Pyramides de Güímar
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Les Pyramides de Güímar - Monument Historique à Visiter

Les Pyramides de Güímar sont un monument historique situé sur l'île de Tenerife, en Espagne. Ces pyramides, d'une architecture énigmatique, offrent une expérience de visite fascinante. Que vous les admiriez de l'extérieur ou que vous décidiez de les explorer de plus près, cette balade vous transportera dans un univers mystérieux et captivant. Les Pyramides de Güímar sont un incontournable pour les amateurs de sightseeing et d'histoire ancienne. Ne manquez pas l'opportunité de découvrir ce site unique lors de votre prochaine visite à Tenerife.

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Ce qu'en disent les utilisateurs

"Pyramides a visiter, on peut aussi les voir de dehors"

@rafa17

"Dans le sud-est de l'île de Tenerife se trouve le Parc Ethnographique Pyramides de Güimar. Il est construit autour des six pyramides échelonnées qui existent dans cette région, d’environ quatre mètres de haut et dont les origines ne sont toujours pas claires. Dans le musée, le visiteur peut découvrir les autres pyramides du monde et les civilisations anciennes qui les ont construites. Les embarcations qu'utilisaient ces cultures ont également leur propre espace, et celui qui a été le principal moteur de ce parc a été l'explorateur Thor Heyerdahl, connu pour ses expéditions maritimes. Depuis longtemps, les archéologues pensent que les pyramides ont été bâties par des agriculteurs en entassant aux lisières de leurs champs les pierres trouvées en traçant les sillons, ce qui est une pratique ancienne aux îles Canaries. Des témoignages d'habitants et d’anciennes photographies indiquent l’existence de plusieurs pyramides sur l’île, mais les pierres qui les constituaient ont servi ultérieurement à la construction d’habitations et pour la culture des bananes. La ville de Güímar ne contient plus que six des neuf pyramides qu’elle comptait auparavant. Un acte de vente datant de 1854 de la propriété abritant les pyramides n'en fait nulle mention ; elles apparaissent seulement sur un acte de division datant de 1881. Il est donc probable qu'elles ont été construites entre ces deux dates et seraient liées à la mise en exploitation de terres pour l’élevage profitable de la cochenille teinturière, alors en expansion aux Canaries. 𝐇𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐫𝐞𝐜𝐡𝐞𝐫𝐜𝐡𝐞 En 1991, Belmonte, Aparicio et Esteban, chercheurs à l'Institut d'Astrophysique des Canaries, découvrent que le complexe principal des pyramides est orienté astronomiquement1. L'axe principal de ce complexe pointe d'un côté dans la direction du coucher du soleil le jour du solstice d'été, tandis que d'autres murs sont orientés vers le lever du soleil le jour du solstice d'hiver. Ces orientations astronomiques ne constituent pas une preuve de l'origine précolombienne des pyramides. En 1991, le célèbre explorateur, anthropologue et écrivain norvégien Thor Heyerdahl (connu pour sa traversée et ses travaux sur le Kon-Tiki) étudia les pyramides et découvrit qu’elles ne pouvaient pas être formées de pierres mises au hasard. Par exemple, les pierres situées aux angles des pyramides montrent des marques dues à l’homme, et le sol a été surélevé avant la construction des pyramides. Les pierres ne proviennent pas des champs environnants mais de roches volcaniques. Toutes les pyramides ont des escaliers, permettant l’accès aux plates-formes situées au sommet. Heyerdahl postula que les Canaries servaient de base pour les navires naviguant entre la Méditerranée et l’Amérique. La route la plus rapide entre ces deux régions passait par les Canaries. Christophe Colomb l’empruntait notamment. Heyerdahl fit la démonstration que la navigation était possible à l’époque entre l’Afrique du Nord et les Caraïbes. Il navigua entre le Maroc et la Barbade avec un bateau en Papyrus Ra II, imitation partielle d’antiques navires égyptiens. Cela pourrait infirmer la théorie selon laquelle les vaisseaux construits avant Christophe Colomb ne pouvaient pas traverser l’Atlantique. Malgré ces découvertes, Heyerdahl ne put déterminer ni l’âge des pyramides, ni l’identité de leur constructeur. Mais déjà les premières fouilles archéologiques, en 1991, ont permis de démontrer