Musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg : un monument incontournable
Le musée de l'Ermitage, situé au Palace Square dans le quartier central de Saint-Pétersbourg, a été fondé en 1764 par Catherine II, qui souhaitait créer un musée d'art digne des plus grands. Depuis ses débuts modestes, il est devenu l'un des musées les plus importants au monde, abritant une collection de plus de trois millions d'œuvres. Son architecture majestueuse et ses bâtiments historiques en font un monument incontournable pour tout amateur d'histoire et d'art. La visite de ce musée est une immersion dans l'histoire de la Russie et de l'Europe, offrant un aperçu précieux de l'évolution artistique à travers les siècles.
Le musée de l'Ermitage se distingue par ses nombreuses spécialités, allant de la peinture à la sculpture, en passant par les arts décoratifs, la numismatique et l'art oriental. Parmi ses points forts, on trouve des œuvres de Rubens, Rembrandt, Raphaël, Titien, ainsi que des collections impressionnantes d'objets du quotidien, d'armes anciennes et de pièces de monnaie rares. La diversité de ses collections en fait un lieu de visite incontournable pour découvrir la richesse culturelle et artistique de différentes époques. Son architecture harmonieuse, mêlant styles classique et néoclassique, contribue à créer une ambiance unique, où chaque salle raconte une partie de l'histoire du musée et de ses collections.
L'ambiance du musée de l'Ermitage est à la fois solennelle et inspirante, avec ses vastes salles ornées de détails architecturaux raffinés. Le décor intérieur, mêlant dorures, colonnes et plafonds peints, invite à la contemplation et à la découverte. La lumière naturelle qui filtre à travers les grandes fenêtres met en valeur chaque œuvre, renforçant l'atmosphère de prestige et de sérénité. La visite de ce musée est une expérience culturelle enrichissante, où l'histoire, l'architecture et l'art se conjuguent pour offrir un voyage inoubliable dans le temps et l'espace.
Vos retours sont importants pour nous. Si vous avez remarqué une erreur concernant ce lieu, merci de nous en informer pour que nous puissions la corriger.
Nous récupérons automatiquement les informations disponibles sur votre lieu. Si jamais celles-ci ne sont pas correctes, connectez-vous gratuitement sur notre tableau de bord pour les modifier et bonus, accédez à vos statistiques détaillées.
Partageons nos bons spots
@cdiscountvoyages
"LE musée à ne pas manquer en Russie! Plusieurs salles, différents thèmes abordés. Un conseil allez y avec un Russe vous paierez moins cher😉"
La Passion des Chateaux
@passionchateau
La Chocologue
@lachocologue
"Le musée de l'Ermitage vous plongera dans un voyage passionnant à travers l'histoire de la Russie. Son impressionnante collection de plus de trois millions d'œuvres en fait l'un des musées les plus importants au monde ! 𝐋𝐞𝐬 𝐨𝐫𝐢𝐠𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐦𝐮𝐬𝐞́𝐞 Le musée de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg est né d'une petite mais importante collection, acquise par Catherine II. Elle comprend des œuvres d'artistes tels que Rubens, Rembrandt, Raphaël ou Titien. En voyant sa collection devenir de plus en plus grande, Catherine II ordonna la construction d'un bâtiment annexe au Palais d'Hiver, dans lequel des pièces précieuses pourraient être exposées. Cette construction néoclassique harmonieuse devint rapidement trop petite, et c'est pour ça que fut construit le Grand Hermitage, un monument de trois étages qui s'est agrandi au fil des ans. Amoureuse de l'art et du divertissement, Catherine aurait acquis plus de 4 000 tableaux, quelque 10 000 gravures, 10 000 dessins, 40 000 livres de son vivant ! 𝐋𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 Le musée de l'Ermitage possède l'une des plus grandes galeries d'art au monde. À travers ses vastes installations, vous serez plongés dans des thèmes très variés. > Peinture : L'Ermitage possède l'une des collections picturales les plus importantes au monde. Parmi ses toiles, vous pourrez voir les œuvres de grands artistes tels que Titien, Raphaël, Le Caravage, Léonard de Vinci, Tintoretto, El Greco ou Goya. Sculpture : Avec l'une des plus importantes collections sculpturales d'Europe, le musée héberge les œuvres d'artistes tels que Rodin, Antonio Canova ou Lorenzo Bartolini. Arts décoratifs : C'est l'espace le plus coloré du musée. Il est composé de meubles, de bijoux, de ferronnerie, de vaisselle, de tapisseries, de costumes et de plus de 20 000 pièces de porcelaine, en plus d'autres éléments. > Arsenal : Avec plus de 15 000 pièces, allant du Moyen Âge jusqu'au XXe siècle, la collection d'armes et d'armures de l'empereur Nicolas Ier de Russie inclut des armes à feu, des épées, des boucliers et toutes sortes de matériel provenant de Russie et d'Europe occidentale. > Art oriental : Plus de 190 000 pièces de monnaie, des médailles, de la vaisselle, des sculptures et toutes sortes de pièces de différentes époques dans les pays de l'Est. > Culture russe : Composée de plus de 350 000 objets du Xe au XXe siècle, cette collection d'objets du quotidien offre un portrait fidèle de l'histoire du pays. > Numismatique : C'est l'une des plus grandes collections au monde de pièces de monnaie, provenant de nombreuses époques et de différentes zones géographiques. On peut notamment y voir un apocryphe orthodoxe où un ethnologue japonais y a découvert il y a quelques décennies la description d'un ange, décrit globalement comme suit : « [il s'agissait] d'un être de forme humaine vêtu d'une combinaison brillante avec deux ailes qui crachaient des flammes dans son dos, et qui portait sur son avant-bras gauche un miroir par lequel Dieu lui donnait ses ordres… ». Les anges bibliques, précurseur de James Bond et déjà possesseur d'un téléphone portable… ? 