Château de Labordonnais
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#Tags souvent utilisés
#Visite #Restaurant #Balade #Monument #Musee
Ce qu'en disent les utilisateurs

"Ça c’est grave bien, maison coloniale française sur deux étages, magnifiques meubles et beau jardin, tortues enoormes. Meilleure visite de l’île avec le thé "

@vincent.plantevin

"Articulé autour de plusieurs espaces (château, vergers, rhumerie), le site du Domaine de Labourdonnais est l'un des fleurons du patrimoine local. Il n'en est pas figé pour autant, puisque son exploitation agricole est toujours active et continue de prospérer avec sa distillerie et la plus importante production fruitière du pays. La visite commence par une splendide allée d'arbres intendances dont certains ont plus de cent cinquante ans et qui ont été introduits à Maurice au XVIII e siècle pour embellir les jardins des nobles demeures. Elle mène au château : fière bâtisse de style néo-classique sur deux niveaux construite essentiellement en bois de teck avec une toiture recouverte de bardeaux, et une double galerie à colonnades. Commence alors une immersion dans l'art de vivre du XIX e siècle qui permet de découvrir les différentes facettes de la vie sur un domaine agricole mauricien. Ne pas se contenter d'admirer la somptueuse demeure, appréhender aussi le charme des vieux murs et des jardins au goût d'enfance, et ce qu'ils ont gravé dans les âmes de ses habitants. Ecouter la voix des Mauriciens qui connurent là des joies, des jeux, le sens de la famille et racontent dans un créole parfumé (vidéo à l'étage) le bonheur de " la vie au château ". Le vestibule franchi, le rez-de-chaussée s'organise en deux espaces comme dans les hôtels particuliers de cette époque : la salle à manger et son décor panoramique en papier peint à la main d'un côté, le salon et le bureau du maître de l'autre. Les chambres se tiennent à l'étage, tandis que la cuisine (transformée en salle d'expositions et de conférences) se niche dans un petit pavillon extérieur comme le voulait la prudence de l'époque afin d'éviter qu'un incendie domestique n'aille réduire en cendres l'entière maison. Le mobilier témoigne d'une double influence, à la fois anglaise (meubles victoriens) et française (fauteuils Napoléon III). On salue l'ingéniosité de la scénographie qui fait appel à tous les sens et propose un parcours thématique sur le développement historique de l'île avant 1850, l'histoire de la famille Wiehe (encore actuelle propriétaire du lieu), les 150 ans du domaine, et la propriété d'aujourd'hui. On appréciera la douceur de la varangue circulaire qui s'ouvre sur une canopée d'arbres ancestraux où l'on imagine ce que furent les goûters avec les cousins-cousines, sous l'oeil protecteur des nénènes (nounous), dans le froufrou des robes et la cadence rythmique de l'usine sucrière, omniprésente. Découverte des vergers à bord du train Labourdonnais Express . Comme dans tous les grands domaines, le parc abrite des arbres magistraux et d'autres, féconds (fleurs, fruits, épices), organisés en vergers que l'on parcourt à pied au fil des totems didactiques ou à bord d'un joli petit train permettant de découvrir sans se fatiguer les serres de vanille, les manguiers (une cinquantaine de variétés), muscadiers, espèces exotiques génitrices de fruits à noms étranges - pomme jacot, sapotier, jamalac, prunier de cythère... Mais pour les pâtes de fruits, jus frais et confitures du domaine, en vente partout dans l'île et choisies à la table des chefs, ce sont des saveurs plus " classiques " qui sont travaillées à Labourdonnais : papaye, goyave, fruit de la passion, mangue et banane. Autre nectar, exclusivement réservé aux adultes : le rhum de la Distillerie de Labourdonnais, produit sur place. Pas de visite à proprement parler, mais des totems informatifs livrent les secrets de fabrication, tandis que les colonnes de distillation et les cuves se laissent entrevoir par des baies vitrées. Dégustation proposée. La visite s'achève par une boutique qui (ô miracle !) est fidèle à l'esprit du lieu et commercialise des articles et souvenirs de voyage soigneusement sélectionnés parmi les produits du domaine et auprès des artisans locaux. Sur place, la Table du Château , superbe espace ouvert sur la demeure et la nature, propose une belle carte de recettes familiales revisitées par le chef italien Fabio. Un peu plus loin, face à la l'ancienne cheminée d'usine, la Terrasse déroule une petite carte de quiches, panini, salades composées, plats du jour mauriciens, gâteaux, desserts, sorbets et jus frais. Juste à côté, avec son air de vieille boutique, La Corbeille est une petite épicerie où faire le plein de confitures, pâtes de fruits, piment, miel..."