que les pyramides auraient été construites après 1800 : elles se trouveraient au-dessus d'une couche de terre, qui contient du mobilier archéologique (tessons de poterie importée) du XIXe siècle. Une datation à l'époque des Guanches est ainsi réfutée. Les raisons de la construction et la fonction de ces pyramides ne sont toujours pas identifiées. En 1998, l’accès à la zone des pyramides fut ouvert au public comme parc ethnographique. Heyerdahl fut financé par un armateur norvégien, Fred Olsen, résidant à Tenerife. Un centre d’information accueille les visiteurs en leur montrant les expéditions d’Heyerdahl, les modèles de ses bateaux (dont la représentation grandeur nature de Ra II) et ses théories à propos des pyramides. 𝐇𝐲𝐩𝐨𝐭𝐡𝐞̀𝐬𝐞 𝐦𝐚𝐜̧𝐨𝐧𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞 Il a été proposé que la forme et l’orientation des pyramides agricoles pourraient avoir été influencées par des concepts maçonniques. En effet, ce type d’organisation connut un grand essor en Espagne et aux Canaries durant le dernier tiers du XIXe siècle, et l’acquéreur de 1854, Antonio Díaz Flores, était franc-maçon. 𝐋𝐞𝐬 𝐂𝐚𝐧𝐚𝐫𝐢𝐞𝐬, 𝐯𝐞𝐬𝐭𝐢𝐠𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐛𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐥'𝐀𝐭𝐥𝐚𝐧𝐭𝐢𝐝𝐞 ? (𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒖 𝑻𝒆𝒔𝒕𝒂𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑽𝒊𝒆𝒓𝒈𝒆 𝒅'𝑨𝒏𝒕𝒐𝒏 𝑷𝒂𝒓𝒌𝒔) 𝐿𝑒𝑠 𝑖̂𝑙𝑒𝑠 𝐶𝑎𝑛𝑎𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑛𝑒 𝑡𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑜𝑖𝑠𝑒𝑎𝑢 𝑗𝑎𝑢𝑛𝑒, 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑛𝑎𝑟𝑖, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑙𝑎𝑡𝑖𝑛 𝐶𝑎𝑛𝑎𝑟𝑖𝑎𝑒 𝐼𝑛𝑠𝑢𝑙𝑎𝑒 (« 𝑖𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑐ℎ𝑖𝑒𝑛𝑠 »). 𝐶𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒́𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑎𝑢𝑥 « 𝑐ℎ𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑎𝑔𝑒𝑠 » (𝑐𝑎𝑛𝑒𝑠) 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑖̂𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑝𝑒𝑙, 𝑙𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒́, 𝑎𝑢 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑝𝑡. 𝑂𝑟, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑'𝑂𝑠𝑖𝑟𝑖𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑑𝑢 𝑐ℎ𝑖𝑒𝑛 𝑜𝑢 𝑑𝑢 𝑙𝑜𝑢𝑝 𝑒𝑛 𝐸́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑒. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢'𝑖𝑙𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒́𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝐴'𝑎𝑚𝑒𝑛𝑝𝑡𝑎ℎ, 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑢̂𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝐴𝑡𝑙𝑎𝑛𝑡𝑖𝑑𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑢𝑟𝑜𝑝𝑒́𝑒𝑛𝑠 (𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠, 𝐸𝑠𝑝𝑎𝑔𝑛𝑜𝑙𝑠, 𝑃𝑜𝑟𝑡𝑢𝑔𝑎𝑖𝑠) 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑏𝑜𝑟𝑖𝑔𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 (1,84 𝑚 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛), 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑎𝑢 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑡𝑜̂𝑡 𝑏𝑙𝑜𝑛𝑑𝑠 𝑜𝑢 𝑟𝑜𝑢𝑥. 𝐿𝑒𝑠 𝐺𝑢𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑐𝑟𝑜𝑦𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑠 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒, 𝑐𝑜𝑛𝑣𝑎𝑖𝑛𝑐𝑢𝑠 𝑑'𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑣𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑡𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑝ℎ𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑛𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑖 𝑙'ℎ𝑢𝑚𝑎𝑛𝑖𝑡𝑒́ 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒, 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒́𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑝𝑎𝑟𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡. 𝑆𝑖 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑚𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑞𝑢𝑒̂𝑡𝑒 𝑒𝑠𝑝𝑎𝑔𝑛𝑜𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑠 1478, 𝑙𝑎 𝑠𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒 𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒 𝐺𝑢𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑛𝑒́𝑎𝑛𝑡𝑖𝑒 𝑝𝑒𝑢 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑒́𝑝𝑜𝑢𝑣𝑎𝑛𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑒́𝑝𝑖𝑑𝑒́𝑚𝑖𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑢𝑡 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑣𝑎ℎ𝑖𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑠. 