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝑺𝒂𝒊𝒏𝒕-𝑷𝒆́𝒕𝒆𝒓𝒔𝒃𝒐𝒖𝒓𝒈 ; 𝑱𝒆𝒂𝒏𝒏𝒆 𝒅'𝑨𝒓𝒄𝒂𝒅𝒊𝒆 (𝒍𝒊𝒗𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝑱𝒂𝒄𝒌 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒆𝒓) ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@histoireitinerante
"Un musée équivalent à celui du Louvre à Paris, le plus grand du monde en superficie ! Les billets se réservent sur internet "
@antoniabattini
"👉🏼 Le Retour du fils prodigue de Rembrandt"
@adadenizer
"Les chiffres donnent le tournis. 60 000 pièces, 10 000 salles, 3 millions d’œuvres exposées, 230 000 m2 de surface... Le Musée de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg est ce mastodonte du patrimoine mondial qui détrône tous les grands musées des quatre coins de la planète et accumule les superlatifs. Plus grand musée du monde en terme d'objets exposés, plus grande collection du monde de peintures (plus de 16 000 toiles), le musée inauguré en 1764 abrite des précieux témoins de l'art scythe, des objets de la Grèce et Rome antiques ainsi que de nombreuses peintures de maîtres italiens et français. Les incontournables : Madone Litta de Léonard de Vinci, Portrait de dame en bleu de Cézanne, Pietà de Véronèse, Le Joueur de luth du Caravage, Portrait de Doña Antonia Zárate de Goya, Danaé de Rembrandt... "
@
"One of the best art museums in the world!"
@egreen2000
"On a beau être prévenu, savoir que c'est l'un des plus riches musées du monde, que quelque 3 millions d'oeuvres y sont exposées, survolant plus de deux millénaires d'histoire de l'art, l'Ermitage aura toujours de quoi surprendre. Un étonnement accru par le caractère quelque peu brouillon de ce musée dont les magistrales collections sont exposées dans un certain désordre propice aux découvertes. Palais ou musée ? La question mérite d'être posée, alors que les bâtiments du musée eux-mêmes forment un splendide écrin pour les trésors qu'ils abritent. Et si le touriste s'y perd, confondant bien souvent l'Ermitage et le palais d'Hiver là où il faut distinguer en fait cinq palais, c'est que les fonctions de demeure impériale et de musée se sont très tôt confondues dans cet ensemble unique d'édifices s'étirant le long de la Neva. Le premier contact est fascinant : une fois franchi l'arc de l'État-Major reliant les façades en hémicycle des bâtiments jaune citron qui abritèrent les Affaires étrangères et l'état-major, on découvre le palais d'Hiver sous son plus beau jour. Occupant toute la largeur de la place du Palais (Dvortsovaya Ploshchad'), dont le centre est marqué par la colonne Alexandre (47 m de granit rose commémorant la victoire sur Napoléon), la façade principale du palais d'Hiver, qui a été pendant près d'un siècle et demi la résidence impériale, éblouit le regard : des murs vert pistache flanqués de colonnades, pilastres, frontons brisés blancs soulignés par la couleur bronze des lambris et moulures, et couronnés de statues en ronde-bosse. Mais, à moins d'user de votre charme auprès du gardien et d'avoir ainsi la chance de pénétrer par la somptueuse cour d'honneur (en évitant la foule des guichets), c'est par la façade sur la Neva, à peine moins somptueuse, que commence la visite du palais d'Hiver et de l'Ermitage. Un ensemble de palais. Plus qu'un palais, il s'agit bien d'un ensemble de palais unis dans une même destinée, mais dont la conception, étalée sur plus d'un siècle, traduit les subtiles nuances : le rectangle du palais d'Hiver a été construit de 1754 et 1762 dans le baroque le plus expressif par Bartolomeo Rastrelli sur la commande de la tsarine Elizabeth I re , fille de Pierre le Grand. Les chiffres se passent de commentaire : le palais d'Hiver couvre une superficie de 9 ha, soit 46 000 m² répartis en 1 500 pièces ; la corniche supérieure, mise bout à bout, court sur 2 km. Quand Catherine II devient impératrice, en 1763, l'immense palais au train de vie versaillais, devenu le centre de la vie politique russe, a de quoi éblouir les diplomates qui se pressent dans ses salons. La façade sur la Neva raconte, dans toute la richesse de sa diversité et de ses couleurs, l'histoire de cette évolution qui fera de la résidence impériale un musée incomparable. Histoire du musée de l'Ermitage. Tout commence en 1764 par un impérial tour de passe-passe. C'est en effet en soufflant au roi de Prusse