Duomo di Orvieto : visite, musée et monumento emblématique
Le Duomo di Orvieto, situé Piazza del Duomo, 26, dans le quartier historique d'Orvieto, a été construit à partir de 1290. Conçu sous la direction de Fra Bevignate, il a nécessité plus de 30 ans de planification et trois siècles de travaux pour voir le jour. Ce monument, considéré comme l’un des plus beaux de l’Ombrie, témoigne d’un riche héritage artistique et religieux, attirant chaque année de nombreux visiteurs désireux de découvrir son histoire et son architecture. La cathédrale est aussi célèbre pour ses façades colorées, ses mosaïques et ses bas-reliefs, qui en font un véritable chef-d'œuvre de l’art gothique italien. La visite de ce monument permet d’accéder à un musée intégré, où sont exposés des œuvres d’art et des éléments liés à son histoire, offrant ainsi une immersion complète dans le patrimoine local. La richesse de ses détails artistiques et historiques en fait une étape incontournable pour tout passionné de culture et d’histoire. Le site est également connu pour ses fresques, notamment celles de Luca Signorelli, qui illustrent le Jugement Universel, un chef-d'œuvre du XVe siècle. La cathédrale, avec son intérieur à la fois imposant et délicat, offre une expérience visuelle unique, mêlant histoire, art et spiritualité dans un cadre exceptionnel.
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ITALIE DU NORD
@petitfute
"La cathédrale d'Orvieto, dédiée à l'Assomption de la Vierge Marie,est un chef-d'oeuvre du gothique italien, le joyau de l'Ombrie. Sa superbe façade, toute en dentelle de pierre, est marquée par la belle rosace d'Andrea Orcagna, elle-même encadrée par des têtes sculptées représentant les 52 semaines de l'année. Ces cinquante-deux têtes en relief bordent les figures de quatre docteurs de l'Eglise ornant les angles du carré de cette rosace. Paul Bourget l'évoque quand il écrit : " Orvieto existe ne serait-ce que pour cette page du missel écrite dans le marbre, pour cette gigantesque miniature, pour cette façade exaltée par les mosaïques et les lambris. " Comment ne pas s'extasier, en effet, devant cette façade étincelante d'or et de marbre, surtout quand le soleil brille sur ces merveilles ? La façade est ornée de mosaïques avec le thème de la vie de la Vierge. La construction de la cathédrale commence en 1290, pour célébrer le miracle de Bolsena : la transsubstantiation du corps et du sang du Christ dans l'hostie. Quatre siècles de travaux furent nécessaires. L'architecte Siennois, Lorenzo Maitani, fut le maître d'oeuvre de la transformation gothique de l'édifice en 1305. A l'intérieur, une profusion de couleurs, et une structure romane d'origine visible. L'orgue, avec ses 8 000 tuyaux, est le second d'Italie après celui de Monreale en Sicile. Les fonts baptismaux en marbre, qui s'appuient sur des sculptures de lions, sont l'oeuvre de l'artiste siennois Luca di Giovanni. On peut également admirer de magnifiques vitraux et de nombreuses fresques, dont la Madonna de Gentile de Fabriano (1425). Dans le transept droit, au sein de la chapelle de San Brizio (saint-Brice), construite entre 1408 et 1444, des fresques de Fra Angelico et la très remarquable série du Jugement Dernier , chef-d'oeuvre de Luca Signorelli (1499-1504). Un ensemble pictural parmi les plus importants de la Renaissance - un tourbillon de corps nus, des anges et des démons, des ruines, des tremblements de terre... Selon les historiens, ces fresques auraient inspiré le Jugement Dernie r de Michel-Ange, réalisé dans la chapelle Sixtine. Dans l'autel, devant la chapelle du Saint-Corporal, un tabernacle garde le reliquaire du miracle contenant le tissu enveloppant le fragment d'hostie d'où a suinté le sang du Christ. Chef-d'oeuvre de Ugolino di Vieri, ce reliquaire en argent, datant du XIV e siècle, est considéré comme le plus beau du Moyen Age (visible seulement les jours de Pâques et du Corpus Domini). Après une telle découverte, soyez sûr d'en sortir tout ébaubi !"
