Cathédrale Saint-Bénigne de Dijon
Cathédrale Saint-Bénigne de Dijon - Histoire, Visite et Curiosités
La Cathédrale Saint-Bénigne de Dijon, initialement une basilique dédiée à saint Bénigne, est un monument chargé d'histoire. Construite au VIe siècle sous l'autorité de saint Grégoire, elle a connu plusieurs transformations au fil des siècles. D'abord délabrée, elle fut reconstruite en une basilique carolingienne plus vaste par l'évêque Isaac vers 870. Au XIe siècle, l'abbé Guillaume de Volpiano entreprit la construction d'une troisième basilique de style lombard. Malgré les épreuves, notamment les incendies et les pillages de la Révolution, la cathédrale a été restaurée à plusieurs reprises. Aujourd'hui, elle offre aux visiteurs la possibilité de découvrir des curiosités uniques, telles que la représentation de la reine Pédauque sur le portail. Ne manquez pas de contempler son toit vernissé, symbole de sa renommée. Planifiez votre visite pour explorer ce monument emblématique, mêlant les styles romans, gothiques et lombards, et plongez dans l'histoire fascinante de la Cathédrale Saint-Bénigne de Dijon lors d'une balade inoubliable.
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Histoire Itinérante
@histoireitinerante
1924followers
7038places
"Une première basilique, dédiée à saint Bénigne (martyrisé vers la fin du IIe siècle), est construite au VIe siècle sous l'autorité de saint Grégoire. Délabrée et insuffisante pour l'afflux des pèlerins venus se recueillir sur la tombe du martyr, l'évêque Isaac fit bâtir une basilique carolingienne plus vaste (vers 870), tout en imposant aux moines de l'abbaye la règle austère de saint Benoît. Au début du XIe siècle, l'italien Guillaume de Volpiano est nommé abbé de Saint-Bénigne. Il s'engage dans la construction d'une troisième basilique dite «lombarde» (car inspirée des églises de Lombardie). Après l'incendie de 1137 qui détruisit presque toute la ville, le nouvel abbé, Pierre de Genève, fait rebâtir la partie de la basilique qui a le plus souffert en église romane. Église que le destin frappa en 1271 quand une tour s'écroula sur elle. On réussit en quelques années à recueillir les fonds nécessaires à l'édification d'une basilique gothique. Le chœur fut construit entre 1280 et 1287, le reste achevé en un demi-siècle. Mais l'état du bâtiment se dégrade dangereusement par manque d'entretien. Coup supplémentaire : les pillages de la Révolution la vident complètement (hormis l'orgue du XVIIIe). En 1819, une commission en recommande même la destruction. Malgré tout, des travaux de restauration s'engagent en 1830. Suivis d'une nouvelle campagne en 1884 sous la responsabilité de Charles Suisse. Depuis 2003, avec la création d'un nouvel archevêché (région de Bourgogne), Saint-Bénigne est devenue cathédrale métropolitaine. 𝐋𝐚 𝐜𝐫𝐲𝐩𝐭𝐞 𝐞𝐭 𝐬𝐚 𝐫𝐞𝐦𝐚𝐫𝐪𝐮𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐫𝐨𝐭𝐨𝐧𝐝𝐞, 𝐮𝐥𝐭𝐢𝐦𝐞 𝐭𝐞́𝐦𝐨𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐥'𝐞́𝐠𝐥𝐢𝐬𝐞 𝐚𝐛𝐛𝐚𝐭𝐢𝐚𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐦𝐢𝐭𝐢𝐯𝐞 La cathédrale est implantée sur le site d’une nécropole de la fin de l’Antiquité et du haut Moyen Âge, installée à l’ouest du castrum de Divio, à l’origine de Dijon. L’importance et le développement de cet espace funéraire émerge au milieu du VIe siècle lorsque Grégoire de Tours relate la découverte de la tombe de saint Bénigne (martyr vers 179) par l’évêque de Langres, au-dessus de laquelle ce dernier érige une première basilique. Une abbaye est ensuite fondée en 871. C’est vers l’an Mil que Guillaume de Volpiano arrive à l’abbaye afin de la réformer pour une plus stricte observation de la règle bénédictine. Cette réforme s’accompagne d’un projet de reconstruction de l’église abbatiale. Les travaux débutent en 1001 et un nouvel édifice avec sa rotonde, dont les vestiges sont mis en lumière aujourd’hui, est érigé. La rotonde est la pièce maîtresse de l’église abbatiale. Raoul Glaber, moine de l’an mil, la décrit comme « la plus admirable des basiliques de toutes les Gaules et de proportions incomparables ». L’église s’étend sur deux niveaux et la rotonde, qui en est le cœur, sur trois. La rotonde doit sa singularité à ses différentes références architecturales, parmi lesquelles le Panthéon de Rome : sa forme et son oculus, ouverture circulaire au milieu de la voûte, en sont directement inspirés. Ainsi le choix du 13 mai pour sa consécration en 1018, fait écho au 13 mai 609, date à laquelle le Panthéon de Rome, alors temple antique, devient une église consacrée à la Vierge Marie. Le premier niveau de la rotonde, qui constitue l’actuelle crypte, est constitué de 48 colonnes qui forment deux rangées circulaires. Elle donne à l’ouest, du côté de l’église, sur l’emplacement du tombeau de saint Bénigne et à l’est sur la chapelle Saint-Jean-Baptiste. Le deuxième niveau, dédié à la Vierge Marie, également composé de 48 colonnes, était éclairé par 11 baies. Enfin, le troisième niveau, dédié à la Sainte Trinité, était constitué de 36 colonnes et percé de fenêtres. Deux escaliers, en forme d’hélices (ou hélicoïdaux), permettaient de rejoindre les différents étages. Placés de chaque côté de la rotonde, leurs vestiges, mis au jour lors du chantier, sont aujourd’hui visibles. La rotonde témoignait également d’un riche décor sculpté. Les chapiteaux conservés sont ainsi parmi les premiers à avoir représenté des figures humaines dans l’art roman. Certaines mosaïques au décor riche nous sont parvenues : elles ornent encore en partie le pourtour du tombeau de saint Bénigne. 𝐋’𝐞́𝐠𝐥𝐢𝐬𝐞 𝐠𝐨𝐭𝐡𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐮 𝐗𝐈𝐈𝐈𝐞 𝐬𝐢𝐞̀𝐜𝐥𝐞 Suite à plusieurs effondrements et incendies successifs, l’église romane est finalement détruite. Une église gothique, qui correspond à l’actuelle cathédrale, est construite à partir de 1281. La rotonde est alors conservée mais ne communique plus directement avec le chœur de l’église. Elle n’est plus que rarement utilisée pour le culte, en particulier à partir de 1288, date à laquelle les reliques de saint Bénigne sont transférées dans l’église. 𝐋𝐚 𝐜𝐚𝐭𝐡𝐞́𝐝𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐧 𝟏𝟕𝟗𝟐 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐝𝐞𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐫𝐨𝐭𝐨𝐧𝐝𝐞 À la Révolution, l’abbaye est démantelée et l’église devient la cathédrale du diocèse de Dijon récemment institué. La rotonde, jugée vétuste, est détruite en 1792 et son premier niveau comblé avec du remblai. Ce n’est qu’au milieu du XIXe siècle, dès 1843, puis surtout lors des travaux pour la construction de la sacristie à partir de 1858, que la partie inférieure de la rotonde est redécouverte. Rapidement, des fouilles et travaux de restauration de la rotonde sont réalisés sous la direction de Prosper Mérimée, alors inspecteur des monuments historiques. Plusieurs campagnes de fouilles et restauration vont se succéder. En 1867, la construction de la sacristie est finalisée mais la restauration de la rotonde, dont les colonnes ont été dégagées, est laissée inachevée. L’eau s’infiltre, des décombres subsistent. En 1879, des travaux d’urgence sont entrepris mais ce n’est qu’en 1890-1891, que la restauration est finalisée avec notamment l’intégration de dispositifs d’assainissement. Parmi de belles curiosités, on pouvait aussi voir jusqu'au XVIIe siècle sur le portail de la cathédrale une représentation de la reine Pédauque, épouse du roi wisigoth Auric et figure de la mythologie toulousaine, avec sa célèbre patte d'oie (Pédauque venant de l'occitan pé qui veut dire pied et auco qui signifie oie). 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑫𝒊𝒋𝒐𝒏 𝑻𝒐𝒖𝒓𝒊𝒔𝒎𝒆 ; 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑫𝑹𝑨𝑪 𝒅𝒆 𝑩𝒐𝒖𝒓𝒈𝒐𝒈𝒏𝒆-𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒉𝒆-𝑪𝒐𝒎𝒕𝒆́ ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"


BALADES À VÉLO BOURGOGNE
@petitfute
11followers
210places
"La cathédrale Saint-Bénigne fait partie des très beaux monuments à visiter sur Dijon, située tout près de la gare, elle jouxte le Musée Archéologique. L'édifice réunit un ensemble de plusieurs trésors architecturaux à découvrir ou redécouvrir. La toute première construction de type roman qui fut construite en 535, est dédiée au martyr chrétien saint Bénigne. La rotonde, autrefois sur trois étages, située dans la crypte est actuellement en travaux. Dès sa restauration terminée, le public pourra admirer de nouveau son pavement en marbres colorés et ses superbes chapiteaux sculptés. Sa date de réouverture n'est pas encore connue. A la demande de l'évêque Isaac fut ensuite bâtie au IX e siècle une basilique carolingienne. C'est en 1001 que Guillaume de Volpiano entame des travaux pour en faire une basilique dite lombarde. Au cours des époques, le sort s'acharne et elle subit, saccage à la révolution, incendie, écroulement d'une tour. A partir de 1272 débutera alors sa reconstruction en style gothique pour laisser place à celle que l'on connaît aujourd'hui. Avec sa façade aux contreforts massifs et saillants, ses deux grosses tours octogonales couvertes de toits coniques en tuiles multicolores, sa triple nef gothique bourguignon. De son passé roman, elle n'a conservé que son portail massif. La cathédrale et sa crypte sont classées aux monuments historiques depuis le milieu du XIX e siècle. A noter également que la cathédrale dispose d'un magnifique carillon composé de 63 cloches. Un lieu à voir et à entendre !"
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"Une première basilique, dédiée à saint Bénigne (martyrisé vers la fin du IIe siècle), est construite au VIe siècle sous l'autorité de saint Grégoire. Délabrée et insuffisante pour l'afflux des pèlerins venus se recueillir sur la tombe du martyr, l'évêque Isaac fit bâtir une basilique carolingienne plus vaste (vers 870), tout en imposant aux moines de l'abbaye la règle austère de saint Benoît. Au début du XIe siècle, l'italien Guillaume de Volpiano est nommé abbé de Saint-Bénigne. Il s'engage dans la construction d'une troisième basilique dite «lombarde» (car inspirée des églises de Lombardie). Après l'incendie de 1137 qui détruisit presque toute la ville, le nouvel abbé, Pierre de Genève, fait rebâtir la partie de la basilique qui a le plus souffert en église romane. Église que le destin frappa en 1271 quand une tour s'écroula sur elle. On réussit en quelques années à recueillir les fonds nécessaires à l'édification d'une basilique gothique. Le chœur fut construit entre 1280 et 1287, le reste achevé en un demi-siècle. Mais l'état du bâtiment se dégrade dangereusement par manque d'entretien. Coup supplémentaire : les pillages de la Révolution la vident complètement (hormis l'orgue du XVIIIe). En 1819, une commission en recommande même la destruction. Malgré tout, des travaux de restauration s'engagent en 1830. Suivis d'une nouvelle campagne en 1884 sous la responsabilité de Charles Suisse. Depuis 2003, avec la création d'un nouvel archevêché (région de Bourgogne), Saint-Bénigne est devenue cathédrale métropolitaine. 𝐋𝐚 𝐜𝐫𝐲𝐩𝐭𝐞 𝐞𝐭 𝐬𝐚 𝐫𝐞𝐦𝐚𝐫𝐪𝐮𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐫𝐨𝐭𝐨𝐧𝐝𝐞, 𝐮𝐥𝐭𝐢𝐦𝐞 𝐭𝐞́𝐦𝐨𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐥'𝐞́𝐠𝐥𝐢𝐬𝐞 𝐚𝐛𝐛𝐚𝐭𝐢𝐚𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐦𝐢𝐭𝐢𝐯𝐞 La cathédrale est implantée sur le site d’une nécropole de la fin de l’Antiquité et du haut Moyen Âge, installée à l’ouest du castrum de Divio, à l’origine de Dijon. L’importance et le développement de cet espace funéraire émerge au milieu du VIe siècle lorsque Grégoire de Tours relate la découverte de la tombe de saint Bénigne (martyr vers 179) par l’évêque de Langres, au-dessus de laquelle ce dernier érige une première basilique. Une abbaye est ensuite fondée en 871. C’est vers l’an Mil que Guillaume de Volpiano arrive à l’abbaye afin de la réformer pour une plus stricte observation de la règle bénédictine. Cette réforme s’accompagne d’un projet de reconstruction de l’église abbatiale. Les travaux débutent en 1001 et un nouvel édifice avec sa rotonde, dont les vestiges sont mis en lumière aujourd’hui, est érigé. La rotonde est la pièce maîtresse de l’église abbatiale. Raoul Glaber, moine de l’an mil, la décrit comme « la plus admirable des basiliques de toutes les Gaules et de proportions incomparables ». L’église s’étend sur deux niveaux et la rotonde, qui en est le cœur, sur trois. La rotonde doit sa singularité à ses différentes références architecturales, parmi lesquelles le Panthéon de Rome : sa forme et son oculus, ouverture circulaire au milieu de la voûte, en sont directement inspirés. Ainsi le choix du 13 mai pour sa consécration en 1018, fait écho au 13 mai 609, date à laquelle le Panthéon de Rome, alors temple antique, devient une église consacrée à la Vierge Marie. Le premier niveau de la rotonde, qui constitue l’actuelle crypte, est constitué de 48 colonnes qui forment deux rangées circulaires. Elle donne à l’ouest, du côté de l’église, sur l’emplacement du tombeau de saint Bénigne et à l’est sur la chapelle Saint-Jean-Baptiste. Le deuxième niveau, dédié