Frédéric II une collection d'oeuvres d'art que le monarque prussien, mécène à ses heures, est incapable de payer, que la Grande Catherine acquiert les premières pièces du futur musée. Son ambassadeur à Berlin, Vladimir Dolgorouki, lui a signalé que le roi de Prusse est en dette auprès de son marchand d'art attitré, un certain Gotzkowski. L'impératrice, déjà amatrice d'art, saute sur l'occasion : elle achète sans discuter au marchand ses 225 toiles de peintres flamands, se faisant un petit plaisir et jouant du même coup un bon tour à Frédéric II, battu sur son terrain de mécène. Mais surtout, sa passion a contaminé l'aristocratie russe, dont les grandes familles créent leurs collections privées, qui iront rejoindre, après la révolution d'Octobre, les galeries de l'Ermitage. La visite. Avec ses quelque 400 salles réparties sur 3 niveaux et deux ailes différentes, vous vous perdez aisément. Comme pour la visite du Louvre avec lequel les similitudes sont nombreuses, nous vous recommandons fortement de définir au préalable vos priorités. Pour vous repérer, notez le numéro des salles inscrit en haut de chaque porte et reportez-vous au plan que vous vous serez procuré à l'entrée. Les explications sont peu nombreuses et rarement traduites, mais nous vous détaillons ci-dessous les arrêts les plus marquants. Des audioguides sont également disponibles. Enfin, vous devez accepter de vous perdre un peu et de prendre le risque de tomber par hasard sur une oeuvre de quelque maître dont vous ne vous saviez pas qu'elle se trouvait en Russie. Rez-de-chaussée : les antiquités. Le rez-de-chaussée ne constitue pas la priorité de la grande majorité des visiteurs du musée. Il est composé de salles dédiées aux cultures de la Préhistoire (Paléolithique, Néolithique), et à l'art antique (grec, romain, égyptien), jusqu'au début du Moyen Âge. Toutefois il faut noter la salle 30 abrite une collection d'objets scythes du XII e au II e siècle av. J.-C., incluant des vases en argent. La salle 26 expose les résultats de découvertes archéologiques faites dans l'Altaï en 1949. Vous y trouvez l'impressionnante momie d'un homme du VI e siècle av. J.-C., un char funéraire reconstitué, ainsi que ce qui est peut-être le plus ancien tapis du monde (VI e siècle av. J.-C.). Si la joaillerie scythe ne vous laisse pas insensible, alors ne manquez surtout pas de visiter le Trésor des Scythes (Galerie du Trésor I, salle 42). Les pièces d'orfèvrerie de cette collection (rhytons, bijoux, armes), souvent en or, témoignent de la richesse de la civilisation de ce peuple qui, bien avant l'apparition des Russes, habitait les steppes de l'Ukraine et les rivages septentrionaux de la mer Noire. Galerie des bijoux. À partir de la salle 121, vous pouvez accéder à la Galerie des Bijoux (Galerie du Trésor, II). La collection regroupe une très grande variété de bijoux (colliers, bracelets, depuis le IV e av. J.-C. jusqu'au XIX e ), mais aussi des objets liturgiques, des épées ou des sabres incrustés d'émeraudes ou de diamants. Bon nombre de ces objets ont été amassés par les tsars depuis Pierre le Grand, mais aussi offerts à ces mêmes tsars : voyez par exemple les bouquets de fleurs en perles et en pierres précieuses, ou encore les célèbres oeufs de Fabergé. 1 er étage : S alles impériales et Arts classiques européens. Après avoir monté les marches du somptueux escalier d'honneur (ou escalier du Jourdain), débauche rococo de marbre blanc, lambris dorés, cariatides et trompe-l'oeil le visiteur ira droit au but, dans les salles italiennes, flamandes, françaises, allemandes, etc., où il choisira de s'abandonner à la contemplation et à l'errance. Juste avant cela, vous aurez l'occasion de passer par les salles 194, 195, 197 et 198. L'enfilade de ces salles constitue un hommage vibrant à l'art décoratif russe. Conçue par Montferrand en 1833, la salle de Pierre I er (ou petite salle du Trône, salle 194), qui renferme le trône impérial dans le décor Empire d'une salle tendue de velours rouge, est un hommage au fondateur de la ville (et de l'Empire russe). Deux panneaux latéraux illustrent deux de ses victoires (contre les Suédois). La salle des Armoiries (195) avec ses colonnes dorées est d'une superficie de plus de 1 000 m². Elle accueillait les cérémonies officielles. Les lustres sont décorés des écussons des 32 gouvernements de Russie ; les chevaliers sculptés, à chaque coin de la pièce, portent les armoiries des provinces russes. Les vitrines abritent des collections d'argenterie. La Galerie de la Guerre de 1812 (salle 197) a été créée en 1826, pour célébrer la victoire de l'armée russe sur Napoléon. Les 332 portraits des maréchaux généraux ayant pris part à cette campagne de Russie décorent les murs de la galerie. Enfilade d'Apparat. La Grande Salle du Trône (salle 198, également appelée salle Saint-Georges), est la salle principale du palais, celle qui accueillait cérémonies et réceptions officielles. La salle Nicolas (191) est la plus grande salle du palais, faisant plus de 1 100 m². Vous n'oublierez pas non plus la salle des Concerts (190), où vous