"Magnifique cathédrale dans une ville medievale "
@adebuchet1
"La plus belle de toute l’Ombrie "
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"amazing exterior, only a nice interior"
@samuelsandor
"Intérieur à voir absolument "
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"“oDuomo di OrvietoCATHEDRAL ( MAP GOOGLE MAP ; www.opsm.it; Piazza Duomo 26; €4, with Museo dell'Opera del Duomo di Orvieto €5; h9.30am-7pm Mon-Sat, 1-5.30pm Sun summer, shorter hours winter) Nothing can prepare you for the visual feast that is Orvieto's soul-stirring Gothic cathedral. Dating to 1290, it sports a black-and-white banded exterior fronted by what is perhaps the most astonishing facade to grace any Italian church: a mesmerising display of rainbow frescoes, jewel-like mosaics, bas-reliefs and delicate braids of flowers and vines. The building took 30 years to plan and three centuries to complete. It was started by Fra Bevignate and later additions were made by Sienese master Lorenzo Maitani, Andrea Pisano (of Florence Cathedral fame) and his son Nino Pisano, Andrea Orcagna and Michele Sanmicheli. “Of the art on show inside, it's Luca Signorelli's magnificent Giudizio Universale that draws the crowds. The artist began work on the vast fresco in 1499 and over the course of the next four years covered every inch of the Cappella di San Brizio with a swirling, and at times grotesque, depiction of the Last Judgment. Michelangelo is said to have taken inspiration from the work. Indeed, to some, Michelangelo's masterpiece runs a close second to Signorelli's creation. On the other side of the transept, the Cappella del Corporale houses a 13th-century altar cloth stained with blood that miraculously poured from the communion bread of a priest who doubted the transubstantiation” Passi di Italy Travel Guide Lonely Planet Il materiale potrebbe essere protetto da copyright."
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"Lo storico dell'arte svizzero Jacob Burckhardt ebbe a definire il duomo di Orvieto «il più grande e ricco monumento policromo del mondo»; papa Leone xIll lo considerava il «giglio d'oro delle cattedrali italiane», aggiungendo che nel giorno del giudizio sarebbe volato in cielo trasportato dalla sua stessa bellezza. Anche se l'effetto complessivo dell'edificio potrebbe per alcuni essere eccessivo, il duomo è uno dei due monumenti imperdibili dell'Umbria, insieme alla basilica di San Francesco ad Assisi. L’edificio sfugge a una semplice classificazione stilistica: il Duomo fonde infatti soluzioni architettoniche ispirate alla cultura paleocristiana, come l'uso dei mosaici in facciata, e motivi figurativi del gotico francese. Il tutto crea una perfetta armonia di volumi e di linee. Del resto, ci vollero circa 30 anni per terminare la progettazione dell'edificio e ben tre secoli per completarne la realizzazione. La monumentale facciata è un profluvio di elementi: colonne, guglie, bassorilievi, sculture, colori abbaglianti, portali colossali e centinaia di dettagli capricciosi tenuti insieme da quattro enormi pilastri scanalati. Molti l'hanno paragonata a un sontuoso trittico racchiuso da un'elaborata cornice. Alta circa 52 m, è uno spettacolo mozzafiato dalla piazza antistante, in particolare al tramonto o illuminata dai riflettori. A Lorenzo Maitani si deve gran parte del lavoro, ma altri nomi illustri, come Andrea Pisano e Andrea Orcagna - artefice di gran parte del rosone -, hanno contribuito alla sua progettazione e alla costruzione. Cenni storici Tradizione ecclesiale vuole che il duomo sia stato costruito per celebrare il miracolo di Bolsena, avvenuto nel 1263. Il protagonista, un giovane sacerdote bavarese, era in pellegrinaggio diretto a Roma per placare i suoi dubbi sulla transustanziazione (ossia la presenza del sangue e del corpo di Cristo nell'ostia consacrata). Mentre celebrava messa in una chiesa vicino al lago di Bolsena, l'ostia iniziò a gocciolare sangue sul corporale, il telo di lino bianco che ricopre l'altare. Il panno fu portato a papa Urbano IV, che si trovava a Orvieto per sfuggire all'infuocato clima politico romano. Il papa confermò il miracolo e un anno dopo Tommaso d'Aquino, allora docente in San Domenico a Orvieto, compose la liturgia che avrebbe accompagnato la bolla papale che istituisce la festa del Corpus Domini. La prima pietra fu posata 25 anni dopo (da papa Niccolò IV, il 13 novembre 1290) e la liturgia di Tommaso d'Aquino non menziona il miracolo di Bolsena, è quindi probabile che la costruzione del duomo sia più frutto di pragmatismo politico che di volontà di celebrare un miracolo. Il papato, all'epoca, si stava infatti ritirando da queste zone e le città umbre erano al culmine della loro espansione civica; si pensa quindi che la costruzione della cattedrale, in una delle città più potenti della regione, fosse un modo per ribadire il potere del papato. Il sito non pose problemi: il punto più alto della città aveva già ospitato un tempio etrusco e la prima cattedrale di Orvieto, Santa Maria Prisca. Sebbene l'architetto sia sconosciuto, si ritiene che possa essere Arnolfo di Cambio (a cui si deve anche il duomo di Firenze). Inizialmente il progetto prevedeva la costruzione di una semplice chiesa romanica, ma già nei primi anni le stravaganti aggiunte gotiche di un architetto locale portarono la struttura vicino al crollo; nel 1310 si convocò il maestro senese Lorenzo Maitani, che nel corso di tre decenni guidò la costruzione nella sua fase più cruciale ed eseguì le magnifiche sculture della facciata. Nonostante la costruzione si sia poi trascinata per oltre trecento anni, coinvolgendo 33 architetti, 152 scultori, 68 pittori e 90 mosaicisti, il risultato finale è un esempio sorprendentemente unitario di transizione dallo stile romanico a quello gotico. La facciata I quattro pilastri alla base sono tra i capolavori indiscussi della scultura italiana del Trecento. Opera del Maitani e dei suoi allievi, raffigurano episodi dell'Antico e del Nuovo Testamento con dettagli sbalorditivi: immagini di pestilenze, carestie, martirii, mutilazioni e omicidi. I pannelli si leggono da sinistra a destra, iniziando dalla Creazione sul pilastro più a sinistra. Le storie scolpite sulla pietra sono meravigliamente grafiche e autoesplicative, ma è soprattutto la delicatezza dell'intaglio a essere straordinaria, basti guardare gli alberi, incredibilmente intricati come coralli. Degne di nota, in particolare, la scena di Eva che emerge dalla costola di Adamo (secondo livello), quella della cacciata di Adamo ed Eva (quarto livello) e di Caino che uccide Abele (quinto livello, pannello di destra), con quest ultimo episodio particolarmente potente. Il secondo pilastro illustra le storie di Abramo e David, mentre nel terzo ci sono episodi della vita di Cristo e della Vergine. Lo straordinario quarto e ultimo pilastro esplicita l'intento morale dell'opera, con le sue raffigurazioni del giudizio universale, dell'inferno e del paradiso, e coi peccatori condannati al fuoco eterno, allo zolfo e alla compagnia di un'infinità di serpenti. A Maitani si devono anche le quattro statue bronzee dei simboli degli evangelisti poste al primo livello e gli angeli sopra il bel portale centrale. I mosaici, l'elemento più appariscente della facciata, sono per lo più aggiunte settecentesche e ottocentesche, in sostituzione degli originali che vennero portati a Roma. Solo i quattro esemplari agli angoli del grande rosone dell'Orcagna (1359) sono autentici, completati intorno al 1388. Le porte centrali in bronzo, opera di Emilio Greco, sono invece decisamente più moderne (1965). "
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"pour la façade en mosaïque polychromie de la cathédrale "
@maaa.ancora
"Non perdetevi la Cappella di San Brinzio, la parte più decorata della chiesa. Una volta e pareti affrescate, un altare dorato, è davvero troppo per un unico luogo. 😉 I Palazzi Papali: le antiche stanze di questi palazzi oggi ospitano alcuni dei tesori più belli del Duomo. Tra questi non dimenticate anche un giro nella Libreria Alberì, un angolo completamente decorato davvero molto curioso. Palazzo Soliano: è il più particolare palazzo di Piazza del Duomo, bello per la sua struttura di mattoncini rossi e la sua scalinata. Al suo interno ancora opere d’arte, dal rinascimento all’800. Tutto il complesso, dal Duomo, alla Cappella di San Brizio ai Palazzi Papali prende il nome di MODO, Museo Opera del Duomo. Il costo di accesso è di 5€."
