Château de Gisors
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"https://vexin-normand-tourisme.com/decouvrir/gisors-une-escale-en-or/legendaire-forteresse/"

@ttyphaine

"Le château de Gisors est un ancien château fort des XIe et XIIe siècles dont les vestiges se dressent sur la commune de Gisors dans le département de l'Eure et la région Normandie. Le château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862. Les vestiges du château de Gisors sont situés dans le Vexin normand dans le département français de l'Eure sur la commune de Gisors. Le château, dominant la vallée de l'Epte, bâti sur une motte castrale est constitué d'un donjon circulaire qui fut ajouté à une forteresse déjà existante. Essentiellement l’œuvre des ducs de Normandie du XIe au XIIe siècle, cette forteresse frontalière devait défendre le domaine anglo-normand contre les prétentions du roi de France. Les origines de cette forteresse remontent à la seconde moitié du XIe siècle. Une motte castrale est édifiée dès 1097 par Robert II de Bellême, sur l'ordre du roi d'Angleterre Guillaume II le Roux (1087-1100), régent du Duché de Normandie. Celle-ci est complétée un an plus tard par un donjon de bois, probablement ceint d'une palissade. En 1113, ce site fortifié, dominant la vallée de l'Epte, accueille une rencontre entre les souverains Louis VI de France et Henri Ier Beauclerc d'Angleterre. Il connaît son premier siège en 1120, lors de la rébellion des seigneurs normands contre la tutelle anglaise. La place forte, défendue par le gouverneur « Robert de Chandos » eût beau tenir bon, cette sérieuse alerte conduira le souverain anglais à juger plus sûr de repenser les fortifications, lesquelles seront reprises dès 1123. Cette première campagne de reconstruction verra l'adjonction d'un donjon en pierre de taille de forme octogonale, ceint d'un rempart en gros appareil (l'enceinte-basse). Henri Ier Beauclerc disparaît en 1135, sans laisser d'héritier mâle. Sa fille Mathilde l'Emperesse, veuve de l'empereur germanique Henri V , écartée du trône, épouse un noble angevin, Geoffroy Plantagenêt, lequel devient ainsi duc de Normandie, tandis que dans le même temps, le trône d'Angleterre est confié à Étienne de Blois. La mort de celui-ci en 1154, sans héritier mâle, fait du fils de Geoffroy le nouveau roi d'Angleterre, et inaugure une nouvelle ère : celle des Plantagenêts. Une rencontre entre le nouveau roi d’Angleterre et le roi des Francs Louis VII a lieu en 1158 au château de Gisors. Afin de sceller la réconciliation entre les deux royaumes, le souverain capétien accorde au jeune fils d'Henri II Plantagenêt la main de sa fille Marguerite de France, âgée de seulement six mois, lui remettant en dot la forteresse de Gisors. Dans l'attente de la célébration du mariage, la place forte sera confiée à l'ordre du Temple, à l'instar de deux autres châteaux. Trois chevaliers templiers sont chargés de veiller sur la forteresse : Robert de Piron, Tostes de Saint Omer et Richard d'Hastings, alors maître de l'Ordre pour la province d'Angleterre. Cependant, dès 1160, Henri ordonne la célébration des noces ; ce faisant, Gisors redevient normand. À eux deux, les mariés ont à peine neuf ans. Le caractère stratégique de ce point de la vallée de l'Epte n'échappe pas au nouveau maître des lieux, et une nouvelle campagne de reconstruction est entreprise en 1170. Celle-ci durera dix ans. Au cours de cette longue période, le donjon sera consolidé et surhaussé de deux étages supplémentaires, tandis que dans le même temps, les fossés sont agrandis. Une nouvelle enceinte, longue de 800 mètres et flanquée de huit tours, achève de protéger le site. En 1188, à la veille de la troisième croisade, une entrevue royale entre les souverains anglo-normand Henri II et français Philippe Auguste se déroule au château, à l'issue de laquelle une trêve est décidée. Cependant, Henri meurt l'année suivante et c'est accompagné de son successeur, Richard Cœur de