rebaptisé cap de Bonne-Espérance (Cabo da Boa Esperança). Le premier navigateur européen à franchir concrètement le cap de Bonne-Espérance est un autre Portugais, Vasco de Gama, en 1497. Le 6 avril 1652, au commandement de cinq navires de la VOC (nommés Reijer, Oliphant, Goede Hoop, Walvisch, Dromedaris), le capitaine Jan van Riebeeck débarque dans la baie de la Montagne de la Table près de la péninsule du Cap de Bonne-Espérance, à la pointe sud-ouest de l’Afrique. C’est avec 90 pionniers dont seulement huit femmes qu’il fonde Le Cap, la cité-mère de la future République d’Afrique du Sud, alors simple comptoir commercial sur la Route des Indes. Jan van Riebeeck ne devait pas établir une colonie mais un établissement relais pour les navires en route vers les Indes orientales. Néanmoins, pour augmenter la production agricole de la colonie afin de nourrir la population et assurer le ravitaillement des navires, il recommanda que des colons soient libérés de leurs obligations vis-à-vis de la compagnie et autorisés à s’installer comme fermiers au Cap et à commercer. Lorsque les Néerlandais débarquent, la péninsule du Cap est habitée (depuis environ 2 500 ans2) par des Khoïkhoïs et des San, peu nombreux, que les Hollandais baptisent du nom de Hottentot (bégayeur). Le reste du territoire de l’actuelle Afrique du Sud est très peu peuplé, exception faite les hauts plateaux au sud du fleuve Limpopo (actuelle province du Limpopo) occupés par les peuples Sothos, dans l'est (actuel Mpumalanga) vivent les Tsongas, tandis que les peuples Ngunis (Zoulous, Xhosas et Swazis) se partagent la région méridionale à l'est de la Great Fish River, à 1 500 km à l'est du Cap3. Colonie néerlandaise officiellement établie à partir de 1691, elle s'est étendue progressivement durant les xviiie et xixe siècles pour atteindre 569 020 km2 au début du xxe siècle. En 1794, les Provinces-Unies sont occupées par la France lors des Guerres révolutionnaires, et deviennent la République batave (une République sœur, favorable à la France). En réponse, la colonie est occupée par les Britanniques en 1795, puis est rendue en 1803, et repasse définitivement sous pavillon britannique en 1806. Tout au long du xixe siècle, la colonie du Cap connaît un développement économique, politique territorial et démographique sans précédent. Dans les années 1825-1835, révulsés par le comportement des autorités britanniques, des milliers de Boers (les descendants des premiers colons néerlandais) s'organisèrent pour quitter la colonie du Cap lors du Grand Trek, et fonder les Républiques boers, qui se retrouvent directement au contact des populations Bantous. Lors de la formation de l'Union sud-africaine en 1910, elle perd son autonomie politique pour devenir la province du Cap, la plus grande des provinces du dominion mais la moins densément peuplée. En 1994, la province du Cap a été divisée en quatre nouvelles provinces : le Cap-Occidental, le Cap-Oriental, le Cap-Nord et une partie de la province du Nord-Ouest. 𝑱𝒆 𝒓𝒆𝒏𝒗𝒐𝒊𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒊𝒏𝒕𝒆́𝒓𝒆𝒔𝒔𝒆́(𝒆)𝒔 𝒅𝒆 𝒍'𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒏𝒄𝒊𝒆𝒏 𝑬𝒎𝒑𝒊𝒓𝒆 𝒏𝒆́𝒆𝒓𝒍𝒂𝒏𝒅𝒂𝒊𝒔 (𝒒𝒖𝒊 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒕𝒊𝒕𝒖𝒂 𝒍𝒂 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆̀𝒓𝒆 𝒑𝒖𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒎𝒂𝒓𝒊𝒕𝒊𝒎𝒆 𝒆𝒕 𝒎𝒂𝒓𝒄𝒉𝒂𝒏𝒅𝒆 𝒅𝒖 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒆 𝒂𝒖 𝑿𝑽𝑰𝑰𝒆 𝒔𝒊𝒆̀𝒄𝒍𝒆, 𝒑𝒆́𝒓𝒊𝒐𝒅𝒆 𝒅𝒖 𝒇𝒂𝒎𝒆𝒖𝒙 "𝑺𝒊𝒆̀𝒄𝒍𝒆 𝒅'𝑶𝒓 𝒉𝒐𝒍𝒍𝒂𝒏𝒅𝒂𝒊𝒔") 𝒗𝒆𝒓𝒔 𝒍'𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒆 𝒍𝒖𝒊 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒂𝒄𝒓𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒐𝒏 𝒃𝒍𝒐𝒈 (𝒍𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒊-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔 ⬇) !"
certified badge AFRIQUE DU SUD

AFRIQUE DU SUD

@petitfute

29followers 708places
"Le château de Bonne-Espérance est le second fort construit en terre sud-africaine par la Compagnie des Indes hollandaises, et le plus ancien encore intact. Les colons ont posé les premières pierres en 1666 et l'ont achevé au bout de treize ans. Ce mini-château fort pentagonal est flanqué de cinq bastions. Jusqu'en 1811, il était occupé par le gouverneur et des notables civils, mais aussi par les baraquements des soldats et des officiers, et des échoppes. Surnommé par les marins " la Taverne des mers ", il était le centre de toutes les décisions administratives locales. À l'arrivée des Anglais, il devient un quartier général militaire, il abrite toujours le siège de l'armée au Cap et on peut assister à la cérémonie de remise des clés de la garde. Dans le fort, un musée militaire retrace les conquêtes des colons et, à l'étage, la guerre anglo-boer, avec costumes et armes d'époque. Le bâtiment abrite également une collection d'antiquités et de tableaux légués par Williams Fehr, datant des XVIII e  et XIX e  siècles, l'âge d'or du mobilier " Cape Dutch ". Depuis le " Kat Balcony ", annonces publiques, sentences judiciaires et proclamations officielles étaient lues aux colons, esclaves et soldats rassemblés dans la cour. Le style intérieur " Cape Dutch " est caractérisé par des meubles austères, imposants et rustiques, à l'image de la colonie. Dans la deuxième cour, vous pouvez visiter des salles de torture et des oubliettes où l'on enfermait les esclaves et les Hottentots rebelles, attachés à des anneaux encore accrochés au mur."
Autres lieux à voir autour
La meilleure expérience Mapstr est sur l'application mobile.
Enregistrez vos meilleures adresses, partagez les plus belles avec vos amis, découvrez les recommendations de vos magazines et influcenceurs préférés.