Cathédrale de Bourges
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Cathédrale de Bourges - Monument Historique et Vue Impressionnante

La Cathédrale de Bourges, également connue sous le nom de Cathédrale Saint-Étienne, est un monument emblématique de l'architecture gothique. Datant du XIVe siècle, cette cathédrale impressionne par sa taille imposante et sa magnifique horloge astronomique mécanique réalisée par Jean FUJORIS. En pleine rénovation, elle offre aux visiteurs une expérience unique, rappelant en certains aspects la célèbre cathédrale Notre-Dame de Paris. Avec ses cinq nefs et son absence de transept, la cathédrale de Bourges présente une architecture fascinante, offrant une vue panoramique sur ses vastes espaces intérieurs. Une visite à ne pas manquer pour les amateurs d'histoire et d'art, où chaque détail témoigne du savoir-faire des bâtisseurs de l'époque gothique.

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#Tags souvent utilisés
#Monument #Visite #Musée #Architecture #Vue
Ce qu'en disent les utilisateurs

"Cattedrale gotica al 200%: 117 metri x 41 di larghezza x 37 di altezza. Impressionante sia per la sensazione di vuoto che imprime, sia per la rara bellezza delle vetrate (14esimo secolo…) che lasciano passare una luce colorata molto suggestiva "

@andrearan

"11 - Cathédrale Saint-Etienne"

@mailyslenap

"Cathédrale immense sous plafond La sœur de celle de Paris "

@mathisr

"Belle cathédrale en rénovation "

@olivier.antoine2

"Modello alternativo a Chartres (1194-1230) ma degli stessi anni, che si ispira più a Notre-Dame (Parigi, 1163): 5 navate senza transetto ma sempre doppio deamb., nella navata i pilastri sono molto più alti e permettono di vedere bene lo spazio delle navate laterali — spazio vasto, frantumato. Questa idea viene ripresa nel Gotico “radiante” (dopo 1250) con le testate dei transetti Notre-Dame e Sainte-Chapelle (1241-48) — vetrate che sostituiscono le pareti."

@caterinarimensi96

"Considérée comme la petite sœur de Notre-Dame de Paris, la Cathédrale St-Etienne de Bourges saura vous offrir une expérience inédite avec ses jeux de de volumes intérieurs et ses vitraux rares datant du XIIIe siècle. Venez la découvrir !"

@piermayromane

"XIIe siècle, un des plus grands chef d’œuvre de l’architecture gothique "

