Lieu historique national du Fort-Chambly
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"Le Fort-Chambly est situé sur la rive ouest de la rivière Richelieu au Québec. Au pied des rapides de Chambly, il constitue l'un des plus importants vestiges de l’architecture militaire des XVIIe et XVIIIe siècles ; il s’inspire des principes des fortifications françaises à la Vauban. Classé lieu historique national en 1920, le fort Chambly est aujourd'hui un lieu d'interprétation qui rappelle l'histoire militaire et sociale de la vallée du Richelieu, de 1665 à 1760. Chaque année, le site accueille entre 100 000 et 150 000 personnes dont plus de 20 000 visitent le fort. Un grand nombre d'officiers se sont succédé au commandement du fort. 𝐔𝐧 𝐟𝐨𝐫𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞́𝐟𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐥𝐚 𝐯𝐚𝐥𝐥𝐞́𝐞 𝐝𝐮 𝐑𝐢𝐜𝐡𝐞𝐥𝐢𝐞𝐮 𝐞𝐭 𝐝𝐮 𝐒𝐚𝐢𝐧𝐭-𝐋𝐚𝐮𝐫𝐞𝐧𝐭 (𝟏𝟔𝟔𝟓-𝟏𝟔𝟗𝟎) Ce fort fut construit en 1665 par les Français sous le nom de fort Saint-Louis. Après de multiples demandes de la colonie, le roi Louis XIV envoya le régiment de Carignan-Salières en Nouvelle-France pour combattre les Iroquois. Le capitaine Jacques de Chambly, du même régiment, est envoyé pour construire un fort de bois près des rapides du Richelieu. Il n'avait qu'une seule porte, mesurait 144 pieds de côté et avait des palissades en bois de 15 à 20 pieds de haut (soit 5 à 7 mètres de haut). Il y avait des bâtiments dans l'enceinte pour abriter les soldats et pour les dépôts. La construction du fort Saint-Louis coïncide avec la date de la fête de saint Louis (Louis IX), le 25 août. Il faisait partie d'un réseau de cinq forts construits le long du Richelieu jusqu'au lac Champlain, servant de places fortes et de postes de ravitaillement au cours des raids contre les Agniers. Deux expéditions furent lancées en territoire iroquois. La première eut lieu au cours de l'hiver de 1666 et se solda par un échec des forces françaises. La seconde, durant l'automne de la même année, mena au pillage et à la destruction de cinq villages agniers ainsi qu'à la signature d'un accord de paix en 1667. Près du deux tiers des soldats du régiment de Carignan-Salières choisirent de retourner en France à la fin des hostilités, mais une petite garnison demeura au fort Saint-Louis jusque vers 1674. Il fut probablement abandonné ensuite. L'officier Pierre de Saint-Ours Deschaillons prit le commandement du fort Chambly en 1679 et resta en poste jusqu'en 1686. Entre-temps, le conflit avec les Iroquois reprit en milieu d'année 1680 et des compagnies franches de la Marine ainsi que des miliciens vinrent prendre garnison au fort. Le deuxième fort (1690-1702) Vers 1690, le premier fort arrive au bout de sa vie utile et un deuxième fort en bois est construit pour le remplacer. Le commandement était alors assuré par capitaine Raymond Blaise Des Bergères de Rigauville venu avec son légendaire chien « Niagara ». Fidèle compagnon, chien sentinelle et « courrier du roi », celui-ci deviendra vite un héros dans le triangle des forts de La Prairie, Chambly et Boucherville. Le troisième fort (1702-1709) C’est en novembre 1702 que le deuxième fort de bois fut détruit par un incendie accidentel. Les troupes régulières furent affectées à la reconstruction d’un troisième fort de bois. L’enceinte formée de pieux s’élevait à 12 pieds de hauteur. Le quatrième fort (1709 à aujourd'hui) Durant la guerre de Succession d’Espagne, de nouveaux ennemis s’ajoutèrent aux Iroquois : les Britanniques. En 1709, pour améliorer son efficacité face à l'artillerie anglaise, le gouverneur de l'époque, Philippe de Rigaud de Vaudreuil, ordonna de remplacer la palissade