Église Notre-Dame-de-Victoire de Lorient

Église Notre-Dame-de-Victoire de Lorient

Église Notre-Dame-de-Victoire de Lorient

Église Notre-Dame-de-Victoire de Lorient

Église Notre-Dame-de-Victoire de Lorient

Église Notre-Dame-de-Victoire de Lorient

Église Notre-Dame-de-Victoire de Lorient

Église Notre-Dame-de-Victoire de Lorient

Église Notre-Dame-de-Victoire de Lorient

Église Notre-Dame-de-Victoire de Lorient

Église Notre-Dame-de-Victoire de Lorient

1 Rue Turenne, 56100 Lorient, France

Vous pensez qu'il y a une erreur sur ce lieu ?

Vos retours sont importants pour nous. Si vous avez remarqué une erreur concernant ce lieu, merci de nous en informer pour que nous puissions la corriger.

Signaler une erreur

Propriétaire de ce lieu ?

Nous récupérons automatiquement les informations disponibles sur votre lieu. Si jamais celles-ci ne sont pas correctes, connectez-vous gratuitement sur notre tableau de bord pour les modifier et bonus, accédez à vos statistiques détaillées.

Modifier les informations de votre lieu

La communauté mapstr

Enregistré par

10 utilisateurs

#Tags souvent utilisés

#Eglise #🔎À essayer #🖼Musée #📸 Balade #🕵️‍♂️ Histoire Itinérante

Ce qu'en disent les utilisateurs

"Reconstruite en 1954-1956 par l'architecte Jean-Baptiste Hourlier à 400 mètres de son site d'origine, l'église Notre-Dame-de-Victoire (appelée église Saint-Louis par les Lorientais) occupe l'un des côtés de la Place Alsace-Lorraine. Elle s'y intègre modestement en adoptant le même revêtement de granit et en respectant la hauteur et l'alignement de l'ensemble. 𝐋𝐨𝐫𝐢𝐞𝐧𝐭, 𝐯𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐦𝐚𝐫𝐭𝐲𝐫 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐒𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐆𝐮𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐌𝐨𝐧𝐝𝐢𝐚𝐥𝐞 En 1941, les Allemands, qui occupent alors la France, choisissent d'établir à Keroman un des quartiers généraux de leur flotte sous-marine. Mais, très vite, les sous-marins seront la cible de constants bombardements de l'aviation alliée. Il est donc décidé d'ériger la plus grande des bases de sous-marins allemands de la Seconde Guerre mondiale, où s'installeront les deuxième et dixième flottilles. L'amiral Dönitz installe son état-major au château de Kernevel. Lorient sera presque entièrement rasée en 1943-1944 par les bombardements alliés, qui ne parviendront pas à détruire la base des sous-marins malgré le déversement de 4 000 tonnes de bombes. La garnison allemande ne déposera les armes que le 10 mai 1945 ; c'est la reddition de la poche de Lorient. La ville de Lorient, « morte pour la France », est décorée de la Légion d'honneur en 1949 et de la Croix de guerre 1939-1945. Dès 1943, c'est l'architecte urbaniste Georges Tourry qui est nommé responsable du projet de reconstruction. En avril 1945, le ministère de la Reconstruction préconise la construction de baraques provisoires en bois. Ces baraquements étaient livrés en kit et il suffisait de les monter sur place. On compte, en 1948, vingt-huit cités sous l’autorité de la ville de Lorient, l’agglomération en comptera plus d’une vingtaine supplémentaire répartie entre les villes de Ploemeur, Lanester, Hennebont, Quéven. Ces quartiers provisoires sont parfois composés de plus de 280 maisons. Chacune de ces baraques avait des spécificités différentes selon leur origine (suédoise, finlandaise, suisse, française, américaine, canadienne). Pendant ce temps, les militaires utilisent une prise de guerre, un trois-mâts école allemand, rebaptisé Duchesse Anne comme logement pour les sous-mariniers ou dortoir pour colonies de vacances. La période dite provisoire durera entre 10 et 40 ans selon les implantations. Le centre-ville et les faubourgs proches sont progressivement reconstruits au cours des vingt années qui vont suivre. Dans le centre-ville, seuls quelques bâtiments subsistent, qui témoignent de l'époque de la Compagnie des Indes. 𝐋𝐚 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥'𝐞́𝐠𝐥𝐢𝐬𝐞 𝐍𝐨𝐭𝐫𝐞-𝐃𝐚𝐦𝐞-𝐝𝐞-𝐕𝐢𝐜𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 Composée par Jean-Baptiste Hourlier, premier Grand Prix de Rome en 1926, l’église Notre-Dame-de-Victoire (dite Saint-Louis du nom de la paroisse et de l’église d’avant-guerre) porte témoignage d’une réorganisation urbaine lors de la reconstruction. Jean-Baptiste Hourlier est nommé architecte en chef adjoint à la reconstruction de Lorient en 1946, notamment pour y diriger les projets d’édifices publics. Mais il ne se cantonne nullement dans la réalisation des bâtiments prestigieux, et formule également son avis sur la plupart des dossiers. En intervenant sur la position d’éléments clés comme l’hôtel de ville, la cité administrative, le tribunal ou la sous-préfecture, mais aussi en élaborant des lieux comme la place Alsace-Lorraine ou l’ensemble de « La Banane », il a laissé sur l’image de Lorient une empreinte aussi forte que l’architecte en chef, Georges Tourry. La reconstruction de l’église Saint-Louis est représentative de cette manière d’aborder la ville. Alors qu’elle représente un monument important dans le réseau urbain d’avant-guerre, son déplacement devient l’évident symbole d’une volonté de changer le fonctionnement et l’esthétique de la ville. Elle s’écarte du cœur historique de la ville, trop congestionné et s’inscrit dès lors en point d’orgue de l’ensemble fortement ordonnancé de la place Alsace-Lorraine. Elle s’y intègre par une enveloppe urbaine cubique qui respecte hauteur et alignement et en garde le même revêtement austère de granite. Elle participe au remodelage du Lorient d’après-guerre et accompagne le déplacement du centre-ville lors de sa reconstruction. La nouvelle église est une œuvre puissante et sobre reflétant parfaitement les aspirations religieuses de la période d’après-guerre. 