@octave_ps

"Admirable par ses proportions et l'unité de sa conception, la cathédrale Saint-étienne de Bourges, construite entre la fin du XIIe et la fin du XIIIe siècle, est l'un des grands chefs-d'œuvre de l'art gothique. Son tympan, ses sculptures et ses vitraux sont particulièrement remarquables. Par-delà sa beauté architecturale, elle témoigne de la puissance du christianisme dans la France médiévale. Sur son portail, on peut voir une belle référence à la thématique "polaire" si caractéristique de Bourges : celui-ci représente les douze mois de l'année, est de forme hémicirculaire et à son sommet figure un ours. Dans la crypte de la cathédrale (fondée selon la tradition par Saint-Ursin) se trouve le tombeau du duc Jean de Berry, frère du roi Charles V le Sage ; les pieds du duc reposent sur une petite ourse muselée et enchaînée. Cette oursonne s'y trouve pour indiquer que ce dernier, en tant que suzerain du Berry, avait la "maîtrise de la Polaire", c'est-à-dire était demépositaire de traditions d'ordre astronomique ; la devise du duc confirme cette interprétation ; elle dit en effet clairement : de l'Ourse au Cygne, le temps viendra (s'il garde encore quelques doutes, le lecteur pourra le dissiper en examinant avec soin les Très Riches Heures du duc de Berry, célèbre ensemble de miniatures riche en sylbolique hermériste et astronomique). 𝐁𝐨𝐮𝐫𝐠𝐞𝐬 𝐞𝐭 « 𝐥'𝐀𝐱𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐆𝐚𝐮𝐥𝐞𝐬 » 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑡𝑟𝑖𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐺𝑎𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑑 𝑎𝑢 𝑝𝑙𝑒𝑥𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑎𝑟𝑑𝑖𝑎𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝑒̂𝑡𝑟𝑒 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛 : 𝑇𝑖𝑝ℎ𝑒𝑟𝑒𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑐ℎ𝑒́𝑚𝑎 𝑑𝑒 𝑙’𝐴𝑟𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑉𝑖𝑒. 𝐴𝑢 𝑐œ𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦, 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠, 𝑜𝑚𝑝ℎ𝑎𝑙𝑜𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐺𝑎𝑢𝑙𝑒𝑠, 𝑒𝑠𝑡 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑒́ 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙’𝐴𝑥𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒. 𝐿𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑟𝑖𝑔𝑜𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑙’𝐻𝑒𝑥𝑎𝑔𝑜𝑛𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑒́ 𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑖𝑧𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑘𝑖𝑙𝑜𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑏𝑒𝑟𝑟𝑖𝑐ℎ𝑜𝑛𝑛𝑒 : 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑑𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑟𝑢𝑒̀𝑟𝑒 𝐴𝑙𝑙𝑖𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑛𝑞𝑢𝑒́𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑙𝑒 𝑐𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑔𝑒́𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑑’𝐴𝑙𝑙𝑖𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒 𝑎𝑛𝑎𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑙𝑦𝑐𝑎𝑚𝑝𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝐶ℎ𝑎𝑚𝑝𝑠 𝐸𝑙𝑦𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑡𝑟𝑖𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒. 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛 𝑇𝑖𝑝ℎ𝑒𝑟𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑠’𝑒𝑥𝑎𝑙𝑡𝑒 𝑌𝑒𝑠𝑜𝑑. 𝐶𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑒́𝑛𝑒̀𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑀𝑖𝑑𝑖 𝑠’𝑜𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒. 𝐼𝑐𝑖, 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑟𝑎𝑔𝑜𝑛 𝑛𝑖 𝑑𝑒 𝑡𝑎𝑟𝑎𝑠𝑞𝑢𝑒. 𝐿𝑎 𝑝𝑎𝑡𝑟𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑢 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦, 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑆𝑜𝑙𝑎𝑛𝑔𝑒, 𝑒́𝑣𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑙’𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 : 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑀𝑖𝑐ℎ𝑒𝑙. 𝑇𝑜𝑢𝑡𝑒𝑓𝑜𝑖𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑟𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 “ 𝑗’𝑡𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑠 ” 𝑛’𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑎𝑟𝑢 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒𝑠, 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦, 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒́𝑑𝑖𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑎𝑐ℎ𝑒̀𝑣𝑒 𝑑’𝑒𝑥𝑜𝑟𝑐𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑖𝑎𝑞𝑢𝑒𝑠. 𝐿𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑢𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑙’𝑒𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 “ 𝑡𝑜𝑟𝑜𝑠 ” : 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑏𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑑𝑢 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒𝑎𝑢, 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑛𝑒𝑟𝑔𝑖𝑒𝑠 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑 𝑑𝑢 𝑝𝑜𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙 𝑒́𝑛𝑒𝑟𝑔𝑒́𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑙𝑎𝑛 𝑣𝑖𝑡𝑎𝑙. 𝐿’𝑎𝑟𝑑𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑒𝑛𝑐̧𝑎𝑙 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑜𝑢𝑐𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑠𝑡𝑒𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝑆𝑜𝑙𝑜𝑔𝑛𝑒, 𝑎𝑢 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑠𝑖 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑟𝑎𝑖𝑛𝑒. 𝑇𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑑’𝑒́𝑞𝑢𝑖𝑙𝑖𝑏𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟𝑒. 𝑁𝑜𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑥𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑟𝑜𝑖̂𝑡 𝑎𝑢 𝑓𝑢𝑟 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑔𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒, 𝑙𝑜𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒́𝑒 𝑒𝑛 𝐾𝑒𝑡ℎ𝑒𝑟. 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒, 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠, 𝑏𝑎̂𝑡𝑖𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑣𝑎𝑠𝑡𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑒́𝑐𝑎𝑔𝑒, 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒̀𝑑𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑗𝑎𝑟𝑑𝑖𝑛𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑐ℎ𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑖𝑣𝑒́𝑠 “ 𝑒𝑛 ℎ𝑜𝑟𝑡𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 ” 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑏𝑒𝑟𝑟𝑢𝑦𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑒̂𝑡𝑒 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒. 𝐴 𝑙𝑎 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑐ℎ𝑜𝑛𝑠 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑣𝑖𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑆𝑜𝑙𝑜𝑔𝑛𝑒, 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 “ 𝐶𝑎𝑚𝑎𝑟𝑔𝑢𝑒 ”, 𝑚𝑎𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒 𝑑𝑒 𝑔𝑖𝑏𝑖𝑒𝑟, 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑖𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑝𝑡𝑢𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙 𝑠𝑒 𝑛𝑜𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑖𝑟𝑜𝑖𝑟 𝑑’𝑖𝑛𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑔𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙’𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑜𝑢𝑐𝑒 𝑎 𝑟𝑒𝑚𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒́ 𝑙𝑒𝑠 “ 𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑚𝑒̀𝑟𝑒𝑠 ”𝑑𝑒𝑠 𝑆𝑎𝑙𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑢 𝑀𝑖𝑑𝑖. 𝑆𝑎𝑙𝑢𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑙’𝑎 𝑠𝑖 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡𝑒́ : 𝑀𝑎𝑢𝑟𝑖𝑐𝑒 𝐺𝑒𝑛𝑒𝑣𝑜𝑖𝑥, 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑞𝑢𝑖𝑡𝑡𝑒𝑟. 𝐿𝑒𝑠 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑗𝑎𝑟𝑑𝑖𝑛𝑠 𝑑’𝑜𝑟𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑜𝑟𝑔𝑢𝑒𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 : 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑙’𝐴𝑟𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒̂𝑐ℎ𝑒́, 𝑎𝑢 𝑝𝑖𝑒𝑑 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑡ℎ𝑒́𝑑𝑟𝑎𝑙𝑒, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒𝑠 𝑃𝑟𝑒́𝑠 𝐹𝑖𝑐ℎ𝑒𝑎𝑢𝑥, 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑢𝑛 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛 𝑚𝑎𝑟𝑎𝑖𝑠, 𝑎𝑛𝑛𝑜𝑛𝑐𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑙𝑒 « 𝐽𝑎𝑟𝑑𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 », 𝑙𝑒 𝑉𝑎𝑙 𝑑𝑒 𝐿𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 « 𝑉𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑅𝑜𝑖𝑠 », 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑐𝑙𝑖𝑛 𝑑’œ𝑖𝑙 𝑎̀ 𝑙’𝐸𝑔𝑦𝑝𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑖𝑠. 𝐴𝑠𝑠𝑖𝑠𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝐴𝑣𝑎𝑟𝑖𝑐𝑢𝑚 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑒́𝑔𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝐽𝑢𝑙𝑒𝑠 𝐶𝑒́𝑠𝑎𝑟, 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑡ℎ𝑒́𝑑𝑟𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑜𝑚𝑖𝑛𝑒 𝑐𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑠𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒. 𝐿𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 5, 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒 𝑑’𝑒́𝑛𝑒𝑟𝑔𝑖𝑒 (𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑒̂𝑡 𝑔𝑖𝑏𝑜𝑦𝑒𝑢𝑠𝑒), 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑓𝑎𝑐̧𝑎𝑑𝑒 𝑎𝑢𝑥 5 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑙𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑛𝑐𝑡𝑢𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑙’𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 : 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑’𝑒́𝑞𝑢𝑖𝑙𝑖𝑏𝑟𝑒, 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑛𝑠𝑖𝑡𝑒́, 𝑑𝑒 𝑠𝑒́𝑟𝑒́𝑛𝑖𝑡𝑒́, 𝑖𝑙𝑙𝑢𝑚𝑖𝑛𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑡𝑜𝑦𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑣𝑖𝑡𝑟𝑎𝑢𝑥. « 𝑆𝑎𝑡𝑒𝑙𝑙𝑖𝑡𝑒 » 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑡𝑟𝑒-𝐷𝑎𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑃𝑎𝑟𝑖𝑠, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒́𝑑𝑖𝑒́𝑒, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑠œ𝑢𝑟𝑠 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑛 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑛, 𝑎̀ 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝐸𝑡𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑚𝑎𝑟𝑡𝑦𝑟, 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝐸𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒. 𝑆𝑎 𝑓𝑒̂𝑡𝑒 𝑎𝑢 𝑙𝑒𝑛𝑑𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑒̈𝑙 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑖𝑟 𝑒𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑙’𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 - 𝑛𝑒́ 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑣𝑖𝑡𝑒 « 𝑙𝑎𝑝𝑖𝑑𝑒́ » 𝑠𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑒 𝑙’𝑒𝑛𝑡𝑜𝑢𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑣𝑖𝑔𝑖𝑙𝑎𝑛𝑡𝑠. 𝐿𝑒 𝑗𝑎𝑟𝑑𝑖𝑛 « 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠𝑒 » 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛-𝑝𝑖𝑒𝑑 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́ 𝑓𝑎𝑐̧𝑎𝑑𝑒, 𝑑𝑜𝑚𝑖𝑛𝑒 𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑎𝑢 𝑛𝑖𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑏𝑠𝑖𝑑𝑒. 𝑂𝑛 𝑦 𝑎𝑐𝑐𝑒̀𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛 𝑏𝑒𝑙 𝑒𝑠𝑐𝑎𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝑓𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑙, 𝑜𝑟𝑛𝑒́ 𝑑’𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑦𝑟𝑎𝑚𝑖𝑑𝑒 𝑒𝑛 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑑’𝑜𝑏𝑒́𝑙𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒, 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙 𝑑𝑒 𝑙’𝐸𝑔𝑦𝑝𝑡𝑒. 𝐴𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑒́, 𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑜𝑙𝑖𝑡ℎ𝑒, 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑚𝑜𝑑𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑚𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑜𝑟𝑛𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑠𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑢𝑝ℎ𝑖𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑗𝑜𝑙𝑖𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑄𝑢𝑎𝑡𝑟𝑒 𝑃𝑖𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠. 𝐸𝑛 𝑒́𝑐ℎ𝑜 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑎𝑡𝑖𝑎𝑙𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑇𝑟𝑜𝑝ℎ𝑖𝑚𝑒 𝑒𝑛 𝐴𝑟𝑙𝑒𝑠, 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙’𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑃𝑟𝑖𝑚𝑎𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝐺𝑎𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑑’𝐴𝑞𝑢𝑖𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑀𝑖𝑑𝑖, 𝑙𝑎 𝑙𝑜𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 : 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑒̂𝑡 𝑑𝑜𝑚𝑎𝑛𝑖𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑟𝑜𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠, 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒̂𝑛𝑎𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑓𝑢𝑡 𝑢𝑛 ℎ𝑎𝑢𝑡 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑑𝑢 𝑑𝑟𝑢𝑖𝑑𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒́ 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛𝑛𝑎𝑛𝑡𝑒 : 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑙𝑚𝑒𝑛 𝑒𝑛𝑓𝑜𝑢𝑖 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑧𝑎 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝐶𝑜𝑚𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒𝑟𝑖𝑒 𝑑𝑖𝑡𝑒 « 𝐶ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝑙’𝑂𝑟𝑚𝑒𝑡𝑒𝑎𝑢 », 𝑎𝑢 𝑛𝑜𝑟𝑑 𝑑’𝐼𝑠𝑠𝑜𝑢𝑑𝑢𝑛, 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑉𝑎𝑡𝑎𝑛 (𝐼𝑛𝑑𝑟𝑒), 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑃𝑜𝑛𝑡-𝐿𝑒𝑣𝑜𝑦 (𝐿𝑜𝑖𝑟-𝑒𝑡-𝐶ℎ𝑒𝑟), 𝑑𝑖𝑡 « 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑀𝑖𝑛𝑢𝑖𝑡 » 𝑞𝑢𝑖 𝑡𝑜𝑢𝑟𝑛𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑠𝑎 𝑏𝑎𝑠𝑒 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑛𝑢𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑒̈𝑙. 𝐿’𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑟𝑜𝑚𝑎𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑃𝑜𝑛𝑡-𝐿𝑒𝑣𝑜𝑦 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒̀𝑑𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒 𝑛𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑐𝑢𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑚𝑚𝑒́𝑒 « 𝑁𝑜𝑡𝑟𝑒-𝐷𝑎𝑚𝑒-𝑑𝑒𝑠-𝐵𝑙𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑠 » 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑓𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑓𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝐴𝑠𝑠𝑜𝑚𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑒𝑛 1980 – 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑡𝑟𝑖𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒 𝑜𝑏𝑙𝑖𝑔𝑒 – 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒 𝑑’𝑎𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑑𝑒́𝑒𝑠, 𝑓𝑢𝑡 𝑜𝑓𝑓𝑒𝑟𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑣𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑑𝑒̀𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑡ℎ𝑒́𝑑𝑟𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠. 𝑃𝑖𝑒̀𝑐𝑒 𝑚𝑎𝑗𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑑’𝑢𝑛 𝑡𝑟𝑒́𝑠𝑜𝑟 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑’𝑎𝑚𝑒́𝑛𝑎𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑎𝑖𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑚𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑡𝑟𝑖𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑢𝑥𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑝ℎ𝑎𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙’Œ𝑢𝑣𝑟𝑒 : 𝑙’Œ𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝐵𝑙𝑎𝑛𝑐. 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑐𝑖 𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑔𝑛𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 : 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑇𝑟𝑖𝑛𝑖𝑡𝑒́. 𝐿𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑏𝑎𝑝𝑡𝑒̂𝑚𝑒, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝐽𝑒𝑎𝑛, 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑑 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑀𝑖𝑑𝑖 𝑎̀ 𝑙’𝑂𝑑𝑦𝑠𝑠𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝐹𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠. 𝐿𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥𝑖𝑒̀𝑚𝑒, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑢 𝐶ℎ𝑟𝑖𝑠𝑡, 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑏𝑎𝑝𝑡𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑛𝑔, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑙’𝐴𝑔𝑛𝑒𝑎𝑢 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑜𝑖𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑖𝑚𝑚𝑜𝑙𝑒́ 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙’𝑎𝑢𝑡𝑒𝑙 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑖𝑓𝑖𝑐𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑚𝑢𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝑃𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑚𝑜𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑆𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒, 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑏𝑒𝑟𝑟𝑢𝑦𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑙𝑒 ℎ𝑎𝑢𝑡 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑝𝑟𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙’𝐴𝑙𝑐ℎ𝑖𝑚𝑖𝑒 𝑒𝑛 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝐸𝑠𝑡-𝑐𝑒 𝑢𝑛 ℎ𝑎𝑠𝑎𝑟𝑑 𝑠𝑖 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑏𝑎̂𝑡𝑖𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙’𝐴𝑢𝑟𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑖𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑛 𝑐𝑎𝑏𝑎𝑙𝑒 𝑝ℎ𝑜𝑛𝑒́𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 « 𝐿’𝑜𝑟 𝑜𝑛𝑡 » ? 𝑃𝑎𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑎̀ 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠, 𝑙’𝐴𝑙𝑐ℎ𝑖𝑚𝑖𝑒 ℎ𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠, 𝑠𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑠𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑚𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑎̀ « 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑚𝑏𝑎𝑔𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑟𝑟𝑒́ » 𝑑𝑢 𝑋𝑉𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑠𝑜𝑖𝑔𝑛𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑡𝑒𝑛𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑒́𝑡𝑎𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟. 𝐼𝑙 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒́ 𝑒𝑛 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙’ℎ𝑜̂𝑡𝑒𝑙 𝐿𝑎𝑙𝑙𝑒𝑚𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝐽𝑎𝑐𝑞𝑢𝑒𝑠-𝐶œ𝑢𝑟, 𝑙𝑒 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑 𝐴𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑙𝑒𝑠 𝑉𝐼𝐼. 𝑈𝑛𝑒 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 : 𝑙𝑒 𝑃𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑅𝑜𝑦 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑙𝑐ℎ𝑖𝑚𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑜𝑛𝑑𝑟𝑎𝑖𝑡-𝑖𝑙 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 « 𝑃𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑅𝑜𝑦 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 » ? 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑎̀ 𝑅𝑒𝑖𝑚𝑠, 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑒́𝑟𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑖𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒 𝑜𝑢̀ 𝐽𝑒𝑎𝑛𝑛𝑒, 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒, 𝑒𝑢𝑡 𝑠𝑜𝑛 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑔𝑙𝑜𝑖𝑟𝑒, 𝑞𝑢𝑒 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑙𝑒𝑠 𝑉𝐼𝐼 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑖𝑛𝑑𝑟𝑎 𝑙𝑎 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ ; 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑓𝑓𝑒𝑟𝑚𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑖𝑠𝑒 𝑎̀ 𝑙’𝑜𝑐𝑡𝑎𝑣𝑒 𝑠𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒 : 𝑐’𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑃𝑎𝑟𝑖𝑠 𝑒𝑡 𝑛𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝐶𝑙𝑜𝑣𝑖𝑠, 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑠, 𝑓𝑖𝑡 𝑎𝑢 𝑉𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑙𝑎 « 𝐶𝑖𝑡𝑒́ 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 » : 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑙𝑎 𝑅𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑢𝑒 𝑅𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ (𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑜𝑡𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑟𝑎𝑐𝑖𝑛𝑒). 𝐿𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑀𝑎𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑀𝑒𝑟 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙’𝑎𝑣𝑒̀𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝐶ℎ𝑟𝑖𝑠𝑡 𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝐴 𝑙’𝑜𝑐𝑡𝑎𝑣𝑒 𝑠𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒, 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑛𝑠 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝐹𝑖𝑙𝑠, 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑡 𝑀𝑎𝑟𝑖𝑒 𝑀𝑒́𝑑𝑖𝑎𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒, 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑢𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡 𝑑’𝑎𝑐𝑐𝑒́𝑑𝑒𝑟 𝑎𝑢 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑛 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑖𝑙𝑠. 𝐴𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑜𝑛𝑠-𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠, 𝑙𝑒 𝑐œ𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝐶ℎ𝑟𝑖𝑠𝑡 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑀𝑎𝑟𝑖𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑐𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑢𝑛𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑠𝑎𝑏𝑙𝑖𝑒𝑟 : 𝑙’𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑛𝑖𝑡𝑒́ 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑒. 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑟𝑐𝑜𝑛𝑐𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑐œ𝑢𝑟 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑃𝑎𝑢𝑙. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑏𝑜𝑟𝑑𝑒́ 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑖𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑌𝑒𝑠𝑜𝑑 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑝ℎ𝑒́𝑟𝑖𝑒 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑝𝑒́𝑛𝑒́𝑡𝑟𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝐴𝑟𝑙𝑒𝑠. 