Portugese Synagoge
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Portuguese Synagogue - Découvrez ce monument historique à Amsterdam

La Synagogue Portugaise, également connue sous le nom de Esnoga, est un monument historique incontournable à Amsterdam. Ce musée vivant de la culture juive vous invite à plonger dans son riche passé et à explorer ses trésors architecturaux. Lors de vos visites à Amsterdam, ne manquez pas l'occasion de découvrir ce joyau culturel et historique.

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#Monument #Culture #Visite #Museum #Musée
Ce qu'en disent les utilisateurs

"Nach Zugang Bibliothek fragen"

@jaqueline.bremmer3

"La plus grande synagogue au monde se trouve à Amsterdam ! Construite en 1675 par Elias Bouman, c'est un spectaculaire et magnifique bâtiment de pierre. Il a miraculeusement été épargné lors de la Seconde Guerre mondiale par Hitler qui souhaitait en faire un musée. La synagogue a été commandée par les juifs séfarades d'Espagne et du Portugal qui avaient fui leur pays sous l'Inquisition et souhaitaient pratiquer leur religion librement. L'édifice orienté vers le temple de Jérusalem est éclairé par de grandes verrières. L'intérieur est également inchangé depuis le XVIIe siècle. Pas de chauffage ni d'électricité, du sable par terre destiné à absorber l'humidité, l'atmosphère de cet endroit est hors du temps. Cette synagogue possède aussi une des bibliothèques judaïques les plus importantes au monde mais malheureusement non accessible au public. A ne pas manquer."

@collinlounis

"Can get 7 day pass to also see Jewish Museum"