Lion, que le Capétien part guerroyer en Terre sainte. Lorsque à l'issue de la croisade, Richard est retenu prisonnier à Dürnstein, l'occasion apparaît trop belle pour le souverain français, qui s'empare de la forteresse en 1193 ; il y fait effectuer plusieurs remaniements, dont la construction de la « Tour du prisonnier », inspirée du château du Louvre, de la barbacane, orientée vers la ville, ou encore du logis royal, détruit au début du XXe siècle. Lorsque Richard est libéré en 1194, il prend les armes pour récupérer son fief. Cependant, les deux parties choisissent l'apaisement et signent en 1195 les traités de paix de Vaudreuil et d'Issoudun, complétés l'année suivante par le traité de Gaillon, qui place le Vexin, et donc Gisors, sous l'autorité de la couronne de France. Pour compenser la perte de plusieurs de ses places fortes et tenter de protéger ses terres, Richard entreprend alors la construction d'un redoutable château : Château-Gaillard, bâti en seulement deux ans. Privé de portée stratégique, le château de Gisors est alors transformé en prison. Celle-ci accueillera des hôtes célèbres lors de la vague d'arrestation des chevaliers templiers : la forteresse devint ainsi, de mars 1310 à mars 1314, le lieu de détention du grand-maître de l'ordre, Jacques de Molay, rejoint dans les geôles du château par trois autres dignitaires de l'ordre : Hugues de Pairaud, Geoffroy de Gonneville, maître de la province du Poitou et d'Aquitaine, et Geoffroy de Charnay, précepteur de Normandie. En 1419, une campagne du duc de Clarence permettra la reconquête du château par les anglais. Ceux-ci n'en seront délogés qu'en 1449. Revenue à la couronne de France, le château, devenu inutile à la fin du conflit franco-anglais, fut peu à peu négligé. En 1591, la forteresse est déclassée. Le château à motte primitif est constitué d'un imposant donjon, établi sur une motte castrale d'environ 15 mètres de haut et un diamètre à sa base de 70 mètres. Un mur de pierre construit au sommet du tertre protège et enchemise le donjon. On a augmenté la superficie du château par l'adjonction d'une enceinte, précédée par un fossé, qui se développe sur approximativement 200 mètres de long sur 10 mètres de haut, flanquée de tours, dont la plus célèbre reste la Tour du prisonnier, constituant un témoignage de l'architecture philipienne dans la région. Plusieurs caves souterraines ont été aménagées sous le château."

@nathcharente

"Jolie balade, attention aujourd'hui, visite guidée, voir à l'Office du tourisme. "

@sandrine.geneste3

"Le château fort de Gisors est un incontournable de l’histoire médiévale de la Normandie. Forteresse militaire à vocation défensive, édifiée dès 1097, sous le règne du deuxième fils de Guillaume le Conquérant, le château de Gisors marque une page majeure de l’histoire médiévale de la Normandie. Cette fortification était destinée à protéger les possessions normandes du roi d’Angleterre face aux velléités du roi de France. Véritable place frontière et verrou oriental de la Normandie, elle s’inscrivait dans une vaste campagne de fortifications de la vallée de l’Epte, limite naturelle entre les deux royaumes. Ce magnifique château fort est en outre étroitement lié aux légendes templières… 𝐆𝐢𝐬𝐨𝐫𝐬, 𝐡𝐚𝐮𝐭-𝐥𝐢𝐞𝐮 𝐝𝐞 𝐥'𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 Dès 1097, sous le règne du deuxième fils de Guillaume le Conquérant, débute la construction d'une imposante motte de terre entourée de fossés, sur laquelle reposait probablement une tour de bois entourée d'une palissade. Cette fortification est destinée à protéger les possessions normandes du roi d'Angleterre face aux velléités du roi de France. La forteresse, véritable place frontière et verrou oriental de la Normandie, s'inscrit dans une vaste campagne de fortifications de la vallée de l'Epte, limite naturelle entre les deux royaumes. Au cours de la première moitié du XIIe siècle, les principaux éléments de fortifications en pierre