Oradour sur Glane ville martyre
Oradour sur Glane - Ville Martyre: Musée, Visite, Histoire
Oradour sur Glane est un village martyr qui a fait l'objet d'un triste événement pendant la Seconde Guerre mondiale. Aujourd'hui, il est devenu un lieu de mémoire où les visiteurs peuvent découvrir l'histoire à travers le musée et la visite du village conservé tel qu'il était après le drame. Ce monument commémoratif rend hommage aux victimes et rappelle les horreurs de la guerre. Une visite à Oradour sur Glane est un devoir de mémoire pour ne pas oublier les événements tragiques qui se sont déroulés dans ce village.
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"Oradour-sur-Glane est tragiquement célèbre en France pour le crime atroce commis ici par une division SS en 1944 qui, alors que les Alliés ont débarqué en Normandie et en Provence et ont entamé la libération de la France, vont exterminer ici l'intégralité de la population du village… L’anéantissement total du village d’Oradour-sur-Glane et de sa population, la détermination impitoyable des bourreaux participeront au gouvernement de la Libération d'élever dès 1944 Oradour au rang « d’archétype des massacres de populations civiles ». Le 28 novembre 1944, le Gouvernement provisoire prend en effet la décision de classer et de conserver les ruines, ce qui attire la reconnaissance nationale sur Oradour . Ces mesures érigent le village martyr en symbole d’une France blessée par l’occupation allemande. Lors de sa visite en mars 1945, Le Général De Gaulle rappelle « qu’un lieu comme celui-là reste une chose commune à tous, une chose où tout le monde reconnaît le malheur commun, la volonté commune et l’espérance commune ». Si ce drame demeure absolument terrible, il ne faut pas oublier que ce qu'ont connu les Français à Oradour-sur-Glane n'est qu'un échantillon de l'horreur nazie que connaitront les populations de l'Union Soviétique (la Biélorussie, à elle toute seule, a subi l'équivalent de 200 Oradour-sur-Glane...). 𝐑𝐞́𝐜𝐢𝐭 𝐝𝐮 𝐦𝐚𝐬𝐬𝐚𝐜𝐫𝐞 𝑆𝑖𝑡𝑢𝑒́ 𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑛𝑔𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑘𝑖𝑙𝑜𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑛𝑜𝑟𝑑 𝑜𝑢𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝐿𝑖𝑚𝑜𝑔𝑒𝑠, 𝑂𝑟𝑎𝑑𝑜𝑢𝑟 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔 𝑟𝑢𝑟𝑎𝑙 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠’𝑒́𝑙𝑒̀𝑣𝑒, 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑟𝑒𝑐𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 1936, 𝑎̀ 1574 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠. 𝐷𝑢 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑜𝑛 𝑦 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑟𝑒́𝑓𝑢𝑔𝑖𝑒́𝑠, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 : 𝑒𝑠𝑝𝑎𝑔𝑛𝑜𝑙𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑠𝑠𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑞𝑢𝑖𝑠𝑚𝑒, 𝑒́𝑣𝑎𝑐𝑢𝑒́𝑠 𝑎𝑙𝑠𝑎𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠, 𝑒𝑥𝑝𝑢𝑙𝑠𝑒́𝑠 𝑚𝑜𝑠𝑒𝑙𝑙𝑎𝑛𝑠, 𝐽𝑢𝑖𝑓𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠 𝑜𝑢 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒𝑟𝑠 𝑓𝑢𝑦𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑒́𝑐𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠. 𝑆𝑎 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́ 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐̧𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑎𝑔𝑟𝑖𝑐𝑜𝑙𝑒 𝑎𝑡𝑡𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑛 𝑐𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑖𝑡𝑎𝑑𝑖𝑛𝑠 𝑣𝑒𝑛𝑢𝑠 𝑠𝑒 𝑟𝑎𝑣𝑖𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑜𝑢 𝑠’𝑦 𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙’𝑎𝑏𝑟𝑖 : 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑚𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑓𝑒𝑟 𝑑𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑙 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑒 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔𝑎𝑑𝑒 𝑎̀ 𝐿𝑖𝑚𝑜𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝐽𝑢𝑛𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 1911. 𝐿𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒 330 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑟𝑒𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑒𝑠, 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑎𝑛𝑠, 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑢𝑏𝑙𝑖𝑐𝑠 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑒 𝑒́𝑐𝑜𝑙𝑒𝑠. 