Lac Baikal
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"interessante quando congelado"
@larixavierv
"Situé au sud-est de la Sibérie, le lac Baïkal, d'une superficie de 3,15 millions d'hectares, est le plus ancien (25 millions d'années) et le plus profond (1 700 m) lac du monde. Il contient 20 % des eaux douces non gelées de la planète. Son ancienneté et son isolement ont produit une des faunes d'eau douce les plus riches et originales de la planète, qui présente une valeur exceptionnelle pour la science de l'évolution, ce qui lui vaut le surnom de « Galápagos de la Russie » ou encore de « perle de la Sibérie ». La population locale russe l'a surnommée "la mer sacrée" ou "l'eau sacrée" depuis les temps lointains. Les sols et les plantes du lac présenteraient d'ailleurs des mutations génétiques étranges. Le lac est également connu d'un certain milieu ésotérique pour constituer le point n°4 de la grille de Becker-Hagens. La grille de Becker et Hagens : un des plus célèbres réseaux telluriques de la géobiologie Un couple américain, le Dr William Becker et son épouse le Dr Bethe Hagens, a été fortement intéressé par la description de la grille planétaire de l'équipe russe telle qu'elle est rapportée par Christopher Bird dans son article de 1975. William Becker était alors professeur de dessin industriel à l'université de l'Illinois à Chicago et Bethe Hagens était professeur d'anthropologie à l'université d'état Governors. Becker et Hagens retravaillent la grille et la perfectionnent sous l'inspiration des études mathématiques d'un ingénieur américain Richard Buckminster Fuller (1896-1983). Fuller était aussi inventeur et futuriste. Il a imaginé et construit des dômes géodésiques, dont celui du pavillon des États-Unis à l'exposition internationale de 1967 à Montréal, où siège maintenant la Biosphère, un musée dédié à l'environnement. Voici ce qu'ils disent de leur contact fructueux avec les études de Fuller: Pour rendre la grille complète, il suffit d'y superposer le polyèdre sphérique dérivé de l'icosaèdre développé par Richard Buckminster Fuller. Dans son livre "Synergetics 2", il l'appelle "Composite of Primary and Secondary Icosahedron Great Circle Sets" (Composé d'ensembles de Grands cercles primaires et secondaires de l'icosaèdre !!). Nous l'avons simplifié en une sphère à 120 triangles identiques appelée "Polyèdre 120 à géométrie unifiée de vecteurs" (UVG) ou étoile terrestre. Ce polyèdre est fait de 120 triangles. En géométrie, il est nommé un hexaki-icosaèdre, ce qui signifie polyèdre à 120 faces (du grec hexakis, 6 et icosa, 20). Il est également appelé plus rarement disdyakis-triacontaèdre par imitation de l'anglais. On peut aborder sa structure à partir de l'icosaèdre et du dodécaèdre. Pour ce qui concerne les sommets, c'est l'addition des 2 polyèdres, ce qui donne 62 sommets répartis sur la sphère, déjà répertoriés dans la grille russe. Du point de vue des faces, on peut partir du dodécaèdre et partager chacun de ses 12 pentagones à partir de leur centre en 10 triangles, soit au total 12x10=120 triangles (voir figure, pentagone souligné de bleu). Ensuite, on "soulève" légèrement le centre du pentagone et le milieu de chacune de ses arêtes pour les amener à la surface de la sphère et former une petite pyramide à 10 pans. De façon équivalente, on peut partir des 20 triangles de l'icosaèdre (l'un est souligné de jaune) et les partager en 6 triangles. Le polyèdre 120 est une géode, c'est-à-dire un polyèdre convexe inscrit dans une sphère. Il n'est pas un polyèdre régulier car ses sommets ne sont pas tous équivalents. La structure du polyèdre 120 contient tous les solides de Platon. Cette nouvelle grille planétaire est donc la synthèse des précédentes. Elle prend appui sur les 2 pôles et sur la Grande pyramide de Guizeh. Ses sommets coïncident avec des lieux remarquables, soit pour leurs anomalies géophysiques, soit comme siège d'une énergie magnétique de haute qualité où ont été implantés des temples sacrés. La liste complète des 62 lieux est donnée par Becker et Hagens. Il est possible de la visualiser par Google Earth avec le programme proposé sur le site web du géobiologiste Alain Boudet. Dans la communauté française, la pratique des mesures énergétiques sur le terrain par radiesthésie s'est bien répandue depuis les années 1930 avec la mise en évidence des flux liés aux sites mégalithiques et aux églises, puis dans les années 1950 par la diffusion de la géobiologie et la mise en évidence de réseaux dont le plus connu reste le réseau Hartmann. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑷𝒂𝒕𝒓𝒊𝒎𝒐𝒊𝒏𝒆 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒊𝒂𝒍 𝒅𝒆 𝒍'𝑼𝑵𝑬𝑺𝑪𝑶 ; 𝑳𝒊𝒆𝒖𝒙 𝒔𝒂𝒄𝒓𝒆́𝒔 𝒆𝒕 𝒈𝒓𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒆́𝒏𝒆𝒓𝒈𝒆́𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒑𝒍𝒂𝒏𝒆́𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆 (𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅'𝑨𝒍𝒂𝒊𝒏 𝑩𝒐𝒖𝒅𝒆𝒕) ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@histoireitinerante