remplacent ceux en bois : la tour de guet devient un donjon octogonal massif, la fragile palissade, une enceinte en pierre nommée chemise, qui contient chapelle et cuisine. Sous Henri II Plantagenêt, Roi d'Angleterre et Duc de Normandie, une seconde campagne de travaux est entamée. Une vaste enceinte, longue de plus de 800 mètres et protégée par huit tours, enveloppe le donjon central. Ces dernières présentent une grande diversité et des innovations architecturales majeures : tour quadrangulaire à bec, tour en u, tour circulaire à plusieurs niveaux d'archères. La ville de Gisors fut encerclée successivement par deux enceintes urbaines. C'est Henri II Plantagenêt qui érige la première qui suit parfaitement le cours de l'Epte. La rivière sert de douves naturelles, mais aussi de frontière entre le royaume anglo-normand et français. La muraille enveloppait le centre historique, alors percé de quelques venelles étroites. Il n'en subsiste qu'une tour et quelques pans de murs accolés à la Tour du Prisonnier. Conquise par Philippe Auguste en 1193, la forteresse redevient française et les nouvelles constructions offrent de façon évidente une lecture de l'influence de l'architecture philippienne. Ces nombreuses et profondes transformations interviennent au début du XIIIe siècle : ajout d'une barbacane orientée vers la ville et élévation d'une imposante tour-maîtresse circulaire à 3 niveaux, sur le modèle du donjon du Louvre. Elle surveille à la fois la ville, la barbacane, le château et la campagne environnante. Le château de Gisors devient à partir de cette date une importante résidence royale française avec un grand nombre de communs et un logis dont il subsiste encore les caves. Les Capétiens marquent ainsi concrètement dans le paysage leur nouvelle emprise sur le Vexin Normand et au-delà tout le duché de Normandie. Lors de la Guerre de Cent Ans, après un siège de 3 semaines, le château et la ville sont pris par les Anglais, tout comme l'ensemble de la Normandie de 1419 à 1449. De retour dans le giron français, la forteresse fait l'objet de nombreux remaniements. Les bâtiments royaux et les communs sont restaurés mais les travaux les plus importants concernent l'adaptation de la forteresse aux progrès de l'artillerie. La construction d'une fausse braie avec des remparts de terre, l'intégration d'un bastion avec casemates et souterrain, l'aménagement d'une galerie couverte aux pieds des remparts et l'arasement des anciens remparts. C'est à cette époque qu'intervient la construction de la deuxième enceinte urbaine. La ville s'étend vers l'est, au-delà de la rivière, autrefois frontière. Quelques vestiges de cette deuxième enceinte sont encore visibles rue du Filoir. Avec la fin des Guerres de religion, en 1599, le château est déclassé des sites militaires français. En effet, non seulement il n'a plus d'intérêt stratégique, mais il peut même s'avérer dangereux et servir dans les temps troublés de place forte à toutes sortes d'insurgés et de contestataires. La majorité des communs est détruite. Un certain nombre de bâtiments est reconverti en cachots, comme la tour de Philippe Auguste. Dans cette tour, des graffitis et des bas-reliefs sont réalisés par des prisonniers au cours des XVIe-XVIIIe siècles. A la Révolution française, le château devient bien communal. 𝐆𝐢𝐬𝐨𝐫𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐥𝐞́𝐠𝐞𝐧𝐝𝐞 𝐝𝐮 𝐭𝐫𝐞́𝐬𝐨𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐓𝐞𝐦𝐩𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬 Au début du XIVe siècle, la forteresse de Gisors est transformée en prison. Des chevaliers de l’ordre des Templiers y auraient séjourné, venant tour à tour le protéger, avant que, sous la domination française, certains d’entre eux en deviennent les prisonniers : le grand maître Jacques de Molay, Hugues de Pairaud et plusieurs précepteurs de l’ordre. La légende veut que les Templiers y aient caché un trésor. Au début des années 60, Gérard de Sède, journaliste