𝐿'𝑖̂𝑙𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐶𝑎𝑛𝑎𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑚𝑒 « 𝑇𝑒𝑛𝑒𝑟𝑖𝑓𝑒 ». 𝐿𝑒𝑠 𝐺𝑢𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑖̂𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 𝐶ℎ𝑖𝑛𝑒𝑡. 𝐸𝑢𝑥-𝑚𝑒̂𝑚𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑚𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑈𝑎'𝑛-𝐶ℎ𝑖𝑛𝑒𝑡 (« ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑣𝑜𝑙𝑐𝑎𝑛 »), 𝑑𝑒 𝑈𝑎 (« ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒 ») ; 𝑛' (𝑔𝑒́𝑛𝑖𝑡𝑖𝑓) 𝑒𝑡 𝐶ℎ𝑖𝑛 (𝑒𝑡) (« 𝑣𝑜𝑙𝑐𝑎𝑛 »). 𝐿𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑜𝑛 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙 𝑑𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑎 𝑑𝑒́𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒, 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑟𝑒𝑝𝑒́𝑟𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑚𝑖𝑙𝑖𝑡𝑢𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑛𝑔𝑢𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠. 𝐿𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑖𝑛𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑈𝑎'𝑛-𝐶ℎ𝑖𝑛𝑒𝑡 (« ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑣𝑜𝑙𝑐𝑎𝑛 ») 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑚𝑜𝑖 𝑑𝑒́𝑟𝑖𝑣𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛, 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡𝑠 : 𝑈𝑎-𝑆ℎ𝑒𝑛𝑖𝑡 𝑒𝑡 𝑈𝑎-𝑆ℎ𝑒𝑛𝑡𝑖𝑡. 𝑈𝑎-𝑆ℎ𝑒𝑛𝑖𝑡 𝑣𝑒𝑢𝑡 𝑑𝑖𝑟𝑒 « 𝑑𝑒́𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒́ 𝑜𝑢 𝑒́𝑐𝑎𝑟𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑣𝑎𝑐ℎ𝑒 » 𝑒𝑡 𝑈𝑎-𝑆ℎ𝑒𝑛𝑡𝑖𝑡, « 𝑑𝑒́𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒́ 𝑜𝑢 𝑒́𝑐𝑎𝑟𝑡𝑒́ 𝑑'𝐼𝑠𝑖𝑠 » – 𝑆ℎ𝑒𝑛𝑡𝑖𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑒́𝑝𝑖𝑡ℎ𝑒̀𝑡𝑒 𝑑'𝐼𝑠𝑖𝑠. 𝐿𝑎 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑒 𝑒́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑆ℎ𝑒𝑛 𝑜𝑢 𝑆ℎ𝑒𝑛𝑢 (« 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑟𝑑𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑙𝑎𝑐𝑒́𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑜𝑛𝑑𝑒 ») 𝑒́𝑣𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑝ℎ𝑒́𝑟𝑖𝑒, 𝑢𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑐𝑙𝑒, 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑'𝑒𝑛𝑐𝑒𝑟𝑐𝑙𝑒𝑟, 𝑑'𝑒𝑛𝑡𝑜𝑢𝑟𝑒𝑟. 𝐿𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑐𝑙𝑒 𝑜𝑢 𝑙𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑝ℎ𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑙𝑎𝑐𝑒́𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑡𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑒́𝑠 𝑎̀ 𝑙'𝐴𝑡𝑙𝑎𝑛𝑡𝑖𝑑𝑒 𝑔𝑟𝑎̂𝑐𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑃𝑙𝑎𝑡𝑜𝑛. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑣𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑠 ℎ𝑎𝑢𝑡 𝑞𝑢'𝐸𝑛𝑘𝑖 (𝑂𝑠𝑖𝑟𝑖𝑠) 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑑𝑜𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑡𝑖𝑚𝑒 𝑒𝑛 « 𝑝𝑙𝑒𝑖𝑛𝑒 𝑚𝑒𝑟 » 𝑒𝑡 𝑙'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 « 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒́ 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑛𝑎𝑡𝑡𝑒 ». 𝑈𝑎-𝑆ℎ𝑒𝑛𝑡𝑖𝑡 (« 𝑑𝑒́𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒́ 𝑜𝑢 𝑒́𝑐𝑎𝑟𝑡𝑒́ 𝑑'𝐼𝑠𝑖𝑠 ») 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑 𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑠𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑡 𝑎𝑢 𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑃𝑙𝑎𝑡𝑜𝑛, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑢 𝑇𝑖𝑚𝑒́𝑒, 𝑞𝑢𝑖 𝑒́𝑣𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑒𝑛𝑔𝑙𝑜𝑢𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑏𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝐴𝑡𝑙𝑎𝑛𝑡𝑖𝑑𝑒 𝑒𝑛 𝑒́𝑣𝑜𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 « 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑠 𝑡𝑟𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 ». 𝑈𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑖𝑛𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑑'𝑒́𝑟𝑢𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑣𝑜𝑙𝑐𝑎𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑐𝑟𝑒́𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑟𝑎𝑧 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑒́𝑒 𝑝ℎ𝑒́𝑛𝑜𝑚𝑒́𝑛𝑎𝑙. 