Fort Kaskaskia Historical Site
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"Le village de Kaskaskia a été fondé à l'embouchure de la rivière Kaskaskia comme un poste missionnaire des jésuites en 1703, sur des territoires des amérindiens Kaskaskias, qui faisaient partie des Illinois (du nom francisé de l'un des peuples amérindiens habitant la région). Peu après, les colons français de Québec et de Louisiane ont commencé à coloniser les terres riches et humides de la vallée du Mississippi central. Ils ont construit un village agricole autour de l'emplacement de la mission jésuite, un demi-cercle de basses terres, entouré par la rivière Kaskaskia et par le lac bras-mort du Mississippi. Kaskaskia et son fort étaient protégés par le fort de Chartres, proche du village de Prairie du Rocher, quelques kilomètres plus au nord, le long du Mississippi, à environ 80 km au sud de ce qui deviendra la grande ville de Saint-Louis. Les pionniers francophones étaient reconnus dans toute l'Amérique du Nord pour leur équité envers les Amérindiens. Cependant, comme l'établissement de Kaskaskia augmentait tout au long du xviiie siècle, les Amérindiens, membres du peuple Illinois, ont réalisé qu'il n'avait peut-être pas assez d'espace pour tout le monde. Les colons francophones ont donc construit le fort Kaskaskia en 1759. Le fort se trouvait au sommet de la falaise qui observait le village de Kaskaskia1. Le fort Kaskaskia n'est pas techniquement un fort, mais une redoute. Les colons qui habitaient le long des frontières boisées en Amérique du Nord construisaient souvent ces redoutes comme piliers de défense contre les menaces des amérindiens. Dans le cadre du traité de Paris, la France dut céder à la Grande-Bretagne en 1763 l'essentiel de la Nouvelle-France, dont le pays des Illinois, notamment Kaskaskia et sa redoute. Les Britanniques n'utilisèrent pas la redoute et laissèrent Kaskaskia presque sans défense. Kaskaskia a continué d'exister comme un village à la frontière du Mississippi où les gens parlaient français. 𝐋’𝐀𝐦𝐞́𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞, 𝐮𝐧𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐢𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐨𝐮 𝐮𝐧𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐝’𝐞𝐱𝐢𝐥 ? 𝑆𝑖 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑁𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒-𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢𝑛 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒̀𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑖𝑡𝑖𝑔𝑒́ 𝑑’𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑛𝑜𝑡𝑒𝑟 𝑞𝑢’𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑣𝑖𝑒𝑛𝑑𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑡 𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙’𝑜𝑏𝑗𝑒𝑐𝑡𝑖𝑓 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑙’𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑖𝑎𝑙𝑒 𝑔𝑙𝑜𝑏𝑎𝑙𝑒. 𝐴̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑’𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑚𝑜𝑢𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒𝑠 𝐸𝑠𝑝𝑎𝑔𝑛𝑜𝑙𝑠, 𝑙𝑎 𝑁𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒-𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑛’𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑒́𝑡𝑒́, 𝑑𝑒̀𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑏𝑢𝑡𝑠, 𝑢𝑛𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑒́𝑝𝑜𝑝𝑒́𝑒 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝑆𝑎𝑢𝑓 𝑒𝑛 1541, 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑡𝑖𝑓𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑛’𝑎𝑢𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑖𝑛𝑣𝑜𝑞𝑢𝑒́𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝐴𝑚𝑒́𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑁𝑜𝑟𝑑. 𝐶𝑒 𝑔𝑒𝑛𝑟𝑒 𝑑’𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑚𝑒𝑛𝑒́ 𝑎̀ 𝑡𝑖𝑡𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑣𝑖𝑑𝑢𝑒𝑙, 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑖𝑠, 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑢 𝑗𝑒́𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑎𝑙𝑙𝑒̀𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑓𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑒𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑖𝑒, 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒𝑠 𝑟𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠. 𝐶𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙’𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑛’𝑎 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑒́ 𝑙𝑎 𝑁𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒-𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑’𝑎𝑠𝑖𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑢𝑔𝑢𝑒𝑛𝑜𝑡𝑠 𝑜𝑢 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑠𝑠𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑒𝑢𝑥. 𝑆𝑖 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑠’𝑦 𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑑𝑒́𝑏𝑢𝑡 𝑑𝑢 𝑋𝑉𝐼𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑣𝑒𝑟𝑡𝑖𝑟. 𝐼𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙’𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑜𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑖𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐶𝑒𝑛𝑡-𝐴𝑠𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑠 (𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑢𝑟𝑟𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 1620 – 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑙𝑒́ 𝑑𝑒 𝑣𝑜𝑢̂𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑁𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒-𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́ 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑠’𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑔𝑟𝑎𝑣𝑖𝑡𝑒), 𝑝𝑟𝑒́𝑣𝑜𝑦𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑠 𝑑𝑒𝑠 « 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑎𝑡ℎ𝑜𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 » 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑖𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝐽𝑒𝑎𝑛 𝑑𝑒 𝑃𝑜𝑢𝑡𝑟𝑖𝑛𝑐𝑜𝑢𝑟𝑡 𝑒𝑛 𝐴𝑐𝑎𝑑𝑖𝑒 𝑜𝑢 𝑆𝑎𝑚𝑢𝑒𝑙 𝑑𝑒 𝐶ℎ𝑎𝑚𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙 𝑎𝑢𝑥 𝑚𝑖𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠, 𝑙𝑒 𝑓𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑜𝑝𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑧 𝑜𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑢𝑛𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑎𝑔𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑐𝑎𝑟 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑎𝑔𝑒𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑐𝑖 𝑑𝑒 𝑙’𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑎𝑚𝑏𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑚𝑒́𝑡𝑖𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒. […] 𝑪𝒆 𝒓𝒆́𝒄𝒊𝒕 𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆𝒍𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒖 𝒔𝒆𝒄𝒐𝒏𝒅 𝒄𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒎𝒂 𝒈𝒓𝒂𝒏𝒅𝒆 𝒔𝒆́𝒓𝒊𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒂𝒄𝒓𝒆́𝒆 𝒂̀ 𝒍'𝒆́𝒑𝒐𝒑𝒆́𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑵𝒐𝒖𝒗𝒆𝒍𝒍𝒆-𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆, 𝒍'𝒂𝒏𝒄𝒊𝒆𝒏𝒏𝒆 𝒄𝒐𝒍𝒐𝒏𝒊𝒆 𝒇𝒓𝒂𝒏𝒄̧𝒂𝒊𝒔𝒆 𝒅'𝑨𝒎𝒆́𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒖 𝑵𝒐𝒓𝒅. 𝑼𝒏𝒆 𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒂̀ 𝒅𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒗𝒓𝒊𝒓, 𝒑𝒂𝒓𝒎𝒊 𝒃𝒊𝒆𝒏 𝒅'𝒂𝒖𝒕𝒓𝒆𝒔, 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒐𝒏 𝒃𝒍𝒐𝒈 (𝒍𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒊-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔 ⬇) 𝑆𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒(𝑠) : 𝑊𝑖𝑘𝑖𝑝𝑒́𝑑𝑖𝑎 (ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑓𝑜𝑟𝑡) ; 𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝐼𝑡𝑖𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑡𝑒"
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