589 Bay

"Bar-restaurant festif Plats généreux inspirés des classiques italiens : pizzas napolitaines, pâtes savoureuses, risotto, burrata, charcuterie, etc. Tout est fait maison avec des produits frais Ambiance conviviale et vivante Soirées animées : karaokés, retransmissions, DJ sets, etc. "

@michon.steeve

"Un risotto très ennuyant. Un bon cocktail et un bon dessert. Et tout cela hors de prix."

@jpchemin

"Proposition culinaire incroyable et l’équipe est top. De plus la salle est belle Je recommande"

@francoisxavier.fremy

"Très belle découverte le service est chaleureux et sans chichi, les quantités sont bonnes et les assiettes savoureuses ! Petit bémol pour le fromage, dommage, à Clermont, de ne pas proposer un saint nectaire fermier plus goûteux "

@vayssatq

"brunch carte unique deux possibilité vegan/carnivore "

@jean.laurine1

"Mama Pizze et cocktail bar sympas happy hour!! "

@camille.nsx

"super cocktail et pizza délicieuse - salmone - classica"

@maximeb_fr

"Cassez vous les bobos de merde! Cadre sympa"

@noefsql

"décor très très beau vend de l'alcool fort que si on mange cour intérieure"

@sarah.fr

"Le lieu Atypique. Après cinq mois de travaux pour tirer le meilleur parti des anciennes caves Tissandier, l’endroit sert d’écrin à un concept : offrir dans un même lieu un bar pour un happy hour gourmand et un resto à la cuisine simple, mais élaborée. L’un restant indépendant de l’autre. L’immense lieu, prolongé d’un agréable patio à l’arrière, s’y prête parfaitement avec ses deux grandes salles et des espaces plus petits, dont une mezzanine, privatisables. L’ambiance est tout aussi atypique. Clairement, on a travaillé "l’atmosphère". Deux oliviers trônent devant l’immense bar. Au sol, des tapis façon persans sont négligemment disposés sur le dallage en pierre de Volvic. De l’osier au mur réchauffe la partie "jardin d’hiver" du patio. Ici, on a fait soi-même ou peut-être chiné. La vaisselle est dans le ton. L’accueil aussi. Le patron Ne dites pas à Simon Deguirard qu’il est le patron. Le chef cuisinier déteste ça. Le lieu est celui "d’ultra-passionnés" qui se connaissent, pour beaucoup, depuis longtemps. Alors, le "boss" cite tous les autres : Guilhem, Clémentine, Sylvain, Jérémy… Tous des parcours en brasserie, chez des étoilés ou en restauration rapide… "Bref, on n’a pas voulu faire ici ce que l’on n’a pas aimé ailleurs". Ils sont 16 aujourd’hui. Et après quatre mois d’ouverture, ils font évoluer (on les imagine réunis en conclave) la carte comme la formule du 589-Bay. Notamment, celle du bar. "Il fallait que l’on clarifie. Les gens n’osaient pas pousser la porte pour boire un coup et grignoter le soir". La cuisine Elle est donc double. Élaborée côté resto, et street-food côté bar. C’est ce dernier qui offre une belle alternative au resto le soir. L’idée reste de partager autour d’assiettes gourmandes. On a goûté le gravlax de flétan et leur terrine aux pruneaux/cognac. Juste un régal. Dans les deux cas, la carte est variée pour les amateurs de poisson, de viande, comme les végétariens, mais toujours resserrée. Ici, "les produits sont frais et je déteste le gaspillage. On va jusqu’à la fin de nos stocks". La viande vient de chez Durif. On le comprend. Du coup, le menu disparaît pour s’adapter au plus près avec une carte évolutive. Côté boisson, même éclectisme : une sélection de bières pression, de vins au verre, mais aussi des cocktails (y compris sans alcool) surprenants, voire à la demande, grâce à Sylvain, le mixologue du lieu. Notre coup de cœur Ce n’est pas un plat en particulier, mais ce petit plus dans chacun. Un détail surprenant, dépaysant, venu d’une épice, d’une plante, d’un assemblage atypique, d’un tour de main… "Nous avons voulu une nourriture accessible, simplifiée avec de petites notes complexes. On travaille l’acidité, la fermentation… On est capable de faire un steak frites, mais peut-être notre petit plus va se cacher dans la sauce avec un poivre particulier…""

@family.shared