@fernandezmanon

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MAURICE

@petitfute

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"Articulé autour de plusieurs espaces (château, vergers, rhumerie), le site du Domaine de Labourdonnais est l'un des fleurons du patrimoine local. Il n'en est pas figé pour autant, puisque son exploitation agricole est toujours active et continue de prospérer avec sa distillerie et la plus importante production fruitière du pays. La visite commence par une splendide allée d'arbres intendances dont certains ont plus de cent cinquante ans et qui ont été introduits à Maurice au XVIII e siècle pour embellir les jardins des nobles demeures. Elle mène au château : fière bâtisse de style néo-classique sur deux niveaux construite essentiellement en bois de teck avec une toiture recouverte de bardeaux, et une double galerie à colonnades. Commence alors une immersion dans l'art de vivre du XIX e siècle qui permet de découvrir les différentes facettes de la vie sur un domaine agricole mauricien. Ne pas se contenter d'admirer la somptueuse demeure, appréhender aussi le charme des vieux murs et des jardins au goût d'enfance, et ce qu'ils ont gravé dans les âmes de ses habitants. Ecouter la voix des Mauriciens qui connurent là des joies, des jeux, le sens de la famille et racontent dans un créole parfumé (vidéo à l'étage) le bonheur de " la vie au château ". Le vestibule franchi, le rez-de-chaussée s'organise en deux espaces comme dans les hôtels particuliers de cette époque : la salle à manger et son décor panoramique en papier peint à la main d'un côté, le salon et le bureau du maître de l'autre. Les chambres se tiennent à l'étage, tandis que la cuisine (transformée en salle d'expositions et de conférences) se niche dans un petit pavillon extérieur comme le voulait la prudence de l'époque afin d'éviter qu'un incendie domestique n'aille réduire en cendres l'entière maison. Le mobilier témoigne d'une double influence, à la fois anglaise (meubles victoriens) et française (fauteuils Napoléon III). On salue l'ingéniosité de la scénographie qui fait appel à tous les sens et propose un parcours thématique sur le développement historique de l'île avant 1850, l'histoire de la famille Wiehe (encore actuelle propriétaire du lieu), les 150 ans du domaine, et la propriété d'aujourd'hui. On appréciera la douceur de la varangue circulaire qui s'ouvre sur une canopée d'arbres ancestraux où l'on imagine ce que furent les goûters avec les cousins-cousines, sous l'oeil protecteur des nénènes (nounous), dans le froufrou des robes et la cadence rythmique de l'usine sucrière, omniprésente. Découverte des vergers à bord du train Labourdonnais Express . Comme dans tous les grands domaines, le parc abrite des arbres magistraux et d'autres, féconds (fleurs, fruits, épices), organisés en vergers que l'on parcourt à pied au fil des totems didactiques ou à bord d'un joli petit train permettant de découvrir sans se fatiguer les serres de vanille, les manguiers (une cinquantaine de variétés), muscadiers, espèces exotiques génitrices de fruits à noms étranges - pomme jacot, sapotier, jamalac, prunier de cythère... Mais pour les pâtes de fruits, jus frais et confitures du domaine, en vente partout dans l'île et choisies à la table des chefs, ce sont des saveurs plus " classiques " qui sont travaillées à Labourdonnais : papaye, goyave, fruit de la passion, mangue et banane. Autre nectar, exclusivement réservé aux adultes : le rhum de la Distillerie de Labourdonnais, produit sur place. Pas de visite à proprement parler, mais des totems informatifs livrent les secrets de fabrication, tandis que les colonnes de distillation et les cuves se laissent entrevoir par des baies vitrées. Dégustation proposée. La visite s'achève par une boutique qui (ô miracle !) est fidèle à l'esprit du lieu et commercialise des articles et souvenirs de voyage soigneusement sélectionnés parmi les produits du domaine et auprès des artisans locaux. Sur place, la Table du Château , superbe espace ouvert sur la demeure et la nature, propose une belle carte de recettes familiales revisitées par le chef italien Fabio. Un peu plus loin, face à la l'ancienne cheminée d'usine, la Terrasse déroule une petite carte de quiches, panini, salades composées, plats du jour mauriciens, gâteaux, desserts, sorbets et jus frais. Juste à côté, avec son air de vieille boutique, La Corbeille est une petite épicerie où faire le plein de confitures, pâtes de fruits, piment, miel..."
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