et auteur, engage un dénommé Roger Lhomoy comme jardinier. Ce dernier, ancien guide touristique au château de Gisors, prétend avoir découvert une salle secrète de 30 mètres sur 9, et d’une hauteur de 5 mètres, dissimulée dans le donjon. Les deux hommes se rendent au château et affirmeront avoir vu dix-neuf sarcophages de pierre. André Malraux, alors ministre de la Culture, ordonne des fouilles dans le château. Malgré trois mois de fouille, les recherches sont restées infructueuses. D’autres s’y essaient en toute clandestinité, sans plus de succès et au risque de déstabiliser l’édifice. Le mystère et la légende autour de ce trésor trop bien caché continuent de fasciner… 𝐆𝐞́𝐫𝐚𝐫𝐝 𝐝𝐞 𝐒𝐞̀𝐝𝐞 𝐞𝐭 "𝐥𝐞𝐬 𝐓𝐞𝐦𝐩𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐫𝐦𝐢 𝐧𝐨𝐮𝐬" : 𝐥𝐚 𝐠𝐞𝐧𝐞̀𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐥𝐞́𝐠𝐞𝐧𝐝𝐞 Au début des années 60, Gérard de Sède, journaliste et auteur, engage un dénommé Roger Lhomoy comme jardinier. Ce dernier, ancien guide et gardien au château de Gisors, prétend avoir découvert en 1946, au terme de plusieurs années de fouille clandestine, une galerie suivie d’une chapelle qu’il décrit avec une précision confondante : sous cette chapelle longue de 30m, large de 9m, haute d’environ 4,50m, il affirme avoir vu 19 sarcophages de pierre de 2m de long et de 60cm de large et 30 coffres en métal précieux, rangés par colonnes de 10 sous la nef de cette chapelle. Dès 1960, le conservateur Pierre Bourdil, la mairie et les Beaux-Arts dépêchent une équipe d’archéologues. En 1961, puis en 1962, année de la sortie du livre Les Templiers sont parmi nous, de Gérard de Sède, des fouilles sont à nouveau conduites, sans succès. La sortie de ce livre déchaîne dès lors les passions et d’autres fouilles clandestines, mettant en péril la stabilité de l’édifice. La presse et la télévision s’emparent de l’affaire Gisors, au point que sous la pression populaire, André Malraux, ministre de la Culture, envoie le 5ème génie militaire de Rouen entreprendre à nouveau des fouilles dans la motte féodale, tout aussi infructueuses et catastrophiques pour la stabilité du donjon. À ce jour, seule la trace d’un passage au château de Gisors de Richard de Hastings, Toestes de Saint Omer et Robert de Pirou, trois chevaliers de l’Ordre du Temple, est établie. Pour autant, la légende ne cesse de fasciner petits et grands. Selon une dernière légende (ou plus exactement tradition locale), un souterrain relierait le château à la Tour de la Reine Blanche de Neaufles-Saint-Martin, située à 2 km de là (voir l'adresse) ! 𝐋𝐚 𝐥𝐞́𝐠𝐞𝐧𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐮𝐩𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐎𝐫𝐦𝐞 𝐝𝐞 𝐆𝐢𝐬𝐨𝐫𝐬 (𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝑹𝒆𝒏𝒏𝒆𝒔-𝒍𝒆-𝑪𝒉𝒂̂𝒕𝒆𝒂𝒖 𝑨𝒓𝒄𝒉𝒊𝒗𝒆𝒔) 𝑉𝑒𝑟𝑠 1187, 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚, 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝐺𝑒́𝑟𝑎𝑟𝑑 𝑑𝑒 𝑅𝑖𝑑𝑒𝑓𝑜𝑟𝑡 (𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 1188), 𝑓𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑆𝑎𝑟𝑟𝑎𝑠𝑖𝑛𝑠. 𝐶𝑒𝑡 𝑒́𝑣𝑒̀𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑒́𝑐𝑢 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑑𝑒̀𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑖𝑏𝑙𝑒 ℎ𝑢𝑚𝑖𝑙𝑖𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑜𝑏𝑙𝑖𝑔𝑒𝑎 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑟𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑒𝑛 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑟𝑒𝑗𝑜𝑖𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑣𝑖𝑡𝑒 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑟𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠. 𝑂𝑟𝑙𝑒́𝑎𝑛𝑠 𝑓𝑢𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠𝑡𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑒́𝑒. 