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"gratuit, centre de recherche international),"
@tartosucre.ri
"Notre top 10 serait plus qu'incomplet sans cette merveille naturelle où la science fit avec Darwin un pas de géant. Cet archipel lointain, laboratoire de la théorie de l'évolution, se compose de 19 grandes îles d'origine volcanique. Chacune abrite son propre éventail de créatures, des fameuses et gentilles tortues progressant péniblement le long d'anciennes coulées de lave aux étonnants fous à pattes bleues venant déranger les iguanes qui paressent au soleil. Si des bateaux de tourisme viennent régulièrement à proximité du parc, la réglementation environnementale, relativement draconienne, préserve des espaces assez dépeuplés pour satisfaire vos fantasmes de Robinson Crusoé. L'entrée sur les îles coûte 100 $US. Vous pouvez réserver sorties de plongées et autres excursions multisports sur www.galapagosonline.com."
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"La fameuse Fondation a vu le jour en 1959 sous le patronage de l'UNESCO et de l'IUCN (Union mondiale pour la conservation de la nature). Bénéficiant de fonds de l'UNESCO et du gouvernement équatorien, la construction de la fondation a débuté en 1960 et elle fut inaugurée officiellement en 1964. Ses principales fonctions sont l'information scientifique, la conservation des espèces marines et végétales, des reptiles et oiseaux grâce à la recherche scientifique et à des actions complémentaires, le développement de programmes éducatifs, de développement agricole et d'utilisation des ressources locales, la formation d'étudiants équatoriens et de guides naturalistes pour le parc. La fondation travaille aussi, main dans la main avec la population locale, pêcheurs, agriculteurs et professionnels du tourisme. Elle participe également à l'élaboration des règlements et lois qui protègent l'archipel. Elle veille notamment à la sauvegarde des dix espèces de tortues géantes des Galápagos. L'outil opérationnel de la fondation est la station scientifique Charles Darwin établie au même endroit à Puerto Ayora. Une équipe internationale de quelque 200 chercheurs, éducateurs et volontaires oeuvre au bon déroulement de ce vaste programme. Les salles d'exposition fournissent de nombreuses explications sur les îles. Dans le centre d'élevage et les parcs, vous découvrirez les plus grosses tortues du monde, dont la fameuse tortue Galápagos, dont il ne reste aujourd'hui que 15 000 individus. Un programme de protection et d'élevage de la race se poursuit à la station Darwin : les oeufs récoltés dans les différentes îles y sont incubés et les jeunes tortues y sont élevées jusqu'à l'âge de 4 ans. Elles sont ensuite ramenées sur leur île d'origine. Vous verrez aussi des colonies d'iguanes. Il est préférable de faire la visite avec un guide. Une visite indispensable pour connaître en détail le travail des scientifiques du monde entier qui viennent ici sur les îles. Pour l'anecdote, il est assez drôle de savoir que le centre s'appelle Darwin et qu'il a laissé une trace si importante sur l'archipel alors qu'il n'aura passé au total que... cinq semaines seulement dans ces îles lors de son tour du monde ! C'est d'autant plus drôle lorsqu'on sait que des biologistes y vivent eux depuis plusieurs dizaines d'années... La saga Lonesome George. Dans une salle de conservation à température contrôlée, vous pourrez admirer la tortue solitaire George, embaumée. Il s'agit de la dernière tortue de son espèce, qui est devenue un véritable mythe dans l'archipel. George le solitaire a été découvert en 1971 sur l'île Pinta. Après étude, on découvre qu'il est le dernier spécimen de l'espèce Chelonoidis abingdonii, une des dix espèces de tortues géantes de l'archipel. Il est alors transféré à la station de recherche Charles Darwin où les scientifiques ont tout tenté pour sauvegarder l'espèce, en le faisant notamment s'accoupler avec les neuf autres sous-espèces locales de tortues géantes. Malgré plusieurs pontes, il n'en résulta finalement que des échecs à chaque tentative. Lonesome George quitta finalement ce monde en 2012, malheureusement sans descendance. On fit congeler des tissus ainsi que des gonades pour une éventuelle insémination artificielle future qui assurerait la survie de l'espèce. Aujourd'hui, grâce à la science, les espoirs sont encore permis de voir son espèce renaître un jour, mais en attendant, on peut venir admirer ici le vrai et unique George le Solitaire dont la dépouille a été embaumée. Elle est exposée au sein d'un bâtiment dédié, au coeur de la réserve et du centre scientifique. A noter que fin 2012, on a cru en la réapparition de cette espèce puisque 17 tortues repérées sur l'île Isabela présentaient un ADN similaire à notre cher George. Des études ont finalement prouvé que ces tortues n'étaient en réalité que des hybrides et qu'elles ne possédaient que 50 % des gènes de Chelonoidis abingdonii."
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