𝐿𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑚𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛𝑛𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑑𝑒́𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑒, 𝑦 𝑒𝑛𝑣𝑜𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠. 𝐸𝑛 𝑐𝑒 𝑠𝑎𝑚𝑒𝑑𝑖 10 𝑗𝑢𝑖𝑛, 𝑙𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒́, 𝑎𝑛𝑖𝑚𝑒́, 𝑣𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡, 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢’𝑎𝑢𝑥 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠-𝑚𝑖𝑑𝑖. 𝐿𝑎 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑛𝑑 𝑎̀ 𝑂𝑟𝑎𝑑𝑜𝑢𝑟 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑠𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 3𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑖𝑒 𝑑𝑢 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑙𝑖𝑛𝑑𝑒́ 𝐷𝑒𝑟 𝐹𝑢̈ℎ𝑟𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑊𝑎𝑓𝑓𝑒𝑛 𝑆𝑆 𝐷𝑎𝑠 𝑅𝑒𝑖𝑐ℎ. 𝐶𝑟𝑒́𝑒́𝑒 𝑒𝑛 1938, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑙’𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑊𝑎𝑓𝑓𝑒𝑛 𝑆𝑆, 𝑏𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒 𝑎𝑟𝑚𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑛𝑎𝑧𝑖𝑒𝑠. 𝐸𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒́𝑒 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑑’𝑎𝑛𝑛𝑒𝑥𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑑’𝑖𝑛𝑣𝑎𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛 𝐸𝑢𝑟𝑜𝑝𝑒 𝑜𝑐𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝐵𝑎𝑙𝑘𝑎𝑛𝑠, 𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑎𝑡𝑠 𝑑𝑢 𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙’𝐸𝑠𝑡, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠’𝑦 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑥𝑒́𝑐𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢’𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑚𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑜𝑒𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑖𝑡𝑜𝑦𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 : 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑎 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒. 𝐷𝑒́𝑐𝑖𝑚𝑒́𝑒 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑢𝑠𝑠𝑒, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑟𝑒𝑡𝑖𝑟𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑎𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑒́𝑒 𝑎𝑢 𝑐𝑎𝑚𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑆𝑜𝑢𝑔𝑒𝑠, 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑟𝑑𝑒𝑎𝑢𝑥, 𝑎𝑢 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 1944. 𝑂𝑛 𝑙𝑢𝑖 𝑎𝑑𝑗𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑐𝑟𝑢𝑒𝑠, 𝑑𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑠 𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́𝑠, 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑎̀ 𝑙’𝑖𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐿𝑎 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒, 𝑠𝑜𝑢𝑠-𝑒𝑛𝑐𝑎𝑑𝑟𝑒́𝑒, ℎ𝑒́𝑡𝑒́𝑟𝑜𝑔𝑒̀𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑚𝑎𝑛𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑙, 𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛𝑣𝑜𝑦𝑒́𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑀𝑜𝑛𝑡𝑎𝑢𝑏𝑎𝑛 𝑜𝑢̀ 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑡 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑒𝑥𝑒́𝑐𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑖𝑛𝑐𝑒𝑛𝑑𝑖𝑒𝑠, 𝑎𝑝𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒́𝑡ℎ𝑜𝑑𝑒𝑠 𝑢𝑡𝑖𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑙’𝐸𝑠𝑡. 𝐿𝑒 8 𝑗𝑢𝑖𝑛, 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 𝐷𝑎𝑠 𝑅𝑒𝑖𝑐ℎ 𝑠𝑒 𝑚𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑇𝑢𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝐿𝑖𝑚𝑜𝑔𝑒𝑠, 𝑎𝑓𝑖𝑛 𝑑’𝑦 𝑚𝑒𝑛𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑟𝑎𝑡𝑖𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑛 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑅𝑒́𝑠𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑚𝑢𝑙𝑡𝑖𝑝𝑙𝑖𝑒𝑛𝑡. 