𝐷’𝑖𝑛𝑠𝑡𝑖𝑛𝑐𝑡, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑏𝑜𝑟𝑑𝑒́ 𝑇𝑖𝑝ℎ𝑒𝑟𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑎𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑎𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 : 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 : 𝐿𝑒 𝐶𝑂𝐸𝑈𝑅 𝑎𝑡𝑡𝑖𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑒𝑥𝑜𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑐œ𝑢𝑟. 𝐁𝐨𝐮𝐫𝐠𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐁𝐢𝐭𝐮𝐫𝐢𝐠𝐞𝐬 : 𝐥𝐞 « 𝐂𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐌𝐨𝐧𝐝𝐞 » 𝐝𝐞𝐬 « 𝐑𝐨𝐢𝐬 𝐝𝐮 𝐌𝐨𝐧𝐝𝐞 » ? 𝑀𝑖𝑟𝑐𝑒𝑎 𝐸𝑙𝑖𝑎𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑅𝑒𝑛𝑒́ 𝐺𝑢𝑒́𝑛𝑜𝑛 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑖𝑒́ 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑐̧𝑜𝑛 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑓𝑜𝑛𝑑𝑖𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑡ℎ𝑒̀𝑚𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑠, 𝑓𝑟𝑎𝑝𝑝𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑡 𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑖𝑒́𝑠 𝑙'𝑢𝑛 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 : 𝑙𝑒 𝑡ℎ𝑒̀𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑢 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑇𝑟𝑎𝑖𝑡𝑒́ 𝑑'𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑅𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑑'𝑎𝑏𝑜𝑟𝑑 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑡ℎ𝑒̀𝑚𝑒 𝑑𝑢 « 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒 » 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑠 : 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝐼𝑛𝑑𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑡 𝑀𝑒́𝑟𝑜𝑢 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑑𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑎𝑢 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑎𝑢- 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑑𝑢𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑏𝑟𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑙'𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑒𝑛 𝑀𝑒́𝑠𝑜𝑝𝑜𝑡𝑎𝑚𝑖𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑀𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑃𝑎𝑦𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑢𝑛𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑒𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑧𝑖𝑔𝑔𝑜𝑢𝑟𝑎𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑝𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑟𝑒́𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑝𝑡 𝑐𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠, 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑒𝑠 𝐻𝑒́𝑏𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑡 𝑇ℎ𝑎𝑏𝑜𝑟 𝑒𝑡 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑟𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝐺𝑜𝑙𝑔𝑜𝑡ℎ𝑎, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝐼𝑠𝑙𝑎𝑚 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑛𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑀𝑒𝑐𝑞𝑢𝑒, 𝑙𝑎 𝐾𝑎𝑎𝑏𝑎, 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑖𝑒𝑙, 𝑒𝑡𝑐. 𝐸𝑡 𝑀𝑖𝑟𝑐𝑒𝑎 𝐸𝑙𝑖𝑎𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑙𝑢𝑡 𝑒𝑥𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 : « 𝐴 𝑒𝑚𝑏𝑟𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑢𝑒 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒, 𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑠'𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑖𝑑𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 : 1) 𝑎𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑙𝑎 « 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒 » ; 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎̀ 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑛𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 ; 2° 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑜𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑡, 𝑝𝑎𝑟 𝑒𝑥𝑡𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛, 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑚𝑖𝑙𝑒́𝑠 𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 « 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒 » 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑝𝑟𝑜𝑚𝑢𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛 « 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 » ; 3) 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑟, 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑜𝑢 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑝𝑎𝑟 𝑜𝑢̀ 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑙'𝐴𝑥𝑖𝑠 𝑀𝑢𝑛𝑑𝑖 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒́𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑗𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑖𝑒𝑙, 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑓𝑒𝑟. » 𝐷𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́, 𝑅𝑒𝑛𝑒́ 𝐺𝑢𝑒́𝑛𝑜𝑛 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑞𝑢'𝐻𝑖𝑛𝑑𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑡 𝑇ℎ𝑖𝑏𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑒́ 𝐴𝑔𝑎𝑟𝑡ℎ𝑎 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 « 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒 ». 𝑆𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑒𝑛 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠 (𝑛𝑜𝑡𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝐵𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑢𝑧 𝑒𝑡 𝑙'𝑒́𝑛𝑖𝑔𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑟𝑜𝑖 𝑀𝑒𝑙𝑐ℎ𝑖𝑠𝑒𝑑𝑒𝑐ℎ), 𝑖𝑙 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡 : « 𝐿𝑒 𝑡𝑖𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒, 𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑎𝑐𝑐𝑒𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑒́𝑙𝑒𝑣𝑒́𝑒, 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒̀𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑟𝑖𝑔𝑜𝑢𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒, 𝑠'𝑎𝑝𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑀𝑎𝑛𝑢, 𝑙𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑠𝑙𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑜𝑟𝑑𝑖𝑎𝑙 𝑒𝑡 𝑢𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑙 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑢𝑛 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 (𝑙𝑒 𝑀𝑒́𝑛𝑒̀𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐸́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛𝑠, 𝑙𝑒 𝑀𝑖𝑛𝑜𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐺𝑟𝑒𝑐𝑠, 𝑙𝑒 𝑀𝑒𝑛𝑤 𝑑𝑒𝑠 𝐶𝑒𝑙𝑡𝑒𝑠, 𝑒𝑡𝑐.). 𝐶𝑒 𝑛𝑜𝑚, 𝑑'𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑛𝑒 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑛𝑢𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑜𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑜𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑎𝑖𝑟𝑒 ; 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑒𝑛 𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑒 : 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑒𝑙𝑙𝑖𝑔𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐶𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑓𝑒𝑠𝑡𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠𝑡𝑟𝑒, 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒𝑟 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑔𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑜̂𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒 ; 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑀𝑎𝑛𝑢 𝑙𝑢𝑖-𝑚𝑒̂𝑚𝑒, 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑎 𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑡𝑖𝑚𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑡𝑖𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑡𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑡𝑠. » 𝐴𝑖𝑛𝑠𝑖, 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 « 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒 » 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒-𝑡-𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 « 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒 » : 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑢𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑛𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑡. 𝐸𝑡 𝑠𝑖 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑒𝑠𝑡 𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑒́ 𝑎𝑟𝑏𝑖𝑡𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑒́𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑜𝑏𝑗𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠. « 𝐿𝑎 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́, 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝐸𝑙𝑖𝑎𝑑𝑒, 𝑠'𝑜𝑏𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑐ℎ𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑖𝑠𝑠𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑦𝑠𝑡𝑒̀𝑚𝑒 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑢𝑖 ; 𝑙'𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑒́𝑑𝑒́𝑠 𝑒𝑚𝑝𝑙𝑜𝑦𝑒́𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 « 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑟 » 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑚𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠. » 𝐸𝑡 𝐺𝑢𝑒́𝑛𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑠𝑒 : « 𝑇𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑔𝑒𝑛𝑟𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡, 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑙𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑢̀ 𝑖𝑙𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑠, 𝑢𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑎𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑡𝑜𝑝𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑒𝑠, 𝑐𝑎𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑎𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑠, 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑙𝑜𝑖𝑛 𝑑'𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠, 𝑜𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑠𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 ; 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑙𝑒̀𝑣𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 "𝑔𝑒́𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́". » 𝑃𝑎𝑟𝑚𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑎𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑡𝑜𝑝𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑'𝑢𝑛 « 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 », 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑝𝑝𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑠𝑡, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑜𝑛 𝑙'𝑎 𝑣𝑢, 𝑠𝑎 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢𝑛 𝑃𝑜̂𝑙𝑒. « 𝐿𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑡, 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝐺𝑢𝑒́𝑛𝑜𝑛, 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑓𝑖𝑥𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑠'𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑟 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 « 𝑝𝑜̂𝑙𝑒 » 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑢𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑠'𝑒𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒. » 𝑃𝑜̂𝑙𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑜̂𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝐴𝑥𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒 ; 𝑙𝑒 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑢𝑛𝑒 « 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 » 𝑎̀ 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒𝑠𝑡𝑒. 𝑇𝑜𝑢𝑡 𝑐𝑒𝑐𝑖 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡 𝑎̀ 𝐸́𝑙𝑖𝑎𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒𝑟 : « 𝐿𝑎 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑔𝑜𝑛𝑖𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑙'𝑒𝑥𝑒𝑚𝑝𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑡𝑦𝑝𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 ; 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑜 𝑚𝑢𝑛𝑑𝑖 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑢𝑛 𝑚𝑖𝑐𝑟𝑜𝑐𝑜𝑠𝑚𝑒. » 𝑂𝑟, 𝑐𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑒́𝑟𝑖𝑒 𝑑'𝑎𝑝𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠. 𝐿𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑐𝑒𝑙𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 : 𝐴𝑣𝑎𝑟𝑖𝑐, 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 𝐶𝑢𝑏𝑖, 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑒 « 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑡 ». 𝐶𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒𝑠 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒́ 𝑑𝑒 𝐵𝑖𝑡𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒, 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠, 𝑝𝑙𝑢𝑟𝑖𝑒𝑙 𝑙𝑎𝑡𝑖𝑛𝑖𝑠𝑒́ 𝑑𝑒 𝑅𝑖𝑥 : 𝑟𝑜𝑖 (𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑉𝑒𝑟𝑐𝑖𝑛𝑔𝑒́𝑡𝑜𝑟𝑖𝑥, 𝐴𝑚𝑏𝑖𝑜𝑟𝑖𝑥, 𝑒𝑡𝑐.) ; 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑖𝑙 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑒 𝑅𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒. 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑢𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟 « 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑟𝑜𝑖𝑠 », 𝑑𝑒 𝐵𝑖𝑡ℎ : 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠, 𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒𝑙. 𝐴𝑖𝑛𝑠𝑖, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝐶ℎ𝑟𝑖𝑠𝑡𝑖𝑎𝑛 𝐺𝑢𝑦𝑜𝑛𝑣𝑎𝑟𝑐'ℎ, « 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒𝑠 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑔𝑒́𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒 ». 𝑃𝑢𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑠𝑖 𝑑𝑒 𝑠'𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑒𝑟 « 𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 », 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑑𝑜𝑖𝑡 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑖𝑛𝑐𝑖𝑡𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑠𝑖 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑛𝑒 𝑟𝑒𝑐𝑒́𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠, 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑣𝑖𝑠, 𝑢𝑛 « 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 ». 𝑈𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑎𝑚𝑜𝑟𝑐𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑀𝑚𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑜𝑖𝑠𝑒 𝐿𝑒 𝑅𝑜𝑢𝑥 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒́ 𝑎𝑢 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙 𝑑'𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑎𝑢𝑙𝑜𝑖𝑠𝑒𝑠, 𝑐𝑒𝑙𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑜-𝑐𝑒𝑙𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 (« 𝐿𝑒 𝐶𝑒𝑙𝑡𝑖𝑐𝑢𝑚 𝑑'𝐴𝑚𝑏𝑖𝑔𝑎𝑡𝑢𝑠 𝑒𝑡 𝑙'𝑂𝑚𝑝ℎ𝑎𝑙𝑜𝑠 𝑔𝑎𝑢𝑙𝑜𝑖𝑠 : 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑠𝑢𝑝𝑟𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 »). 𝐴𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 « 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑖𝑑𝑒, 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑦𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠'𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑'𝑜𝑚𝑝ℎ𝑎𝑙𝑜𝑠, 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́ », 𝑀𝑚𝑒 𝐿𝑒 𝑅𝑜𝑢𝑥 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡 : « 𝐿𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑎 𝑟𝑒𝑐̧𝑢 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑒𝑠 𝐶𝑒𝑙𝑡𝑒𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑝𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 » 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑙𝑢𝑡 : « 𝐿𝑎 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑏𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒 𝑒́𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑒𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑒𝑙𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒. » 𝐶𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑖𝑛𝑠𝑝𝑖𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑀𝑚𝑒 𝐿𝑒 𝑅𝑜𝑢𝑥 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑙𝑢𝑠𝑖𝑜𝑛, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑡𝑜𝑝𝑜𝑛𝑦𝑚𝑒 𝑏𝑒𝑟𝑟𝑖𝑐ℎ𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑀𝑒𝑑𝑖𝑜𝑙𝑎𝑛𝑢𝑚. 𝐶𝑒 𝑡𝑜𝑝𝑜𝑛𝑦𝑚𝑒, 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑒 𝑒𝑛 𝑙𝑎𝑡𝑖𝑛 « 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 », 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒-𝑡-𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑖𝑡𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 « 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑎𝑖𝑡 », 𝑑𝑢 𝑐𝑒𝑙𝑡𝑒 𝑙𝑎𝑛𝑜𝑠 : 𝑝𝑒𝑟𝑓𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐼𝑙 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡, 𝑑𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑀𝑚𝑒 𝐿𝑒 𝑅𝑜𝑢𝑥, 𝑎̀ 𝑙𝑎 « 𝐺𝑎𝑢𝑙𝑒 𝑖𝑛𝑡𝑖𝑚𝑒 » 𝑐𝑎𝑟 𝑖𝑙 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑎𝑖𝑡, 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝐶𝑒́𝑠𝑎𝑟, 𝑢𝑛 𝑙𝑜𝑐𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑐𝑟𝑎𝑡𝑢𝑠, « 𝑎̀ 𝑙'𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑒, 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑛𝑢𝑙 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒, 𝑢𝑛 𝑒𝑛𝑐𝑙𝑜𝑠 𝑜𝑢 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 ». 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́ 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 « 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑎𝑟𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑛 𝑖𝑑𝑒́𝑎𝑙 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑒𝑡 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 ». 𝐿𝑒 𝑀𝑒𝑑𝑖𝑜𝑙𝑎𝑛𝑢𝑚 𝑎𝑢𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒 𝑀𝑚𝑒 𝐿𝑒 𝑅𝑜𝑢𝑥 𝑒𝑠𝑡 𝐶ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢- 𝑚𝑒𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡 (𝐶ℎ𝑒𝑟) 𝑜𝑢̀ 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑜𝑝𝑝𝑖𝑑𝑢𝑚 𝑔𝑎𝑢𝑙𝑜𝑖𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑠'𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑣𝑖𝑠𝑒́𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐶ℎ𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑀𝑒𝑑𝑖𝑜𝑙𝑎𝑛𝑢𝑚 : 𝑀𝑒𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡. 𝑂𝑟 𝑐𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛𝑑 𝑀𝑒𝑑𝑖𝑜𝑙𝑎𝑛𝑢𝑚 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑑 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑎𝑢𝑥 𝑐𝑎𝑟𝑎𝑐𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑐𝑖- 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡, 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑖𝑙 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑎𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒́𝑙𝑖𝑚𝑖𝑡𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑒̂𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑀𝑒𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡, 𝑀𝑎𝑢𝑙𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝐺𝑟𝑎𝑖𝑙𝑙𝑦 ; 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛, 𝑙𝑎𝑠𝑡 𝑏𝑢𝑡 𝑛𝑜𝑡 𝑙𝑒𝑎𝑠𝑡, 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑀𝑒𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑑 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 « 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑎𝑖𝑡 » : 𝑖𝑙 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑎̀ 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑝𝑡 𝑘𝑖𝑙𝑜𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐵𝑟𝑢𝑒̀𝑟𝑒-𝐴𝑙𝑙𝑖𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝𝑠, 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑔𝑒́𝑜𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝐷𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑝, 𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́ 𝑎̀ 𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒𝑟 𝑠𝑖, 𝑒𝑛 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑀𝑒𝑑𝑖𝑜𝑙𝑎𝑛𝑢𝑚, 𝑙𝑒𝑠 𝑅𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒, 𝑝𝑙𝑢𝑡𝑜̂𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑚𝑦𝑡ℎ𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒, 𝑛𝑒 𝑠𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑙𝑐𝑢𝑙𝑠 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑓𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑠. 𝐴 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑒𝑢𝑡-𝑒̂𝑡𝑟𝑒 ℎ𝑎𝑟𝑑𝑖 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒, 𝑙𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝑖𝑐𝑜𝑛𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑢𝑟𝑛𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑟𝑒𝑐𝑡𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑏𝑜𝑢𝑠𝑐𝑢𝑙𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑝𝑖𝑛𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑟𝑒𝑐̧𝑢𝑒𝑠. 𝑂𝑛 𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑒́𝑞𝑢𝑖𝑛𝑜𝑥𝑒𝑠, 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑣𝑒𝑟𝑛𝑎𝑙, 𝑒𝑠𝑡 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑔𝑟𝑒́ 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 72 𝑎𝑛𝑠 ; 𝑙𝑎 𝑑𝑢𝑟𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑜𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑥𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 25 900 𝑎𝑛𝑠. 𝐼𝑙 𝑠'𝑒𝑛𝑠𝑢𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 : 1) 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑛𝑔𝑡 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑣𝑒𝑟𝑛𝑎𝑙 𝑟𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑐𝑒̀𝑑𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑞𝑢𝑒 ; 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛 𝑒𝑚𝑝𝑖𝑟𝑒 𝑒́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛, 𝑙'𝑒́𝑞𝑢𝑖𝑛𝑜𝑥𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑇𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑑'𝐸𝑙𝑎𝑚 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐵𝑒́𝑙𝑖𝑒𝑟, 𝑎𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑠𝑢𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑃𝑜𝑖𝑠𝑠𝑜𝑛𝑠 ; 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 1950, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑉𝑒𝑟𝑠𝑒𝑎𝑢 (𝑒𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑟𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑟𝑒́𝑔𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙'𝑒́𝑐𝑙𝑖𝑝𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑑'𝑜𝑢̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑖𝑐𝑢𝑙𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑒 𝑑'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́𝑒 𝑒𝑛 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 « 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 ») ; 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑐𝑢𝑙 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑑𝑟𝑎𝑖𝑡 « 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 » 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑜𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒́𝑒 𝑟𝑒𝑣𝑒̂𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑥𝑡𝑟𝑒̂𝑚𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 ; 2) 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑟𝑜𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑙'𝑎𝑥𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑝𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 : 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛 𝑒𝑚𝑝𝑖𝑟𝑒 𝑒́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛, 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝐴𝑙𝑝ℎ𝑎 𝑑𝑢 𝐷𝑟𝑎𝑔𝑜𝑛, 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡𝑒́𝑒 𝑙𝑎 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑃𝑦𝑟𝑎𝑚𝑖𝑑𝑒 ; 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝐷𝑒𝑙𝑡𝑎 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒 𝑂𝑢𝑟𝑠𝑒 ; 𝑒𝑛 3400 𝑐𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝐺𝑎𝑚𝑚𝑎 𝑑𝑒 𝐶𝑒́𝑝ℎ𝑒́𝑒; 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 10 900 𝑒𝑡 13 600, 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑙'𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑙𝑒 𝑑𝑜𝑢𝑏𝑙𝑒 𝐴𝑙𝑏𝑖𝑟𝑒𝑜, 𝑙𝑎 𝑇𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝐶𝑦𝑔𝑛𝑒 ; 𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑜𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑑𝑟𝑎 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑢̀ 𝑙'𝑎𝑥𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑢𝑟𝑎 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡𝑢𝑒́ 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑖𝑡𝑖𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑜𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑟𝑎𝑚𝑒𝑛𝑒𝑟 𝑎̀ 𝐴𝑙𝑝ℎ𝑎 𝑑𝑢 𝐷𝑟𝑎𝑔𝑜𝑛 ; 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑇𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝐶𝑦𝑔𝑛𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑦𝑡ℎ𝑎𝑔𝑜𝑟𝑖𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑁𝑢𝑖𝑡 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑 𝐽𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛 12.950 𝑎𝑛𝑠. 