mapstr place model

La Cité Interdite de Pékin : Monument Historique et Musée Impérial

La Cité Interdite, également connue sous le nom de Palais Impérial, est un monument historique incontournable à visiter lors de votre séjour à Pékin, en Chine. Commencée en 1407 et achevée quatorze ans plus tard, cette imposante structure fut le siège du pouvoir impérial des dynasties Ming et Qing. Conçu pour symboliser la puissance et la majesté impériales, ce complexe palatial rectangulaire était entouré d'un fossé profond de 6 mètres et d'un mur de 10 mètres de haut. Avec une superficie totale d'environ 72 hectares, la Cité Interdite abritait environ 800 bâtiments avec 8 880 pièces, dont certains sources évoquent poétiquement le chiffre de 9 999. Parmi ces bâtiments se trouvaient cinq grandes salles et dix-sept palais. La Cité Interdite était divisée en deux zones : la section sud ou Cour Extérieure où l'empereur menait ses affaires quotidiennes, tandis que lui et sa famille vivaient dans la section nord ou Cour Intérieure. Les bâtiments étaient principalement construits en bois et la Cité renferme la plus grande collection de structures anciennes en bois au monde, avec des toits peints dans la couleur royale traditionnelle jaune. Les dix empereurs de la dynastie Qing, qui ont succédé aux Ming en 1644, ont utilisé la Cité Interdite comme siège de leur gouvernement. Après la Révolution de Xinhai en 1912, le dernier empereur chinois, Puyi, a abdiqué et la Cité Interdite est finalement devenue un musée, exposant ses nombreux trésors et curiosités. Depuis l'assouplissement du régime communiste chinois, la Cité Interdite est devenue une attraction majeure pour les touristes chinois et étrangers.

Vous pensez qu'il y a une erreur sur ce lieu ?

Vos retours sont importants pour nous. Si vous avez remarqué une erreur concernant ce lieu, merci de nous en informer pour que nous puissions la corriger.

Signaler une erreur
Propriétaire de ce lieu ?

Nous récupérons automatiquement les informations disponibles sur votre lieu. Si jamais celles-ci ne sont pas correctes, connectez-vous gratuitement sur notre tableau de bord pour les modifier et bonus, accédez à vos statistiques détaillées.

mapstr icon Modifier les informations de votre lieu
La communauté mapstr
Enregistré par

152 utilisateurs

#Tags souvent utilisés
#Monument #Visite #Visit #Architecture #Culture
Ce qu'en disent les utilisateurs

"Man muss hier genug Zeit mitnehmen. Hier ist der Kaiserpalast mit mehrere. Häusern, Räumen und Gärten. Im vorderen Bereich hat er Gäste empfangen, nur er durfte aber durch das Haupttor gehen, seine Bediensteten mussten rechts und links die Seitentüre nehmen."

@phamli

"Absolument époustoufflant. Un des plus beau lieu historique au monde. Prévoir au moins 4/5h pour avoir le temps de tout visiter, c’est une véritable ville dans la ville"