@docbobnemo

"Érigée au cœur d’Amsterdam en 1675, la synagogue portugaise était à l’époque la plus grande synagogue au monde. Elle fut fondée par des Séfarades, ces juifs exilés d'Espagne et du Portugal suite au décret d'éviction de ces derniers pris par les Rois catholiques respectivement en 1492 et 1497. Nombre d'entre eux s'établir ensuite au cours des XVIe et XVIIe siècles aux Provinces-Unies, en particulier à Amsterdam, cité qui offrait alors une liberté et une tolérance religieuse et politique sans égale dans l'Europe de l'époque (alors déchirée par les guerres de religion). Comptant parmi eux beaucoup de marchands et d'artisans, ces anciens membres des communautés juives ibériques importèrent avec eux à Amsterdam leurs ressources financières et leurs réseaux, et contribuèrent largement au grand essor économique que vont connaître les Provinces-Unies au XVIIe siècle, qui allait faire de ce petit pays d'à peine quelques millions d'habitants la première puissance marchande et navale du monde (une période connue sous l'appellation de "Siècle d'Or néerlandais"). Ce lieu de culte est aujourd’hui encore ouvert au public et accueille régulièrement des concerts. Émerveillez-vous devant ses grands piliers en pierre et ses murs en plâtre. Appréciez également la finesse de son mobilier sombre éclairé par les 72 fenêtres. Depuis sa consécration, la synagogue n’a connu aucune source de lumière ou de chaleur électrique. Elle est simplement illuminée par les 1 000 bougies disposées dans des chandeliers en cuivre. Le sable recouvrant son plancher la protège de la poussière. 𝐀𝐦𝐬𝐭𝐞𝐫𝐝𝐚𝐦 : 𝐥𝐚 "𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞-𝐉𝐞́𝐫𝐮𝐬𝐚𝐥𝐞𝐦" 𝐝𝐞 𝐥'𝐞́𝐩𝐨𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐨𝐝𝐞𝐫𝐧𝐞 En 1571, les provinces hollandaises sont libérées du joug de la couronne d’Espagne. La liberté de culte qui règne aux Pays-Bas attire tous ceux qui sont opprimés pour leurs croyances. À la fin du XVIe siècle, de nombreux Juifs sont forcés de fuir la péninsule ibérique parce qu'on les contraint à se convertir au christianisme ou qu'ils sont persécutés pour leur religion et se réfugient notamment à Amsterdam, pour le climat de tolérance religieuse qui prévaut à l'époque dans la ville. Une grande communauté juive portugaise émerge. Les trois congrégations juives originelles d'Amsterdam, Beit Ya'aḳob (fondée par des Portugais en 1598), Neweh Shalom (fondée par des migrants d'Afrique du Nord en 1608) et Beit Yisrael (fondée en 1618) se consolident en 1638 en la congrégation unique appelée Talmud Torah et décident de bâtir un lieu commun de culte, afin d'assurer une union plus étroite pour accueillir les émigrés venus de différents pays, qui affluent en grand nombre à partir de 1640 pour vivre leur religion sans persécution sur cette « terre de liberté » surnommée la « Nouvelle Jérusalem ». Leurs anciens lieux de culte sont vendus ou transformés en Talmud Torah. Dans la seconde moitié du XVIIe siècle, les Juifs sont autorisés à construire des synagogues importantes visibles de la rue - alors que les catholiques doivent encore dissimuler leurs églises, telle celle de Ons' Lieve Heer op Solder construite en 1661-1663. La synagogue portugaise doit s'implanter sur l'ancienne digue Saint-Antoine. Elle n'a pas de cimetière à proximité immédiate et utilisera le cimetière Beit Haïm à Ouderkerk . La synagogue portugaise est construite entre 1671, quand la pierre angulaire du nouvel édifice est posée et 1675, quand la synagogue est consacrée. Elle est conçue sur des plans définitifs de 1670 par l'architecte municipal, ami des Juifs, Elias Bouwman (1636-1686) et l'architecte Daniël Stalpaert, dans des proportions imposantes durant le siècle d'or néerlandais où la communauté séfarade d'Amsterdam est en augmentation par l'arrivée constante de réfugiés et ses ressources financières florissantes. Lors de son inauguration en 1675, la congrégation portugaise d'Amsterdam compte 898 membres masculins dont 586 étaient mariés et 312 célibataires selon la Jewish Encyclopedia et à la fin du siècle, près de 7 500 séfarades et ashkénazes venus d'Allemagne puis de Pologne, selon l'historien contemporain néerlandais Edward van Voolen. Juifs et chrétiens ont chanté la gloire de cet édifice colossal, certainement la plus célèbre synagogue d'Europe car elle est la plus grande du monde d'alors. De nombreuses gravures sur cuivre existent encore, exécutées par les plus fameux graveurs hollandais, qui dépeignent ses proportions imposantes. En 1701, la synagogue de Bevis Marks à Londres est disposée sur son modèle. En 1732, elle sert de modèle à la synagogue Mikvé Israël-Emanuel de Willemstad à Curaçao et inspire en 1736, celle de Zedek ve Shalom ("Paix et Justice") à Paramaribo au Suriname. Autrefois nombreuse, la communauté juive portugaise d'Amsterdam se reconstruit après la Shoah où elle perdit 3 700 membres sur 4 300 qui la composaient avant guerre ; la synagogue compte de nos jours 250 familles affiliées à la communauté et environ 630 membres. Tous les hommes de la communauté respectent l'ancienne tradition de porter un chapeau haut de forme lors des fêtes et cérémonies juives qui ont lieu à Esnoga, et au moins le rabbin et le chef de la communauté en portent chaque shabbat. Du bâtiment synagogal initial, seule la synagogue portugaise remplit toujours sa fonction d'origine. Esnoga d'Amsterdam et la synagogue Alte-Neue de Prague sont les plus anciennes synagogues occidentales aujourd'hui en fonctionnement. 𝐔𝐧 𝐩𝐚𝐭𝐫𝐢𝐦𝐨𝐢𝐧𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐮𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐚𝐮 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞 Les bâtiments de service accueillent la congrégation Ets Haïm (Arbre de Vie) créée en 1616. Dans ses locaux se trouve la prestigieuse bibliothèque Livraria Montezinos qui est considérée comme l'une des plus importantes bibliothèques juives dans le monde. Elle est placée sur la liste du patrimoine mondial pour les documents de l'UNESCO qui reconnaît ainsi officiellement l'importance universelle de cette bibliothèque. Elle comprend quelque 30 000 ouvrages imprimés (de 1484 à nos jours) et 500 manuscrits (de 1282 au XXe siècle) abordant tous les aspects des études juives, la littérature, l'histoire et les sciences naturelles. La bibliothèque s'est grandement enrichie lorsque le bibliographe David Montezinos lui a fait don de sa collection privée en 1891, date à laquelle la bibliothèque a pris le nom de Livraria Montezinos. La synagogue présente également de riches collections du patrimoine juif culturel composées de : > rouleaux de sefer Torah - le plus ancien datant du XIVe siècle fut offert à la communauté par son premier rabbin, Uri ben Joseph haLevi ; > vaisselle et objets d'argenterie finement sculptée à destination cultuelle ou décorative ; > 600 pièces de tissus anciens dont en soie, servant à protéger les rouleaux de la Torah ; > précieux manuscrits, estampes et livres anciens de la bibliothèque Ets Haïm, dont la première traduction en espagnol d'Éloge de la Folie d'Erasme datant de 1511, retrouvée en 2012. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒔𝒚𝒏𝒂𝒈𝒐𝒈𝒖𝒆 ; 𝑮𝒆𝒕 𝒚𝒐𝒖𝒓 𝑮𝒖𝒊𝒅𝒆 𝑨𝒎𝒔𝒕𝒆𝒓𝒅𝒂𝒎 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"17€ Synagogue séfarade des juifs portugais et espagnols qui avaient fuit l'inquisition. L'intérieur est resté inchangé depuis le XVIIe : pas de chauffage ni d'électricité, et une ambiance très particulière, hors du temps <3"