à la Vierge Marie, également composé de 48 colonnes, était éclairé par 11 baies. Enfin, le troisième niveau, dédié à la Sainte Trinité, était constitué de 36 colonnes et percé de fenêtres. Deux escaliers, en forme d’hélices (ou hélicoïdaux), permettaient de rejoindre les différents étages. Placés de chaque côté de la rotonde, leurs vestiges, mis au jour lors du chantier, sont aujourd’hui visibles. La rotonde témoignait également d’un riche décor sculpté. Les chapiteaux conservés sont ainsi parmi les premiers à avoir représenté des figures humaines dans l’art roman. Certaines mosaïques au décor riche nous sont parvenues : elles ornent encore en partie le pourtour du tombeau de saint Bénigne. 𝐋’𝐞́𝐠𝐥𝐢𝐬𝐞 𝐠𝐨𝐭𝐡𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐮 𝐗𝐈𝐈𝐈𝐞 𝐬𝐢𝐞̀𝐜𝐥𝐞 Suite à plusieurs effondrements et incendies successifs, l’église romane est finalement détruite. Une église gothique, qui correspond à l’actuelle cathédrale, est construite à partir de 1281. La rotonde est alors conservée mais ne communique plus directement avec le chœur de l’église. Elle n’est plus que rarement utilisée pour le culte, en particulier à partir de 1288, date à laquelle les reliques de saint Bénigne sont transférées dans l’église. 𝐋𝐚 𝐜𝐚𝐭𝐡𝐞́𝐝𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐧 𝟏𝟕𝟗𝟐 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐝𝐞𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐫𝐨𝐭𝐨𝐧𝐝𝐞 À la Révolution, l’abbaye est démantelée et l’église devient la cathédrale du diocèse de Dijon récemment institué. La rotonde, jugée vétuste, est détruite en 1792 et son premier niveau comblé avec du remblai. Ce n’est qu’au milieu du XIXe siècle, dès 1843, puis surtout lors des travaux pour la construction de la sacristie à partir de 1858, que la partie inférieure de la rotonde est redécouverte. Rapidement, des fouilles et travaux de restauration de la rotonde sont réalisés sous la direction de Prosper Mérimée, alors inspecteur des monuments historiques. Plusieurs campagnes de fouilles et restauration vont se succéder. En 1867, la construction de la sacristie est finalisée mais la restauration de la rotonde, dont les colonnes ont été dégagées, est laissée inachevée. L’eau s’infiltre, des décombres subsistent. En 1879, des travaux d’urgence sont entrepris mais ce n’est qu’en 1890-1891, que la restauration est finalisée avec notamment l’intégration de dispositifs d’assainissement. Parmi de belles curiosités, on pouvait aussi voir jusqu'au XVIIe siècle sur le portail de la cathédrale une représentation de la reine Pédauque, épouse du roi wisigoth Auric et figure de la mythologie toulousaine, avec sa célèbre patte d'oie (Pédauque venant de l'occitan pé qui veut dire pied et auco qui signifie oie). 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑫𝒊𝒋𝒐𝒏 𝑻𝒐𝒖𝒓𝒊𝒔𝒎𝒆 ; 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑫𝑹𝑨𝑪 𝒅𝒆 𝑩𝒐𝒖𝒓𝒈𝒐𝒈𝒏𝒆-𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒉𝒆-𝑪𝒐𝒎𝒕𝒆́ ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@histoireitinerante
"La cathédrale. Pas forcément la peine de rentrer mais célèbre pour son toit vernissé"
@paulserveau
"Abbazia di Saint-Benigne di Digione — Guglielmo da Volpiano fa costruire la rotonda a 3 ordini collegata alla chiesa (nel XI secolo) di cui resta solo l’ordine inferiore = cripta — qui sono presenti capitelli dal forte arcaismo con volti e mani nel pulvino (ripresi forse da modelli carolingi-ottoniani che avranno grande successo nel gotico)."
@caterinarimensi96
"Église gothique du 13ème siècle, il s'agit de l'édifice le plus haut de la ville."
@pandore
"Stage rempart avril-mai 2019. "
@brbrgml