Grotte de Covadonga
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"𝑪'𝒆𝒔𝒕 𝒊𝒄𝒊, 𝒑𝒓𝒆̀𝒔 𝒅𝒆 𝒍𝒂̀ 𝒐𝒖̀ 𝒍𝒆 𝒓𝒐𝒊 𝑷𝒆́𝒍𝒂𝒈𝒆 𝒎𝒆𝒏𝒂 𝒂𝒖 𝒅𝒆́𝒃𝒖𝒕 𝒅𝒖 𝑽𝑰𝑰𝑰𝒆 𝒔𝒊𝒆̀𝒄𝒍𝒆 𝒍𝒂 𝒃𝒂𝒕𝒂𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒕𝒊𝒕𝒖𝒆𝒓𝒂 𝒍𝒆 𝒎𝒚𝒕𝒉𝒆 𝒇𝒐𝒏𝒅𝒂𝒕𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑹𝒆𝒄𝒐𝒏𝒒𝒖𝒊𝒔𝒕𝒂, 𝒒𝒖𝒆 𝒇𝒖𝒕 𝒆́𝒅𝒊𝒇𝒊𝒆́ 𝒖𝒏 𝒔𝒂𝒏𝒄𝒕𝒖𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒎𝒂𝒓𝒊𝒂𝒍 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒖𝒏𝒆 𝒈𝒓𝒐𝒕𝒕𝒆. 𝑪𝒐𝒏𝒏𝒖𝒆 𝒑𝒐𝒑𝒖𝒍𝒂𝒊𝒓𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒍𝒆 𝒏𝒐𝒎 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑺𝒂𝒏𝒕𝒊𝒏𝒂, 𝒖𝒏𝒆 𝒔𝒕𝒂𝒕𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑽𝒊𝒆𝒓𝒈𝒆 𝑴𝒂𝒓𝒊𝒆 𝒚 𝒆𝒔𝒕 𝒕𝒐𝒖𝒋𝒐𝒖𝒓𝒔 𝒉𝒐𝒏𝒐𝒓𝒆́𝒆 : 𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒆𝒔𝒕 𝒍𝒂 𝒔𝒂𝒊𝒏𝒕𝒆 𝒑𝒂𝒕𝒓𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑨𝒔𝒕𝒖𝒓𝒊𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒍'𝒖𝒏𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒔𝒆𝒑𝒕 𝒑𝒂𝒕𝒓𝒐𝒏𝒏𝒆𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝑪𝒐𝒎𝒎𝒖𝒏𝒂𝒖𝒕𝒆́𝒔 𝑨𝒖𝒕𝒐𝒏𝒐𝒎𝒆𝒔 𝒅'𝑬𝒔𝒑𝒂𝒈𝒏𝒆 ! 𝐋𝐚 𝐫𝐞́𝐠𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐀𝐬𝐭𝐮𝐫𝐢𝐞𝐬, 𝐝𝐞𝐫𝐧𝐢𝐞𝐫 𝐛𝐚𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐜𝐡𝐫𝐞́𝐭𝐢𝐞𝐧 𝐚𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐪𝐮𝐞̂𝐭𝐞 𝐦𝐮𝐬𝐮𝐥𝐦𝐚𝐧𝐞 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐜𝐡𝐮𝐭𝐞 𝐝𝐮 𝐫𝐨𝐲𝐚𝐮𝐦𝐞 𝐰𝐢𝐬𝐢𝐠𝐨𝐭𝐡 Pelayo est le fils d'un noble wisigoth nommé Favila, duc de Cantabrie. Dans certaines chroniques mozarabes, il est présenté comme un proche parent de Rodéric, dernier roi wisigoth d'Espagne. La Chronique d'Alphonse III, rédigée vers 900, le fait descendre du roi wisigoth Chindaswinthe (642-653). Il est le père de Favila des Asturies qui succède à son père comme roi des Asturies avant d'être tué par un ours, et d'Ermesinda qui se marie avec Alphonse de Cantabrie, qui succédera à son beau-frère Favila. Au temps du royaume wisigoth, Pelayo, dont l'origine aristocratique est affirmée par diverses sources, occupe dans la capitale du royaume, Tolède, la fonction de spatharius, c'est-à-dire de membre de la garde personnelle des souverains wisigothiques. Selon la Chronique d'Albelda, rédigé dans les Asturies à la fin du IXe siècle, Pelayo, « chassé de Tolède par le roi Wittiza, entra en Asturies après quoi, l'Espagne fut occupée par les Arabes. Pelayo inaugura la rébellion contre eux en Asturies… » ». En revanche, la Chronique dite de Silos relate la fuite de Pelayo, pourchassé par les Maures depuis Tolède, et sa venue chez les Asturiens avec ses compagnons, des soldats wisigoths. Après la défaite et la mort probable du roi Rodéric à la bataille de Guadalete, près de Xérès (été 711), les troupes musulmanes continuent leur progression vers le nord de l'Hispanie. En 714, Amaya, capitale du duché de Cantabrie, capitule devant l'armée de Tariq ibn Ziyad, qui met à sac la ville. Pelayo fils de Favila, duc de Cantabrie, se réfugie avec Pierre de Cantabrie dans les vallées profondes du comté de Liébana, au cœur de la Cordillère Cantabrique. Sur l'élection de Pelayo au trône asturien, les deux rédactions de la Chronique d'Alphonse III donnent des versions contradictoires. Selon le texte primitif, Pelayo aurait reçu son pouvoir des montagnards cantabres pour combattre l'occupation de Gijón par les musulmans. Selon la version secondaire de la chronique, moins fiable car interpolée pour des raisons politiques, Pelayo aurait été élu roi par les « Goths de sang royal », renouant ainsi avec la vieille tradition germanique de l'élection des souverains par les nobles, tradition qui avait été pourtant abandonnée par les Wisigoths en 633. Après le départ (ou la défaite) de Munuza, gouverneur musulman de Gijón en 722, Pelayo fonde le royaume des Asturies (englobant le duché de Cantabrie par le mariage de sa fille au fils du Duc de Cantabrie). Il fixe sa capitale dans la petite ville de Cangas de Onís non loin du comté de Liébana, et se présente comme le successeur des rois wisigoths dont le souvenir est toujours vivace dans la mémoire collective des chrétiens romanophones de la péninsule ibérique. Selon l'historien espagnol Claudio Sánchez-Albornoz, dans le royaume des Asturies, au temps du roi Pelayo et de ses premiers successeurs, il n'y avait ni cour, ni monarque, mais seulement un caudillo, un simple chef de guerre accompagné de ses guerriers cantabres (qu'on appelle asturiens à partir du IXe siècle) descendus de la montagne à son appel. Il reste plusieurs années peu actif, ignoré ou méprisé par les musulmans avant d'émerger en remportant une première victoire lors de la bataille de Covadonga en 722, qui devient le mythe fondateur de la reconquête espagnole. 