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"Sur 85 temples que Khajuraho comptait à l’époque, il n’en subsiste que 22. Ils constituent néanmoins un trésor du patrimoine historique de l’Inde du Nord, aujourd'hui classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. On distingue trois groupes (ouest, est et sud) de sanctuaires hindouistes ou jaïns. Ces monuments se distinguent par la profusion de bas-reliefs érotiques, mais également de scènes de vie quotidienne du Xe et XIe siècle. Les sculptures surprennent non seulement par leurs représentations peu communes, mais également par leur pureté et leur finesse inouïes ! 𝐋'𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐊𝐡𝐚𝐣𝐮𝐫𝐚̂𝐡𝐨 A l’origine, il y avait, dans cette capitale, plus de quatre-vingt temples mais il n’en reste que vingt-cinq. Ces structures sont des temples à sikhara (tour, sommet de montagne), terme qui évoque le mont Kailāsa, séjour de Shiva ou le mont Meru pour les autres obédiences. Un sikhara couronne la cella (garbhagrha) de tous les temples ; cette tour est précédée d’une ou plusieurs salles à piliers, (mandapa, mahāmandapa) et d’un porche (ardhamandapa). Le sikhara est généralement attribué à l’architecture du Nord en opposition au prāsāda, toiture en terrasses étagées de l’Inde du Sud. Cependant on voit sur certains sites la juxtaposition des deux types de couverture comme à Pattadakal ou certains temples à sikhara dont le mandapa est couvert d’un prāsāda. Les superstructures sont vides et des trappes percées dans les plafonds permettent un accès pour l’entretien. La particularité des temples de Khajurāho est qu’ils sont dépourvus de murs d’enceinte et construits sur de hautes terrasses monumentales, pouvant être communes à plusieurs temples, qui délimitent l’espace sacré, probablement enserrées dans le tissu urbain aujourd’hui disparu. Une autre caractéristique est la présence d’escaliers qui se prolongent à l’intérieur du bâtiment. En fait, ces éléments sont hérités de l’architecture des Gurjara-Pratihāra. Les architectes de Khajurāho ont innové en perçant de larges porches ouverts sur des balcons en saillie qui laissent la lumière pénétrer à l’intérieur et favorisent l’aération, créant ainsi un lien avec l’extérieur. Les temples sont en forme de croix ou de croix de lorraine et le couloir de circumambulation intérieur est ouvert sur les balcons latéraux et celui qui se trouve derrière la cella. Au cours du temps les sikhara vont devenir de plus en plus complexes avec un jeu de demi-sikhara qui vont s’étager formant contreforts, puis une multitude de demi-sikhara, disposés en cascade jusque dans les angles. Le Kandāriyā Mahādeva (premier tiers du XIe siècle) marque l’apogée de l’architecture des Candella. Différentes religions sont représentées dans les temples : la première est le visnouisme qui était la religion officielle des Gurjara-Pratihāra, puis les souverains Candella vont particulièrement favoriser Shiva. Surya a aussi un temple et le jaïnisme, pratiqué par les commerçants, est aussi bien représenté par plusieurs temples. 𝐃𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐥𝐞𝐬 𝐞́𝐫𝐨𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐥'𝐚𝐫𝐜𝐡𝐢𝐭𝐞𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐫𝐞𝐦𝐚𝐫𝐪𝐮𝐚𝐛𝐥𝐞… ! Remarquable pour son architecture considérée comme la plus aboutie de l’Inde médiévale, Khajurāho l’est tout autant pour son extraordinaire décor sculpté couvrant la plupart des façades des temples et plus rarement leurs intérieurs. La plupart des sculptures étaient exécutées sur le temple même. On distingue les divinités et les léogriffes qui suivent les canons de l’art hindou, de tout un ensemble de figures féminines gracieuses (devatas, apsaras, surasundari, etc.). Concernant ces figures lascives plusieurs interprétations ont cours mais il ne faut pas oublier que l’art indien illustre exclusivement les textes. Il se trouve que dans la province voisine, l’Orissa, des textes décrivent de semblables jeunes femmes, donnent leurs noms et précisent leurs positions. Par leur beauté et leur sensualité