@polene

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Amsterdam 2018

@petitfute

3949followers 182places
"La plus grande synagogue au monde se trouve à Amsterdam ! Construite en 1675 par Elias Bouman, c'est un spectaculaire et magnifique bâtiment de pierre. Il a miraculeusement été épargné lors de la Seconde Guerre mondiale par Hitler qui souhaitait en faire un musée. La synagogue a été commandée par les juifs séfarades d'Espagne et du Portugal qui avaient fui leur pays sous l'Inquisition et souhaitaient pratiquer leur religion librement. L'édifice orienté vers le temple de Jérusalem est éclairé par de grandes verrières. L'intérieur est également inchangé depuis le XVIIe siècle. Pas de chauffage ni d'électricité, du sable par terre destiné à absorber l'humidité, l'atmosphère de cet endroit est hors du temps. Cette synagogue possède aussi une des bibliothèques judaïques les plus importantes au monde mais malheureusement non accessible au public. A ne pas manquer."
certified badge Histoire Itinérante

Histoire Itinérante

@histoireitinerante

1971followers 7075places
"Érigée au cœur d’Amsterdam en 1675, la synagogue portugaise était à l’époque la plus grande synagogue au monde. Elle fut fondée par des Séfarades, ces juifs exilés d'Espagne et du Portugal suite au décret d'éviction de ces derniers pris par les Rois catholiques respectivement en 1492 et 1497. Nombre d'entre eux s'établir ensuite au cours des XVIe et XVIIe siècles aux Provinces-Unies, en particulier à Amsterdam, cité qui offrait alors une liberté et une tolérance religieuse et politique sans égale dans l'Europe de l'époque (alors déchirée par les guerres de religion). Comptant parmi eux beaucoup de marchands et d'artisans, ces anciens membres des communautés juives ibériques importèrent avec eux à Amsterdam leurs ressources financières et leurs réseaux, et contribuèrent largement au grand essor économique que vont connaître les Provinces-Unies au XVIIe siècle, qui allait faire de ce petit pays d'à peine quelques millions d'habitants la première puissance marchande et navale du monde (une période connue sous l'appellation de "Siècle d'Or néerlandais"). Ce lieu de culte est aujourd’hui encore ouvert au public et accueille régulièrement des concerts. Émerveillez-vous devant ses grands piliers en pierre et ses murs en plâtre. Appréciez également la finesse de son mobilier sombre éclairé par les 72 fenêtres. Depuis sa consécration, la synagogue n’a connu aucune source de lumière ou de chaleur électrique. Elle est simplement illuminée par les 1 000 bougies disposées dans des chandeliers en cuivre. Le sable recouvrant son plancher la protège de la poussière. 𝐀𝐦𝐬𝐭𝐞𝐫𝐝𝐚𝐦 : 𝐥𝐚 "𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞-𝐉𝐞́𝐫𝐮𝐬𝐚𝐥𝐞𝐦" 𝐝𝐞 𝐥'𝐞́𝐩𝐨𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐨𝐝𝐞𝐫𝐧𝐞 En 1571, les provinces hollandaises sont libérées du joug de la couronne d’Espagne. La liberté de culte qui règne aux Pays-Bas attire tous ceux qui sont opprimés pour leurs croyances. À la fin du XVIe siècle, de nombreux Juifs sont forcés de fuir la péninsule ibérique parce qu'on les contraint à se convertir au christianisme ou qu'ils sont persécutés pour leur religion et se réfugient notamment à Amsterdam, pour le climat de tolérance religieuse qui prévaut à l'époque dans la ville. Une grande communauté juive portugaise émerge. Les trois congrégations juives originelles d'Amsterdam, Beit Ya'aḳob (fondée par des Portugais en 1598), Neweh Shalom (fondée par des migrants d'Afrique du Nord en 1608) et Beit Yisrael (fondée en 1618) se consolident en 1638 en la congrégation unique appelée Talmud Torah et décident de bâtir un lieu commun de culte, afin d'assurer une union plus étroite pour accueillir les émigrés venus de différents pays, qui affluent en grand nombre à partir de 1640 pour vivre leur religion sans persécution sur cette « terre de liberté » surnommée la « Nouvelle Jérusalem ». Leurs anciens lieux de culte sont vendus ou transformés en Talmud Torah. Dans la seconde moitié du XVIIe siècle, les Juifs sont autorisés à construire des synagogues importantes visibles de la rue - alors que les catholiques doivent encore dissimuler leurs