ne manquerez pas d'admirer la châsse en argent massif contenant des reliques d'Alexandre Nevsky ; la salle de Malachite (189), aux dominantes vertes soulignées par les lambris dorés. Dans le prolongement de l'Enfilade d'Apparat présentée plus haut, les façades nord et ouest du premier étage portent sur la culture russe (salles 151 à 189). Ici encore, les salles sont autant dignes d'intérêt que les trésors qu'elles recèlent, à savoir des objets d'art appliqué, des instruments, des portraits, des armes... Salles 151 et 153, vous verrez une série de portraits des empereurs de Russie. Les salles 159 à 161 et 169 à 171 sont consacrées à l'art du XVIII e . A travers les nombreux objets exposés, on fait ou refait connaissance avec de grandes figures historiques russes comme Lomonossov, ou Catherine II. Dans les salles 176 à 189, vous vous baladerez dans les reproductions des intérieurs des appartements de la famille impériale du XIX e siècle. Art italien (salles 207 à 238). Au premier étage du Vieil Ermitage, les salles de peintures et sculptures italiennes renferment des trésors comme La Vierge à l'Enfant de Fra Angelico, deux Madones (Benois et Litta) de Léonard de Vinci, La Déploration du Christ de Véronèse et Le Garçon accroupi de Michel-Ange, Le Joueur de Luth du Caravage, La Madona Conestabile et La Sainte Famille de Raphaël, Saint Sébastien et Dante de Titien. Dans les salles espagnoles (239 et 240), vous verrez les Apôtres Pierre et Paul du Greco, le Portrait du comte Olivares de Velázquez, La Crucifixion et le Portrait d'Antonia Zarate de Goya. École flamande du XVII e et XVIII e (salles 245 à 257). Elle est représentée par de très nombreuses toiles de Rubens (dont Persée et Andromède , et Bacchus ), et de Van Dyck (la Descente de la Croix ). L'école hollandaise (XVII e et XVIII e ) (salles 249 à 257) est représentée par une impressionnante collection de 28 Rembrandt (salle 254), dont le fameux Retour de l'enfant prodigue , le Sacrifice d'Abraham et la Sainte Famille , pour ne citer que les plus célèbres. La collection d'art néerlandais (XV e et XVI e ; salles 258-262) comprend des toiles de Campin et de Van der Weyden. Art français du XV e au XVIII e siècle (salles 272-297). Au premier étage du palais d'Hiver, vous découvrirez la deuxième collection au monde (après le Louvre) d'art français du XV e au XVIII e siècle (salles 272-297). Plusieurs salles sont ainsi consacrées à l'École française, avec des toiles de Le Nain, Poussin, Claude Gelée dit Le Lorrain ( Port au soleil couchant ), Chardin ou Greuze. 2 e étage : Art byzantin et oriental, Art chinois et asiatique Arts de l'Extrême-Orient. Pour ceux qui ont encore du courage et du temps, les salles 351 à 367 sont dédiées aux arts de l'Extrême-Orient. Vous pourrez y voir, entre autres, des sculptures bouddhistes, des porcelaines, de la verrerie, des étoffes et du mobilier. Vous remarquerez notamment les peintures et sculptures de la grotte des Mille Bouddhas (360-361, Chine, VI e -X e siècle). Les salles 364 à 366 exposent les arts de la Mongolie et du Tibet. Art byzantin et art perse. Il faut enfin noter les salles d'art byzantin (381 et 382) et d'art perse (383 à 390), en particulier la collection d'objets en argent sassanide (Iran, III e -VII e siècle ap. J.-C.). Salle du pavillon. Dans le Petit Ermitage, il faut voir la magnifique salle du Pavillon. Ses voûtes blanc et or sont soutenues par de fines colonnes de marbre, selon les plans d'André Stakenschneider, qui fait détruire six des petites pièces du premier Ermitage de la Grande Catherine pour aménager, en 1856, l'une des plus somptueuses salles du palais ; la partie centrale est ornée d'une grande mosaïque de style romain, dans la tradition éclectique de l'époque. Palais de l'État Major . Le 28 juin 2014 la bâtiment de l'État Major a ouvert ses portes au grand public. C'est ici, aux 2 e et 3 e étages (3 e et 4 e niveaux pour les Russes qui intègrent le rez-de-chaussée comme 1 er niveau) que sont exposés la vertigineuse collection de toiles d'artistes impressionnistes. Les 2 e et 3 e étages abritent les oeuvres de Malevitch et Kandinsky (salle 303), puis continuent avec l'exposition d'une des plus riches collections d'oeuvres d'artistes français du XVIII e au XX e siècle, des Impressionnistes au fauvisme et au cubisme, de David à Picasso : vous y verrez, entre autres, La Femme à l'éventail de Renoir (407), les Femmes au jardin de Claude Monet (403), l' Autoportrait et les Bords de Marne de Cézanne (410). La salle 409-410 et 452 contient des oeuvres de Cézanne et de Rodin ; la salle 413 abrite 8 toiles de Van Gogh (dont le Souvenir du jardin à Etten (Femmes d'Arles) . Enfin, ne ratez surtout pas les salles 411-412, où sont exposées les toiles de l'époque tahitienne de Gauguin. Les salles 437-440 (1, 2 et 3) est consacrée à Matisse et à ses oeuvres fondatrices du fauvisme, en particulier La Danse (et son homologue La Musique ). La salle 430 est consacrée au cubisme de Derain et Vlaminck. Salles 434-431, on trouvera des toiles de Picasso, dont la célèbre Buveuse d'absinthe (431)."