𝐶𝑒 𝑚𝑜𝑢𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑑 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑢𝑙𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙 𝐿𝑎𝑚𝑚𝑒𝑟𝑑𝑖𝑛𝑔, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑎𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑎 ℎ𝑖𝑒́𝑟𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑒 𝑒𝑛 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑑𝑢 5 𝑗𝑢𝑖𝑛 𝑣𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑖𝑚𝑖𝑛𝑎𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 “𝑏𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠” 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒𝑠, 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢’𝑎̀ 𝑙’𝑎𝑝𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑏𝑟𝑢𝑡𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 “𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑛 𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑧𝑜𝑛𝑒”. 8500 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑖𝑝𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑐𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑗𝑎𝑙𝑜𝑛𝑛𝑒́ 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒𝑠, 𝑝𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑖𝑛𝑐𝑒𝑛𝑑𝑖𝑒𝑠, 𝑒𝑡 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑖𝑔𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 9 𝑗𝑢𝑖𝑛 𝐿𝑖𝑚𝑜𝑔𝑒𝑠, 𝐺𝑢𝑒́𝑟𝑒𝑡, 𝑒𝑡 𝐴𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡𝑜𝑛-𝑠𝑢𝑟-𝐶𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒. 𝐶𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑟, 𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑑𝑒 99 𝑜𝑡𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑢𝑥 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑇𝑢𝑙𝑙𝑒 𝑠’𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑑𝑟𝑎𝑚𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑢𝑙𝑚𝑖𝑛𝑒𝑟𝑎 𝑎̀ 𝑂𝑟𝑎𝑑𝑜𝑢𝑟, 𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑛𝑑𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛 10 𝐽𝑢𝑖𝑛. 𝐿𝑒 9 𝑗𝑢𝑖𝑛, 𝑙𝑒 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑’𝑖𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑒𝑟𝑖𝑒 𝑏𝑙𝑖𝑛𝑑𝑒́𝑒 𝐷𝑒𝑟 𝐹𝑢̈ℎ𝑟𝑒𝑟 𝑖𝑛𝑣𝑒𝑠𝑡𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑖𝑚𝑜𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑎 𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑝ℎ𝑒́𝑟𝑖𝑒. 𝐿’𝑒́𝑡𝑎𝑡-𝑚𝑎𝑗𝑜𝑟 𝑠’𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑙𝑙𝑒 𝑎̀ 𝐿𝑖𝑚𝑜𝑔𝑒𝑠, 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑏𝑎𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒́ 𝑎̀ 𝑙’𝑜𝑢𝑒𝑠𝑡, 𝑎̀ 𝑅𝑜𝑐ℎ𝑒𝑐ℎ𝑜𝑢𝑎𝑟𝑡 𝑒𝑡 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝐽𝑢𝑛𝑖𝑒𝑛. 𝐼𝑙 𝑟𝑒𝑐̧𝑜𝑖𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑙’𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑗𝑜𝑖𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑙𝑒 11 𝑗𝑢𝑖𝑛 𝑙𝑒 𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑏𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑎𝑙𝑙𝑖𝑒́𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑁𝑜𝑟𝑚𝑎𝑛𝑑𝑖𝑒. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙’𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒, 𝑜𝑛 𝑚𝑒𝑡 𝑎𝑢 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑙’”𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑥𝑒𝑚𝑝𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒” 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑖𝑠𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝐿𝑎𝑚𝑚𝑒𝑟𝑑𝑖𝑛𝑔. 𝐷𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑎̂𝑐𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑜𝑠𝑠𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑’𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑣𝑒𝑠 : 𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒𝑑𝑖 9 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑎̀ 𝐿𝑖𝑚𝑜𝑔𝑒𝑠, 𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑚𝑒𝑑𝑖 10 𝑎𝑢 𝑚𝑎𝑡𝑖𝑛 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝐿𝑖𝑚𝑜𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝐽𝑢𝑛𝑖𝑒𝑛, 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑜𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑊𝑎𝑓𝑓𝑒𝑛 𝑆𝑆 𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑙𝑖𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑆𝑆 𝑒𝑛 𝑝𝑜𝑠𝑡𝑒 𝑎̀ 𝐿𝑖𝑚𝑜𝑔𝑒𝑠. 𝐷𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠. 𝐿𝑒 𝑐𝑎𝑛𝑡𝑜𝑛𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝐽𝑢𝑛𝑖𝑒𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑣𝑢 𝑙𝑒 10 𝑎𝑢 𝑠𝑜𝑖𝑟 𝑎̀ 𝑁𝑖𝑒𝑢𝑙. 𝐸𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑙𝑜𝑐𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́𝑠 : 𝑂𝑟𝑎𝑑𝑜𝑢𝑟. 