𝐴𝑢𝑥 𝐶𝑎𝑛𝑎𝑟𝑖𝑒𝑠, 𝑙𝑒 𝑣𝑜𝑙𝑐𝑎𝑛 𝐶𝑢𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑉𝑖𝑒𝑗𝑎, 𝑠𝑢𝑟 𝑙'𝑖̂𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑎𝑙𝑚𝑎, 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒̀𝑑𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑑𝑒𝑖𝑟𝑎 (𝑑𝑒́𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛) 𝑑𝑒 10 𝑘𝑚 𝑑𝑒 𝑑𝑖𝑎𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒. 𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑣𝑎𝑙𝑢𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 500 000 𝑎𝑛𝑠 𝑑'𝑎̂𝑔𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑔𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒, 𝑟𝑖𝑒𝑛 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑖𝑡𝑒𝑟 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑟𝑒́𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑙𝑒 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑑𝑢 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑒𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝐸𝑤𝑖𝑛𝑔 𝑑𝑒 𝑙'𝑢𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝐶𝑜𝑙𝑢𝑚𝑏𝑖𝑎, 𝑑𝑎𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑣𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒 1949, 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑜𝑏𝑗𝑒𝑡 𝑙'𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑜𝑢𝑠-𝑚𝑎𝑟𝑖𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑜𝑟𝑠𝑎𝑙𝑒 𝑎𝑡𝑙𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐴 𝑙'𝑖𝑛𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑡ℎ𝑒̀𝑠𝑒𝑠 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑔𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑛𝑒, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒, 𝑔𝑟𝑎̂𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑛𝑣𝑜𝑦𝑒́𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑜𝑟𝑠𝑎𝑙𝑒 𝑎𝑡𝑙𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑒́𝑑𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟𝑒 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒 30 𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑'𝑒́𝑝𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟. 𝐶𝑒𝑙𝑎 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑑 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑛 𝑎𝑡𝑙𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑒́𝑐𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑙𝑢𝑖 𝑎𝑡𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑒 𝑟𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 100 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑'𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠... 𝑆𝑖 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑖̂𝑙𝑒 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑐̧𝑜𝑛 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑟𝑎𝑝𝑖𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑖𝑛𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑃𝑙𝑎𝑡𝑜𝑛, 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑒𝑢 𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑣𝑒́𝑐𝑢 𝑎̀ 𝑙'𝑒𝑛𝑔𝑙𝑜𝑢𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝐿𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑟𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑐𝑎𝑝𝑒́𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑝𝑢 𝑞𝑢𝑖𝑡𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑢̂ 𝑠𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑐𝑖𝑛𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑑'𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑒, 𝑒𝑡 𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑖̂𝑙𝑒𝑠 (𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑖𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒𝑠), 𝑖𝑠𝑜𝑙𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡. 𝑆'𝑖𝑙𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑑'𝐼𝑠𝑖𝑠, 𝑖𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑡𝑢𝑝𝑖𝑑𝑒 𝑑'𝑒𝑛𝑣𝑖𝑠𝑎𝑔𝑒𝑟 𝑞𝑢'𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑢 𝑒𝑛𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑠𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟 « 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒́𝑠 𝑑'𝐼𝑠𝑖𝑠 ». 