@
"LE musée à ne pas manquer en Russie! Plusieurs salles, différents thèmes abordés. Un conseil allez y avec un Russe vous paierez moins cher😉"
@
"Plus grand musée du monde en terme d'objets exposés "
@
"Located in the former Winter Palace of Russian Tsars, the Hermitage Museum is a palace marvel of Baroque architecture. The museum was founded in 1764 when Catherine the Great purchased a collection of 225 paintings from the Berlin. Today, it boasts over 2.7 million exhibitions and displays a diverse range of art and artifacts from all over the world. Among pieces spanning from Ancient Egypt to the early 20th century, the collection includes works by Leonardo da Vinci, Michelangelo, Raphael and Titian, a unique collection of Rembrandts and Rubens, many French Impressionist works by Renoir, Cezanne, Manet, Monet and Pissarro, numerous canvasses by Van Gogh, Matisse, Gauguin and several sculptures by Rodin. The experts say that if you were to spend a minute looking at each artwork on display in the Hermitage, you would need 11 years before you'd seen them all."
@
"Murillo, the immaculate conception, 2,35x2m 1645-50"
@christelvandegehuchte
"On a beau être prévenu, savoir que c'est l'un des plus riches musées du monde, que quelque 3 millions d'oeuvres y sont exposées, survolant plus de deux millénaires d'histoire de l'art, l'Ermitage aura toujours de quoi surprendre. Un étonnement accru par le caractère quelque peu brouillon de ce musée dont les magistrales collections sont exposées dans un certain désordre propice aux découvertes. Palais ou musée ? La question mérite d'être posée, alors que les bâtiments du musée eux-mêmes forment un splendide écrin pour les trésors qu'ils abritent. Et si le touriste s'y perd, confondant bien souvent l'Ermitage et le palais d'Hiver là où il faut distinguer en fait cinq palais, c'est que les fonctions de demeure impériale et de musée se sont très tôt confondues dans cet ensemble unique d'édifices s'étirant le long de la Neva. Le premier contact est fascinant : une fois franchi l'arc de l'Etat-Major reliant les façades en hémicycle des bâtiments jaune citron qui abritèrent les Affaires étrangères et l'état-major, on découvre le palais d'Hiver sous son plus beau jour. Occupant toute la largeur de la place du Palais (Dvortsovaya Ploshchad), dont le centre est marqué par la colonne Alexandre (47 m de granit rose commémorant la victoire sur Napoléon), la façade principale du palais d'Hiver, qui a été pendant près d'un siècle et demi la résidence impériale, éblouit le regard : des murs vert pistache flanqués de colonnades, pilastres, frontons brisés blancs soulignés par la couleur bronze des lambris et moulures, et couronnés de statues en ronde-bosse. Mais, à moins d'user de votre charme auprès du gardien et d'avoir ainsi la chance de pénétrer par la somptueuse cour d'honneur (en évitant la foule des guichets), c'est par la façade sur la Neva, à peine moins somptueuse, que commence la visite du palais d'Hiver et de l'Ermitage. Un ensemble de palais. Plus qu'un palais, il s'agit bien d'un ensemble de palais unis dans une même destinée, mais dont la conception, étalée sur plus d'un siècle, traduit les subtiles nuances : le rectangle du palais d'Hiver a été construit de 1754 et 1762 dans le baroque le plus expressif par Bartolomeo Rastrelli sur la commande de la tsarine Elizabeth I re , fille de Pierre le Grand. Les chiffres se passent de commentaire : le palais d'Hiver couvre une superficie de 9 ha, soit 46 000 m² répartis en 1 500 pièces ; la corniche supérieure, mise bout à bout, court sur 2 km. Quand Catherine II devient impératrice, en 1763, l'immense et somptueux palais au train de vie versaillais, devenu le centre de la vie politique russe, a de quoi éblouir les diplomates européens qui se pressent dans ses salons ; mais la passion de la Grande Catherine pour l'art sera à l'origine de considérables agrandissements. La façade sur la Neva raconte, dans toute la richesse de sa diversité et de ses couleurs, l'histoire de cette évolution qui fera de la résidence impériale un musée incomparable. Histoire du musée de l'Ermitage. Tout commence en 1764 par un impérial tour de passe-passe. C'est en effet en soufflant au roi de Prusse Frédéric II une collection d'oeuvres d'art que le monarque prussien, mécène à ses heures, est incapable de payer, que la Grande Catherine acquiert les premières pièces du futur musée. Son ambassadeur à Berlin, Vladimir Dolgorouki, lui a signalé que le roi de Prusse est en dette auprès de son marchand d'art attitré, un certain Gotzkowski. L'impératrice, déjà amatrice