𝐔𝐧𝐞 𝐞́𝐠𝐥𝐢𝐬𝐞 𝐯𝐨𝐮𝐞́𝐞 𝐚𝐮 𝐜𝐮𝐥𝐭𝐞 𝐦𝐚𝐫𝐢𝐚𝐥, 𝐬𝐮𝐢𝐭𝐞 𝐚𝐮 𝐫𝐚𝐢𝐝 𝐛𝐫𝐢𝐭𝐚𝐧𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐋𝐨𝐫𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝟏𝟕𝟒𝟔, 𝐨𝐮̀ 𝐥𝐚 𝐯𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐚𝐮𝐫𝐚𝐢𝐭 𝐞́𝐭𝐞́ 𝐬𝐚𝐮𝐯𝐞́𝐞 𝐩𝐚𝐫 𝐥'𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐯𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧 "𝐦𝐢𝐫𝐚𝐜𝐮𝐥𝐞𝐮𝐬𝐞" 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐕𝐢𝐞𝐫𝐠𝐞 𝐦𝐚𝐫𝐢𝐞 À l'intérieur de l'église, la chapelle Saint Louis retrace la destruction de la ville. Dans cette dernière est installée la statue de Notre-Dame-de-Victoire datant de 1850, œuvre du sculpteur Postel et vestige de l’ancienne église Saint Louis. Épargnée par les bombardements, la vierge trône sur les remparts timbrés aux armes de L’Orient, couvrant ainsi la ville close de sa robe protectrice. D’une main, elle maintient assis sur son genou le divin enfant Jésus qui lève une branche d’olivier, signe de paix, et de l’autre elle refoule le « léopard britannique » qui s’efforce de briser le sceptre de ses crocs et d’escalader les murailles de la cité, et qui tient glaive et écusson royal entre ses pattes. Le culte porté à la Vierge Marie, que consacre l’église Saint Louis sous le nom de Notre-Dame- de Victoire, date de 1745. Assiégée par les Anglais, L’Orient voit son salut grâce à une conjonction de faits qui lui sont favorables et que les habitants attribueront à la Vierge Marie. Le souvenir de ce siège est toujours vénéré par les paroissiens le premier dimanche d’octobre. La statue actuelle remplace celle en argent vouée par les assiégées de 1745. 𝐋𝐞 𝐑𝐚𝐢𝐝 𝐬𝐮𝐫 𝐋𝐨𝐫𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝟏𝟕𝟒𝟔 : 𝐮𝐧𝐞 𝐚𝐭𝐭𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐛𝐫𝐢𝐭𝐚𝐧𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐯𝐢𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐚̀ 𝐯𝐞𝐧𝐠𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐭𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐯𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐝𝐞́𝐛𝐚𝐫𝐪𝐮𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐧 𝐀𝐧𝐠𝐥𝐞𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝟏𝟕𝟒𝟑-𝟏𝟕𝟒𝟒 Entre 1740 et 1748, la France et l'Angleterre s'affronte (d'abord officieusement, puis officiellement) dans le cadre de la guerre de Succession d'Autriche, un conflit européen majeur du XVIIIe qui présente également une dimension planétaire (nous sommes alors à l'apogée du duel mondial qui oppose la France et l'Angleterre, en situation de franche rivalité dans leurs colonies d'Amérique du Nord comme des Indes et aux commerces maritimes également de plus en plus concurrents). Dans ce cadre, la France avait organisé durant l'hiver 1743 une tentative de débarquement en Angleterre (associée à une tentative de restauration des Stuarts), avant de mettre Londres hors-jeu du conflit où la puissance financière britannique maintient à flots l'ensemble des ennemis continentaux de la France (en premier lieu l'Autriche, d'où est parti le conflit). Extrait de mon encadré consacré au Raid sur Lorient de 1743 (lui-même extrait de mon double-article sur la guerre de Succession d'Autriche) : 𝐶𝑒𝑙𝑎 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖 𝑝𝑒𝑢 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙'𝐴𝑚𝑖𝑟𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑏𝑟𝑖𝑡𝑎𝑛𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑖𝑚𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑏𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 1744 𝑒𝑡 1745 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑎 𝑒𝑢 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑖𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑟𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑅𝑜𝑦𝑎𝑙 𝑁𝑎𝑣𝑦 𝑣𝑎 𝑠𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒́𝑒 𝑒𝑛 1746 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑟𝑎𝑖𝑑 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝐿𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡, 𝑙𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑜𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑖𝑒 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐼𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡𝑎𝑙𝑒𝑠. 𝐿'𝑜𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 – 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑐𝑜𝑛𝑐̧𝑢𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑟𝑖𝑡𝑎𝑛𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑚𝑒𝑛𝑒𝑟 𝐿𝑜𝑢𝑖𝑠 𝑋𝑉 𝑎̀ 𝑟𝑒𝑡𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝐹𝑙𝑎𝑛𝑑𝑟𝑒𝑠 (𝑜𝑢̀ 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑛𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒̀𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖̂𝑡) 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑣𝑜𝑦𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝑟𝑒𝑛𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑡𝑡𝑜𝑟𝑎𝑙 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠 – 𝑣𝑎, 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑓𝑎𝑐̧𝑜𝑛, 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑢𝑟𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝑟𝑖𝑑𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑛𝑜𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑏𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑠𝑒𝑝𝑡𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒. 