𝐿𝑒 𝐿𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑀𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑙𝑎 𝑞𝑢𝑎𝑙𝑖𝑓𝑖𝑒 𝑑'𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 « 𝐷𝑖𝑣𝑖𝑛𝑒 𝑃𝑟𝑜𝑝ℎ𝑒́𝑡𝑒𝑠𝑠𝑒 » 𝑜𝑢 𝑑𝑒 « 𝐺𝑎𝑟𝑑𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝐷𝑖𝑣𝑖𝑛𝑒 ». 𝐿'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑙𝑖𝑛𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑔𝑢𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒 𝑈𝑎-𝑆ℎ𝑒𝑛𝑖𝑡, « 𝑑𝑒́𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒́ 𝑜𝑢 𝑒́𝑐𝑎𝑟𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑣𝑎𝑐ℎ𝑒 », 𝑚𝑒 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑔𝑒𝑢𝑟, 𝑐𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑐ℎ𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙 𝑑'𝐼𝑠𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑒𝑠𝑠𝑒 𝐻𝑎𝑡ℎ𝑜𝑟. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑣𝑎𝑐ℎ𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒̀𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑛𝑖𝑒 𝑜𝑠𝑖𝑟𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑒́𝑏𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝐴𝑏𝑦𝑑𝑜𝑠... 𝐼𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑒́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛 𝑆ℎ𝑒𝑛𝑖𝑡, 𝑎𝑡𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑒́ 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑣𝑎𝑐ℎ𝑒, 𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒́ 𝑒𝑛 𝐶ℎ𝑖𝑛𝑒𝑡. 𝐿𝑒 𝑣𝑜𝑙𝑐𝑎𝑛 𝑑𝑒 𝐶ℎ𝑖𝑛𝑒𝑡 (𝑙'𝑖̂𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑒𝑛𝑒𝑟𝑖𝑓𝑒) 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 𝐸𝑠ℎ𝑒𝑖𝑑𝑒 𝑒𝑛 𝑔𝑢𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒, 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑒 « 𝑒𝑛𝑓𝑒𝑟 ». 𝐶𝑒 𝑣𝑜𝑙𝑐𝑎𝑛 𝑠𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑚𝑒 « 𝑇𝑒𝑖𝑑𝑒 » 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖. 𝐴̀ 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑏𝑜𝑟𝑖𝑔𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑇𝑒𝑛𝑒𝑟𝑖𝑓𝑒, 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑥𝑖𝑚𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑢 𝑣𝑜𝑙𝑐𝑎𝑛 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒́𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑔𝑒𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑑𝑖𝑡𝑒. 𝑆𝑖 𝑐𝑒 𝑣𝑜𝑙𝑐𝑎𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑚𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑒́𝑟𝑢𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑡𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑝ℎ𝑒, 𝑖𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑏𝑎𝑝𝑡𝑖𝑠𝑒́ 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖. 𝐿𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒 𝐸𝑠ℎ𝑒𝑖𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑒́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑟 - 𝐸𝑠𝑒𝑑, 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑒𝑢𝑡 𝑑𝑖𝑟𝑒 : « 𝑡𝑟𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒𝑟 », « 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑢𝑒𝑟 », « 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑟 » ... 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝐺𝑢𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐶𝑎𝑛𝑎𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑟𝑎̂𝑛𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑒𝑛 𝐸́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑒. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑡𝑢𝑚𝑒 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒́𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑜𝑏𝑗𝑒𝑐𝑡𝑖𝑓 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒𝑟 𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑖𝑒𝑢𝑥. 𝐼𝑙𝑠 𝑚𝑜𝑚𝑖𝑓𝑖𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑚𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑎̀ 𝑙'𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝐸́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛𝑠, 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑧 « 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑖𝑡𝑖𝑓 » 𝑎̀ 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑣𝑢𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑛𝑑𝑒𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑣𝑒́𝑔𝑒́𝑡𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑢𝑛 𝑙𝑖𝑛𝑐𝑒𝑢𝑙 𝑒𝑛 𝑝𝑒𝑎𝑢𝑥. 