𝐶𝑒𝑡 𝑒́𝑝𝑖𝑠𝑜𝑑𝑒 𝑖𝑛𝑠𝑝𝑖𝑟𝑎 𝑅𝑖𝑑𝑙𝑒𝑦 𝑆𝑐𝑜𝑡𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑖𝑙𝑚 "𝐾𝑖𝑛𝑔𝑑𝑜𝑚 𝑜𝑓 ℎ𝑒𝑎𝑣𝑒𝑛" 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒 ℎ𝑒́𝑟𝑜𝑠 𝐵𝑎𝑙𝑖𝑎𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑎̀ 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝐺𝑒́𝑟𝑎𝑟𝑑 𝑑𝑒 𝑅𝑖𝑑𝑒𝑓𝑜𝑟𝑑… 𝑂𝑟, 𝑒𝑛 1188, 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝐷𝑜𝑠𝑠𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡𝑠, 𝑢𝑛 𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑒́ "𝐿𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑟𝑚𝑒" 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑎 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑝𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒𝑠, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑆𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑢 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒. 𝐶𝑒 𝑠𝑐ℎ𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖̂𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑜𝑞𝑢𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚. 𝐿𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑢 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐷𝑜𝑠𝑠𝑖𝑒𝑟 𝐿𝑜𝑏𝑖𝑛𝑒𝑎𝑢 𝑟𝑒𝑗𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑙'𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒. 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑢𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒́𝑟𝑜𝑢𝑙𝑒́ 𝑎̀ 𝐺𝑖𝑠𝑜𝑟𝑠 𝑒𝑛 1188. 𝐴̀ 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑜𝑛 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑢𝑡 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑎̀ 𝐺𝑖𝑠𝑜𝑟𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 (𝑝𝑟𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛) 𝑑𝑒 𝑙𝑎 3𝑒̀𝑚𝑒 𝐶𝑟𝑜𝑖𝑠𝑎𝑑𝑒. 𝑃𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑜𝑐𝑐𝑎𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑜𝑛𝑡 : 𝑃ℎ𝑖𝑙𝑖𝑝𝑝𝑒 𝐼𝐼 𝐴𝑢𝑔𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑙'𝐴𝑟𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝐺𝑢𝑖𝑙𝑙𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑦𝑟, 𝐻𝑒𝑛𝑟𝑖 𝐼𝐼 𝑃𝑙𝑎𝑛𝑡𝑎𝑔𝑒𝑛𝑒̂𝑡 𝑅𝑜𝑖 𝑑'𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑙𝑒 𝐷𝑢𝑐 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑟𝑚𝑎𝑛𝑑𝑖𝑒, 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐹𝑙𝑎𝑛𝑑𝑟𝑒𝑠, 𝑒𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝐶ℎ𝑒𝑣𝑎𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒. 𝑄𝑢𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒𝑠 ? 𝑃𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑢 𝑐ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝐺𝑖𝑠𝑜𝑟𝑠 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑎𝑖𝑟𝑖𝑒 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑒́𝑒 "𝐿𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́". 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑𝑢𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑋𝐼𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑑'𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑒 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑠𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑔𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝐶𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒́𝑑𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑢 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑢𝑛 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙 𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑎̂𝑔𝑒́ 𝑑'𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 800 𝑎𝑛𝑠. 𝐶𝑒𝑡 𝑎𝑟𝑏𝑟𝑒, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑛𝑐 𝑛𝑒́𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑡𝑎𝑖𝑡 9 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑒𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑎𝑖𝑟𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑎̀ 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑢𝑟𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒. 