de bois par une muraille de pierre. La construction fut faite entre 1709 et 1711. Le matin du 4 septembre 1760, en pleine guerre de Sept Ans, un détachement composé de 1 000 Britanniques et de quelques pièces d'artillerie quitte un campement localisé dans les environs du fort Sainte-Thérèse avec pour objectif de prendre le fort Chambly. Aux abords de celui-ci, le colonel Derby, qui mène l'expédition, choisit d'user de stratégie et envoie ses soldats faire le tour des habitations avoisinantes. Femmes et enfants sont réunis et disposés à la manière d'une muraille humaine derrière laquelle se rangent les Britanniques. Protégés par leurs otages, les soldats ouvrent le feu en direction du fort et tirent quelques salves par-dessus la tête des civils. Comprenant l'astuce de son adversaire, Paul-Louis Dazemard de Lusignan, commandant français de la garnison du fort Chambly, choisit de négocier sa reddition et demande qu'on accorde à lui et ses hommes les Honneurs de la guerre. Le colonel Derby rejette cette demande et presse le commandant de se rendre faut de quoi il passera tout le monde au fil de l'épée. Contraints par cette nouvelle menace, de Lusignan et la cinquantaine d'hommes composant la garnison se rendent aux forces britanniques marquant la fin de la présence française dans le fort Chambly. Les Anglais tiennent le fort jusqu'au 20 octobre 1775, date de son invasion par les Américains. Les Britanniques en reprirent le contrôle en juin 1776. Au début de la guerre de 1812, ils y aménagèrent un important complexe militaire et le fort Chambly resta en leur possession jusqu'à la fin du conflit. Mal entretenu et décrépit, il fut abandonné dans les années 1850. 𝑱𝒆 𝒓𝒆𝒏𝒗𝒐𝒊𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒊𝒏𝒕𝒆́𝒓𝒆𝒔𝒔𝒆́(𝒆)𝒔 𝒅𝒆 𝒍'𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑵𝒐𝒖𝒗𝒆𝒍𝒍𝒆-𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆, 𝒍'𝒂𝒏𝒄𝒊𝒆𝒏𝒏𝒆 𝒈𝒓𝒂𝒏𝒅𝒆 𝒄𝒐𝒍𝒐𝒏𝒊𝒆 𝒇𝒓𝒂𝒏𝒄̧𝒂𝒊𝒔𝒆 𝒅'𝑨𝒎𝒆́𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒖 𝑵𝒐𝒓𝒅 𝒒𝒖𝒊 𝒔'𝒆́𝒕𝒆𝒏𝒅𝒊𝒕 𝒂̀ 𝒔𝒐𝒏 𝒂𝒑𝒐𝒈𝒆́𝒆 𝒅𝒖 𝒈𝒐𝒍𝒇𝒆 𝒅𝒖 𝑴𝒆𝒙𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒂̀ 𝒄𝒆𝒍𝒖𝒊 𝒅𝒖 𝑺𝒂𝒊𝒏𝒕-𝑳𝒂𝒖𝒓𝒆𝒏𝒕 𝒆𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝑨𝒑𝒑𝒂𝒍𝒂𝒄𝒉𝒆𝒔 𝒂𝒖𝒙 𝑹𝒐𝒄𝒉𝒆𝒖𝒔𝒆𝒔, 𝒗𝒆𝒓𝒔 𝒍𝒂 𝒓𝒊𝒄𝒉𝒆 𝒔𝒆́𝒓𝒊𝒆 𝒅𝒐𝒄𝒖𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒆 𝒍𝒖𝒊 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒂𝒄𝒓𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒐𝒏 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 (𝒍𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒊-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔 ⬇) ! 𝑆𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒(𝑠) : 𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑤𝑒𝑏 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑐𝑠 𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑎𝑢𝑥 𝑐𝑎𝑛𝑎𝑑𝑖𝑒𝑛𝑠 ; 𝑊𝑖𝑘𝑖𝑝𝑒́𝑑𝑖𝑎 (ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑓𝑜𝑟𝑡) ; 𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝐼𝑡𝑖𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑡𝑒"
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MONTRÉAL

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"Alors que l'été tirera bientôt sa révérence, les amateurs de saveurs sont invités à déguster des produits brassicoles québécois, en plus de pouvoir découvrir de nouveaux menus associés à la bière. Plus d'une centaine de kiosques de produits de dégustation, de l'animation, des conférences, le concours La Grande Brasse, des spectacles, de grandes terrasses pour se relaxer entre amis, tout y est pour une expérience mémorable dans le cadre enchanteur du bassin de Chambly."
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