Fort Frederica National Monument

"𝑺𝒊𝒕𝒖𝒆́ 𝒔𝒖𝒓 𝒍’𝑰̂𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝑺𝒂𝒊𝒏𝒕-𝑺𝒊𝒎𝒐𝒏 𝒂̀ 𝒆𝒏𝒗𝒊𝒓𝒐𝒏 1𝒉30 𝒅𝒆 𝑺𝒂𝒗𝒂𝒏𝒏𝒂𝒉, 𝒍𝒆 𝑴𝒐𝒏𝒖𝒎𝒆𝒏𝒕 𝑵𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒂𝒍 𝒅𝒆 𝑭𝒐𝒓𝒕 𝑭𝒓𝒆𝒅𝒆𝒓𝒊𝒄𝒂 𝒄𝒐𝒓𝒓𝒆𝒔𝒑𝒐𝒏𝒅 𝒂𝒖𝒙 𝒗𝒆𝒔𝒕𝒊𝒈𝒆𝒔 𝒅’𝒖𝒏 𝒂𝒏𝒄𝒊𝒆𝒏 𝒇𝒐𝒓𝒕 𝒆𝒕 𝒅’𝒖𝒏𝒆 𝒂𝒏𝒄𝒊𝒆𝒏𝒏𝒆 𝒗𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝑱𝒂𝒎𝒆𝒔 𝑶𝒈𝒍𝒆𝒕𝒉𝒐𝒓𝒑𝒆 𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆 1736 𝒆𝒕 1748 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒆 𝒑𝒓𝒐𝒕𝒆́𝒈𝒆𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝒂𝒕𝒕𝒂𝒒𝒖𝒆𝒔 𝒆𝒔𝒑𝒂𝒈𝒏𝒐𝒍𝒆𝒔. Le Fort Frederica fut construit à partir de 1736 par des colons anglais, écossais et allemands pour faciliter la conquête de la région. Le fort tient son nom de Frederick, Prince de Galles. Fort Frederica devint un monument national américain le 26 mai 1936. Dès 1947, le National Park Service et l’association du Fort Frederica sponsorisèrent plusieurs fouilles archéologiques sur le site. 𝐔𝐧 𝐟𝐨𝐫𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐢𝐭 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐀𝐧𝐠𝐥𝐨-𝐀𝐦𝐞́𝐫𝐢𝐜𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞𝐱𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐫𝐢𝐯𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐥𝐨𝐧𝐢𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐆𝐞́𝐨𝐫𝐠𝐢𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐅𝐥𝐨𝐫𝐢𝐝𝐞 – 𝐚𝐮 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐬 𝐨𝐮̀ 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐝𝐞𝐫𝐧𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐞𝐧𝐜𝐨𝐫𝐞 𝐞𝐬𝐩𝐚𝐠𝐧𝐨𝐥𝐞… Au début du XVIIIe siècle, les terres situées entre la province britannique de la Caroline du Sud et de la Floride espagnole étaient convoitées par les deux puissances coloniales. L'état américain actuel de Géorgie est situé au centre de ces terres de conflits. Le fort Frederica fut construit à partir de 1736 par des colons anglais, écossais et allemands pour faciliter la conquête de la région. Le fort tient son nom de Frederick, prince de Galles. Ce nom fut ensuite féminisé pour le distinguer du Fort Frederick situé en Caroline du Sud. Entre 1739 et 1748, Espagnols et Britanniques vont s'affronter dans l'espace caribéen dans le cadre de la guerre dite de "l'oreille de Jenkins" – déclenchée par Londres pour s'ouvrir de force les immenses marchés intérieurs (et fermés à ses produits) de l'Amérique espagnole. Si la plupart des combats se concentrent dans les Antilles et autour des grands ports espagnols du Mexique et de Nouvelle-Grenade (Porto Belo, Vera Cruz, Carthagène-des-Indes, La Havane,...), des affrontements ont également lieu à la frontière de la Floride (colonie espagnole) et de la Géorgie (colonie britannique portant le nom du roi Georges) où a lieu une série d'escarmouches indécises, menées avec l'aide des tribus amérindiennes et des colons. D'ailleurs les Britanniques mettent fortement leurs colons à contribution : un contingent d'entre eux, attirés par l'or espagnol, est recruté en Virginie et au Vermont lors de