d'art, saute sur l'occasion : elle achète sans discuter au marchand ses 225 toiles de peintres flamands, se faisant un petit plaisir et jouant du même coup un bon tour à Frédéric II, battu sur son terrain de mécène. Mais surtout, sa passion a contaminé l'aristocratie russe, dont les grandes familles créent leurs collections privées, qui iront rejoindre, après la révolution d'Octobre, les galeries de l'Ermitage. La visite. Avec ses quelque 400 salles réparties sur 3 niveaux et deux ailes différentes, vous vous perdez aisément. Comme pour la visite du Louvre avec lequel les similitudes sont nombreuses, nous vous recommandons fortement de définir au préalable vos priorités. Pour vous repérer, notez le numéro des salles inscrit en haut de chaque porte et reportez-vous au plan que vous vous serez procuré à l'entrée. Les explications sont peu nombreuses et rarement traduites, mais nous vous détaillons ci-dessous les arrêts les plus marquants. Des audioguides sont également disponibles. Enfin, vous devez accepter de vous perdre un peu et de prendre le risque de tomber par hasard sur une oeuvre de quelque maître dont vous ne vous saviez pas qu'elle se trouvait en Russie. Rez-de-chaussée : les antiquités. Le rez-de-chaussée ne constitue pas la priorité de la grande majorité des visiteurs du musée. Il est composé de salles dédiées aux cultures de la Préhistoire (Paléolithique, Néolithique), et à l'art antique (grec, romain, égyptien), jusqu'au début du Moyen Âge. Toutefois il faut noter les salles 16 à 20 qui abritent une collection d'objets scythes du XII e au II e siècle av. J.-C., incluant des vases en argent. La salle 26 expose les résultats de découvertes archéologiques faites dans l'Altaï en 1949. Vous y trouvez l'impressionnante momie d'un homme du VI e siècle av. J.-C., un char funéraire reconstitué, ainsi que ce qui est peut-être le plus ancien tapis du monde (VI e siècle av. J.-C.). Si la joaillerie scythe ne vous laisse pas insensible, alors ne manquez surtout pas de visiter le Trésor des Scythes (Galerie du Trésor I, salle 42), moyennant cependant un supplément de 300 RUB (visite guidée seulement, en anglais - deux fois par jour - et en russe). Achetez ce supplément au moment de l'achat de votre billet d'entrée (nombre limité de places). Les pièces d'orfèvrerie de cette collection (rhytons, bijoux, armes), souvent en or, témoignent de la richesse de la civilisation de ce peuple qui, bien avant l'apparition des Russes, habitait les steppes de l'Ukraine et les rivages septentrionaux de la mer Noire. Galerie des bijoux. À partir de la salle 121, vous pouvez accéder à la Galerie des Bijoux (Galerie du Trésor, II), moyennant ici encore un supplément, de 200 RUB. Visite (nécessairement guidée) seulement le matin. La collection regroupe une très grande variété de bijoux (colliers, bracelets, depuis le IV e av. J.-C. jusqu'au XIX e ), mais aussi des objets liturgiques, des épées ou des sabres incrustés d'émeraudes ou de diamants. Bon nombre de ces objets ont été amassés par les tsars depuis Pierre le Grand, mais aussi offerts à ces mêmes tsars : voyez par exemple les bouquets de fleurs en perles et en pierres précieuses, ou encore les célèbres oeufs de Fabergé. 1 er étage : S alles impériales et Arts classiques européens. Après avoir monté les marches du somptueux escalier d'honneur (ou escalier du Jourdain), débauche rococo de marbre blanc, lambris dorés, cariatides et trompe-l'oeil le visiteur ira droit au but, dans les salles italiennes, flamandes, françaises, allemandes, etc., où il choisira de s'abandonner à la contemplation et à l'errance. Juste avant cela, vous aurez l'occasion de passer par les salles 194, 195, 197 et 198. L'enfilade de ces salles constitue un hommage vibrant à l'art décoratif russe. Conçue par Montferrand en 1833, la salle de Pierre I er (ou petite salle du Trône, salle 194), qui renferme le trône impérial dans le décor Empire d'une salle tendue de velours rouge, est un hommage au fondateur de la ville (et de l'Empire russe). Deux panneaux latéraux illustrent deux de ses victoires (contre les Suédois). La salle des Armoiries (195) avec ses colonnes dorées est d'une superficie de plus de 1 000 m². Elle accueillait les cérémonies officielles. Les lustres sont décorés des écussons des 32 gouvernements de Russie ; les chevaliers sculptés, à chaque coin de la pièce, portent les armoiries des provinces russes. Les vitrines abritent des collections d'argenterie. La Galerie de la Guerre de 1812 (salle 197) a été créée en 1826, pour célébrer la victoire de l'armée russe sur Napoléon. Les 332 portraits des maréchaux généraux ayant pris part à cette campagne de Russie décorent les murs de la galerie. Enfilade d'Apparat. La Grande Salle du Trône (salle 198, également appelée salle Saint-Georges), est la salle principale du palais, celle qui accueillait cérémonies et réceptions officielles. La salle Nicolas (191) est la plus grande salle du palais, faisant plus de 1 100 m². Vous n'oublierez pas non plus la salle des Concerts (190), où vous ne manquerez pas d'admirer la châsse en argent massif contenant des reliques d'Alexandre Nevsky ; la salle de Malachite (189), aux dominantes vertes soulignées par les lambris dorés. Dans le prolongement de l'Enfilade d'Apparat présentée plus haut, les façades nord et ouest du premier étage portent sur la culture russe (salles 151 à 189). Ici encore, les salles sont autant dignes d'intérêt que les trésors qu'elles recèlent, à savoir des objets d'art appliqué, des instruments, des portraits, des armes... Salles 151 et 153, vous verrez une série de portraits des empereurs de Russie. Les salles 157 à 161 abritent des objets produits sous le règne de Pierre le Grand (début XVIII e ), ou lui ayant appartenu. Les salles 162 à 174 sont consacrées à l'art du XVIII e . A travers les nombreux objets exposés, on fait ou refait connaissance avec de grandes figures historiques russes comme Lomonossov, ou Catherine II. Ne manquez pas, salle 173, les sculptures sur ivoire, toujours impressionnantes de précision. Dans les salles 176 à 189, vous vous baladerez dans les reproductions des intérieurs des appartements de la famille impériale du XIX e siècle. Art italien (salles 207 à 237). Au premier étage du Vieil Ermitage, les salles de peintures et sculptures italiennes renferment des trésors comme La Vierge à l'Enfant de Fra Angelico, deux Madones (Benois et Litta) de Léonard de Vinci, La Déploration du Christ de Véronèse et Le Garçon accroupi de Michel-Ange, Le Joueur de Luth du Caravage, La Madona Conestabile et La Sainte Famille de Raphaël, Saint Sébastien et Dante de Titien. Dans les salles espagnoles (239 et 240), vous verrez les Apôtres Pierre et Paul du Greco, le Portrait du comte Olivares de Velázquez, La Crucifixion et le Portrait d'Antonia Zarate de Goya. École flamande du XVII e et XVIII e (salles 245 à 248). Elle est représentée par de très nombreuses toiles de Rubens (dont Persée et Andromède , et Bacchus ), et de Van Dyck (la Descente de la Croix ). L'école hollandaise (XVII e et XVIII e ) (salles 249 à 254) est représentée par une impressionnante collection de 28 Rembrandt (salle 254), dont le fameux Retour de l'enfant prodigue , le Sacrifice d'Abraham et la Sainte Famille , pour ne citer que les plus célèbres. La collection d'art néerlandais (XV e et XVI e ; salles 258-262) comprend des toiles de Campin et de Van der Weyden. Art français du XV e au XVIII e siècle (salles 272-297). Au premier étage du palais d'Hiver, vous découvrirez la deuxième collection au monde (après le Louvre) d'art français du XV e au XVIII e siècle (salles 272-297). Plusieurs salles sont ainsi consacrées à l'École française, avec des toiles de Le Nain, Poussin, Claude Gelée dit Le Lorrain ( Port au soleil couchant ), Chardin ou Greuze. Quatre salles (146 à 143) contiennent une très remarquable collection de toiles impressionnistes (Renoir, Courbet, Monet, Pissarro, Renoir, Van Gogh, Gauguin...), spoliées à des familles juives par les nazis et retrouvées par l'armée russe. Cette collection est un bon avant-goût de ce qui vous attend au second étage. 2 e étage : Art français des XIX e et XX e siècles, Art moderne, Art byzantin et oriental, Art chinois et asiatique Le second étage abrite un trésor de toiles d'artistes français. Plus de vingt salles (314-331, 343-350) exposent l'une des plus riches collections d'oeuvres d'artistes français du XlX e au XX e siècle, des impressionnistes au fauvisme et au cubisme, de David à Picasso : vous y verrez, entre autres, la Jeune femme à l'éventail de Renoir, la Femme au jardin de Claude Monet, l' Autoportrait et Les Bords de Marne de Cézanne, ou La Rencontre de Picasso. L'étage commence par une autre section impressionniste, fruit de collections de milliardaires russes qui avaient repéré (et qui appréciaient) le caractère révolutionnaire de cette manière de peindre. Salle 320, on admirera plusieurs toiles de Renoir. La salle 318 contient des oeuvres de Cézanne et de Rodin ; la salle 317 abrite quatre toiles de Van Gogh (dont les Femmes d'Arles ). Enfin, ne ratez surtout pas la salle 316, où sont exposées quinze toiles de l'époque tahitienne de Gauguin. La deuxième partie de la section impressionniste du second étage se situe dans les salles 343-345. La salle 344 est consacrée à Matisse et à ses oeuvres établissant le fauvisme, en particulier La Danse (1910). La salle 347 est consacrée au cubisme de Derain et Vlaminck. Salles 348 et 349, on trouvera des toiles de Picasso, dont la célèbre Buveuse d'absinthe . Art moderne. Le reste du second étage est consacré à l'art moderne, à la peinture occidentale et américaine des XIX e et XX e siècles (salles 334 à 342). La salle 334 expose des oeuvres de Kandinsky et de Malevitch (dont le Carré noir). On trouvera dans la salle 335 des sculptures modernes italiennes, dont certaines de Emilio Greco. La salle 338 contient des toiles apaisantes du paysagiste américain Rockwell Kent, là où les salles 340 à 342 regroupent des artistes européens romantiques de la fin du XIX e siècle. Arts de l'Extrême-Orient. Pour ceux qui ont encore du courage et du temps, les salles 351 à 367 sont dédiées aux arts de l'Extrême-Orient (Chine, Inde, Indonésie, Japon). Vous pourrez y voir, entre autres, des sculptures bouddhistes, des porcelaines, de la verrerie, des étoffes et du mobilier. Vous remarquerez notamment les peintures et sculptures de la grotte des Mille Bouddhas (Chine, VI e -X e siècle). Les salles 360 à 367 exposent les arts de la Mongolie et du Tibet. Art byzantin et art perse. Il faut enfin noter les salles d'art byzantin (381 et 382) et d'art perse (383 à 397), en particulier la collection d'objets en argent sassanide (Iran, III e à VII e siècle apr. J.-C.). Les salles 398-400 abritent une collection numismatique (monnaies et médailles russes, européennes et orientales.) Salle du pavillon. Dans le Petit Ermitage, il faut voir la magnifique salle du Pavillon. Ses voûtes blanc et or sont soutenues par de fines colonnes de marbre, selon les plans d'André Stakenschneider, qui fait détruire six des petites pièces du premier Ermitage de la Grande Catherine pour aménager, en 1856, l'une des plus somptueuses salles du palais ; la partie centrale est ornée d'une grande mosaïque de style romain, dans la tradition éclectique de l'époque."
@
"Privet iz Saint Petersburg 🤭 ~"
@tommaso.rampoldi
"thursday 10:30-18:00, friday 10:30- 21:00, saturday 10:30-18:00, sunday 10:30-18:00"
@
"Aunque es difícil, si conseguimos apartar la vista de los techos y a las paredes, veremos impresionantes obras de artes, de los mejores orfebres, escultores y pintores de todas las épocas de la humanidad."
@
"Molto grande. Da vedere ma c'è molta confusione.le opere non sono ben illuminate. Vedere le opere nel palazzo davanti al palazzo d'inverno. "
@
"Priorité aux salles de cultures russes + culture du Caucase "
@
"Kunstmuseum, lohnt sich anzuschauen :) Für Studenten kostenlos. Tickets für Erwachsene am Ticketautomaten kaufen (geht deutlich schneller)"
@
"no extraño nada pero cuando entré al primer cuarto lo único que vi fue la bandera 🇦🇷"
@
"Le plus célébre musée de Russie"
@
"Le plus célébre musée de Russie"
@
""Tutto quello che luccica è oro" 💫"
@
"i believe in the power of sunlight"
@
"If you are into art this is the place to go by evegeny said It’s huge and if you aren’t an art fan then skip it. "
@
"Splendide! A faire absolument"
@
"Nous avons été il y a très longtemps et C était super beau. Galerie intérieure "
@
"Founded in 1764 when Empress Catherine the Great acquired a collection of paintings from the Berlin merchant Johann Ernst Gotzkowsky"
@nchavotier
"Acheter les billets à l'avance"
@
"Plus gros musée de la ville, tres belles salles"
@
"Dans le Palais d’hiver, des collections d’une incroyable richesse rassemblées par l’impératrice Catherine II ; richissime collection de pein"
@
"Apparemment ouvert jusqu’à 21h00 le mercredi. Prévoir la journée et y déjeuner ou dîner dans un des cafés."
@
"L'un des musées les plus visités au monde. Musée grandiose regroupant des chefs-d'œuvre (3 millions d'œuvres). Très impressionnant !"
@vincenttim91
"Person guide gets to cut line "
@
"Palais d’Hiver de Nicolas Il, dernier tsar de la Russie impériale "
@
"Nocturne le vendredi soir Prévoir 2 à 3h "
@
"Second largest art museum in the world"
@
"Second largest art museum in the world"
@margit.grape
"Second largest art museum in the world"
@
"Fermé les lundis, 600 RUB, billets aux machines"
@
"ouvert de 10h à 18h fermé le lundi"
@
"In Cath the Great palace.400rooms. 3mill pieces art. Ask concierge an early entrance.Jordan staircase,Vinci madonna,matisse room, rembrandt "
@
"Simply gobsmacking. The greatest art collection in the world in the stunning Winter Palace complex. "
@