𝐿𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑒́𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑓𝑢𝑡 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑈𝑟𝑠𝑖𝑛 ; 𝑖𝑙 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑣𝑒́𝑐𝑢 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒 𝐼𝑒𝑟 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 ; 𝑒𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡, 𝑠𝑜𝑛 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑗𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑎𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 : 𝑖𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑛𝑜𝑚. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑓, 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒 𝑂𝑢𝑟𝑠𝑒. 𝐼𝑙 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑛'𝑦 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑙𝑎̀ 𝑞𝑢'𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑖̈𝑛𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒, 𝑠𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙'𝑖𝑐𝑜𝑛𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒-𝑐𝑖 𝑛'𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑒́𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑡ℎ𝑒́𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝑂𝑟 𝑖𝑙𝑠 𝑙'𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒𝑛𝑡 : 𝐿𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑈𝑟𝑠𝑖𝑛 (𝑓𝑖𝑛 𝑑𝑢 𝑋𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒) 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑧𝑒 𝑚𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒 ; 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 ℎ𝑒́𝑚𝑖𝑐𝑖𝑟𝑐𝑢𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑡 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑜𝑢𝑟𝑠. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑦𝑝𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑡ℎ𝑒́𝑑𝑟𝑎𝑙𝑒 (𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́𝑒, 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑝𝑎𝑟 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑈𝑟𝑠𝑖𝑛) 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝐽𝑒𝑎𝑛 𝑑𝑒 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦, 𝑓𝑟𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑟𝑜𝑖 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑙𝑒𝑠 𝑉 𝑙𝑒 𝑆𝑎𝑔𝑒 ; 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑑𝑠 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒 𝑜𝑢𝑟𝑠𝑒 𝑚𝑢𝑠𝑒𝑙𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑐ℎ𝑎𝑖̂𝑛𝑒́𝑒. 𝐿𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑐𝑒 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑎𝑐ℎ𝑒̀𝑡𝑒 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑 𝑞𝑢𝑒 « 𝑐𝑒𝑡 𝑎𝑛𝑖𝑚𝑎𝑙 𝑓𝑎𝑖𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝑐𝑦𝑔𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒̀𝑚𝑒 𝑓𝑎𝑣𝑜𝑟𝑖 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 ; 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑛𝑜𝑚𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑛𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑎 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑠𝑒 : « 𝑂𝑢𝑟𝑠𝑖𝑛𝑒, 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑣𝑒𝑛𝑟𝑎. » 𝐿𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑐𝑒 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡𝑒, 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑣𝑟𝑎𝑖, 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑠𝑒 « 𝑒𝑥𝑝𝑟𝑖𝑚𝑎𝑖𝑡 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑑𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑓𝑖𝑛𝑖𝑟 𝑠𝑎 𝑐𝑎𝑝𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑛 𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 », 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎̀ 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑡𝑢𝑖𝑡𝑒. 𝑆𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑠, 𝑙'𝑜𝑢𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑚𝑢𝑠𝑒𝑙𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑐ℎ𝑎𝑖̂𝑛𝑒́𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑑𝑠 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑠'𝑦 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟, 𝑒𝑛 𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑢𝑧𝑒𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑑𝑢 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦, 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑎 « 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 », 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒́𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑'𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 ; 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑝𝑟𝑒́𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑂𝑢𝑟𝑠𝑒 𝑎𝑢 𝐶𝑦𝑔𝑛𝑒, 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑑𝑟𝑎. 𝑆'𝑖𝑙 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒, 𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑠𝑖𝑝𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑙'𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑒𝑥𝑎𝑚𝑖𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑠𝑜𝑖𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝑇𝑟𝑒̀𝑠 𝑅𝑖𝑐ℎ𝑒𝑠 𝐻𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑑𝑒 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦. 𝐶𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑖𝑛𝑖𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑢𝑐 𝐽𝑒𝑎𝑛, 𝑏𝑎̂𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑡 𝑏𝑖𝑏𝑙𝑖𝑜𝑝ℎ𝑖𝑙𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑒́𝑛𝑖𝑡𝑒𝑛𝑡, 𝑓𝑖𝑡 𝑒𝑥𝑒́𝑐𝑢𝑡𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑓𝑖𝑛 𝑑𝑢 𝑋𝐼𝑉𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝐽𝑒𝑎𝑛 𝐶𝑜𝑙𝑜𝑚𝑏𝑒, 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑝𝑒𝑟𝑣𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑝𝑎𝑟 𝑠𝑜𝑛 ℎ𝑒́𝑟𝑎𝑢𝑡 𝑑'𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠 𝐺𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑣𝑖𝑒𝑟, 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑣𝑜𝑦𝑎𝑔𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑛 𝑂𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑎𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑'𝑢𝑛 𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑔𝑒́𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒, 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑎𝑢 𝑚𝑢𝑠𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝐶ℎ𝑎𝑛𝑡𝑖𝑙𝑙𝑦. 𝐶𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑈𝑟𝑠𝑖𝑛, 𝑜𝑛 𝑦 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑢𝑛 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑛𝑑𝑟𝑖𝑒𝑟. 𝐶ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑧𝑒 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑖𝑙𝑙𝑢𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑙'𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑖𝑛𝑣𝑎𝑟𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 : 1) 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝑐𝑎𝑟𝑎𝑐𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑠 ; 2) 𝑢𝑛 𝑐ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢 ; 3) 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑢𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒́ 𝑑𝑢 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑐𝑎𝑙 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡. 𝐸𝑛𝑓𝑖𝑛, 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑒𝑖𝑧𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑏𝑖𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑡𝑒 « 𝑙'𝐻𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑍𝑜𝑑𝑖𝑎𝑞𝑢𝑒 » 𝑞𝑢𝑖 𝑚𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑐𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑡ℎ𝑒̀𝑚𝑒 𝑏𝑎𝑛𝑎𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑜𝑖𝑛 𝑑'𝑒́𝑝𝑢𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'œ𝑢𝑣𝑟𝑒. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑜𝑝𝑖𝑛𝑖𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑛𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒𝑟 𝑠𝑖 𝑙'𝑜𝑛 𝑠𝑒 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑟𝑎𝑏𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑞𝑢𝑒 « 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢𝑥 », 𝑠𝑢𝑟𝑎𝑡 𝑎𝑙 𝑏𝑢𝑟𝑗 𝑒𝑥𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟 𝑚𝑜𝑡 𝑒𝑠𝑡, 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑟𝑎𝑐𝑖𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑢 𝑛𝑜𝑚 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 (𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒́𝑒 – 𝑏𝑜𝑟𝑑𝑗, 𝑏𝑢𝑟𝑔, 𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔, 𝑒𝑡𝑐. – 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒 – 𝑏𝑒𝑟𝑔). 𝐴𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑙'𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑛𝑖𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑐̧𝑢 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑢𝑔𝑔𝑒́𝑟𝑒𝑟 (𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠) 𝑙'𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑛𝑎𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑'𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠, 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛 𝑔𝑒𝑛𝑟𝑒 𝑑'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 (𝑙𝑒 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑛𝑑𝑜𝑠𝑠𝑒 𝑑’𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑜𝑦𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 : 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑚𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑠, 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑜𝑚𝑖𝑐𝑖𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑎 𝑠𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑝𝑒𝑛𝑡𝑒). 𝐶𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑖𝑐𝑖 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑑'𝑎𝑛𝑎𝑙𝑦𝑠𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑙𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑇𝑟𝑒̀𝑠 𝑅𝑖𝑐ℎ𝑒𝑠 𝐻𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑜𝑢̀ 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛 𝑑𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑖𝑐𝑜𝑛𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒́ 𝑎𝑢 ℎ𝑎𝑠𝑎𝑟𝑑 𝑒𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙'𝑒𝑥𝑎𝑚𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑛𝑔𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 : 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑦 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑒 ; 𝑖𝑛𝑣𝑖𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑠𝑒 𝑝𝑒𝑛𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑢𝑐 𝑑𝑒 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦 𝑎̀ 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑜𝑓𝑓𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑣𝑖𝑓 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒̂𝑡. 𝐿𝑎 𝑠𝑐𝑒̀𝑛𝑒 𝑎 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡ℎ𝑒́𝑎̂𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑎̀ 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠. 𝐸𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑒, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑛𝑧𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑥𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑣𝑜𝑦𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢𝑥, 𝑙'𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑎 𝑣𝑜𝑢𝑙𝑢 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑐𝑒̀𝑛𝑒 𝑎 𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑒́𝑠𝑜𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟. 𝑁𝑜𝑢𝑟𝑟𝑖𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑓𝑜𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑣𝑒𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒 𝑑𝑢𝑐 𝑞𝑢𝑖 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑖𝑒𝑛 𝑎𝑢𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒 : 𝑠𝑒𝑠 𝑙𝑒̀𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒́𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡. 𝐷𝑒𝑏𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑎 𝑔𝑎𝑢𝑐ℎ𝑒, 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 ; 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑠𝑒 𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑡𝑡𝑖𝑡𝑢𝑑𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟 ; 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑧 𝑠𝑜𝑛 𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒𝑡 : 𝑒𝑛 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑖𝑛𝑠𝑜𝑙𝑖𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛𝑑 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒, 𝑙'𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑠'𝑒𝑠𝑡 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑟𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒́ 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑚𝑢𝑛𝑖𝑟 𝑐𝑒 𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑎𝑖𝑙𝑒𝑠 ; 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒́ 𝑒𝑛 𝐻𝑒𝑟𝑚𝑒̀𝑠, 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑢 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑑𝑢𝑐. 𝐿'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑛𝑜𝑚𝑎𝑙𝑖𝑒 𝑑𝑒𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝑔𝑢𝑖𝑑𝑒𝑟 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 : 𝑣𝑜𝑦𝑒𝑧, 𝑑𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑛𝑞𝑢𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝐽𝑒𝑎𝑛, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑐𝑙𝑒 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑎𝑔𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑒𝑢 : 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒́𝑙𝑜𝑞𝑢𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑥𝑖𝑠 𝑚𝑢𝑛𝑑𝑖, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑝𝑖𝑡𝑒𝑎𝑢 𝑜𝑢̀, 𝑒𝑛𝑡𝑜𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦, 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒́𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑦𝑔𝑛𝑒𝑠. 𝑃𝑜𝑟𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒 𝑝𝑒𝑢 𝑜𝑟𝑑𝑖𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑏𝑜𝑢𝑡 𝑑𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑛𝑞𝑢𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐; 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑟𝑜𝑢𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑡𝑜𝑔𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑔𝑢𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒𝑟: 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑔𝑢𝑟𝑒 𝑚𝑢𝑛𝑖 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑙𝑖𝑡𝑢𝑢𝑠; 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑙𝑒𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝐶𝑖𝑐𝑒́𝑟𝑜𝑛 (𝐷𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑒, 𝐼, 17) 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑠𝑎 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛: 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑖𝑑𝑒 𝑑𝑢 𝑙𝑖𝑡𝑢𝑢𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑟𝑒̀𝑔𝑙𝑒𝑠 𝑑'𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑖𝑙 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑜𝑢̂𝑡𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒𝑠𝑡𝑒, 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑢𝑚, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑙 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑛 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 (𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑜𝑟𝑖𝑠 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑒). 𝑆𝑎𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑎, 𝑝𝑟𝑜𝑙𝑜𝑛𝑔𝑒𝑜𝑛𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑑'𝑢𝑛 𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑟𝑎𝑦𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑏𝑎̂𝑡𝑜𝑛 𝑎𝑢𝑔𝑢𝑟𝑎𝑙 : 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑎𝑏𝑜𝑢𝑡𝑖𝑡 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑇𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝐶𝑦𝑔𝑛𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑜𝑡𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑒𝑡 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑏𝑎̂𝑡𝑜𝑛 : « 𝐴𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒, 𝐴𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒 » 𝑎𝑐ℎ𝑒̀𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑣𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝐽𝑒𝑎𝑛. 𝐿'𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑢𝑖𝑡 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 : 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 « 𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 » 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑎𝑓𝑓𝑙𝑢𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑙𝑢𝑖 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒𝑠𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 ; 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑'𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 ; 𝑐𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑒𝑠𝑡 𝑑'𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 ℎ𝑒𝑟𝑚𝑒́𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 ; 𝑖𝑙 𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑑𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 « 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 » 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑐𝑢𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑦𝑐𝑙𝑒𝑠 ; 𝑐𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑐𝑢𝑙, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑢𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑙𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠. 𝐶𝑒 𝑞𝑢'𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑓𝑜𝑢𝑟𝑛𝑖𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 : 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 = 𝑅𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑠𝑝𝑒́𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒́ 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑖, 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑒 ; 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒́ 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒̀𝑔𝑒, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑎𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑒́𝑟𝑒́𝑠 𝑎𝑟𝑏𝑖𝑡𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑓𝑜𝑛𝑑𝑖𝑒𝑠. 𝑄𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑎 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑖𝑑𝑒 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖, 𝑙𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟, 𝑎̀ 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑞𝑢'𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑝𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑐𝑜𝑙𝑒 𝑖𝑙 𝑛'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑢𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́ 𝑎̀ 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑙𝑒𝑠 𝑉𝐼𝐼 ; 𝑎̀ 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑟, 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟𝑒𝑧 𝑝𝑎𝑟 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑖𝑚𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑏𝑙𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒̀𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑐𝑎𝑡ℎ𝑒́𝑑𝑟𝑎𝑙𝑒, 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑟𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝐴𝑙𝑐ℎ𝑖𝑚𝑖𝑒, 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑜𝑢̀ 𝐽𝑎𝑐𝑞𝑢𝑒𝑠 𝐶œ𝑢𝑟 𝑓𝑢𝑡 « 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑎𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟 » 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑜̂𝑡𝑒𝑙 𝑜𝑢̀ 𝐽𝑒𝑎𝑛 𝐿𝑎𝑙𝑙𝑒𝑚𝑎𝑛𝑡 𝑓𝑢𝑡, 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑠'𝑒𝑛 𝑣𝑎𝑛𝑡𝑒𝑟, 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡𝑎𝑔𝑒 ; 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑𝑒𝑟, 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛, 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑣𝑜𝑦𝑎𝑔𝑒 𝑔𝑎𝑢𝑙𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑎̀ 𝐷𝑒𝑙𝑝ℎ𝑒𝑠, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒ℎ𝑜𝑟𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑥𝑝𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑙𝑙𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑒̀𝑙𝑒𝑟𝑖𝑛𝑎𝑔𝑒. […] 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑬𝒍𝒊𝒔𝒆 𝑳𝑬𝑱𝑨𝑹𝑫 𝒊𝒏 𝑨𝑻𝑳𝑨𝑵𝑻𝑰𝑺 𝑵° 323, 𝑵𝒐𝒗𝒆𝒎𝒃𝒓𝒆-𝑫𝒆́𝒄𝒆𝒎𝒃𝒓𝒆 1982, « 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒔𝒂𝒄𝒓𝒆́𝒔 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝑮𝒂𝒖𝒍𝒆𝒔 » ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒅𝒐𝒔𝒔𝒊𝒆𝒓 « 𝑹𝒐𝒊𝒔 𝒅𝒖 𝑴𝒐𝒏𝒅𝒆, 𝑪𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒅𝒖 𝑴𝒐𝒏𝒅𝒆 : 𝒍'𝒆𝒙𝒆𝒎𝒑𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝑩𝒐𝒖𝒓𝒈𝒆𝒔 » 𝒔𝒊𝒕𝒖𝒆́ 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒇𝒊𝒏 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆 𝒅𝒆 𝑮𝒆́𝒓𝒂𝒓𝒅 𝒅𝒆 𝑺𝒆̀𝒅𝒆 "𝑳𝒆 𝒔𝒂𝒏𝒈 𝒅𝒆𝒔 𝑪𝒂𝒕𝒉𝒂𝒓𝒆𝒔" ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒑𝒖𝒃𝒍𝒊𝒆́ 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒖 𝑷𝒐𝒊𝒏𝒕 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"Très jolie Cathédrale aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur. "