l'expédition contre Carthagène des Indes. Des 3 000 qui partent, bien peu reviennent. En Amérique, les Britanniques occupent la localité de Saint-Augustine, puis repoussent la contre-attaque espagnole à la bataille de Bloody Marsh (« Marécage sanglant ») en 1742. La Floride change de mains plusieurs fois, et est finalement plus tard échangée par les Espagnols contre les villes de La Havane et de Manille, que les Britanniques réussissent à occuper à la fin de la Guerre de Sept Ans. Elle ne reste d'ailleurs britannique que de 1763 à 1781, les Espagnols commandés par le gouverneur Galvez la reprenant pendant la guerre d'indépendance américaine. Lors de la Bataille des Marais Sanglants (Battle of Bloody Marsh) et de Gully Hole Creek de 1742, les forces d'Oglethorpe parvinrent donc à repousser les assauts espagnols visant à conquérir St. Simons Island. Par la suite, les Espagnols ne mirent plus en danger la colonie et la garnison du fort fut démobilisée. La ville tomba alors dans un déclin économique et fut rapidement abandonnée. Fort Frederica devint un monument national américain le 26 mai 1936. Dès 1947, le National Park Service et l'association du Fort Frederica sponsorisèrent plusieurs fouilles archéologiques sur le site. En se basant sur des archives de l'époque, les archéologues mirent au jour des parties du fort et de la ville. Le monument a été ajouté à la liste du Registre national des lieux historiques le 15 octobre 1966. Fort Frederica est ouvert au public. 𝑱𝒆 𝒓𝒆𝒏𝒗𝒐𝒊𝒆 𝒄𝒆𝒍𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒄𝒆𝒖𝒙 𝒒𝒖𝒊 𝒔𝒐𝒖𝒉𝒂𝒊𝒕𝒆𝒓𝒂𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒆𝒏 𝒂𝒑𝒑𝒓𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆 𝒅𝒂𝒗𝒂𝒏𝒕𝒂𝒈𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒈𝒖𝒆𝒓𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒓𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝑱𝒆𝒏𝒌𝒊𝒏𝒔 – 𝒆𝒕 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒈𝒍𝒐𝒃𝒂𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒊𝒏𝒕𝒆𝒏𝒔𝒆𝒔 𝒓𝒊𝒗𝒂𝒍𝒊𝒕𝒆́𝒔 (𝒊𝒏𝒕𝒆𝒓(𝒄𝒐𝒍𝒐𝒏𝒊𝒂𝒍𝒆𝒔) 𝒆𝒕 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆𝒓𝒄𝒊𝒂𝒍𝒆𝒔 𝒒𝒖𝒊 𝒐𝒑𝒑𝒐𝒔𝒆𝒏𝒕 𝒂𝒖 𝑿𝑽𝑰𝑰𝑰𝒆 𝒔𝒊𝒆̀𝒄𝒍𝒆 𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄̧𝒂𝒊𝒔, 𝑬𝒔𝒑𝒂𝒈𝒏𝒐𝒍𝒔 𝒆𝒕 𝑩𝒓𝒊𝒕𝒂𝒏𝒏𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍'𝒆𝒔𝒑𝒂𝒄𝒆 𝒂𝒕𝒍𝒂𝒏𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒆𝒕 𝒂𝒎𝒆́𝒓𝒊𝒄𝒂𝒊𝒏 –, 𝒗𝒆𝒓𝒔 𝒍𝒆 𝒓𝒊𝒄𝒉𝒆 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒆 𝒍𝒖𝒊 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒂𝒄𝒓𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒐𝒏 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 (𝒍𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒊-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔 ⬇) ! 𝑆𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒(𝑠) : 𝑆𝑖𝑡𝑒 𝑤𝑒𝑏 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑓𝑓𝑖𝑐𝑒 𝑑𝑢 𝑡𝑜𝑢𝑟𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑠𝑢𝑛𝑖𝑒𝑛 ; 𝑊𝑖𝑘𝑖𝑝𝑒́𝑑𝑖𝑎 ; 𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝐼𝑡𝑖𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑡𝑒"