The Chinese Pavilion
Vous pensez qu'il y a une erreur sur ce lieu ?
Signaler une erreur
Vos retours sont importants pour nous. Si vous avez remarqué une erreur concernant ce lieu, merci de nous en informer pour que nous puissions la corriger.
Propriétaire de ce lieu ?
Nous récupérons automatiquement les informations disponibles sur votre lieu. Si jamais celles-ci ne sont pas correctes, connectez-vous gratuitement sur notre tableau de bord pour les modifier et bonus, accédez à vos statistiques détaillées.
Ce qu'en disent les utilisateurs
Autres lieux Ă voir autour
"PalacesAt the far end of the royal gardens is Kina Slott (Chinese Pavilion; adult/child 100/50 SEK, combined ticket incl royal palace 190/90 SEK; 11am–4.30pm May–Sep), a lavishly decorated Chinese pavilion built by King Adolf Fredrik as a birthday surprise for Queen Lovisa Ulrika in 1753. Restored between 1989 and 1996, it boasts one of the finest rococo chinoiserie interiors in Europe. Admission includes guided tours, which run at 11am, 1pm, and 3pm daily from June to August (fewer in May and September). Guards’ Tent On the slope below Kina Slott, the carnivalesque Guards’ Tent was erected in 1781 as quarters for the dragoons of Gustav III, but it’s not really a tent at all. The building now has displays about the gardens and Drottningholm’s Royal Guard."
@
"Palais offert par le roi Ă la reine en 1753"
@
"À l'origine, le pavillon était de moindre dimension et construit en bois. Aujourd'hui le pavillon est de pierre et entièrement visitable. Achevé en 1769, il a fait l'objet d'importantes restaurations à la fin du XX e siècle pour que le public puisse le visiter. Ce curieux bâtiment est planté à l'est des jardins de Drottningholm. Il est unique au monde. A la fin du XVIII e siècle, les échanges avec la Chine, via la compagnie des Indes orientales notamment, permirent aux monarques suédois de découvrir la beauté des porcelaines, de la soie et de goûter au thé de cet empire lointain dont ils firent un jardin d'Éden. En s'inspirant des observations de voyageurs et notamment des croquis de l'architecte William Chambers, des peintres et sculpteurs suédois créèrent des " chinoiseries " qui mêlent aux influences asiatiques et aux symboles souvent faussés de la Chine impériale des ornements typiquement européens et suédois. La pièce verte ou chambre des plaisirs. Ornée de représentations de la nature et de scènes de personnages chinois se relaxant, couverte d'une peinture d'un vert pâle, cette pièce donnant sur les jardins était, fenêtres ouvertes, un lieu où l'on s'adonnait aux plaisirs de la vie : lecture, musique, dégustation de thé. Les pièces jaunes et rouges. Meublées et constituées selon les dessins de William Chambers, ces deux pièces sont presque jumelles. Elles contiennent des signes de calligraphie chinoise qui ne veulent... rien dire."
@
"Pure rococo ; for queen ulrika of Sweden in the 1750’"
@
"A l'origine, le pavillon était de moindre dimension et construit en bois, cadeau surprise du roi Adolf Erik à sa reine Lovisa Ulrika pour ses 33 ans. Aujourd'hui le pavillon est de pierre et entièrement visitable. Achevé en 1769, il a fait l'objet d'importantes restaurations à la fin du XX e siècle pour que le public puisse le visiter. Ce curieux bâtiment est planté à l'est des jardins de Drottningholm. Il est unique au monde : résultat de circonstances culturelles et commerciales que nul n'eut pu prévoir. A la fin du XVIII e siècle, les échanges avec la Chine, via la compagnie des Indes orientales notamment, permirent aux monarques suédois de découvrir la beauté des porcelaines, de la soie et de goûter au thé de cet empire lointain dont ils firent un jardin d'Eden. En s'inspirant des observations de voyageurs et notamment des croquis de l'architecte William Chambers, des peintres et sculpteurs suédois créèrent des " chinoiseries " qui mêlent aux influences asiatiques et aux symboles souvent faussés de la Chine impériale des ornements typiquement européens et suédois. Le résultat est donc spectaculaire, avec des détails parfois curieux : les dragons voulus asiatiques ont des faciès de gargouilles médiévales... La pièce verte ou chambre des plaisirs . Ornée de représentations de la nature et de scènes de personnages chinois se relaxant, couverte d'une peinture d'un vert pâle, cette pièce donnant sur les jardins était, fenêtres ouvertes, un lieu où l'on s'adonnait aux plaisirs de la vie : lecture, musique, dégustation de thé. Les pièces jaune et rouge . Meublées et constituées selon les dessins de William Chambers, ces deux pièces sont presque jumelles. Elles contiennent des signes de calligraphie chinoise qui ne veulent... rien dire. Les artistes suédois ont simplement copié des fragments de textes afin de donner la touche asiatique aux pièces. Certains personnages représentés sont les exactes copies des croquis de Chambers. Le rococo et son or est parfois mêlé, un peu de façon obscène, à la simplicité des chinoiseries."
@
"mooi park met twee paleizen (ook een barok paleis) "
@
"The most prominent example in Europe of a chinese inspired pavillon. "
@