@ethanlicht

"𝑳𝒂 𝑪𝒊𝒕𝒆́ 𝒊𝒏𝒕𝒆𝒓𝒅𝒊𝒕𝒆 𝒅𝒆 𝑷𝒆́𝒌𝒊𝒏 𝒇𝒖𝒕 𝒍𝒂 𝒓𝒆́𝒔𝒊𝒅𝒆𝒏𝒄𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒆𝒎𝒑𝒆𝒓𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒅𝒆 𝑪𝒉𝒊𝒏𝒆 𝒅𝒖 𝒅𝒆́𝒃𝒖𝒕 𝒅𝒖 𝑿𝑽𝒆 𝒔𝒊𝒆̀𝒄𝒍𝒆 𝒂̀ 1911, 𝒅𝒂𝒕𝒆 𝒂̀ 𝒍𝒂𝒒𝒖𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒍𝒂 𝒓𝒆́𝒗𝒐𝒍𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒓𝒆́𝒑𝒖𝒃𝒍𝒊𝒄𝒂𝒊𝒏𝒆 𝒎𝒊𝒕 𝒇𝒊𝒏 𝒂̀ 𝒍'𝒆́𝒑𝒐𝒒𝒖𝒆 𝒊𝒎𝒑𝒆́𝒓𝒊𝒂𝒍𝒆. 𝑶𝒏 𝒂𝒄𝒄𝒆̀𝒅𝒆 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝑪𝒊𝒕𝒆́ 𝒑𝒂𝒓 𝒍𝒂 𝒑𝒐𝒓𝒕𝒆 𝒅𝒖 𝑴𝒆́𝒓𝒊𝒅𝒊𝒆𝒏, 𝒔𝒊𝒕𝒖𝒆́𝒆 𝒂𝒖-𝒅𝒆𝒍𝒂̀ 𝒅𝒆𝒔 𝒆𝒂𝒖𝒙 𝒈𝒆𝒍𝒆́𝒆𝒔 𝒅𝒖 𝑹𝒖𝒊𝒔𝒔𝒆𝒂𝒖 𝒂𝒖𝒙 𝒆𝒂𝒖𝒙 𝒅'𝒐𝒓. Au cœur de la capitale chinoise se trouve le plus grand palais du monde : la Cité interdite, qui est aussi le plus important témoignage du passé impérial de la Chine. Son nom indique assez la vie secrète et somptuaire des empereurs, isolés du monde par des murailles infranchissables. Les portails restent à présent ouverts aux visiteurs, qui s'émerveillent de la taille et de l'élégance de ce labyrinthe aux toits de tuiles ornés de figures mythologiques. Salles d'audience, pavillons et escaliers de marbre voisinent avec des balustrades, des lions de bronze et des jardins géométriques. L'harmonie des bâtiments et des cours aérés contraste d'ailleurs vivement avec l'intérieur obscur qui évoque la terrible puissance impériale. À la manière des coffrets gigogne, la Cité interdite est au cœur de la Cité impériale, contenue dans la « ville tatare », elle-même partie intégrante de l'ancienne Pékin. Au centre de la Cité interdite, le sanctuaire aux murs épais, ceint d'un fossé, rappelle combien les souverains absolus vivaient retirés du monde. C'est de là que s'exerça le pouvoir des vingt-quatre empereurs successifs, des dynasties Ming et Qing, du XVe siècle à 1911. A cette date, la proclamation de la république mit fin à l'ère impériale. 𝐋𝐞 𝐬𝐢𝐭𝐞 𝐝𝐮 𝐩𝐚𝐥𝐚𝐢𝐬 Le charme de la Cité interdite provient moins de la beauté des bâtiments que de la disposition symétrique des temples, palais et jardins. Cette tradition architecturale remonte à la construction de la ville de Chang'an, fondée au IIe siècle avant notre ère. Le rapprochement entre les deux villes n'est pas fortuit : leur plan en damier reflète la conception chinoise d'un univers parfaitement ordonné. Pour les Chinois, en effet, chaque empereur gouvernait avec l'aval des dieux : c'était le « mandat du Ciel ». La cosmogonie chinoise comprenait par ailleurs trois éléments : le Ciel, la Terre et l'Homme. L'empereur, en tant que Fils du Ciel, était considéré comme un médiateur ayant pour mission de faire régner l'ordre et l'harmonie sur terre. L'Etat idéal se caractérisait par un équilibre hiérarchique dont la symétrie de la Cité interdite donne une idée. La Cité interdite de Pékin fut la résidence des empereurs de Chine du début du XVe siècle à 1911, date à laquelle la révolution républicaine mit fin à l'époque impériale. On accède à la Cité par la porte du Méridien, située au-delà des eaux gelées du Ruisseau aux eaux d'or. L'emplacement des anciennes cités chinoises répondait à une doctrine fondamentale : le fengshui, ou art de bâtir en harmonie avec les énergies vitales de la terre. C'est cette doctrine, à la fois pratique, esthétique et mystique, qui est à l'origine du plan de la Cité interdite. Les bâtiments furent alignés selon un axe nord-sud, tandis que les plus importants regardaient vers le sud, pour bénéficier des rayons sacrés et bienfaisants du soleil. L'axe de la Cité interdite se prolonge jusque dans Pékin. Il constitue la voie d'accès à la Cité ; pour s'y rendre, on devait franchir plusieurs portes: notamment celle de la Paix céleste, Tian'anmen, et celle du Méridien, qui marque l'entrée de la Cité interdite. 𝐀𝐮 𝐜œ𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐏𝐞́𝐤𝐢𝐧 À l'autre bout de la Cité, l'axe se poursuit vers le nord jusqu'à la porte du Génie militaire puis enjambe un fossé pour gagner l'aire de loisirs de l'empereur, sur la colline du Charbon. Cette hauteur artificielle était faite de pierres et de terre récupérées lors du creusement du fossé et des lacs qui bordent le palais à l'ouest. C'est là qu'en 1644, alors que les Mandchous attaquaient la ville, le dernier empereur Ming se donna la mort. L'axe longitudinal aboutit aux tours de la Cloche et du Tambour : chaque jour était salué au petit matin par le tintement d'une cloche puis au crépuscule par un roulement de tambour. La Cité interdite était le cœur de Pékin. C'était le « lieu de rencontre du ciel et de la terre, d'union du vent et de la pluie, d'équilibre entre le yin et le yang », selon un auteur classique chinois. C'est aussi là que vivait l'empereur dont le rôle, d'après le sage confucéen Mencius, était de « se tenir au centre de la terre pour y maintenir les peuples ». En fait, la résidence impériale s'appelait « la Cité pourpre interdite », à cause de la couleur des murs d'enceinte. En outre, pour les Chinois, la Petite Ourse s'appelle la constellation pourpre : de même que les cieux s'organisent autour de l'étoile polaire, de même la terre était centrée sur l'empereur. Car les Chinois croyaient que son trône était non seulement au centre de la grande salle de l'Harmonie suprême, du palais, de la ville impériale, de la cité tatare, mais tout simplement au centre du monde : c'était l'« Empire du Milieu ». 