@rachii
"Painted by Luca Signorelli, finales quattrocento. "
@amaiii
"La cathédrale d'Orvieto, dédiée à l'Assomption de la Vierge Marie,est un chef-d'oeuvre du gothique italien, le joyau de l'Ombrie. Sa superbe façade, toute en dentelle de pierre, est marquée par la belle rosace d'Andrea Orcagna, elle-même encadrée par des têtes sculptées représentant les 52 semaines de l'année. Ces cinquante-deux têtes en relief bordent les figures de quatre docteurs de l'Eglise ornant les angles du carré de cette rosace. Paul Bourget l'évoque quand il écrit : " Orvieto existe ne serait-ce que pour cette page du missel écrite dans le marbre, pour cette gigantesque miniature, pour cette façade exaltée par les mosaïques et les lambris. " Comment ne pas s'extasier, en effet, devant cette façade étincelante d'or et de marbre, surtout quand le soleil brille sur ces merveilles ? La façade est ornée de mosaïques avec le thème de la vie de la Vierge. La construction de la cathédrale commence en 1290, pour célébrer le miracle de Bolsena : la transsubstantiation du corps et du sang du Christ dans l'hostie. Quatre siècles de travaux furent nécessaires. L'architecte Siennois, Lorenzo Maitani, fut le maître d'oeuvre de la transformation gothique de l'édifice en 1305. A l'intérieur, une profusion de couleurs, et une structure romane d'origine visible. L'orgue, avec ses 8 000 tuyaux, est le second d'Italie après celui de Monreale en Sicile. Les fonts baptismaux en marbre, qui s'appuient sur des sculptures de lions, sont l'oeuvre de l'artiste siennois Luca di Giovanni. On peut également admirer de magnifiques vitraux et de nombreuses fresques, dont la Madonna de Gentile de Fabriano (1425). Dans le transept droit, au sein de la chapelle de San Brizio (saint-Brice), construite entre 1408 et 1444, des fresques de Fra Angelico et la très remarquable série du Jugement Dernier , chef-d'oeuvre de Luca Signorelli (1499-1504). Un ensemble pictural parmi les plus importants de la Renaissance - un tourbillon de corps nus, des anges et des démons, des ruines, des tremblements de terre... Selon les historiens, ces fresques auraient inspiré le Jugement Dernie r de Michel-Ange, réalisé dans la chapelle Sixtine. Dans l'autel, devant la chapelle du Saint-Corporal, un tabernacle garde le reliquaire du miracle contenant le tissu enveloppant le fragment d'hostie d'où a suinté le sang du Christ. Chef-d'oeuvre de Ugolino di Vieri, ce reliquaire en argent, datant du XIV e siècle, est considéré comme le plus beau du Moyen Age (visible seulement les jours de Pâques et du Corpus Domini). Après une telle découverte, soyez sûr d'en sortir tout ébaubi !"
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"Cappella di San Brizio, dipinti di Simone Martini (al museo)"
@chiaraschiavon
"affreschi di Luca Signorelli "
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"on voit le passage d'une époque à une autre (plus de peinture moins de statues)"
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"Arquitectura gótica italiana. SXIV"
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