𝐸𝑛 1188, 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑞𝑢'𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑎𝑛𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒 𝑠'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑃ℎ𝑖𝑙𝑖𝑝𝑝𝑒 𝐼𝐼 𝐴𝑢𝑔𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝐻𝑒𝑛𝑟𝑦 𝐼𝐼 𝑑'𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑒 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑜𝑟𝑚𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢 𝑏𝑜𝑢𝑡 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑛𝑒́𝑔𝑜𝑐𝑖𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑢𝑛 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑜𝑚𝑏, 𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒𝑠, 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎 𝑒𝑛 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑎𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑔𝑙𝑎𝑛𝑡𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑑𝑎𝑡𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑠𝑢𝑟𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑠'𝑒́𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑛𝑔𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑒 𝑟𝑒́𝑓𝑢𝑔𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑎𝑑𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐺𝑖𝑠𝑜𝑟𝑠. 𝑃ℎ𝑖𝑙𝑖𝑝𝑝𝑒 𝐼𝐼, 𝑓𝑜𝑢 𝑑𝑒 𝑟𝑎𝑔𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑎 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑙'𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎 𝑎̀ 𝑃𝑎𝑟𝑖𝑠. 𝑈𝑛𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑛𝑒𝑐𝑑𝑜𝑡𝑒 𝑚𝑒́𝑑𝑖𝑒́𝑣𝑎𝑙𝑒 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑒 : 𝑃ℎ𝑖𝑙𝑖𝑝𝑝𝑒 𝐼𝐼 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝐻𝑒𝑛𝑟𝑦 𝐼𝐼 𝑑'𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑠𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑 𝑒𝑛 1188 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑠𝑢𝑗𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒́ 𝑜𝑏𝑠𝑐𝑢𝑟 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖, 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑟𝑒́𝑡𝑖𝑠𝑒́ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑖𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑟𝑚𝑒. 𝐴𝑖𝑛𝑠𝑖, 𝑃ℎ𝑖𝑙𝑖𝑝𝑝𝑒 𝐼𝐼 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑎𝑑𝑣𝑒𝑟𝑠𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑠𝑜𝑢ℎ𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑒𝑟 𝑙'𝑜𝑟𝑚𝑒, 𝑒𝑡 𝐻𝑒𝑛𝑟𝑦 𝐼𝐼 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒́𝑔𝑒́ 𝑙'𝑎𝑟𝑏𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑒𝑛𝑡𝑜𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑛𝑐 𝑑𝑒 𝑙𝑎𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑒𝑟 (𝑑'𝑜𝑢̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑚 𝑑'𝑜𝑟𝑚𝑒𝑡𝑒𝑎𝑢 𝑓𝑒𝑟𝑟𝑒́). 𝑈𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑎𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑔𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑠'𝑒𝑛𝑠𝑢𝑖𝑣𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑛𝑑𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 5 𝑒𝑠𝑐𝑎𝑑𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑡 𝑢𝑛 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑑𝑎𝑡𝑠 𝑎𝑛𝑔𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑖𝑟𝑖𝑔𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑅𝑖𝑐ℎ𝑎𝑟𝑑 𝐶œ𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝐿𝑖𝑜𝑛, 𝑓𝑖𝑙𝑠 ℎ𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑑'𝐻𝑒𝑛𝑟𝑦 𝐼𝐼. 𝑅𝑖𝑐ℎ𝑎𝑟𝑑 𝐶œ𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝐿𝑖𝑜𝑛 𝑏𝑎𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑛𝑒́𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑛𝑒 𝑝𝑢𝑡 𝑒𝑚𝑝𝑒̂𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠, 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑟 𝑣𝑒𝑛𝑢 𝑙'𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑒́. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝑮𝒊𝒔𝒐𝒓𝒔 ; 𝑽𝒆𝒙𝒊𝒏 𝑵𝒐𝒓𝒎𝒂𝒏𝒅 𝑻𝒐𝒖𝒓𝒊𝒔𝒎𝒆 ; 𝑹𝒆𝒏𝒏𝒆𝒔-𝒍𝒆-𝑪𝒉𝒂̂𝒕𝒆𝒂𝒖 𝑨𝒓𝒄𝒉𝒊𝒗𝒆𝒔 (𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒆𝒏 𝒍𝒊𝒆𝒏) ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"Замок тамплиеров. Замок - тайна"

@voyagedantan

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