𝑃𝑎𝑟𝑡𝑖 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑏𝑎𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑃𝑙𝑦𝑚𝑜𝑢𝑡ℎ, 𝑢𝑛 𝑎𝑟𝑚𝑎𝑑𝑎 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑞𝑢𝑎𝑟𝑎𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑎𝑣𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑒𝑠𝑐𝑜𝑟𝑡𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑛𝑔𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑣𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑠𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝐿𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑟𝑎𝑑𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑒𝑢 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒́𝑔𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑜𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑢 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑑𝑎𝑡𝑠 𝑟𝑒́𝑔𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑠𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑧𝑜𝑛𝑒, 𝑚𝑎𝑙𝑔𝑟𝑒́ 𝑠𝑜𝑛 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑒́𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐿𝑒𝑠 8 000 𝑡𝑢𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑢𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑏𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒́𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑢 𝑃𝑜𝑢𝑙𝑑𝑢 𝑟𝑒𝑚𝑏𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑝𝑒𝑢 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑟𝑖𝑒𝑛 𝑡𝑒𝑛𝑡𝑒́, 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜̂𝑡𝑒 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒́𝑓𝑒𝑛𝑠𝑒. 𝑃𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 ? 𝐸ℎ 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑐𝑎𝑟 𝑙'𝑎𝑚𝑖𝑟𝑎𝑙 𝐿𝑒𝑠𝑡𝑜𝑐𝑘, 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑏𝑟𝑖𝑡𝑎𝑛𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑎𝑐𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒, 𝑒𝑡 𝑐𝑟𝑎𝑖𝑔𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑝𝑖𝑒̀𝑔𝑒, 𝑎 𝑝𝑟𝑒́𝑓𝑒́𝑟𝑒́ 𝑝𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑏𝑎𝑔𝑎𝑔𝑒. 𝐿𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑜𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑔𝑟𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 1 400 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠, 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑠'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝑠𝑎 𝑟𝑒𝑑𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 (𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑛𝑔𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑛'𝑎𝑢𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑡. 𝐴𝑢 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙, 𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑒 𝑐𝑢𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑒́𝑐ℎ𝑒𝑐, 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑏𝑟𝑖𝑡𝑎𝑛𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑟𝑎 𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑐𝑎𝑛𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑄𝑢𝑖𝑏𝑒𝑟𝑜𝑛, 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟𝑎 𝑠𝑢𝑟 𝐵𝑒𝑙𝑙𝑒-𝐼̂𝑙𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟𝑎 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑢𝑙𝑒𝑟 (𝑒𝑛 𝑣𝑎𝑖𝑛), 𝑓𝑒𝑟𝑎 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑜𝑢𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑖̂𝑙𝑒𝑠 𝐻𝑜𝑢𝑎𝑡 𝑒𝑡 𝐻𝑜𝑒̈𝑑𝑖𝑐, 𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑟𝑒𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑎 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑣𝑜𝑖𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑅𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒-𝑈𝑛𝑖. 𝑆'𝑖𝑙 𝑑𝑒𝑚𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑣𝑖𝑡𝑒́ 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́ 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠, 𝑙𝑒 𝑟𝑎𝑖𝑑 𝑎 𝑙𝑒 𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑓𝑒𝑛𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛. 𝐷𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒́𝑞𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 1750, 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑚𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝐵𝑟𝑒𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑠𝑢𝑑, 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑛𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒́𝑠, 𝑡𝑎𝑛𝑑𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝐿𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑡𝑒́ 𝑑'𝑢𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑓 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑓𝑒𝑛𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑡𝑖𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠. 𝑆𝑖 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑎𝑡𝑡𝑎𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑢𝑑𝑎𝑐𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑢𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑠𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑡𝑖𝑚𝑒𝑠 𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑒́𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝐵𝑟𝑖𝑡𝑎𝑛𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑟𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑛𝑒𝑐𝑑𝑜𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑐ℎ𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑'𝐴𝑢𝑡𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑒́𝑔𝑖𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑣𝑒𝑟𝑔𝑢𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑣𝑟𝑎𝑖 𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑔𝑖𝑔𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 𝑡𝑎𝑐𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑙𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡. 