églises, telle celle de Ons' Lieve Heer op Solder construite en 1661-1663. La synagogue portugaise doit s'implanter sur l'ancienne digue Saint-Antoine. Elle n'a pas de cimetière à proximité immédiate et utilisera le cimetière Beit Haïm à Ouderkerk . La synagogue portugaise est construite entre 1671, quand la pierre angulaire du nouvel édifice est posée et 1675, quand la synagogue est consacrée. Elle est conçue sur des plans définitifs de 1670 par l'architecte municipal, ami des Juifs, Elias Bouwman (1636-1686) et l'architecte Daniël Stalpaert, dans des proportions imposantes durant le siècle d'or néerlandais où la communauté séfarade d'Amsterdam est en augmentation par l'arrivée constante de réfugiés et ses ressources financières florissantes. Lors de son inauguration en 1675, la congrégation portugaise d'Amsterdam compte 898 membres masculins dont 586 étaient mariés et 312 célibataires selon la Jewish Encyclopedia et à la fin du siècle, près de 7 500 séfarades et ashkénazes venus d'Allemagne puis de Pologne, selon l'historien contemporain néerlandais Edward van Voolen. Juifs et chrétiens ont chanté la gloire de cet édifice colossal, certainement la plus célèbre synagogue d'Europe car elle est la plus grande du monde d'alors. De nombreuses gravures sur cuivre existent encore, exécutées par les plus fameux graveurs hollandais, qui dépeignent ses proportions imposantes. En 1701, la synagogue de Bevis Marks à Londres est disposée sur son modèle. En 1732, elle sert de modèle à la synagogue Mikvé Israël-Emanuel de Willemstad à Curaçao et inspire en 1736, celle de Zedek ve Shalom ("Paix et Justice") à Paramaribo au Suriname. Autrefois nombreuse, la communauté juive portugaise d'Amsterdam se reconstruit après la Shoah où elle perdit 3 700 membres sur 4 300 qui la composaient avant guerre ; la synagogue compte de nos jours 250 familles affiliées à la communauté et environ 630 membres. Tous les hommes de la communauté respectent l'ancienne tradition de porter un chapeau haut de forme lors des fêtes et cérémonies juives qui ont lieu à Esnoga, et au moins le rabbin et le chef de la communauté en portent chaque shabbat. Du bâtiment synagogal initial, seule la synagogue portugaise remplit toujours sa fonction d'origine. Esnoga d'Amsterdam et la synagogue Alte-Neue de Prague sont les plus anciennes synagogues occidentales aujourd'hui en fonctionnement. 𝐔𝐧 𝐩𝐚𝐭𝐫𝐢𝐦𝐨𝐢𝐧𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐮𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐚𝐮 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞 Les bâtiments de service accueillent la congrégation Ets Haïm (Arbre de Vie) créée en 1616. Dans ses locaux se trouve la prestigieuse bibliothèque Livraria Montezinos qui est considérée comme l'une des plus importantes bibliothèques juives dans le monde. Elle est placée sur la liste du patrimoine mondial pour les documents de l'UNESCO qui reconnaît ainsi officiellement l'importance universelle de cette bibliothèque. Elle comprend quelque 30 000 ouvrages imprimés (de 1484 à nos jours) et 500 manuscrits (de 1282 au XXe siècle) abordant tous les aspects des études juives, la littérature, l'histoire et les sciences naturelles. La bibliothèque s'est grandement enrichie lorsque le bibliographe David Montezinos lui a fait don de sa collection privée en 1891, date à laquelle la bibliothèque a pris le nom de Livraria Montezinos. La synagogue présente également de riches collections du patrimoine juif culturel composées de : > rouleaux de sefer Torah - le plus ancien datant du XIVe siècle fut offert à la communauté par son premier rabbin, Uri ben Joseph haLevi ; > vaisselle et objets d'argenterie finement sculptée à destination cultuelle ou décorative ; > 600 pièces de tissus anciens dont en soie, servant à protéger les rouleaux de la Torah ; > précieux manuscrits, estampes et livres anciens de la bibliothèque Ets Haïm, dont la première traduction en espagnol d'Éloge de la Folie d'Erasme datant de 1511, retrouvée en 2012. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒔𝒚𝒏𝒂𝒈𝒐𝒈𝒖𝒆 ; 𝑮𝒆𝒕 𝒚𝒐𝒖𝒓 𝑮𝒖𝒊𝒅𝒆 𝑨𝒎𝒔𝒕𝒆𝒓𝒅𝒂𝒎 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
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