𝐃𝐞 𝐊𝐨𝐮𝐛𝐢𝐥𝐚𝐢̈ 𝐊𝐡𝐚𝐧 𝐚𝐮 𝐝𝐞𝐫𝐧𝐢𝐞𝐫 𝐞𝐦𝐩𝐞𝐫𝐞𝐮𝐫 La première ville fondée sur le site de Pékin date de la dynastie des Tchéou. Située dans une plaine fertile, elle occupait une position stratégique pour défendre la fragile frontière septentrionale, sous la menace constante des peuples de la steppe. Au XIIIe siècle après J.-C., les Mongols envahirent la Chine avec, à leur tête, Gengis Khan. Son petit-fils, Koubilaï Khan, déplaça la cour mongole à Pékin, alors appelée Dadu, « la grande capitale ». De là, les armées mongoles achevèrent la conquête du sud de la Chine. Marco Polo, fils d'un marchand vénitien, fut l'un des premiers Européens à se rendre en Chine, en 1271. Il séjourna à Pékin ou Beijing, alors appelée Dadu, « grande capitale », où il fut le témoin des fastes de la cour de Koubilaï. Dans ses descriptions du palais impérial, ancêtre de la Cité interdite, il s'émerveille de sa taille et de sa richesse car le marbre, l'argent et l'or y abondaient. Les descriptions qu'il fit du fabuleux palais lui valurent à son retour en Italie le surnom de « Marco Millione », ou Marco des Millions… de mensonges. Après le renversement des Mongols par les Ming, la Cité interdite prit son aspect actuel. Les travaux débutèrent sous le règne de l'empereur Yongle (1403-1424), peut-être sur le site de l'ancien palais de Koubilaï. L'édification de la résidence impériale dura seize ans, au cours desquels on employa un million d'hommes. Par la suite, des bâtiments furent ajoutés, d'autres modifiés ou restaurés : le palais reflète ainsi l'histoire de la Chine. Ce vaste ensemble monumental, qui comprend plus de huit mille pièces, sans compter les cours et les jardins, couvre cent hectares. Les fonctionnaires de l'Etat travaillaient dans la partie méridionale de la cité impériale tandis que la famille impériale résidait au nord de la porte de la Pureté céleste, limite du palais. Aucun adulte de sexe masculin, hormis l'empereur, n'était admis dans ces quartiers gardés par des eunuques. On entrait dans la Cité par la porte du Méridien d'où l'empereur passait en revue son armée. Chaque fois que le souverain franchissait cette porte, résonnaient en chœur une cloche et un tambour ; aujourd'hui, seul le silence accueille les visiteurs. Au-delà, se trouve encore le ruisseau aux eaux d'or, canal en forme d'arc enjambé par cinq ponts. Non loin s'élève le plus important bâtiment cérémoniel, le palais de l'Harmonie suprême. C'est là que l'empereur gouvernait, assis sur le trône du Dragon entouré d'encensoirs de bronze et de colonnes dorées. Dans cette même salle, on célébrait aussi les grandes fêtes comme le solstice d'hiver, le nouvel an et l'anniversaire du souverain. Derrière le palais de l'Harmonie suprême, se trouvent la palais de l'Harmonie du Milieu et celui de l'Harmonie exaltée, où se tenaient les banquets réservés aux dignitaires étrangers. Au nord de ces derniers s'élèvent le palais de la Pureté céleste et le palais de la Tranquillité terrestre, les résidences respectives de l'empereur et de l'impératrice. Entre les deux se trouve le palais de l'Union, qui unit symboliquement les époux impériaux, le ciel et la terre, le yin et le yang. Tout autour, s'étendent des jardins d'agrément qui offrent une plaisante alternative à l'uniformité des bâtiments. Temples, théâtres et communs complètent l'ensemble. Il existait même des quartiers réservés aux eunuques et aux concubines. Celles-ci se distinguaient parfois en donnant un fils à l'empereur. On dit que lorsque l'empereur invitait une concubine à le rejoindre dans sa chambre, elle devait se déshabiller entièrement pour montrer qu'elle ne portait pas d'armes. Puis, elle s'enveloppait dans une robe jaune ; alors seulement, un eunuque la portait sur son dos à la rencontre de l'empereur. 𝐋𝐚 𝐟𝐢𝐧 𝐝'𝐮𝐧𝐞 𝐞́𝐩𝐨𝐪𝐮𝐞 Après avoir été pendant cinq cents ans le centre du pouvoir impérial, le trône du Dragon fut abandonné en 1911. Les dirigeants de la nouvelle république forcèrent l'empereur Pou-Yi, âgé de quatre ans, à abdiquer. Néanmoins, l'enfant eut le droit de résider dans la Cité interdite jusqu'en 1924. Par la suite, le palais, déserté, commença à se dégrader. En 1949, les forces communistes chinoises ayant pris Pékin et vaincu les nationalistes, ceux-ci s'enfuirent à Taiwan… en emportant avec eux bon nombre de trésors de la Cité interdite. « Interdite » n'est d'ailleurs plus le mot : transformée en musée, la Cité a dû ouvrir largement ses portes, sous la pression des ouragans du XXe siècle. 𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐥𝐞 𝐓𝐢𝐛𝐞𝐭 𝐬'𝐢𝐧𝐯𝐢𝐭𝐞 𝐚̀ 𝐏𝐞́𝐤𝐢𝐧... En 2004, lors de la restauration du temple impérial de la Cité Interdite, des ouvriers ont découvert des archives inconnues dans les structures creuses qui ornaient le faîtage du toit ainsi que dans une boîte métallique encastrée dans la charpente. Il s'agissait de rouleaux rédigés en tibétain, alors que le temple était dédié au culte taoïste, et placés là six siècles plus tôt. Ainsi, le bouddhisme tibétain semblait avoir symboliquement assuré sa prédominance sur le taoïsme chinois… 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑳𝒆𝒔 𝒉𝒂𝒖𝒕𝒔 𝒍𝒊𝒆𝒖𝒙 𝒎𝒂𝒈𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔 (𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑱𝒂𝒎𝒆𝒔 𝑯𝒂𝒓𝒑𝒖𝒓 & 𝑱𝒆𝒏𝒏𝒊𝒇𝒆𝒓 𝑾𝒆𝒔𝒕𝒘𝒐𝒐𝒅), 𝒑𝒑. 178-185 ; 𝑱𝒆𝒂𝒏𝒏𝒆 𝒅'𝑨𝒓𝒄𝒂𝒅𝒊𝒆 (𝒍𝒊𝒗𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝑱𝒂𝒄𝒌 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒆𝒓) ; 𝑼𝑵𝑬𝑺𝑪𝑶 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"Book one week before going on we chat "