𝐴𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑜𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑖𝑛𝑒́𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒-𝑚𝑒𝑟 𝑡𝑒𝑛𝑡𝑒́𝑒 – 𝑒𝑡 𝑟𝑎𝑡𝑒́𝑒 – 𝑠𝑢𝑟 𝐿𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑙𝑙𝑢𝑠𝑡𝑟𝑒-𝑡-𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑒𝑛𝑛𝑖𝑒 𝑑'𝑎𝑣𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒 (𝑚𝑎𝑟𝑖𝑡𝑖𝑚𝑒) 𝑑𝑢 𝑋𝑉𝐼𝐼𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑙𝑙𝑜𝑛𝑠 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑖𝑒𝑟 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒 : 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑡𝑡𝑜𝑟𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑒𝑢𝑥-𝑚𝑒̂𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑧𝑜𝑛𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑚𝑖𝑙𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡 (𝑙𝑒 « 𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑜̂𝑡𝑖𝑒𝑟 ») : « 𝐷'𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑎𝑐̧𝑜𝑛 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒, 𝑙𝑎 𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑒́𝑔𝑖𝑒 𝑎𝑑𝑜𝑝𝑡𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑒 1675 𝑎 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́ 𝑠𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑢𝑖𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑐𝑡𝑢𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒́𝑔𝑒́ 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑦𝑠𝑡𝑒̀𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑒𝑖𝑛𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑒𝑟 [𝑑𝑒 𝑉𝑎𝑢𝑏𝑎𝑛]. […] 𝑃𝑜𝑢𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑠'𝑜𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑋𝑉𝐼𝐼𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑙𝑖𝑡 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐𝑜-𝑏𝑟𝑖𝑡𝑎𝑛𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 : 𝑙𝑒 𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑜̂𝑡𝑖𝑒𝑟. 𝑁𝑜𝑟𝑚𝑎𝑛𝑑𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝐵𝑟𝑒𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑣𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑖𝑛𝑐𝑒𝑠-𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒, 𝑐𝑎𝑟 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑥𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑡𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑏𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑛𝑔𝑙𝑎𝑖𝑠 (𝐿𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡 1746, 𝐶𝑎𝑛𝑐𝑎𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝐶ℎ𝑒𝑟𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔 1758, 𝑂𝑢𝑖𝑠𝑡𝑟𝑒ℎ𝑎𝑚 1760), 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑢𝑛 𝑙𝑜𝑢𝑟𝑑 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑐𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑐𝑒𝑠 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒-𝑐𝑜̂𝑡𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝐴𝑟𝑚𝑜𝑟, 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑'𝑖𝑛𝑣𝑎𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑒́𝑔𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑢𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑎𝑖𝑠𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑠𝑒𝑝𝑡𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒 1758, 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑎𝑛𝑔𝑙𝑎𝑖𝑠𝑒 𝑎̀ 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝐶𝑎𝑠𝑡, 𝑎̀ 𝑙'𝑜𝑢𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑀𝑎𝑙𝑜. » 𝐽𝑒𝑎𝑛 𝑀𝑒𝑦𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝐽𝑒𝑎𝑛 𝐵𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒𝑟, 𝐿𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑎𝑢 𝑋𝑉𝐼𝐼𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑝. 15 𝑱𝒆 𝒓𝒆𝒏𝒗𝒐𝒊𝒆 𝒄𝒆𝒍𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒄𝒆𝒖𝒙 𝒒𝒖𝒆 𝒍'𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍'𝒊𝒎𝒑𝒍𝒊𝒄𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒂 𝒈𝒖𝒆𝒓𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝑺𝒖𝒄𝒄𝒆𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏 𝒅'𝑨𝒖𝒕𝒓𝒊𝒄𝒉𝒆 (𝒆𝒕 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒈𝒍𝒐𝒃𝒂𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒍'𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒈𝒓𝒂𝒏𝒅𝒆 𝒓𝒊𝒗𝒂𝒍𝒊𝒕𝒆́ 𝒇𝒓𝒂𝒏𝒄𝒐-𝒃𝒓𝒊𝒕𝒂𝒏𝒏𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒖 𝑿𝑽𝑰𝑰𝑰𝒆 𝒔𝒊𝒆̀𝒄𝒍𝒆 𝒒𝒖𝒊, 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒒𝒖𝒆 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒂𝒖𝒕𝒓𝒆 𝒇𝒂𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓, 𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒖𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝒇𝒂𝒄̧𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒂𝒍𝒐𝒓𝒔 𝒍'𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝒍𝒂 𝒎𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆 𝒅𝒖 𝑴𝒐𝒏𝒅𝒆), 𝒗𝒆𝒓𝒔 𝒍𝒂 𝒈𝒓𝒂𝒏𝒅𝒆 𝒔𝒆́𝒓𝒊𝒆 𝒅'𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆𝒔 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒆 𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒂𝒄𝒓𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒐𝒏 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 (𝒍𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒊-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔 ⬇) ! 𝑆𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒(𝑠) : 𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑤𝑒𝑏 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑊𝑖𝑘𝑖𝑝𝑒́𝑑𝑖𝑎 (ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒) ; 𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝐼𝑡𝑖𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑡𝑒"