𝐿𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑚𝑖𝑒𝑠 𝑒𝑥ℎ𝑢𝑚𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑜𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑖̂𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝐶𝑎𝑛𝑎𝑟𝑖𝑒 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑣𝑖𝑠𝑐𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑝𝑖𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒́𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑠 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠, 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑎𝑠𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑣𝑖𝑠𝑐𝑒̀𝑟𝑒𝑠 (𝑐𝑎𝑛𝑜𝑝𝑒𝑠) 𝑑𝑒 𝑙'𝐸́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑒 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒. 𝐴 𝐺𝑢𝑖𝑚𝑎𝑟, 𝑠𝑢𝑟 𝑙'𝑖̂𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑒𝑛𝑒𝑟𝑖𝑓𝑒, 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑥 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑝𝑦𝑟𝑎𝑚𝑖𝑑𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑔𝑟𝑒́𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑙𝑎𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑡𝑒𝑠-𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠, 𝑏𝑎̂𝑡𝑖𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑙𝑜𝑐𝑠 𝑑'𝑜𝑏𝑠𝑖𝑑𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑖𝑟𝑒. 𝐶𝑒𝑠 𝑒́𝑑𝑖𝑓𝑖𝑐𝑒𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑒𝑢 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑜̂𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑢 𝑐𝑒́𝑟𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑖𝑒𝑙𝑠. 𝐿𝑒𝑠 𝑝𝑦𝑟𝑎𝑚𝑖𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐶𝑎𝑛𝑎𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑀𝑒𝑥𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑑𝑢 𝑃𝑒́𝑟𝑜𝑢, 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑀𝑒́𝑠𝑜𝑝𝑜𝑡𝑎𝑚𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑚𝑜𝑑𝑒𝑠𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑎𝑞𝑞𝑎𝑟𝑎ℎ 𝑒𝑛 𝐸𝑔𝑦𝑝𝑡𝑒. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑣𝑜𝑦𝑜𝑛𝑠 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑙𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑢𝑣𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑔𝑟𝑒́ 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑐𝑒́ 𝑑𝑒 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐴𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡, 𝑎̀ 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝐶𝑎𝑛𝑎𝑟𝑖𝑒 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑟𝑒́𝑟𝑖𝑒 𝑓𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑐𝑙𝑢𝑠𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝐻𝑎𝑟𝑖𝑚𝑎𝑔𝑢𝑎𝑑𝑎𝑠, 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒𝑠 « 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑆𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙 » 𝑑𝑢 𝑃𝑒́𝑟𝑜𝑢. 𝑈𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑟𝑒́𝑟𝑖𝑒 𝑓𝑎𝑟𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒 : 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑛'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑙𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑏𝑎𝑖𝑛, 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑒̀𝑙𝑒𝑟𝑖𝑛𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒́𝑑𝑖𝑒́ 𝑎𝑢𝑥 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑎𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒𝑠 𝑜𝑢 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝑆𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑟𝑜𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑝𝑎𝑔𝑛𝑜𝑙𝑒𝑠, 𝑖𝑙 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝐻𝑎𝑟𝑖𝑚𝑎𝑔𝑢𝑎𝑑𝑎𝑠 𝑣𝑖𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑜𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑜𝑢 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑎𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑠. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑟𝑒́𝑟𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑒̂𝑡𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑒 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐷𝑒𝑛𝑑𝑒́𝑟𝑎ℎ, 𝑒𝑛 𝐸𝑔𝑦𝑝𝑡𝑒, 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑒 𝑑'𝐼𝑠𝑖𝑠-𝐻𝑎𝑡ℎ𝑜𝑟 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒́. 