@gabrielaesguevillas

"UNESCO World Heritage Work on the Forbidden City- the imperial palace complex of the Ming and Qing dynasties began in 1407 and was completed fourteen years later, with as many as 200,000 men laboring on the project. Designed to symbolize imperial power and majesty, it was regarded as the earthly counterpart of the abode of the Celestial Emperor. The name refers to the fact that no one could enter or leave the site without the permission of the emperor, The rectangular palace complex — with a main gate ser in each side — was surrounded by a moat 19 feet (6 m) deep and a wall 32 feet (10 m) high. With an overall size of around 178 acres (72 ha) the Forbidden City contained some 800 buildings with 8,880 rooms, although some sources put the number of rooms at a more poetical 9,999. Among these buildings were five large halls and seventeen palaces. The Forbidden Oty was divided into two areas: the southern section or Outer Court was where the emperor conducted his day-to-day business, while he and his family lived in the northern section or Inner Court. The buildings were constructed predominantly from wood. The City contains the world's largest collection of ancient wooden structures, their roofs being painted in the traditional royal color of yellow. The ten emperors of the Qing Dynasty, which replaced the Ming in 1644, used the Forbidden City as their seat of government. In 1912, following the Xinhai Revolution, the last Chinese emperor, Puyi, abdicated and the Forbidden City eventually became a museum, where its many treasures and curiosities were put on display (although some of these artifacts were removed to Taiwan during the Chinese Civil War). Since the relaxation of Chinese communist rule, the Forbidden City has become a major attraction for both Chinese and foreign tourists."

@nchavotier

"VLOG #107 CITÉ INTERDITE ET TEMPLE DU CIEL À PÉKIN !! https://www.youtube.com/watch?v=n_GF6Y5GCJQ&list=PLtwL6_uNHKrSS5os1R-_MvP3BPRkdEjPR&index=27"

@fandejulesenasie

"The Imperial Palace of the Ming and Qing Dynasties ."

@camille.chervin5

Autres lieux à voir autour
La meilleure expérience Mapstr est sur l'application mobile.
Enregistrez vos meilleures adresses, partagez les plus belles avec vos amis, découvrez les recommendations de vos magazines et influcenceurs préférés.