@histoireitinerante

"Construite en béton armé, elle s'élève sur la place Alsace-Lorraine qui constitue une réussite de l'urbanisme moderne. Plus connue sous le nom de St-Louis par les Lorientais, elle est remarquable par son intérieur dont la rotonde est éclairée par de petits vitraux jaunes et blancs."

@nathcharente

Autres lieux à voir autour

Place around image

Tavarn Ar Roue Morvan 1 Place Polig Montjarret, 56100 Lorient, France Ajouté par388 utilisateurs

Place around image

The WestPort Inn 2 place Polig Monjaret, 56100 Lorient, France Ajouté par278 utilisateurs

Place around image

Louise. 4 Rue Léo le Bourgo, 56100 Lorient, France Ajouté par250 utilisateurs

Place around image

Le Clos Margaux 8 Rue Léo le Bourgo, 56100 Lorient, France Ajouté par205 utilisateurs

Place around image

Le Basilico 3 Rue de Liège, 56100 Lorient, France Ajouté par196 utilisateurs

Place around image

Crêperie Saint Georges 14 Rue Paul Bert, 56100 Lorient, France Ajouté par151 utilisateurs

Place around image

Patisserie Pièr-Marie Le Moigno - Chocolatier 8 Rue Victor Masse, 56100 Lorient, France Ajouté par117 utilisateurs

Place around image

L'Aristide Place Aristide Briand, 56100 Lorient, France Ajouté par142 utilisateurs

Place around image

Le Yachtman 14 Rue Poissonnière, 56100 Lorient, France Ajouté par167 utilisateurs

La meilleure expérience Mapstr est sur l'application mobile.

Enregistrez vos meilleures adresses, partagez les plus belles avec vos amis, découvrez les recommendations de vos magazines et influcenceurs préférés.