𝐿𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒̂𝑡𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑠 𝑑'𝐻𝑎𝑡ℎ𝑜𝑟 𝑓𝑎𝑐𝑖𝑙𝑖𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑝ℎ𝑒́𝑛𝑜𝑚𝑒̀𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑗𝑜𝑢𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑟𝑜̂𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑟𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝐻𝑎𝑟𝑖𝑚𝑎𝑔𝑢𝑎𝑑𝑎𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐶𝑎𝑛𝑎𝑟𝑖𝑒𝑠. 𝐿'𝑒́𝑡𝑦𝑚𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑡 𝐻𝑎𝑟𝑖𝑚𝑎𝑔𝑢𝑎𝑑𝑎𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑛𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒. 𝐿𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑙𝑒𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑡𝑖𝑛𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝐴𝑟𝑦 𝑀 𝐴𝑤𝑤𝑎𝑑 (𝐴𝑟𝑖 𝑀𝑎𝑢𝑎𝑑), « [𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠] 𝑣𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒̀𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑢 𝑞𝑢𝑖 𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑐𝑡𝑒́ 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 », 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝐼𝑔𝑛𝑎𝑐𝑖𝑜 𝐺𝑎𝑟𝑐𝑖𝑎 𝑅𝑒𝑦𝑒𝑠, 2006. 𝐸𝑛 2001, 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟 𝐸𝑑𝑜 𝑁𝑦𝑙𝑎𝑛𝑑 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́ 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑙 𝑎̀ 𝑣𝑜𝑢𝑙𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑜𝑢𝑣𝑟𝑎𝑔𝑒, 𝐿𝑖𝑛𝑔𝑢𝑖𝑠𝑡𝑖𝑐 𝐴𝑟𝑐ℎ𝑒𝑜𝑙𝑜𝑔𝑦, 𝑙'𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑝𝑙𝑎𝑑𝑒 𝑠𝑎ℎ𝑎𝑟𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑎𝑟𝑢𝑒. 𝑃𝑎𝑟𝑚𝑖 𝑠𝑜𝑛 𝑣𝑎𝑠𝑡𝑒 𝑐𝑎𝑡𝑎𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑎𝑙𝑒𝑐𝑡𝑒 𝑔𝑢𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑁𝑦𝑙𝑎𝑛𝑑 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑢𝑒 𝑑𝑟𝑎𝑣𝑖𝑑𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑒́𝑛𝑖𝑛𝑠𝑢𝑙𝑒 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 (𝐼𝑛𝑑𝑒). 𝑃𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑝𝑎𝑠 ? 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑣𝑒𝑛𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑡𝑒𝑟 𝑐𝑖-𝑑𝑒𝑠𝑠𝑢𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑒́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑔𝑢𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒. 𝐿𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒 𝐴𝑟𝑦 𝑀'𝐴𝑤𝑤𝑎𝑑 (𝐴𝑟𝑖 𝑀𝑎𝑢𝑎𝑑) 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑒́𝑐ℎ𝑎𝑝𝑝𝑒́ 𝑎̀ 𝑚𝑜𝑛 𝑒𝑥𝑎𝑚𝑒𝑛 𝑚𝑖𝑛𝑢𝑡𝑖𝑒𝑢𝑥. 𝐸𝑛 𝑒́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛, 𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒𝑠, 𝐴𝑟𝑖 𝑀𝑎𝑢𝑎𝑑(𝑠), 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑢𝑖𝑡 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝐴𝑟𝑖-𝑀𝑎𝑢-𝐴𝑑 : « 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙'𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡 ». 𝑈𝑛 ℎ𝑜𝑚𝑜𝑝ℎ𝑜𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑢𝑖𝑟𝑒 𝐴𝑟𝑖-𝑀𝑎𝑢-𝐴𝑑 𝑝𝑎𝑟 « 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑠𝑒́𝑒 ». 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑣𝑒𝑟𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑛 𝑓𝑖𝑛 𝑑'𝑜𝑢𝑣𝑟𝑎𝑔𝑒, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑝𝑖𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́ 𝑎̀ 𝑙'« 𝑎𝑙𝑐ℎ𝑖𝑚𝑖𝑒 » 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑃𝑦𝑟𝑎𝑚𝑖𝑑𝑒, 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑟𝑜𝑠𝑒́𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑒́𝑡𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑖𝑒́𝑒𝑠. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑪𝑺𝒂𝒍𝒖𝒕 𝑰̂𝒍𝒆𝒔 𝑪𝒂𝒏𝒂𝒓𝒊𝒆𝒔 ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒖 𝑻𝒆𝒔𝒕𝒂𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑽𝒊𝒆𝒓𝒈𝒆 𝒅'𝑨𝒏𝒕𝒐𝒏 𝑷𝒂𝒓𝒌𝒔 (𝒑𝒑. 56-60) ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"piramides de güimar cercar charco del golete "

@maria87

"hay seis pirámides escalonadas de las que no se conoce el origen a ciencia cierta y que suponen un gran misterio. Pero ya sea una acumulación de restos del siglo XIX o unos antiguos templos, lo cierto es que el yacimiento arqueológico de Güimar es espectacular y un sitio increíble que se puede visitar en Tenerife. Alrededor de las pirámides hay varios jardines, como el Jardín Venenoso, que reúne más de 70 especies vegetales venenosas; y el Jardín Sostenible, que posee flora propia de la zona."

@crisgs21

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