@miminathy1

"Tout simplement magnifique ! Chef d'oeuvre d'art gothique, cette cathédrale construite entre le XIIe et le XIVe siècle est un incontournable: sa façade majestueuse et finement ciselée, sa nef grandiose et ses vitraux colorés. En bonus, la crypte se visite (intéressant) et on peut monter au sommet de la tour Nord (à ne pas manquer) pour une vue à 360 degrés sur Bourges. Il faut grimper 396 marches pour profiter de cette vue, mais cela vaut le coup. En bref, une des plus belles cathédrales de France, classée au patrimoine mondial de l'Unesco"

@pernellevoyage

"A voir absolument, deux fois classée à l'UNESCO. "

@claudin.anthony

"Cathédrale gothique, sublime. "

@flom.0225

"Classic high Gothic cathedral."

@taraanbudaiyan

Approuvé par 4 partenaires officiels
certified badge Patrimoine Mondial de l'UNESCO

Patrimoine Mondial de l'UNESCO

@unescoworldheritage

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"The Cathedral of St Etienne of Bourges, built between the late 12th and late 13th centuries, is one of the great masterpieces of Gothic art and is admired for its proportions and the unity of its design. The tympanum, sculptures and stained-glass windows are particularly striking. Apart from the beauty of the architecture, it attests to the power of Christianity in medieval France. 📸 © Editions Gelbart"
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Histoire Itinérante