𝐋𝐚 𝐠𝐫𝐨𝐭𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐂𝐨𝐯𝐚𝐝𝐨𝐧𝐠𝐚, 𝐬𝐚𝐧𝐜𝐭𝐮𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐯𝐢𝐜𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐕𝐢𝐞𝐫𝐠𝐞 𝐌𝐚𝐫𝐢𝐞 L'origine de la grotte comme lieu de culte est controversée. La tradition affirme que Pélage le Conquérant, parti à la poursuite d'un malfaisant qui se serait réfugié dans cette grotte, rencontra un ermite qui vénérait la Vierge Marie. L'ermite demanda à Pélage de pardonner au malfaisant, étant donné qu'il s'était mis sous la protection de la Vierge. Il lui dit également que viendrait un jour où lui aussi aurait besoin de s'abriter dans la Grotte. Certains historiens disent qu'il est plus vraisemblable que Pélage et les chrétiens, réfugiés dans la Grotte pour échapper aux Musulmans, avaient apporté avec eux une image de la Vierge, qu'ils laissèrent à cet endroit après leur victoire dans la Bataille de Covadonga. Les chroniques musulmanes sur la Bataille de Covadonga affirment que dans cette Grotte se concentrèrent les forces de Pélage, se nourrissant du miel laissé par les abeilles dans les fentes de la roche. Les chroniques chrétiennes considèrent que l'intervention miraculeuse de la Vierge Marie fut décisive dans la victoire pour repousser les attaques sur la Grotte. La première construction dans la sainte grotte date des temps d'Alphonse Ier le Catholique qui en action de grâces pour la victoire de Pélage face aux musulmans, ordonna l'érection d'une chapelle dédiée à la Vierge Marie, qui fut à l'origine du patronage de la Vierge de Covadonga (connue populairement sous le nom de La Santina). Outre l'autel de la Vierge, deux autres furent construits pour Saint Jean Baptiste et Saint André. Alphonse Ier fit don de cette église à l'ordre bénédictin. La grotte était recouverte de bois, jusqu'à ce qu'en 1777 un incendie détruise la sculpture originale de la Santina. La statue actuelle date du xvie siècle, et fut offerte au Sanctuaire par la Cathédrale d'Oviedo en 1778. La sculpture de la Vierge est de bois polychrome, aux traits harmonieux ; elle porte le Divin Enfant et une rose en or. En 1939, pendant la Guerre Civile, l'image de la Vierge fut mise à l'abri des profanations républicaines, à l'ambassade d'Espagne en France. La chapelle actuelle, de style roman, est l'œuvre de Luís Martínez Pidal. De nos jours, la basilique et la grotte où la représentation de la Santina est vénérée constituent toujours un important lieu de culte et de pèlerinage pour tous les habitants des Asturies. La basilique est une construction néo-romane, pourvue de deux hautes tours encadrant le portail principal. Elle renferme des œuvres de grande valeur, dont une toile de Madrazo. À l’extérieur, une statue du roi Pélage se dresse sur la place de la basilique. Une grotte accessible par un grand escalier abrite la représentation de la Santina, le tombeau du roi Pélage et celui du roi Alphonse Ier. Une chute d’eau jaillit de la grotte formant à ses pieds une source à sept jets. Sur l’autel, un tableau d’or représente la bataille de Covadonga. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑺𝒑𝒂𝒊𝒏.𝒊𝒏𝒇𝒐 ; 𝑨𝒔𝒕𝒖𝒓𝒊𝒆𝒔 𝑻𝒐𝒖𝒓𝒊𝒔𝒎𝒆 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"Une superbe basilique avec une histoire importante pour Espagne, il faut la découvrir."

@charlotte1.helie32

"Ruta por los 3 lagos. Subida en coche en verano Antea de que se cierre la carretera. Si no existe servicio de autobuses que te sube. Perros en transportines en el maletero."

@lea_peluda

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