Teatro Greco
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Teatro Greco - Parco Archeologico di Siracusa

Le Teatro Greco à Siracusa est un site incontournable pour les amateurs d'archéologie et d'histoire. Ce théâtre, taillé dans le flanc rocheux de la colline, est un véritable joyau architectural datant du Ve siècle av. J.-C. Avec une capacité de 16 000 personnes, il a été le théâtre des dernières tragédies d'Eschyle, dont 'Les Perses', jouées pour la première fois en présence de l'auteur. Chaque année, au printemps, le théâtre propose un programme de spectacles classiques. Venez visiter ce monument historique et découvrez l'évolution de son architecture, des modifications romaines aux ajouts des Arabes, Vikings et Espagnols. Une visite pendant une représentation théâtrale vous plongera au cœur de l'histoire de ce lieu fascinant.

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#Tags souvent utilisés
#Visite #Monument #Architecture #Culture #Architettura
Ce qu'en disent les utilisateurs

"parc archeologique de neapolis 3 🌟 michelin"

@illan.vescovali

"Greek theatre carved directly from limestone. After Greek period, romans modified with arches for a Greco-Roman theatre. Next came Arabs and vikings adding tombs at the back. Lastly, the Spanish removed a portion to add windmills (removed now)"

@degerhar

"Attrazione dal fascino architettonico ma consigliata la visita durante rappresentazioni teatrali "