@histoireitinerante

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"Admirable par ses proportions et l'unité de sa conception, la cathédrale Saint-étienne de Bourges, construite entre la fin du XIIe et la fin du XIIIe siècle, est l'un des grands chefs-d'œuvre de l'art gothique. Son tympan, ses sculptures et ses vitraux sont particulièrement remarquables. Par-delà sa beauté architecturale, elle témoigne de la puissance du christianisme dans la France médiévale. Sur son portail, on peut voir une belle référence à la thématique "polaire" si caractéristique de Bourges : celui-ci représente les douze mois de l'année, est de forme hémicirculaire et à son sommet figure un ours. Dans la crypte de la cathédrale (fondée selon la tradition par Saint-Ursin) se trouve le tombeau du duc Jean de Berry, frère du roi Charles V le Sage ; les pieds du duc reposent sur une petite ourse muselée et enchaînée. Cette oursonne s'y trouve pour indiquer que ce dernier, en tant que suzerain du Berry, avait la "maîtrise de la Polaire", c'est-à-dire était demépositaire de traditions d'ordre astronomique ; la devise du duc confirme cette interprétation ; elle dit en effet clairement : de l'Ourse au Cygne, le temps viendra (s'il garde encore quelques doutes, le lecteur pourra le dissiper en examinant avec soin les Très Riches Heures du duc de Berry, célèbre ensemble de miniatures riche en sylbolique hermériste et astronomique). 𝐁𝐨𝐮𝐫𝐠𝐞𝐬 𝐞𝐭 « 𝐥'𝐀𝐱𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐆𝐚𝐮𝐥𝐞𝐬 » 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑡𝑟𝑖𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐺𝑎𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑑 𝑎𝑢 𝑝𝑙𝑒𝑥𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑎𝑟𝑑𝑖𝑎𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝑒̂𝑡𝑟𝑒 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛 : 𝑇𝑖𝑝ℎ𝑒𝑟𝑒𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑐ℎ𝑒́𝑚𝑎 𝑑𝑒 𝑙’𝐴𝑟𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑉𝑖𝑒. 𝐴𝑢 𝑐œ𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦, 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠, 𝑜𝑚𝑝ℎ𝑎𝑙𝑜𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐺𝑎𝑢𝑙𝑒𝑠, 𝑒𝑠𝑡 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑒́ 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙’𝐴𝑥𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒. 𝐿𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑟𝑖𝑔𝑜𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑙’𝐻𝑒𝑥𝑎𝑔𝑜𝑛𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑒́ 𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑖𝑧𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑘𝑖𝑙𝑜𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑏𝑒𝑟𝑟𝑖𝑐ℎ𝑜𝑛𝑛𝑒 : 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑑𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑟𝑢𝑒̀𝑟𝑒 𝐴𝑙𝑙𝑖𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑛𝑞𝑢𝑒́𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑙𝑒 𝑐𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑔𝑒́𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑑’𝐴𝑙𝑙𝑖𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒 𝑎𝑛𝑎𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑙𝑦𝑐𝑎𝑚𝑝𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝐶ℎ𝑎𝑚𝑝𝑠 𝐸𝑙𝑦𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑡𝑟𝑖𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒. 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛 𝑇𝑖𝑝ℎ𝑒𝑟𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑠’𝑒𝑥𝑎𝑙𝑡𝑒 𝑌𝑒𝑠𝑜𝑑. 𝐶𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑒́𝑛𝑒̀𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑀𝑖𝑑𝑖 𝑠’𝑜𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒. 𝐼𝑐𝑖, 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑟𝑎𝑔𝑜𝑛 𝑛𝑖 𝑑𝑒 𝑡𝑎𝑟𝑎𝑠𝑞𝑢𝑒. 𝐿𝑎 𝑝𝑎𝑡𝑟𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑢 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦, 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑆𝑜𝑙𝑎𝑛𝑔𝑒, 𝑒́𝑣𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑙’𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 : 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑀𝑖𝑐ℎ𝑒𝑙. 𝑇𝑜𝑢𝑡𝑒𝑓𝑜𝑖𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑟𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 “ 𝑗’𝑡𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑠 ” 𝑛’𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑎𝑟𝑢 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒𝑠, 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦, 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒́𝑑𝑖𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑎𝑐ℎ𝑒̀𝑣𝑒 𝑑’𝑒𝑥𝑜𝑟𝑐𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑖𝑎𝑞𝑢𝑒𝑠. 𝐿𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑢𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑙’𝑒𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 “ 𝑡𝑜𝑟𝑜𝑠 ” : 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑏𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑑𝑢 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒𝑎𝑢, 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑛𝑒𝑟𝑔𝑖𝑒𝑠 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑 𝑑𝑢 𝑝𝑜𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙 𝑒́𝑛𝑒𝑟𝑔𝑒́𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑙𝑎𝑛 𝑣𝑖𝑡𝑎𝑙. 𝐿’𝑎𝑟𝑑𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑒𝑛𝑐̧𝑎𝑙 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑜𝑢𝑐𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑠𝑡𝑒𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝑆𝑜𝑙𝑜𝑔𝑛𝑒, 𝑎𝑢 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑠𝑖 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑟𝑎𝑖𝑛𝑒. 𝑇𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑑’𝑒́𝑞𝑢𝑖𝑙𝑖𝑏𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟𝑒. 𝑁𝑜𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑥𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑟𝑜𝑖̂𝑡 𝑎𝑢 𝑓𝑢𝑟 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑔𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒, 𝑙𝑜𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒́𝑒 𝑒𝑛 𝐾𝑒𝑡ℎ𝑒𝑟. 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒, 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠, 𝑏𝑎̂𝑡𝑖𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑣𝑎𝑠𝑡𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑒́𝑐𝑎𝑔𝑒, 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒̀𝑑𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑗𝑎𝑟𝑑𝑖𝑛𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑐ℎ𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑖𝑣𝑒́𝑠 “ 𝑒𝑛 ℎ𝑜𝑟𝑡𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 ” 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑏𝑒𝑟𝑟𝑢𝑦𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑒̂𝑡𝑒 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒. 𝐴 𝑙𝑎 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑐ℎ𝑜𝑛𝑠 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑣𝑖𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑆𝑜𝑙𝑜𝑔𝑛𝑒, 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 “ 𝐶𝑎𝑚𝑎𝑟𝑔𝑢𝑒 ”, 𝑚𝑎𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒 𝑑𝑒 𝑔𝑖𝑏𝑖𝑒𝑟, 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑖𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑝𝑡𝑢𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙 𝑠𝑒 𝑛𝑜𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑖𝑟𝑜𝑖𝑟 𝑑’𝑖𝑛𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑔𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙’𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑜𝑢𝑐𝑒 𝑎 𝑟𝑒𝑚𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒́ 𝑙𝑒𝑠 “ 𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑚𝑒̀𝑟𝑒𝑠 ”𝑑𝑒𝑠 𝑆𝑎𝑙𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑢 𝑀𝑖𝑑𝑖. 𝑆𝑎𝑙𝑢𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑙’𝑎 𝑠𝑖 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡𝑒́ : 𝑀𝑎𝑢𝑟𝑖𝑐𝑒 𝐺𝑒𝑛𝑒𝑣𝑜𝑖𝑥, 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑞𝑢𝑖𝑡𝑡𝑒𝑟. 𝐿𝑒𝑠 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑗𝑎𝑟𝑑𝑖𝑛𝑠 𝑑’𝑜𝑟𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑜𝑟𝑔𝑢𝑒𝑖𝑙 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 : 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑙’𝐴𝑟𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒̂𝑐ℎ𝑒́, 𝑎𝑢 𝑝𝑖𝑒𝑑 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑡ℎ𝑒́𝑑𝑟𝑎𝑙𝑒, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒𝑠 𝑃𝑟𝑒́𝑠 𝐹𝑖𝑐ℎ𝑒𝑎𝑢𝑥, 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑢𝑛 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛 𝑚𝑎𝑟𝑎𝑖𝑠, 𝑎𝑛𝑛𝑜𝑛𝑐𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑙𝑒 « 𝐽𝑎𝑟𝑑𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 », 𝑙𝑒 𝑉𝑎𝑙 𝑑𝑒 𝐿𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 « 𝑉𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑅𝑜𝑖𝑠 », 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑐𝑙𝑖𝑛 𝑑’œ𝑖𝑙 𝑎̀ 𝑙’𝐸𝑔𝑦𝑝𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑖𝑠. 𝐴𝑠𝑠𝑖𝑠𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝐴𝑣𝑎𝑟𝑖𝑐𝑢𝑚 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑒́𝑔𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝐽𝑢𝑙𝑒𝑠 𝐶𝑒́𝑠𝑎𝑟, 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑡ℎ𝑒́𝑑𝑟𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑜𝑚𝑖𝑛𝑒 𝑐𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑠𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒. 𝐿𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 5, 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒 𝑑’𝑒́𝑛𝑒𝑟𝑔𝑖𝑒 (𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑒̂𝑡 𝑔𝑖𝑏𝑜𝑦𝑒𝑢𝑠𝑒), 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑓𝑎𝑐̧𝑎𝑑𝑒 𝑎𝑢𝑥 5 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑙𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑛𝑐𝑡𝑢𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑙’𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 : 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑’𝑒́𝑞𝑢𝑖𝑙𝑖𝑏𝑟𝑒, 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑛𝑠𝑖𝑡𝑒́, 𝑑𝑒 𝑠𝑒́𝑟𝑒́𝑛𝑖𝑡𝑒́, 𝑖𝑙𝑙𝑢𝑚𝑖𝑛𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑡𝑜𝑦𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑣𝑖𝑡𝑟𝑎𝑢𝑥. « 𝑆𝑎𝑡𝑒𝑙𝑙𝑖𝑡𝑒 » 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑡𝑟𝑒-𝐷𝑎𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑃𝑎𝑟𝑖𝑠, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒́𝑑𝑖𝑒́𝑒, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑠œ𝑢𝑟𝑠 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑛 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑛, 𝑎̀ 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝐸𝑡𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑚𝑎𝑟𝑡𝑦𝑟, 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝐸𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒. 𝑆𝑎 𝑓𝑒̂𝑡𝑒 𝑎𝑢 𝑙𝑒𝑛𝑑𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑒̈𝑙 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑖𝑟 𝑒𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑙’𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 - 𝑛𝑒́ 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑣𝑖𝑡𝑒 « 𝑙𝑎𝑝𝑖𝑑𝑒́ » 𝑠𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑒 𝑙’𝑒𝑛𝑡𝑜𝑢𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑣𝑖𝑔𝑖𝑙𝑎𝑛𝑡𝑠. 𝐿𝑒 𝑗𝑎𝑟𝑑𝑖𝑛 « 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠𝑒 » 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛-𝑝𝑖𝑒𝑑 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́ 𝑓𝑎𝑐̧𝑎𝑑𝑒, 𝑑𝑜𝑚𝑖𝑛𝑒 𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑎𝑢 𝑛𝑖𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑏𝑠𝑖𝑑𝑒. 𝑂𝑛 𝑦 𝑎𝑐𝑐𝑒̀𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛 𝑏𝑒𝑙 𝑒𝑠𝑐𝑎𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝑓𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑐ℎ𝑒𝑣𝑎𝑙, 𝑜𝑟𝑛𝑒́ 𝑑’𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑦𝑟𝑎𝑚𝑖𝑑𝑒 𝑒𝑛 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑑’𝑜𝑏𝑒́𝑙𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒, 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙 𝑑𝑒 𝑙’𝐸𝑔𝑦𝑝𝑡𝑒. 𝐴𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑒́, 𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑜𝑙𝑖𝑡ℎ𝑒, 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑚𝑜𝑑𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑚𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑜𝑟𝑛𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑠𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑢𝑝ℎ𝑖𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑗𝑜𝑙𝑖𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑄𝑢𝑎𝑡𝑟𝑒 𝑃𝑖𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠. 𝐸𝑛 𝑒́𝑐ℎ𝑜 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑎𝑡𝑖𝑎𝑙𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑇𝑟𝑜𝑝ℎ𝑖𝑚𝑒 𝑒𝑛 𝐴𝑟𝑙𝑒𝑠, 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙’𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑃𝑟𝑖𝑚𝑎𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝐺𝑎𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑑’𝐴𝑞𝑢𝑖𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑀𝑖𝑑𝑖, 𝑙𝑎 𝑙𝑜𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 : 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑒̂𝑡 𝑑𝑜𝑚𝑎𝑛𝑖𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑟𝑜𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠, 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒̂𝑛𝑎𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑓𝑢𝑡 𝑢𝑛 ℎ𝑎𝑢𝑡 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑑𝑢 𝑑𝑟𝑢𝑖𝑑𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒́ 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛𝑛𝑎𝑛𝑡𝑒 : 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑙𝑚𝑒𝑛 𝑒𝑛𝑓𝑜𝑢𝑖 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑧𝑎 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝐶𝑜𝑚𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒𝑟𝑖𝑒 𝑑𝑖𝑡𝑒 « 𝐶ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝑙’𝑂𝑟𝑚𝑒𝑡𝑒𝑎𝑢 », 𝑎𝑢 𝑛𝑜𝑟𝑑 𝑑’𝐼𝑠𝑠𝑜𝑢𝑑𝑢𝑛, 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑉𝑎𝑡𝑎𝑛 (𝐼𝑛𝑑𝑟𝑒), 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑃𝑜𝑛𝑡-𝐿𝑒𝑣𝑜𝑦 (𝐿𝑜𝑖𝑟-𝑒𝑡-𝐶ℎ𝑒𝑟), 𝑑𝑖𝑡 « 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑀𝑖𝑛𝑢𝑖𝑡 » 𝑞𝑢𝑖 𝑡𝑜𝑢𝑟𝑛𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑠𝑎 𝑏𝑎𝑠𝑒 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑛𝑢𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑒̈𝑙. 𝐿’𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑟𝑜𝑚𝑎𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑃𝑜𝑛𝑡-𝐿𝑒𝑣𝑜𝑦 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒̀𝑑𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒 𝑛𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑐𝑢𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑚𝑚𝑒́𝑒 « 𝑁𝑜𝑡𝑟𝑒-𝐷𝑎𝑚𝑒-𝑑𝑒𝑠-𝐵𝑙𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑠 » 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑓𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑓𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝐴𝑠𝑠𝑜𝑚𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑒𝑛 1980 – 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑡𝑟𝑖𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒 𝑜𝑏𝑙𝑖𝑔𝑒 – 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒 𝑑’𝑎𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑑𝑒́𝑒𝑠, 𝑓𝑢𝑡 𝑜𝑓𝑓𝑒𝑟𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑣𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑑𝑒̀𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑡ℎ𝑒́𝑑𝑟𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠. 𝑃𝑖𝑒̀𝑐𝑒 𝑚𝑎𝑗𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑑’𝑢𝑛 𝑡𝑟𝑒́𝑠𝑜𝑟 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑’𝑎𝑚𝑒́𝑛𝑎𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑎𝑖𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑚𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑡𝑟𝑖𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑢𝑥𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑝ℎ𝑎𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙’Œ𝑢𝑣𝑟𝑒 : 𝑙’Œ𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝐵𝑙𝑎𝑛𝑐. 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑐𝑖 𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑔𝑛𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 : 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑇𝑟𝑖𝑛𝑖𝑡𝑒́. 𝐿𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑏𝑎𝑝𝑡𝑒̂𝑚𝑒, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝐽𝑒𝑎𝑛, 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑑 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑀𝑖𝑑𝑖 𝑎̀ 𝑙’𝑂𝑑𝑦𝑠𝑠𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝐹𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠. 𝐿𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥𝑖𝑒̀𝑚𝑒, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑢 𝐶ℎ𝑟𝑖𝑠𝑡, 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑏𝑎𝑝𝑡𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑛𝑔, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑙’𝐴𝑔𝑛𝑒𝑎𝑢 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑜𝑖𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑖𝑚𝑚𝑜𝑙𝑒́ 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙’𝑎𝑢𝑡𝑒𝑙 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑖𝑓𝑖𝑐𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑚𝑢𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝑃𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑚𝑜𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑆𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒, 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑏𝑒𝑟𝑟𝑢𝑦𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑙𝑒 ℎ𝑎𝑢𝑡 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑝𝑟𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙’𝐴𝑙𝑐ℎ𝑖𝑚𝑖𝑒 𝑒𝑛 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝐸𝑠𝑡-𝑐𝑒 𝑢𝑛 ℎ𝑎𝑠𝑎𝑟𝑑 𝑠𝑖 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑏𝑎̂𝑡𝑖𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙’𝐴𝑢𝑟𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑖𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑛 𝑐𝑎𝑏𝑎𝑙𝑒 𝑝ℎ𝑜𝑛𝑒́𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 « 𝐿’𝑜𝑟 𝑜𝑛𝑡 » ? 𝑃𝑎𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑎̀ 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠, 𝑙’𝐴𝑙𝑐ℎ𝑖𝑚𝑖𝑒 ℎ𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠, 𝑠𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑠𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑚𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑎̀ « 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑚𝑏𝑎𝑔𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑟𝑟𝑒́ » 𝑑𝑢 𝑋𝑉𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑠𝑜𝑖𝑔𝑛𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑡𝑒𝑛𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑒́𝑡𝑎𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟. 𝐼𝑙 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒́ 𝑒𝑛 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙’ℎ𝑜̂𝑡𝑒𝑙 𝐿𝑎𝑙𝑙𝑒𝑚𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝐽𝑎𝑐𝑞𝑢𝑒𝑠-𝐶œ𝑢𝑟, 𝑙𝑒 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑 𝐴𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑙𝑒𝑠 𝑉𝐼𝐼. 𝑈𝑛𝑒 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 : 𝑙𝑒 𝑃𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑅𝑜𝑦 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑙𝑐ℎ𝑖𝑚𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑜𝑛𝑑𝑟𝑎𝑖𝑡-𝑖𝑙 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 « 𝑃𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑅𝑜𝑦 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 » ? 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑎̀ 𝑅𝑒𝑖𝑚𝑠, 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑒́𝑟𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑖𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒 𝑜𝑢̀ 𝐽𝑒𝑎𝑛𝑛𝑒, 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒, 𝑒𝑢𝑡 𝑠𝑜𝑛 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑔𝑙𝑜𝑖𝑟𝑒, 𝑞𝑢𝑒 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑙𝑒𝑠 𝑉𝐼𝐼 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑖𝑛𝑑𝑟𝑎 𝑙𝑎 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ ; 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑓𝑓𝑒𝑟𝑚𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑖𝑠𝑒 𝑎̀ 𝑙’𝑜𝑐𝑡𝑎𝑣𝑒 𝑠𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒 : 𝑐’𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑃𝑎𝑟𝑖𝑠 𝑒𝑡 𝑛𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝐶𝑙𝑜𝑣𝑖𝑠, 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑠, 𝑓𝑖𝑡 𝑎𝑢 𝑉𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑙𝑎 « 𝐶𝑖𝑡𝑒́ 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 » : 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑙𝑎 𝑅𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑢𝑒 𝑅𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ (𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑜𝑡𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑟𝑎𝑐𝑖𝑛𝑒). 𝐿𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑀𝑎𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑀𝑒𝑟 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙’𝑎𝑣𝑒̀𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝐶ℎ𝑟𝑖𝑠𝑡 𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝐴 𝑙’𝑜𝑐𝑡𝑎𝑣𝑒 𝑠𝑢𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒, 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑛𝑠 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝐹𝑖𝑙𝑠, 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑡 𝑀𝑎𝑟𝑖𝑒 𝑀𝑒́𝑑𝑖𝑎𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒, 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑢𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡 𝑑’𝑎𝑐𝑐𝑒́𝑑𝑒𝑟 𝑎𝑢 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑛 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑖𝑙𝑠. 𝐴𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑜𝑛𝑠-𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠, 𝑙𝑒 𝑐œ𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝐶ℎ𝑟𝑖𝑠𝑡 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑀𝑎𝑟𝑖𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑐𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑢𝑛𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑠𝑎𝑏𝑙𝑖𝑒𝑟 : 𝑙’𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑛𝑖𝑡𝑒́ 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑒. 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑟𝑐𝑜𝑛𝑐𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑐œ𝑢𝑟 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑃𝑎𝑢𝑙. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑏𝑜𝑟𝑑𝑒́ 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑖𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑌𝑒𝑠𝑜𝑑 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑝ℎ𝑒́𝑟𝑖𝑒 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑝𝑒́𝑛𝑒́𝑡𝑟𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝐴𝑟𝑙𝑒𝑠. 𝐷’𝑖𝑛𝑠𝑡𝑖𝑛𝑐𝑡, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑏𝑜𝑟𝑑𝑒́ 𝑇𝑖𝑝ℎ𝑒𝑟𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑎𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑎𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 : 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 : 𝐿𝑒 𝐶𝑂𝐸𝑈𝑅 𝑎𝑡𝑡𝑖𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑒𝑥𝑜𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑐œ𝑢𝑟. 𝐁𝐨𝐮𝐫𝐠𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐁𝐢𝐭𝐮𝐫𝐢𝐠𝐞𝐬 : 𝐥𝐞 « 𝐂𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐌𝐨𝐧𝐝𝐞 » 𝐝𝐞𝐬 « 𝐑𝐨𝐢𝐬 𝐝𝐮 𝐌𝐨𝐧𝐝𝐞 » ? 𝑀𝑖𝑟𝑐𝑒𝑎 𝐸𝑙𝑖𝑎𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑅𝑒𝑛𝑒́ 𝐺𝑢𝑒́𝑛𝑜𝑛 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑖𝑒́ 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑐̧𝑜𝑛 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑓𝑜𝑛𝑑𝑖𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑡ℎ𝑒̀𝑚𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑠, 𝑓𝑟𝑎𝑝𝑝𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑡 𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑖𝑒́𝑠 𝑙'𝑢𝑛 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 : 𝑙𝑒 𝑡ℎ𝑒̀𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑢 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑇𝑟𝑎𝑖𝑡𝑒́ 𝑑'𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑅𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑑'𝑎𝑏𝑜𝑟𝑑 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑡ℎ𝑒̀𝑚𝑒 𝑑𝑢 « 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒 » 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑠 : 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝐼𝑛𝑑𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑡 𝑀𝑒́𝑟𝑜𝑢 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑑𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑎𝑢 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑎𝑢- 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑑𝑢𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑏𝑟𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑙'𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑒𝑛 𝑀𝑒́𝑠𝑜𝑝𝑜𝑡𝑎𝑚𝑖𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑀𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑃𝑎𝑦𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑢𝑛𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑒𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑧𝑖𝑔𝑔𝑜𝑢𝑟𝑎𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑝𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑟𝑒́𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑝𝑡 𝑐𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠, 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑒𝑠 𝐻𝑒́𝑏𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑡 𝑇ℎ𝑎𝑏𝑜𝑟 𝑒𝑡 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑟𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝐺𝑜𝑙𝑔𝑜𝑡ℎ𝑎, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝐼𝑠𝑙𝑎𝑚 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑛𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑀𝑒𝑐𝑞𝑢𝑒, 𝑙𝑎 𝐾𝑎𝑎𝑏𝑎, 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑖𝑒𝑙, 𝑒𝑡𝑐. 𝐸𝑡 𝑀𝑖𝑟𝑐𝑒𝑎 𝐸𝑙𝑖𝑎𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑙𝑢𝑡 𝑒𝑥𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 : « 𝐴 𝑒𝑚𝑏𝑟𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑢𝑒 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒, 𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑠'𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑖𝑑𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 : 1) 𝑎𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑙𝑎 « 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒 » ; 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎̀ 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑛𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 ; 2° 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑜𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑡, 𝑝𝑎𝑟 𝑒𝑥𝑡𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛, 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑚𝑖𝑙𝑒́𝑠 𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 « 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒 » 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑝𝑟𝑜𝑚𝑢𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛 « 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 » ; 3) 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑟, 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑜𝑢 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑝𝑎𝑟 𝑜𝑢̀ 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑙'𝐴𝑥𝑖𝑠 𝑀𝑢𝑛𝑑𝑖 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒́𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑗𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑖𝑒𝑙, 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑓𝑒𝑟. » 𝐷𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́, 𝑅𝑒𝑛𝑒́ 𝐺𝑢𝑒́𝑛𝑜𝑛 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑞𝑢'𝐻𝑖𝑛𝑑𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑡 𝑇ℎ𝑖𝑏𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑒́ 𝐴𝑔𝑎𝑟𝑡ℎ𝑎 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 « 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒 ». 𝑆𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑒𝑛 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠 (𝑛𝑜𝑡𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝐵𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑢𝑧 𝑒𝑡 𝑙'𝑒́𝑛𝑖𝑔𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑟𝑜𝑖 𝑀𝑒𝑙𝑐ℎ𝑖𝑠𝑒𝑑𝑒𝑐ℎ), 𝑖𝑙 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡 : « 𝐿𝑒 𝑡𝑖𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒, 𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑎𝑐𝑐𝑒𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑒́𝑙𝑒𝑣𝑒́𝑒, 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒̀𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑟𝑖𝑔𝑜𝑢𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒, 𝑠'𝑎𝑝𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑀𝑎𝑛𝑢, 𝑙𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑠𝑙𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑜𝑟𝑑𝑖𝑎𝑙 𝑒𝑡 𝑢𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑙 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑢𝑛 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 (𝑙𝑒 𝑀𝑒́𝑛𝑒̀𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐸́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛𝑠, 𝑙𝑒 𝑀𝑖𝑛𝑜𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐺𝑟𝑒𝑐𝑠, 𝑙𝑒 𝑀𝑒𝑛𝑤 𝑑𝑒𝑠 𝐶𝑒𝑙𝑡𝑒𝑠, 𝑒𝑡𝑐.). 𝐶𝑒 𝑛𝑜𝑚, 𝑑'𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑛𝑒 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑛𝑢𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑜𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑜𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑎𝑖𝑟𝑒 ; 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑒𝑛 𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑒 : 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑒𝑙𝑙𝑖𝑔𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐶𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑓𝑒𝑠𝑡𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠𝑡𝑟𝑒, 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒𝑟 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑔𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑜̂𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒 ; 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑀𝑎𝑛𝑢 𝑙𝑢𝑖-𝑚𝑒̂𝑚𝑒, 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑎 𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑡𝑖𝑚𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑡𝑖𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑡𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑡𝑠. » 𝐴𝑖𝑛𝑠𝑖, 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 « 𝑅𝑜𝑖 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒 » 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒-𝑡-𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 « 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒 » : 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑢𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑛𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑡. 𝐸𝑡 𝑠𝑖 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑒𝑠𝑡 𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑒́ 𝑎𝑟𝑏𝑖𝑡𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑒́𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑜𝑏𝑗𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠. « 𝐿𝑎 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́, 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝐸𝑙𝑖𝑎𝑑𝑒, 𝑠'𝑜𝑏𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑐ℎ𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑖𝑠𝑠𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑦𝑠𝑡𝑒̀𝑚𝑒 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑢𝑖 ; 𝑙'𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑒́𝑑𝑒́𝑠 𝑒𝑚𝑝𝑙𝑜𝑦𝑒́𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 « 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑟 » 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑚𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠. » 𝐸𝑡 𝐺𝑢𝑒́𝑛𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑠𝑒 : « 𝑇𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑔𝑒𝑛𝑟𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡, 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑙𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑢̀ 𝑖𝑙𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑠, 𝑢𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑎𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑡𝑜𝑝𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑒𝑠, 𝑐𝑎𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑎𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑠, 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑙𝑜𝑖𝑛 𝑑'𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠, 𝑜𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑖𝑛𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑠𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 ; 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑙𝑒̀𝑣𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 "𝑔𝑒́𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́". » 𝑃𝑎𝑟𝑚𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑎𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑡𝑜𝑝𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑'𝑢𝑛 « 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 », 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑝𝑝𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑠𝑡, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑜𝑛 𝑙'𝑎 𝑣𝑢, 𝑠𝑎 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢𝑛 𝑃𝑜̂𝑙𝑒. « 𝐿𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑡, 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝐺𝑢𝑒́𝑛𝑜𝑛, 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑓𝑖𝑥𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑠'𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑟 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 « 𝑝𝑜̂𝑙𝑒 » 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑢𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑠'𝑒𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒. » 𝑃𝑜̂𝑙𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑜̂𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝐴𝑥𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒 ; 𝑙𝑒 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑢𝑛𝑒 « 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒 » 𝑎̀ 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒𝑠𝑡𝑒. 𝑇𝑜𝑢𝑡 𝑐𝑒𝑐𝑖 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡 𝑎̀ 𝐸́𝑙𝑖𝑎𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒𝑟 : « 𝐿𝑎 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑔𝑜𝑛𝑖𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑙'𝑒𝑥𝑒𝑚𝑝𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑡𝑦𝑝𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 ; 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑜 𝑚𝑢𝑛𝑑𝑖 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑢𝑛 𝑚𝑖𝑐𝑟𝑜𝑐𝑜𝑠𝑚𝑒. » 𝑂𝑟, 𝑐𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑒́𝑟𝑖𝑒 𝑑'𝑎𝑝𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠. 𝐿𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑐𝑒𝑙𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 : 𝐴𝑣𝑎𝑟𝑖𝑐, 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 𝐶𝑢𝑏𝑖, 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑒 « 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑡 ». 𝐶𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒𝑠 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒́ 𝑑𝑒 𝐵𝑖𝑡𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒, 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠, 𝑝𝑙𝑢𝑟𝑖𝑒𝑙 𝑙𝑎𝑡𝑖𝑛𝑖𝑠𝑒́ 𝑑𝑒 𝑅𝑖𝑥 : 𝑟𝑜𝑖 (𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑉𝑒𝑟𝑐𝑖𝑛𝑔𝑒́𝑡𝑜𝑟𝑖𝑥, 𝐴𝑚𝑏𝑖𝑜𝑟𝑖𝑥, 𝑒𝑡𝑐.) ; 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑖𝑙 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑒 𝑅𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒. 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑢𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟 « 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑟𝑜𝑖𝑠 », 𝑑𝑒 𝐵𝑖𝑡ℎ : 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠, 𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒𝑙. 𝐴𝑖𝑛𝑠𝑖, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝐶ℎ𝑟𝑖𝑠𝑡𝑖𝑎𝑛 𝐺𝑢𝑦𝑜𝑛𝑣𝑎𝑟𝑐'ℎ, « 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒𝑠 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑔𝑒́𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒 ». 𝑃𝑢𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑠𝑖 𝑑𝑒 𝑠'𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑒𝑟 « 𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 », 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑑𝑜𝑖𝑡 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑖𝑛𝑐𝑖𝑡𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑠𝑖 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑛𝑒 𝑟𝑒𝑐𝑒́𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠, 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑣𝑖𝑠, 𝑢𝑛 « 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 ». 𝑈𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑎𝑚𝑜𝑟𝑐𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑀𝑚𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑜𝑖𝑠𝑒 𝐿𝑒 𝑅𝑜𝑢𝑥 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒́ 𝑎𝑢 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙 𝑑'𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑎𝑢𝑙𝑜𝑖𝑠𝑒𝑠, 𝑐𝑒𝑙𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑜-𝑐𝑒𝑙𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 (« 𝐿𝑒 𝐶𝑒𝑙𝑡𝑖𝑐𝑢𝑚 𝑑'𝐴𝑚𝑏𝑖𝑔𝑎𝑡𝑢𝑠 𝑒𝑡 𝑙'𝑂𝑚𝑝ℎ𝑎𝑙𝑜𝑠 𝑔𝑎𝑢𝑙𝑜𝑖𝑠 : 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑠𝑢𝑝𝑟𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 »). 𝐴𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 « 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑖𝑑𝑒, 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑦𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠'𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑'𝑜𝑚𝑝ℎ𝑎𝑙𝑜𝑠, 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́ », 𝑀𝑚𝑒 𝐿𝑒 𝑅𝑜𝑢𝑥 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡 : « 𝐿𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑎 𝑟𝑒𝑐̧𝑢 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑒𝑠 𝐶𝑒𝑙𝑡𝑒𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑝𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 » 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑙𝑢𝑡 : « 𝐿𝑎 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑏𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒 𝑒́𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑒𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑒𝑙𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒. » 𝐶𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑖𝑛𝑠𝑝𝑖𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑀𝑚𝑒 𝐿𝑒 𝑅𝑜𝑢𝑥 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑙𝑢𝑠𝑖𝑜𝑛, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑡𝑜𝑝𝑜𝑛𝑦𝑚𝑒 𝑏𝑒𝑟𝑟𝑖𝑐ℎ𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑀𝑒𝑑𝑖𝑜𝑙𝑎𝑛𝑢𝑚. 𝐶𝑒 𝑡𝑜𝑝𝑜𝑛𝑦𝑚𝑒, 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑒 𝑒𝑛 𝑙𝑎𝑡𝑖𝑛 « 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 », 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒-𝑡-𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑖𝑡𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 « 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑎𝑖𝑡 », 𝑑𝑢 𝑐𝑒𝑙𝑡𝑒 𝑙𝑎𝑛𝑜𝑠 : 𝑝𝑒𝑟𝑓𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐼𝑙 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡, 𝑑𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑀𝑚𝑒 𝐿𝑒 𝑅𝑜𝑢𝑥, 𝑎̀ 𝑙𝑎 « 𝐺𝑎𝑢𝑙𝑒 𝑖𝑛𝑡𝑖𝑚𝑒 » 𝑐𝑎𝑟 𝑖𝑙 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑎𝑖𝑡, 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝐶𝑒́𝑠𝑎𝑟, 𝑢𝑛 𝑙𝑜𝑐𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑐𝑟𝑎𝑡𝑢𝑠, « 𝑎̀ 𝑙'𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑒, 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑛𝑢𝑙 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒, 𝑢𝑛 𝑒𝑛𝑐𝑙𝑜𝑠 𝑜𝑢 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 ». 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́ 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 « 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑎𝑟𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑛 𝑖𝑑𝑒́𝑎𝑙 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑒𝑡 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 ». 𝐿𝑒 𝑀𝑒𝑑𝑖𝑜𝑙𝑎𝑛𝑢𝑚 𝑎𝑢𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒 𝑀𝑚𝑒 𝐿𝑒 𝑅𝑜𝑢𝑥 𝑒𝑠𝑡 𝐶ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢- 𝑚𝑒𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡 (𝐶ℎ𝑒𝑟) 𝑜𝑢̀ 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑜𝑝𝑝𝑖𝑑𝑢𝑚 𝑔𝑎𝑢𝑙𝑜𝑖𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑠'𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑣𝑖𝑠𝑒́𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐶ℎ𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑀𝑒𝑑𝑖𝑜𝑙𝑎𝑛𝑢𝑚 : 𝑀𝑒𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡. 𝑂𝑟 𝑐𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛𝑑 𝑀𝑒𝑑𝑖𝑜𝑙𝑎𝑛𝑢𝑚 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑑 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑎𝑢𝑥 𝑐𝑎𝑟𝑎𝑐𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑐𝑖- 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡, 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑖𝑙 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑎𝑢 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒́𝑙𝑖𝑚𝑖𝑡𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑒̂𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑀𝑒𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡, 𝑀𝑎𝑢𝑙𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝐺𝑟𝑎𝑖𝑙𝑙𝑦 ; 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛, 𝑙𝑎𝑠𝑡 𝑏𝑢𝑡 𝑛𝑜𝑡 𝑙𝑒𝑎𝑠𝑡, 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑀𝑒𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑑 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 « 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑎𝑖𝑡 » : 𝑖𝑙 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑎̀ 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑝𝑡 𝑘𝑖𝑙𝑜𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐵𝑟𝑢𝑒̀𝑟𝑒-𝐴𝑙𝑙𝑖𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝𝑠, 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑔𝑒́𝑜𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝐷𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑝, 𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́ 𝑎̀ 𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒𝑟 𝑠𝑖, 𝑒𝑛 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑀𝑒𝑑𝑖𝑜𝑙𝑎𝑛𝑢𝑚, 𝑙𝑒𝑠 𝑅𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒, 𝑝𝑙𝑢𝑡𝑜̂𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑚𝑦𝑡ℎ𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒, 𝑛𝑒 𝑠𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑙𝑐𝑢𝑙𝑠 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑓𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑠. 𝐴 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑒𝑢𝑡-𝑒̂𝑡𝑟𝑒 ℎ𝑎𝑟𝑑𝑖 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒, 𝑙𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝑖𝑐𝑜𝑛𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑢𝑟𝑛𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑟𝑒𝑐𝑡𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑏𝑜𝑢𝑠𝑐𝑢𝑙𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑝𝑖𝑛𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑟𝑒𝑐̧𝑢𝑒𝑠. 𝑂𝑛 𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑒́𝑞𝑢𝑖𝑛𝑜𝑥𝑒𝑠, 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑣𝑒𝑟𝑛𝑎𝑙, 𝑒𝑠𝑡 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑔𝑟𝑒́ 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 72 𝑎𝑛𝑠 ; 𝑙𝑎 𝑑𝑢𝑟𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑜𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑥𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑢 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 25 900 𝑎𝑛𝑠. 𝐼𝑙 𝑠'𝑒𝑛𝑠𝑢𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 : 1) 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑛𝑔𝑡 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑣𝑒𝑟𝑛𝑎𝑙 𝑟𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑐𝑒̀𝑑𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑞𝑢𝑒 ; 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛 𝑒𝑚𝑝𝑖𝑟𝑒 𝑒́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛, 𝑙'𝑒́𝑞𝑢𝑖𝑛𝑜𝑥𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑇𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑑'𝐸𝑙𝑎𝑚 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐵𝑒́𝑙𝑖𝑒𝑟, 𝑎𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝐽𝑒́𝑠𝑢𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑃𝑜𝑖𝑠𝑠𝑜𝑛𝑠 ; 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 1950, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑉𝑒𝑟𝑠𝑒𝑎𝑢 (𝑒𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑟𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑎̀ 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑣𝑎𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑟𝑒́𝑔𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙'𝑒́𝑐𝑙𝑖𝑝𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑑'𝑜𝑢̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑖𝑐𝑢𝑙𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑒 𝑑'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́𝑒 𝑒𝑛 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 « 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 ») ; 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑐𝑢𝑙 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑑𝑟𝑎𝑖𝑡 « 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 » 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑜𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒́𝑒 𝑟𝑒𝑣𝑒̂𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑥𝑡𝑟𝑒̂𝑚𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 ; 2) 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑟𝑜𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑙'𝑎𝑥𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑝𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 : 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛 𝑒𝑚𝑝𝑖𝑟𝑒 𝑒́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛, 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝐴𝑙𝑝ℎ𝑎 𝑑𝑢 𝐷𝑟𝑎𝑔𝑜𝑛, 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡𝑒́𝑒 𝑙𝑎 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑃𝑦𝑟𝑎𝑚𝑖𝑑𝑒 ; 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝐷𝑒𝑙𝑡𝑎 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒 𝑂𝑢𝑟𝑠𝑒 ; 𝑒𝑛 3400 𝑐𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝐺𝑎𝑚𝑚𝑎 𝑑𝑒 𝐶𝑒́𝑝ℎ𝑒́𝑒; 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 10 900 𝑒𝑡 13 600, 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑙'𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑙𝑒 𝑑𝑜𝑢𝑏𝑙𝑒 𝐴𝑙𝑏𝑖𝑟𝑒𝑜, 𝑙𝑎 𝑇𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝐶𝑦𝑔𝑛𝑒 ; 𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑜𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑑𝑟𝑎 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑢̀ 𝑙'𝑎𝑥𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑢𝑟𝑎 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡𝑢𝑒́ 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑖𝑡𝑖𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑜𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑟𝑎𝑚𝑒𝑛𝑒𝑟 𝑎̀ 𝐴𝑙𝑝ℎ𝑎 𝑑𝑢 𝐷𝑟𝑎𝑔𝑜𝑛 ; 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑇𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝐶𝑦𝑔𝑛𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑦𝑡ℎ𝑎𝑔𝑜𝑟𝑖𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑁𝑢𝑖𝑡 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑 𝐽𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛 12.950 𝑎𝑛𝑠. 