elles écartent les puissances maléfiques. Il n’est donc pas exclu qu’à Khajurāho, les jeunes femmes qui rentrent parfaitement dans ces critères soient ainsi identifiables : celle qui tient un miroir représente Darpani, celle qui joue avec un perroquet, Shukasarika, celle qui s’ôte une épine du pied, Shubhagamini, etc. Un autre groupe de sculptures figure des couples amoureux (mithuna), ces couples, très chastes, sont là aussi pour protéger le lieu et trouvent leur origine déjà à l’entrée des temples au Ve siècle. Des reliefs narratifs sont généralement situés sur les soubassements du podium mais aussi les soubassements du temple. Il se pourrait que ces reliefs illustrent des textes qui ont disparu, poèmes épiques ou relations historiques. On constate une très grande présence de soldats, ce qui est logique dans un royaume militarisé, mais certaines scènes présentent un caractère grivois ou peut-être même satirique et représentent des gens du commun. Il y a une inégalité dans le rendu des chairs et celui des bijoux qui figurent de vrais bijoux (chaînettes, anneaux, brassards, bracelets et boucles d’oreilles, en majorité indifféremment portés par les femmes et les hommes) ainsi que dans le traitement des proportions des corps (certains ateliers peuvent les allonger et d’autres donner plus d’importance aux visages qui sont assez stéréotypés). Un ensemble de scènes érotiques garnit les façades des temples. Ces reliefs, même si nous ne possédons pas de textes, pourraient être interprétés comme l’union de l’âme et de la divinité. Certains reliefs érotiques peuvent avoir un sens satirique mais ne sont pas explicables dans le contexte des temples hindous. Un autre groupe rassemble des reliefs érotiques de grande taille qui se trouvent toujours à la jonction de la cella et du mandapa, jonction entre la zone fréquentée par les dévots et celle exclusivement réservée au clergé, passage entre deux mondes. L’emplacement sous-entend un contenu hautement sacré. L’interprétation de ces scènes restent conjoncturelle car elles figurent des positions très explicites qui peuvent être rapprochées de pratiques de sectes shivaïtes ridiculisées dans une fameuse pièce de théâtre d’alors ou dans un conte populaire contemporain. 𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐃𝐢𝐞𝐮 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐥’𝐚𝐦𝐨𝐮𝐫 : 𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐜𝐮𝐥𝐩𝐭𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐞́𝐫𝐨𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐊𝐡𝐚𝐣𝐮𝐫𝐚𝐡𝐨 (𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝑪𝒐𝒏𝒏𝒂𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑨𝒓𝒕𝒔) 𝐿𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢’𝑒𝑛 1838, 𝑙’𝑖𝑛𝑔𝑒́𝑛𝑖𝑒𝑢𝑟 𝑏𝑟𝑖𝑡𝑎𝑛𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑇. 𝑆. 𝐵𝑢𝑟𝑡 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐾ℎ𝑎𝑗𝑢𝑟𝑎ℎ𝑜, 𝑒𝑛𝑓𝑜𝑢𝑖𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑒́𝑔𝑒́𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑙𝑢𝑥𝑢𝑟𝑖𝑎𝑛𝑡𝑒, 𝑖𝑙 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑠𝑎 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑎 𝑟𝑒́𝑝𝑟𝑜𝑏𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑛𝑎𝑙, 𝑖𝑙 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑙𝑒 « 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑡𝑟𝑒̂𝑚𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑑𝑒́𝑐𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑐ℎ𝑜𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑗’𝑎𝑖 𝑒́𝑡𝑒́ ℎ𝑜𝑟𝑟𝑖𝑓𝑖𝑒́ 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒𝑠 ». 𝐿’𝑒𝑥ℎ𝑖𝑏𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑖𝑚𝑝𝑢𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑’𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒́𝑏𝑟𝑖𝑑𝑒́𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑑’𝑢𝑛 𝑒́𝑑𝑖𝑓𝑖𝑐𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́ 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑐𝑒𝑟𝑡𝑒𝑟 𝑢𝑛 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑋𝐼𝑋𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑎𝑛𝑔𝑙𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑒𝑠𝑡. 𝐴𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑’ℎ𝑢𝑖, 𝑠𝑖 𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́ 𝑠𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑒𝑓𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑟𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑛𝑢𝑠 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑎 𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒́ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑎𝑖𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒, 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑑𝑢 𝑛’𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑙𝑒𝑣𝑒́ 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑒́𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑎𝑐𝑟𝑜𝑏𝑎𝑡𝑖𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑥𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠. 𝐿’ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑎𝑐𝑢𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛 𝑟𝑒𝑣𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑠𝑡𝑒́𝑒. 𝑆𝑖𝑡𝑢𝑒́𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙’𝐸́𝑡𝑎𝑡 𝑑𝑢 𝑀𝑎𝑑ℎ𝑦𝑎 𝑃𝑟𝑎𝑑𝑒𝑠ℎ, 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝐵𝑢𝑛𝑑𝑒𝑙𝑘ℎ𝑎𝑛𝑑 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑚𝑖𝑛𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑖𝑡𝑖𝑒́ 𝑑𝑢 𝑋𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑦𝑛𝑎𝑠𝑡𝑖𝑒 𝑙𝑜𝑐𝑎𝑙𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝐶ℎ𝑎𝑛𝑑𝑒𝑙𝑎, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑛𝑒 𝑐𝑒̀𝑑𝑒𝑟𝑎 𝑞𝑢’𝑎𝑢 𝑑𝑒́𝑏𝑢𝑡 𝑑𝑢 𝑋𝐼𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑚𝑢𝑠𝑢𝑙𝑚𝑎𝑛𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑏𝑎̂𝑡𝑖𝑠 𝑎̀ 𝐾ℎ𝑎𝑗𝑢𝑟𝑎ℎ𝑜, 𝐿𝑎𝑙𝑎𝑛𝑗𝑎𝑟𝑎 𝑒𝑡 𝑀𝑎ℎ𝑜𝑏𝑎 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑚𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑙’𝐼𝑛𝑑𝑒 𝑚𝑒́𝑑𝑖𝑒́𝑣𝑎𝑙𝑒. 𝐴̀ 𝐾ℎ𝑎𝑗𝑢𝑟𝑎ℎ𝑜, 𝑝𝑎𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒 85 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑒́𝑟𝑖𝑔𝑒́𝑠, 𝑑𝑜𝑛𝑡 22 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑏𝑠𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑡. 𝑄𝑢’𝑖𝑙𝑠 𝑠𝑜𝑖𝑒𝑛𝑡 ℎ𝑖𝑛𝑑𝑜𝑢𝑠 𝑜𝑢 𝑗𝑎𝑖̈𝑛𝑠, 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑐̧𝑢𝑠 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑢𝑛 𝑠𝑐ℎ𝑒́𝑚𝑎 𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 : 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑏𝑎𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠’𝑒́𝑙𝑒̀𝑣𝑒 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑎̂𝑡𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑙𝑒 𝑗𝑎𝑛𝑔ℎ𝑎, 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑒́ 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑑𝑜̂𝑚𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑖𝑘ℎ𝑎𝑟𝑎𝑠. 𝐿𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑟 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑒́ 𝑒𝑠𝑡 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑖𝑠𝑒́ 𝑒𝑛 𝑏𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑝𝑒𝑟𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑒𝑠, 𝑟𝑦𝑡ℎ𝑚𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑑𝑎𝑛𝑠. 𝐸𝑥𝑢𝑏𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑐𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑠-𝑟𝑒𝑙𝑖𝑒𝑓𝑠 𝑒𝑛𝑣𝑎ℎ𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑖𝑡𝑡𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑓𝑎𝑐𝑒𝑠, 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒 𝑜𝑟𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙’𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑎𝑙𝑖𝑓𝑖𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑣𝑜𝑙𝑜𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑎𝑟𝑜𝑞𝑢𝑒. 𝐿𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑠’𝑦 𝑒́𝑏𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡𝑜𝑢𝑟𝑛𝑒́𝑒𝑠, 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙’𝑎𝑟𝑡𝑖𝑓𝑖𝑐𝑖𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑒𝑥ℎ𝑎𝑙𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑏𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́. 𝐶𝑎𝑟𝑎𝑐𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑑𝑢 𝑠𝑡𝑦𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐾ℎ𝑎𝑗𝑢𝑟𝑎ℎ𝑜, 𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑎̀ 𝑙’𝑜𝑣𝑎𝑙𝑒 𝑎𝑟𝑟𝑜𝑛𝑑𝑖 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑠𝑒𝑠 𝑦𝑒𝑢𝑥 𝑎𝑙𝑙𝑜𝑛𝑔𝑒́𝑠 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑚𝑖-𝑓𝑒𝑟𝑚𝑒́𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑟𝑐𝑖𝑙𝑠 𝑒𝑛 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑒𝑓. 𝐿𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑚𝑖-𝑛𝑢, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝑏𝑖𝑗𝑜𝑢𝑥, 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑥ℎ𝑖𝑏𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑒́𝑝𝑎𝑛𝑜𝑢𝑖𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑎𝑠𝑐𝑖𝑣𝑒𝑠. 𝐸𝑡 𝑙𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑒𝑓 𝑟𝑒𝑛𝑑 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑎̀ 𝑙’𝑜𝑝𝑢𝑙𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑖𝑡𝑟𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑜𝑠𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑠. 𝐼𝑙 𝑛’𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑐𝑒𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑖𝑐𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑐ℎ𝑜𝑠 𝑙𝑜𝑖𝑛𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑒𝑟𝑏𝑒́𝑠, 𝑑𝑢 𝑠𝑡𝑦𝑙𝑒 𝑔𝑢𝑝𝑡𝑎 (𝐼𝑉𝑒 -𝑉𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒𝑠). 𝐶𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙’𝑎𝑡𝑡𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠, 𝑖𝑙 𝑠’𝑎𝑔𝑖𝑡 𝑑’𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑚𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑛 œ𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑚𝑒́𝑒𝑠 𝑑’𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑎𝑛𝑠. 𝐶𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑟𝑒́𝑝𝑒́𝑡𝑖𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑓𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑒́𝑜𝑡𝑦𝑝𝑒́𝑒𝑠 𝑛’𝑎𝑙𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑛𝑒́𝑎𝑛𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑠𝑒𝑛𝑠𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙’œ𝑢𝑣𝑟𝑒, 𝑒𝑥𝑎𝑙𝑡𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑏𝑙𝑜𝑛𝑑𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝑔𝑟𝑒̀𝑠 𝑠𝑜𝑖𝑔𝑛𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑙𝑖. 𝐴̀ 𝑙’𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑖𝑛𝑒́𝑒𝑠, 𝑐𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡-𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑢𝑛𝑒 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 ? 𝑃𝑎𝑠 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑠𝑖 𝑙’𝑜𝑛 𝑒𝑛 𝑗𝑢𝑔𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙’𝑒𝑥𝑡𝑟𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒́𝑒𝑠. 𝑆’𝑦 𝑡𝑒́𝑙𝑒𝑠𝑐𝑜𝑝𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑙𝑒́𝑠 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒́𝑣𝑜𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑔𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐶ℎ𝑎𝑛𝑑𝑒𝑙𝑎, 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑖𝑚𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑎𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐶̧𝑖𝑣𝑎 𝑑𝑎𝑛𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑜𝑢 𝑗𝑜𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑢𝑠𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑑𝑒𝑠 𝑛𝑦𝑚𝑝ℎ𝑒𝑠 𝑐𝑒́𝑙𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑡𝑖𝑠𝑎𝑛𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒𝑠… 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑜𝑐𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑙’𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑡ℎ𝑢𝑛𝑎, 𝑐𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑑’𝑎𝑚𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑎𝑖𝑠𝑖𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟. 𝑆𝑖 𝑙’𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑖𝑛𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑒́𝑔𝑎𝑔𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜ℎ𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑛𝑎𝑟𝑟𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑚𝑎𝑒𝑙𝑠𝑡𝑟𝑜̈𝑚, 𝑙’𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑’𝑢𝑛 𝑑𝑖𝑠𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑚𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑟𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑟𝑠 𝑛’𝑒𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑒́𝑛𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡 𝑑’𝑒́𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑒́𝑟𝑜𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑒𝑙. « 𝐸𝑛 𝑂𝑐𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡 𝐷𝑖𝑒𝑢 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟, 𝑒𝑛 𝐼𝑛𝑑𝑒, 𝐷𝑖𝑒𝑢 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑙’𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟 », 𝑟𝑒́𝑠𝑢𝑚𝑒 𝑒𝑛 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑢𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑠𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑙’𝑖𝑛𝑑𝑖𝑎𝑛𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑀𝑖𝑐ℎ𝑒𝑙 𝐴𝑛𝑔𝑜𝑡. 𝐸𝑡 𝑐𝑒 𝑛’𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑢𝑛 ℎ𝑎𝑠𝑎𝑟𝑑 𝑠𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑎𝑚𝑒𝑢𝑥 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝐾𝑎𝑚𝑎 𝑆𝑢𝑡𝑟𝑎 𝑜𝑛𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑔𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑢𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒, 𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑠𝑘𝑟𝑖𝑡. 𝐷𝑎𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝐼𝑉𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝑐𝑒 𝑚𝑎𝑛𝑢𝑒𝑙 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑥𝑡𝑟𝑒̂𝑚𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑖𝑛𝑢𝑡𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑗𝑢𝑔𝑎𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑥𝑡𝑟𝑎-𝑐𝑜𝑛𝑗𝑢𝑔𝑎𝑙𝑒, 𝑦 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑎 𝑑𝑖𝑚𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑎𝑙𝑒, 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑎𝑔𝑒. 𝐶𝑒𝑡 𝑜𝑢𝑣𝑟𝑎𝑔𝑒 𝑠𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑎𝑙 « 𝑖𝑙𝑙𝑢𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑡𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑛 𝐼𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑟 𝑙’𝑎𝑐𝑡𝑒 𝑑’𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟 𝑒𝑛 𝑢𝑛 𝑟𝑖𝑡𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑎𝑔𝑜𝑛𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒́𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟, 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑀𝑖𝑐ℎ𝑒𝑙 𝐴𝑛𝑔𝑜𝑡 ; 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙’𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑙𝑢𝑖-𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑢𝑛𝑒 œ𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑑’𝑎𝑟𝑡 𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒. 𝐷𝑒̀𝑠 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑟𝑡𝑖𝑛𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝑜𝑝𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́/𝑝𝑟𝑜𝑓𝑎𝑛𝑒 𝑠’𝑒𝑓𝑓𝑎𝑐𝑒. ». 𝐿𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑐𝑒̀𝑛𝑒𝑠 𝑒́𝑟𝑜𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐾ℎ𝑎𝑗𝑢𝑟𝑎ℎ𝑜 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑠𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐾𝑎𝑚𝑎 𝑆𝑢𝑡𝑟𝑎. 𝐼𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝑙’ℎ𝑎𝑟𝑚𝑜𝑛𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝑢𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠, 𝑙𝑎 𝑠𝑒𝑥𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝐾𝑎𝑛𝑑𝑎𝑟𝑖𝑦𝑎, 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑒𝑎𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑖𝑡𝑒, 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑔𝑜𝑛𝑖𝑒 𝑜𝑟𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝐶̧𝑖𝑣𝑎. 𝐶𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒́𝑟𝑒́ 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝐶𝑟𝑒́𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑎𝑟 𝑠𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑐𝑡𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑙’𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑔𝑖𝑜𝑛 ℎ𝑖𝑛𝑑𝑜𝑢𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑉𝑖𝑠ℎ𝑛𝑢 𝑒𝑡 𝐵𝑟𝑎ℎ𝑚𝑎. « 𝑀𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒, 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑙’𝐴𝑚𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑒𝑝𝑡 𝑎 𝑑𝑒 𝑐𝑟𝑒́𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑖𝑠, 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡 𝑙’𝑖𝑛𝑑𝑖𝑎𝑛𝑖𝑠𝑡𝑒 𝐿𝑜𝑢𝑖𝑠 𝐹𝑟𝑒́𝑑𝑒́𝑟𝑖𝑐. 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑠𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑛𝑔𝑎𝑚𝑜𝑢 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑥𝑢𝑒𝑙 𝑚𝑎𝑠𝑐𝑢𝑙𝑖𝑛 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒́ 𝑒𝑛 𝑒́𝑟𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 (𝑜𝑢 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑛𝑡) 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑦𝑜𝑛𝑖 𝑜𝑢 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑥𝑢𝑒𝑙 𝑓𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑖𝑛. » 𝐴𝑢𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢’𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒́𝑏𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑒́𝑟𝑜𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝐾ℎ𝑎𝑗𝑢𝑟𝑎ℎ𝑜 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑒𝑢𝑡-𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑜𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑟 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑛 𝑒𝑛 𝑣𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑑𝑒𝑟 𝑙’𝑢𝑛𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑑’𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒𝑟 𝑠𝑎 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝑂𝑛 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙’𝑖𝑐𝑜𝑛𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑉𝑖𝑠ℎ𝑛𝑢 𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑖𝑚𝑏𝑟𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑚𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑒́𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐴𝑢 𝐿𝑎𝑘𝑠ℎ𝑚𝑎𝑛𝑎, 𝑑𝑒́𝑑𝑖𝑒́ 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑒 𝑓𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑖𝑛 𝐿𝑎𝑘𝑠ℎ𝑚𝑖,𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑠’𝑎𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑐ℎ𝑜𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑒𝑟𝑣𝑒𝑢𝑟 𝑞𝑢’𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑔𝑢𝑒̀𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑖𝑒̀𝑟𝑒. 𝐊𝐡𝐚𝐣𝐮𝐫𝐚̂𝐡𝐨 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐭𝐡𝐞́𝐨𝐫𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐞́𝐪𝐮𝐚𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐩𝐞𝐧𝐜𝐡𝐞́ Le site est également connu du milieu ésotérique et des adeptes de la théorie des Anciens Astronautes. Dans les années 2010, il a été notamment mis sous les projecteurs par le film-documentaire ayant fait grand bruit "La révélation des Pyramides" ; documentaire qui cherche à mettre en évidence les preuves de l'existence d'une ancienne civilisation technologiquement très avancée antérieure à toutes celles que nous connaissons, et qui aurait laissé des vestiges à travers toute la Planète. Dans le film, Patrice Pooyard et Jacques Grimault révèle l'alignement qui existerait entre des dizaines de grands sites sacrés de la Planète (Gizeh, Petra, Anghkor, île de Pâques, Pérou,...), le long d'un méridien incliné de 30° par rapport à l'équateur actuel. Alignement dont ferait donc partie le site du Khajurâho ! 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑺𝒐𝒄𝒊𝒆́𝒕𝒆́ 𝒅𝒆𝒔 𝒂𝒎𝒊𝒔 𝒅𝒖 𝒎𝒖𝒔𝒆́𝒆 𝑪𝒆𝒓𝒏𝒖𝒔𝒄𝒉𝒊 ; 𝑪𝒐𝒎𝒑𝒕𝒐𝒊𝒓 𝒅𝒆 𝑽𝒐𝒚𝒂𝒈𝒆𝒔 (𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒃𝒍𝒐𝒈) ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝑪𝒐𝒏𝒏𝒂𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑨𝒓𝒕𝒔 (𝒍𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒊-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔) ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@histoireitinerante
"Kamasutra temple, very nice and quieter city as well"
@whereiscompa