@gaiag97

"𝑽𝒆𝒔𝒕𝒊𝒈𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒎𝒑𝒉𝒊𝒕𝒉𝒆́𝒂̂𝒕𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒏𝒄𝒊𝒆𝒏𝒏𝒆 𝒄𝒊𝒕𝒆́ 𝒈𝒓𝒆𝒄𝒒𝒖𝒆. 𝑽𝒐𝒊𝒓 𝒂𝒖𝒔𝒔𝒊 𝒍𝒆 𝒄𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒇𝒊𝒙𝒆́ 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒑𝒆𝒕𝒊𝒕𝒆 𝒊̂𝒍𝒆 𝒅'𝑶𝒓𝒕𝒚𝒈𝒊𝒆, 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒔𝒆𝒔 𝒆́𝒈𝒍𝒊𝒔𝒆𝒔 𝒃𝒂𝒓𝒐𝒒𝒖𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝑫𝒖𝒐𝒎𝒐 𝒎𝒆̂𝒍𝒂𝒏𝒕 𝒍𝒆𝒔 𝒔𝒕𝒚𝒍𝒆𝒔. Syracuse, la deuxième colonie grecque en Sicile, fut fondée par les Corinthiens en 743 après J.-C. et est décrite par Cicéron comme « la plus grande cité grecque et la plus belle de toutes ». Syracuse ou « ‘Pentapolis » fut construite en cinq parties, encore visibles aujourd’hui, dont Ortygia, qui forme la base de tous les développements urbanistiques et architectoniques des époques qui se succédèrent. Cette partie du bien recèle des traces du temple d’Apollon, construit dans le style dorique et le plus ancien de la Grèce occidentale (VIe siècle avant J.-C.), et le temple d’Athéna, édifié en l’honneur de la victoire de Gélon sur les Carthaginois en 480 de notre ère, réutilisé comme église à partir du VIe siècle ap. J.-C. et reconstruit comme cathédrale baroque, à la fin du XVIIe siècle. La Néapolis abrite les vestiges archéologiques de sanctuaires et d’ensembles impressionnants, un théâtre, les latomies, le tombeau dit d’« Archimède » et l’amphithéâtre. De nombreuse structures attestent l’évolution continue de la ville à l’époque des Romains, des Byzantins aux Bourbons, avec des épisodes de colonisation par les Arabo-Musulmans, les Normands, Frédéric II de la dynastie des Hohenstaufen (1197-1250), les Aragonais et l’époque du royaume des Deux–Siciles. 𝐋𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐥𝐨𝐧𝐢𝐞𝐬 𝐠𝐫𝐞𝐜𝐪𝐮𝐞𝐬 Le mot colonie, issu du latin colonia, s'est substitué au grec apoikia qui désignait une fondation sur une terre étrangère. Les premières colonies grecques remontent à l'époque des troubles graves qui entraînèrent la chute de la puissance mycénienne. Fuyant leurs terres peu fertiles et menacées par la guerre, les paysans émigrèrent d'abord vers les côtes d'Asie Mineure, puis vers celles de la mer Noire, de l'Afrique, de la Gaule, de l'Espagne et, plus particulière- ment, vers la Sicile et l'Italie méridionale. Entre le VIII et le VI° siècle av. J.-C., ces mouvements prirent une grande ampleur, les émigrants devant fuir les famines et la menace perse. Plus tard, au IVe siècle av. J.-C., dans le sillage des conquêtes d'Alexandre, les Grecs fondèrent des colonies en Orient, marquant profondément de leur culture l'Égypte, la Syrie, la Perse et l'Afghanistan jusqu'aux confins de l'Inde. A la fin du IVe siècle av. J.-C., l'hellénisme at- teignit sa plus vaste expansion. De l'Espagne à l'Indus, les voyageurs grecs trouvaient des comptoirs ou des colonies occupés par des compatriotes dont ils partageaient la langue, les croyances et les coutumes. Parmi les colonies les plus célèbres, Massilia, devenue Mar- seille, fut fondée par des Grecs venus de Phocée en Asie Mineure, Syracuse par des émigrés de Corinthe, Sybaris par des Grecs d'Achaïe. Demeurant fidèlement attachées à leur métropole, ces colonies avaient cependant une totale indépendance et, à leur tour, établissaient des colonies, telles Camarina et Akrai, issues de Syracuse, ou encore Métaponte et Paestum, créées par Sybaris. Outre ces colonies devenues autonomes, le plus souvent puissantes et prospères, existaient d'autres établissements, les "clérouquies", qui demeuraient entièrement liés et subordonnés à la métropole. Sur les territoires des Clérouquies athéniennes, installées d'abord dans l'île d'Eubée puis dans les différentes îles de la mer Egée, Athènes constituait des lots attribués aux citoyens les plus pauvres de la cité, par un système de tirage au sort, ou kléros, d'où le nom de ces fondations. La décision d'émigrer était soumise à la consultation d'un oracle ; par la bouche d'un prêtre ou d'une prêtresse, le dieu transmettait l'avis prophétique. Les oracles les plus recherchés étaient ceux d'Apollon à Delphes et de Zeus à Dodone. La cité envoyait une délégation qui interrogeait le dieu sur l'opportunité du départ, le choix du pays d'émigration et l'emplacement précis d'édification de la future ville. La décision étant prise, la métropole réunissait alors tous ceux qui désiraient faire partie de l'aventure. La plupart étaient des citoyens pauvres ou ruinés, ou des métèques ; dans la nouvelle cité, ils devenaient tous égaux. Certains régimes autoritaires profitaient de l'occasion pour mettre des opposants politiques sur la liste des partants... Parfois, pour alléger la cité, un tirage au sort désignait pour le départ un enfant mâle par famille. Sous la conduite d'un oeciste, ceux qui partaient avec bagages et animaux emportaient, symboliquement, le feu sacré, prélevé sur l'autel d'Hestia, la protectrice de la cité et de la famille, pour allumer le premier foyer de la nouvelle fondation. Une fois les colons débarqués, des sacrifices étaient offerts aux dieux. Puis, les travaux d'implantation et de tracé de la ville, de son rempart et de ses rues, étaient confiés à des géomètres et à des architectes. 𝐋𝐚 𝐆𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐆𝐫𝐞̀𝐜𝐞 La Sicile et le sud de l'Italie furent à ce point colonisés par les Grecs qu'il devint d'usage de nommer cette région "La Grande Grèce" A Ségeste, Sélinonte, Syracuse et Paestum, s'élevaient de grandes cités dont la puissance s'exprimait dans d'orgueilleuses constructions, temples, théâtres, remparts. Ainsi, à Agrigente, six temples furent édifiés dont celui dit de "La Concorde" à la façade élégante, rythmée de six colonnes doriques. Souvent, plus qu'en Grèce, c'est en Sicile, en Italie du Sud ou en Asie Mineure que l'on trouve les témoins du génie architectural grec. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆 𝑳'𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑯𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔 : 𝒍𝒂 𝑴𝒆́𝒅𝒊𝒕𝒆𝒓𝒓𝒂𝒏𝒆́𝒆 (𝒆́𝒅𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝑪𝒂𝒔𝒕𝒆𝒓𝒎𝒂𝒏) ; 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍'𝑼𝑵𝑬𝑺𝑪𝑶 ; 𝑽𝒐𝒚𝒂𝒈𝒆 𝑰𝒕𝒂𝒍𝒊𝒆 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"Un des trois plus grands théâtres antiques."

@vincenttim91

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