𝐿𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑒́𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑓𝑢𝑡 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑈𝑟𝑠𝑖𝑛 ; 𝑖𝑙 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑣𝑒́𝑐𝑢 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒 𝐼𝑒𝑟 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 ; 𝑒𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡, 𝑠𝑜𝑛 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑗𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑎𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 : 𝑖𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑛𝑜𝑚. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑓, 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒 𝑂𝑢𝑟𝑠𝑒. 𝐼𝑙 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑛'𝑦 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑙𝑎̀ 𝑞𝑢'𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑖̈𝑛𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒, 𝑠𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙'𝑖𝑐𝑜𝑛𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒-𝑐𝑖 𝑛'𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑒́𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑡ℎ𝑒́𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝑂𝑟 𝑖𝑙𝑠 𝑙'𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒𝑛𝑡 : 𝐿𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑈𝑟𝑠𝑖𝑛 (𝑓𝑖𝑛 𝑑𝑢 𝑋𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒) 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑧𝑒 𝑚𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒 ; 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 ℎ𝑒́𝑚𝑖𝑐𝑖𝑟𝑐𝑢𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑡 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑜𝑢𝑟𝑠. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑦𝑝𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑡ℎ𝑒́𝑑𝑟𝑎𝑙𝑒 (𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́𝑒, 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑝𝑎𝑟 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑈𝑟𝑠𝑖𝑛) 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑚𝑏𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝐽𝑒𝑎𝑛 𝑑𝑒 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦, 𝑓𝑟𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑟𝑜𝑖 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑙𝑒𝑠 𝑉 𝑙𝑒 𝑆𝑎𝑔𝑒 ; 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑑𝑠 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒 𝑜𝑢𝑟𝑠𝑒 𝑚𝑢𝑠𝑒𝑙𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑐ℎ𝑎𝑖̂𝑛𝑒́𝑒. 𝐿𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑐𝑒 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑎𝑐ℎ𝑒̀𝑡𝑒 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑 𝑞𝑢𝑒 « 𝑐𝑒𝑡 𝑎𝑛𝑖𝑚𝑎𝑙 𝑓𝑎𝑖𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝑐𝑦𝑔𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒̀𝑚𝑒 𝑓𝑎𝑣𝑜𝑟𝑖 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 ; 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑛𝑜𝑚𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑛𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑎 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑠𝑒 : « 𝑂𝑢𝑟𝑠𝑖𝑛𝑒, 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑣𝑒𝑛𝑟𝑎. » 𝐿𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑖𝑐𝑒 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡𝑒, 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑣𝑟𝑎𝑖, 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑠𝑒 « 𝑒𝑥𝑝𝑟𝑖𝑚𝑎𝑖𝑡 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑑𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑓𝑖𝑛𝑖𝑟 𝑠𝑎 𝑐𝑎𝑝𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑛 𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 », 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎̀ 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑡𝑢𝑖𝑡𝑒. 𝑆𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑠, 𝑙'𝑜𝑢𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑚𝑢𝑠𝑒𝑙𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑐ℎ𝑎𝑖̂𝑛𝑒́𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑑𝑠 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑠'𝑦 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟, 𝑒𝑛 𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑢𝑧𝑒𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑑𝑢 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦, 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑎 « 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 », 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒́𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑'𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 ; 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑝𝑟𝑒́𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑂𝑢𝑟𝑠𝑒 𝑎𝑢 𝐶𝑦𝑔𝑛𝑒, 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑑𝑟𝑎. 𝑆'𝑖𝑙 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒, 𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑠𝑖𝑝𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑙'𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑒𝑥𝑎𝑚𝑖𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑠𝑜𝑖𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝑇𝑟𝑒̀𝑠 𝑅𝑖𝑐ℎ𝑒𝑠 𝐻𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑑𝑒 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦. 𝐶𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑖𝑛𝑖𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑢𝑐 𝐽𝑒𝑎𝑛, 𝑏𝑎̂𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑡 𝑏𝑖𝑏𝑙𝑖𝑜𝑝ℎ𝑖𝑙𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑒́𝑛𝑖𝑡𝑒𝑛𝑡, 𝑓𝑖𝑡 𝑒𝑥𝑒́𝑐𝑢𝑡𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑓𝑖𝑛 𝑑𝑢 𝑋𝐼𝑉𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝐽𝑒𝑎𝑛 𝐶𝑜𝑙𝑜𝑚𝑏𝑒, 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑝𝑒𝑟𝑣𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑝𝑎𝑟 𝑠𝑜𝑛 ℎ𝑒́𝑟𝑎𝑢𝑡 𝑑'𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠 𝐺𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑣𝑖𝑒𝑟, 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑣𝑜𝑦𝑎𝑔𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑛 𝑂𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑎𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑'𝑢𝑛 𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑔𝑒́𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒, 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑎𝑢 𝑚𝑢𝑠𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝐶ℎ𝑎𝑛𝑡𝑖𝑙𝑙𝑦. 𝐶𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑈𝑟𝑠𝑖𝑛, 𝑜𝑛 𝑦 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑢𝑛 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑛𝑑𝑟𝑖𝑒𝑟. 𝐶ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑧𝑒 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑖𝑙𝑙𝑢𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑙'𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑖𝑛𝑣𝑎𝑟𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 : 1) 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝑐𝑎𝑟𝑎𝑐𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑠 ; 2) 𝑢𝑛 𝑐ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢 ; 3) 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑢𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒́ 𝑑𝑢 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑐𝑎𝑙 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡. 𝐸𝑛𝑓𝑖𝑛, 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑒𝑖𝑧𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑏𝑖𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑡𝑒 « 𝑙'𝐻𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑍𝑜𝑑𝑖𝑎𝑞𝑢𝑒 » 𝑞𝑢𝑖 𝑚𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑐𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑡ℎ𝑒̀𝑚𝑒 𝑏𝑎𝑛𝑎𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑜𝑖𝑛 𝑑'𝑒́𝑝𝑢𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'œ𝑢𝑣𝑟𝑒. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑜𝑝𝑖𝑛𝑖𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑛𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒𝑟 𝑠𝑖 𝑙'𝑜𝑛 𝑠𝑒 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑟𝑎𝑏𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑞𝑢𝑒 « 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢𝑥 », 𝑠𝑢𝑟𝑎𝑡 𝑎𝑙 𝑏𝑢𝑟𝑗 𝑒𝑥𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟 𝑚𝑜𝑡 𝑒𝑠𝑡, 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑟𝑎𝑐𝑖𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑢 𝑛𝑜𝑚 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 (𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒́𝑒 – 𝑏𝑜𝑟𝑑𝑗, 𝑏𝑢𝑟𝑔, 𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔, 𝑒𝑡𝑐. – 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒 – 𝑏𝑒𝑟𝑔). 𝐴𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑙'𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑛𝑖𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑐̧𝑢 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑢𝑔𝑔𝑒́𝑟𝑒𝑟 (𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠) 𝑙'𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑛𝑎𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑'𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠, 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛 𝑔𝑒𝑛𝑟𝑒 𝑑'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 (𝑙𝑒 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑛𝑑𝑜𝑠𝑠𝑒 𝑑’𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑜𝑦𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 : 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑚𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑠, 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑜𝑚𝑖𝑐𝑖𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑎 𝑠𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑝𝑒𝑛𝑡𝑒). 𝐶𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑖𝑐𝑖 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑑'𝑎𝑛𝑎𝑙𝑦𝑠𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑙𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑇𝑟𝑒̀𝑠 𝑅𝑖𝑐ℎ𝑒𝑠 𝐻𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑜𝑢̀ 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛 𝑑𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑖𝑐𝑜𝑛𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒́ 𝑎𝑢 ℎ𝑎𝑠𝑎𝑟𝑑 𝑒𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙'𝑒𝑥𝑎𝑚𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑛𝑔𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 : 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑦 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑒 ; 𝑖𝑛𝑣𝑖𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑙𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑠𝑒 𝑝𝑒𝑛𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑢𝑐 𝑑𝑒 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦 𝑎̀ 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑜𝑓𝑓𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑣𝑖𝑓 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒̂𝑡. 𝐿𝑎 𝑠𝑐𝑒̀𝑛𝑒 𝑎 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡ℎ𝑒́𝑎̂𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑎̀ 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠. 𝐸𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑒, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑛𝑧𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑥𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑣𝑜𝑦𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢𝑥, 𝑙'𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑎 𝑣𝑜𝑢𝑙𝑢 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑐𝑒̀𝑛𝑒 𝑎 𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑒́𝑠𝑜𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟. 𝑁𝑜𝑢𝑟𝑟𝑖𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑓𝑜𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑣𝑒𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒 𝑑𝑢𝑐 𝑞𝑢𝑖 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑖𝑒𝑛 𝑎𝑢𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒 : 𝑠𝑒𝑠 𝑙𝑒̀𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒́𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡. 𝐷𝑒𝑏𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑎 𝑔𝑎𝑢𝑐ℎ𝑒, 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 ; 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑠𝑒 𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑡𝑡𝑖𝑡𝑢𝑑𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟 ; 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑧 𝑠𝑜𝑛 𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒𝑡 : 𝑒𝑛 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑖𝑛𝑠𝑜𝑙𝑖𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛𝑑 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒, 𝑙'𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑠'𝑒𝑠𝑡 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑟𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒́ 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑚𝑢𝑛𝑖𝑟 𝑐𝑒 𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑎𝑖𝑙𝑒𝑠 ; 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒́ 𝑒𝑛 𝐻𝑒𝑟𝑚𝑒̀𝑠, 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑢 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑑𝑢𝑐. 𝐿'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑛𝑜𝑚𝑎𝑙𝑖𝑒 𝑑𝑒𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝑔𝑢𝑖𝑑𝑒𝑟 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 : 𝑣𝑜𝑦𝑒𝑧, 𝑑𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑛𝑞𝑢𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝐽𝑒𝑎𝑛, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑐𝑙𝑒 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑎𝑔𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑒𝑢 : 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒́𝑙𝑜𝑞𝑢𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑥𝑖𝑠 𝑚𝑢𝑛𝑑𝑖, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑝𝑖𝑡𝑒𝑎𝑢 𝑜𝑢̀, 𝑒𝑛𝑡𝑜𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝐵𝑒𝑟𝑟𝑦, 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒́𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑦𝑔𝑛𝑒𝑠. 𝑃𝑜𝑟𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒 𝑝𝑒𝑢 𝑜𝑟𝑑𝑖𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑏𝑜𝑢𝑡 𝑑𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑛𝑞𝑢𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐; 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑟𝑜𝑢𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑡𝑜𝑔𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑔𝑢𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒𝑟: 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑔𝑢𝑟𝑒 𝑚𝑢𝑛𝑖 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑙𝑖𝑡𝑢𝑢𝑠; 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑙𝑒𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝐶𝑖𝑐𝑒́𝑟𝑜𝑛 (𝐷𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑒, 𝐼, 17) 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑠𝑎 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛: 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑖𝑑𝑒 𝑑𝑢 𝑙𝑖𝑡𝑢𝑢𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑟𝑒̀𝑔𝑙𝑒𝑠 𝑑'𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑖𝑙 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑜𝑢̂𝑡𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒𝑠𝑡𝑒, 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑢𝑚, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑙 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑛 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 (𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑜𝑟𝑖𝑠 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑒). 𝑆𝑎𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑎, 𝑝𝑟𝑜𝑙𝑜𝑛𝑔𝑒𝑜𝑛𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑑'𝑢𝑛 𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑟𝑎𝑦𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑏𝑎̂𝑡𝑜𝑛 𝑎𝑢𝑔𝑢𝑟𝑎𝑙 : 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑎𝑏𝑜𝑢𝑡𝑖𝑡 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑇𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝐶𝑦𝑔𝑛𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑜𝑡𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒́𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑒𝑡 𝑑'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑏𝑎̂𝑡𝑜𝑛 : « 𝐴𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒, 𝐴𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒 » 𝑎𝑐ℎ𝑒̀𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑣𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑐 𝐽𝑒𝑎𝑛. 𝐿'𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑢𝑖𝑡 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 : 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 « 𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 » 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑎𝑓𝑓𝑙𝑢𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑙𝑢𝑖 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒𝑠𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑖𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 ; 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑'𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 ; 𝑐𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑒𝑠𝑡 𝑑'𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 ℎ𝑒𝑟𝑚𝑒́𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 ; 𝑖𝑙 𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑑𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 « 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 » 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑐𝑢𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑦𝑐𝑙𝑒𝑠 ; 𝑐𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑐𝑢𝑙, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑢𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑙𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠. 𝐶𝑒 𝑞𝑢'𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑓𝑜𝑢𝑟𝑛𝑖𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 : 𝐵𝑖𝑡𝑢𝑟𝑖𝑔𝑒𝑠 = 𝑅𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑠𝑝𝑒́𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒́ 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑖, 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒́𝑔𝑖𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑒 ; 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒́ 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒̀𝑔𝑒, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑎𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑒́𝑟𝑒́𝑠 𝑎𝑟𝑏𝑖𝑡𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑜𝑓𝑜𝑛𝑑𝑖𝑒𝑠. 𝑄𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑎 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑖𝑑𝑒 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖, 𝑙𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟, 𝑎̀ 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑞𝑢'𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑝𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑐𝑜𝑙𝑒 𝑖𝑙 𝑛'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑢𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́ 𝑎̀ 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑙𝑒𝑠 𝑉𝐼𝐼 ; 𝑎̀ 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑟, 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟𝑒𝑧 𝑝𝑎𝑟 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑖𝑚𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑏𝑙𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒̀𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑙'𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑐𝑎𝑡ℎ𝑒́𝑑𝑟𝑎𝑙𝑒, 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑟𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝐴𝑙𝑐ℎ𝑖𝑚𝑖𝑒, 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑜𝑢̀ 𝐽𝑎𝑐𝑞𝑢𝑒𝑠 𝐶œ𝑢𝑟 𝑓𝑢𝑡 « 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑎𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟 » 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑜̂𝑡𝑒𝑙 𝑜𝑢̀ 𝐽𝑒𝑎𝑛 𝐿𝑎𝑙𝑙𝑒𝑚𝑎𝑛𝑡 𝑓𝑢𝑡, 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑠'𝑒𝑛 𝑣𝑎𝑛𝑡𝑒𝑟, 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡𝑎𝑔𝑒 ; 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑𝑒𝑟, 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛, 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑣𝑜𝑦𝑎𝑔𝑒 𝑔𝑎𝑢𝑙𝑜𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑎̀ 𝐷𝑒𝑙𝑝ℎ𝑒𝑠, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒ℎ𝑜𝑟𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑥𝑝𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑙𝑙𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑒̀𝑙𝑒𝑟𝑖𝑛𝑎𝑔𝑒. […] 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑬𝒍𝒊𝒔𝒆 𝑳𝑬𝑱𝑨𝑹𝑫 𝒊𝒏 𝑨𝑻𝑳𝑨𝑵𝑻𝑰𝑺 𝑵° 323, 𝑵𝒐𝒗𝒆𝒎𝒃𝒓𝒆-𝑫𝒆́𝒄𝒆𝒎𝒃𝒓𝒆 1982, « 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒔𝒂𝒄𝒓𝒆́𝒔 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝑮𝒂𝒖𝒍𝒆𝒔 » ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒅𝒐𝒔𝒔𝒊𝒆𝒓 « 𝑹𝒐𝒊𝒔 𝒅𝒖 𝑴𝒐𝒏𝒅𝒆, 𝑪𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒅𝒖 𝑴𝒐𝒏𝒅𝒆 : 𝒍'𝒆𝒙𝒆𝒎𝒑𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝑩𝒐𝒖𝒓𝒈𝒆𝒔 » 𝒔𝒊𝒕𝒖𝒆́ 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒇𝒊𝒏 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆 𝒅𝒆 𝑮𝒆́𝒓𝒂𝒓𝒅 𝒅𝒆 𝑺𝒆̀𝒅𝒆 "𝑳𝒆 𝒔𝒂𝒏𝒈 𝒅𝒆𝒔 𝑪𝒂𝒕𝒉𝒂𝒓𝒆𝒔" ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒑𝒖𝒃𝒍𝒊𝒆́ 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒖 𝑷𝒐𝒊𝒏𝒕 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
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"La cathédrale Saint-Etienne est inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco. Ce grand vaisseau très lumineux de 124 m de longueur, 40,80 m de large et 37,15 m sous voûte est la plus large et l'une des plus grandes cathédrales gothiques de France. Bien qu'elle ait été consacrée en 1324, sa construction s'échelonne de la fin du XII e au XVI e siècle. Elle est l'objet de campagnes de sauvegarde depuis plusieurs années pour lutter contre les ravages de la pollution sur les sculptures. L'une des caractéristiques les plus originales de la cathédrale est de posséder cinq portails de dimensions différentes ornés de sculptures retraçant les grands thèmes de l'Ancien et du Nouveau Testament. Depuis les jardins de l'hôtel de ville, on peut admirer le chevet pyramidal avec ses arcs-boutants à double volée. A voir, l'étonnante méridienne de cuivre du chanoine Goumet avec les trois oeilletons percés dans les verrières qui permettent aux rayons du soleil de tomber dessus à midi, l'ensemble de vitraux du XII e au XVII e siècle - la verrière du " Grand Housteau " offerte par le duc Jean de Berry et l'Annonciation de la chapelle de Jacques Coeur. L'église basse abrite le gisant partiel du duc de Berry, une petite galerie vestige d'un sanctuaire du XI e avec ses motifs libertins, et les grandes statues autrefois en décor de façade. Le buffet du grand orgue date de la seconde moitié du XVII e , l'horloge astronomique décorée du début du XV e siècle. La tour nord dite " tour de Beurre " culmine à 65 mètres."
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