𝐿𝑒 10 𝑗𝑢𝑖𝑛, 𝑙𝑎 3𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑖𝑒, 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛 200 𝑊𝑎𝑓𝑓𝑒𝑛 𝑆𝑆 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝐾𝑎ℎ𝑛, 𝑠𝑒 𝑚𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 13 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠. 𝐿𝑎 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒 𝑑𝑢 𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑐̧𝑜𝑖𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒𝑠. 𝐿𝑒 𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑒́𝑐𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒́𝑙𝑖𝑚𝑖𝑡𝑒́. 𝐿𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑣𝑒́ℎ𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑂𝑟𝑎𝑑𝑜𝑢𝑟, 𝑙𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑚𝑒́𝑡ℎ𝑜𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑒𝑟𝑐𝑙𝑒́. 𝐿𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑎𝑏𝑎𝑡𝑡𝑢𝑠 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙’𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔 𝑒𝑡 𝑟𝑎𝑠𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒́𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑟𝑒 : 𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́ 𝑑’𝑎𝑏𝑎𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑠’𝑦 𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒. 𝑆𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑛𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑑𝑎𝑡𝑠, 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑒́𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑖𝑡𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙’𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒. 𝐿𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑙𝑜𝑠 𝑟𝑒𝑝𝑒́𝑟𝑒́𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝑈𝑛 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́ : 𝑖𝑙𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑠𝑖𝑚𝑢𝑙𝑡𝑎𝑛𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑥𝑒́𝑐𝑢𝑡𝑒́𝑠. 𝐿𝑎 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑡𝑢𝑒 𝑎𝑢 ℎ𝑎𝑠𝑎𝑟𝑑 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 ; 𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑖𝑙𝑙𝑒́ 𝑒𝑡 𝑖𝑛𝑐𝑒𝑛𝑑𝑖𝑒́. 𝐹𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙’𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒, 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑑𝑎𝑡𝑠 𝑡𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑡𝑟𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑠𝑖𝑓𝑠. 𝐸𝑛 𝑑𝑒́𝑏𝑢𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑟𝑒́𝑒, 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑟𝑒𝑗𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑎𝑛𝑡𝑜𝑛𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 : 𝑑’𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔 𝑑𝑒́𝑣𝑎𝑠𝑡𝑒́. 𝐿𝑒 𝑙𝑒𝑛𝑑𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛, 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑒̀𝑑𝑒 𝑎̀ 𝑙’𝑒́𝑙𝑖𝑚𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑓𝑒𝑢 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑠𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑒. 𝐶𝑒𝑡 𝑜𝑢𝑡𝑟𝑎𝑔𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑐𝑎𝑑𝑎𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑛𝑑 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑙’𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑟𝑡𝑠, 𝑝𝑟𝑜𝑙𝑜𝑛𝑔𝑒𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑢𝑟 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙’𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑑𝑖𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑑𝑒𝑢𝑖𝑙. 𝑂𝑛 𝑑𝑒́𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑟𝑎 643 𝑣𝑖𝑐𝑡𝑖𝑚𝑒𝑠. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒖 𝑪𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒎𝒆́𝒎𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅'𝑶𝒓𝒂𝒅𝒐𝒖𝒓-𝒔𝒖𝒓-𝑮𝒍𝒂𝒏𝒆 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@nathcharente
"Si vous pouvez y aller, foncez-y, vraiment. "
@s0ln3ns
"Après le massacre qui s'y est produit pendant la 2GM"
@yo7er
"Accès au village libre et gratuit toute l’année en journée Accès par le mémorial Du 15 décembre au 15 janvier accès par l’entrée du village "
@mathisr
"Occupation allemande 2nde guerre mondiale "
@sophie.fz