Temple d'Hathor
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"Dedicato ad Hathor, dea egizia dell'amore, della musica e della maternità, questo tempio presenta un soffitto astrologico e una scultura in pietra dello zodiaco con costellazioni stellari. Combina la visita al tempio di Dendera quando viaggi da Luxor a Hurghada o da Hurghada a Luxor."

@aleee.innella

"Le temple d’Hathor est le monument majeur du complexe religieux de Dendérah. Celui-ci se situe à environ 60 kilomètres au nord du Louxor, l’ancienne Thèbes. Le site de Dendérah sera investi dès les premières dynasties égyptiennes. Cependant le temple d’Hathor, dans sa partie initiale, a été construit sous Ptolémée XII, durant le règne des Lagides. Le site sera redécouvert au XIXe siècle par les Occidentaux. Auguste Mariette fera la première étude détaillée du temple de l’ère moderne, en établissant des cartes cotées de l’intégralité de l’imposant monument dédié principalement à la déesse. Le temple originel de Dendérah était en effet dédié à Hathor, fille du dieu Soleil Rê, que les Égyptiens célébraient comme la déesse de l'amour, de la lumière éternelle, de la joie et de la musique. Pour les locaux, c'était en quelque sorte un sanctuaire de la guérison. 𝐋’𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐥𝐞 𝐝'𝐇𝐚𝐭𝐡𝐨𝐫 Selon la tradition égyptienne, le site et le temple de Dendérah seraient issus directement des plans des «Serviteurs d’Horus». Des êtres à demi-divins qui régnaient juste avant les pharaons. Ainsi Khéops et Pépi Ier, respectivement pharaons des IVe et VIe dynasties, auraient selon tradition, été inspirés directement par ses êtres divins pour établir les plans du temple. Le site et le temple d’Hathor auraient toujours existé depuis les premières dynasties de l’Ancien Empire, jusqu’au règne des Lagides. C’est ce que confirme Auguste Mariette, il constatera des vestiges datant du pharaon Khéops et Pépi Ier (IVe et VIe dynasties). En remontant le temps, on a identifié également des vestiges de la XIIe dynastie. Puis de l’existence d’un temple d’Hathor du temps de Thoutmôsis III, XVIIIe dynastie, ainsi que sous Ramsès II, XIXe dynastie. Avec ces deux dynasties, nous nous situons durant le Nouvel Empire, s’étalant de 1580 à 1085 avant J. -C. Puis nous arrivons un petit millénaire plus tard, durant le règne de Nectanébo Ier, pendant la XXXe dynastie. Son mammisi est le monument le plus ancien du complexe religieux actuel de Dendérah. On constate 3 périodes de construction de l’actuel temple d’Hathor. Le premier temple, n’intégrant pas la grande hypostyle, est commencé le 16 juillet en 54 avant notre ère. Le jour du lever héliaque annuel de l’étoile Sirius. Durant le règne de Ptolémée XII Aulète, père de Cléopâtre VII, qui lui succède en -51. La construction du premier temple du monument actuel durera 34 ans, et sera achevée sous le règne de l’empereur romain Auguste. Les décorations, réalisations de scènes et de fresques se poursuivront durant toute la période romaine. Le culte d’Isis, qui aura absorbé celui d’Hathor, sera très populaire dans la société romaine. Un temple de cette première sera même construit à Rome. Ainsi les empereurs romains se feront représentés en pharaon sur les temples égyptiens comme à Dendérah. Ainsi à l’intérieur du temple d’Hathor, on retrouve les cartouches de plusieurs empereurs romains tels Auguste, Tibère, Caligula, Claude et Néron. 𝐏𝐥𝐚𝐧 𝐝𝐮 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐥𝐞 𝐝'𝐇𝐚𝐭𝐡𝐨𝐫 La cour du temple d'Hathor est inachevée et on arrive devant l’imposante façade de la grande salle hypostyle qui sert de vestibule. La salle hypostyle 18 colonnes hathoriques en forme de sistre, instrument de musique favori d’Hathor, soutiennent le plafond. Ces colonnes végétales évoquent la nuit dans laquelle se dissimule la lune ; elles représentent le marais primordial où s’agite toute la Création, la source de toute vie. Les six colonnes de la façade sont reliées entre elles par des « murs-bahuts ». La façade trapézoïdale est surmontée d’une corniche ornée en son centre, d’un disque solaire ailé. Les chapiteaux représentent, sur quatre faces, la déesse Hathor coiffée d’une lourde perruque (jadis de couleur bleu) et surmontée d’un sistre. Les visages ont été martelés par les Coptes qui voyaient dans les traits de cette déesse, le symbole du plaisir et de l’amour. Les murs intérieurs de cette salle hypostyle sont ornés de reliefs. Immédiatement à droite, on remarquera le roi et un prêtre encensant l’âme ou ka du souverain ; Horus et Thot baptisent le roi ; les gouttes d’eau sont symbolisées par une suite de lignes de vie ; les déesses de Haute et Basse Égypte bénissent le roi. Au-dessus, sur les quatre registres, apparaissent les empereurs romains qui se partagent le titre de pharaon (Auguste, Tibère, Caligula, Claude et Néron) ; ils adorent Hathor et d’autres dieux, leur dédiant des offrandes, dont celle du saule. Le plafond de la salle hypostyle, divisé en sept travées par des architraves, supporte des représentations astronomiques : le trajet diurne du soleil, le trajet nocturne de la lune, les décans, les douze heures du jour et de la nuit. Dans le caisson de gauche, situé à 15 mètres de haut, on peut voir la tête d’Hathor aux oreilles de bovidé. La déesse, au visage radieux, reçoit les rayons du soleil Rê destinés non seulement à la protéger mais aussi à préserver son temple, dont la façade, dessinée en élévation, est visible sous son menton. Sur la travée sud, une scène présente Nout, la voûte céleste. Son corps s’étend d’un bout à l’autre de la salle ; ses pieds reposent à l’est, sa tête à l’ouest. Lorsque le dieu solaire effectue son parcours cyclique, il emprunte tour à tour les corps diurne et nocturne de Nout : pendant la journée, il illumine la terre ; le soir, il est avalé par la déesse et disparaît pour éclairer les régions souterraines ; le matin, il est remis au monde et, régénéré, il peut alors commencer un nouveau voyage diurne. Ainsi, près du pubis de la déesse, on assiste à la naissance de Rê ; ici, il éclaire de ses mille rayons le temple de Dendera symbolisé par un édifice que surmonte la tête de la vache Hathor. L’astronomie est liée au culte d’Hathor, les prêtres suivaient avec attention le mouvement des étoiles de façon à établir un calendrier précis des fêtes religieuses. La salle de l'apparition La salle de l'apparition reçoit la lumière à travers huit ouvertures judicieusement pratiquées dans le plafond. Placée juste derrière la première salle hypostyle, cette salle est soutenue par six colonnes à chapiteau composite, surmonté d’un dé hathorique. Les différents panneaux montrent les rites de la cérémonie de fondation du temple : à droite, le roi avec la couronne de Basse Égypte, tenant une houe en présence d’Hathor ; un prêtre avec un encensoir ; à gauche, le roi avec la couronne de Haute Égypte apporte à Hathor un lingot de matière précieuse qu’on déposera dans les fondations. Toutes les chambres qui s’ouvrent sur ce vestibule servant de magasins ou de trésors. La salle des offrandes Viennent ensuite deux pièces étroites : la première est une salle des offrandes avec un escalier qui tourne et conduit au toit du temple. Dans cette salle, s’accumulaient les offrandes de toute nature destinées à la déesse. Le petit kiosque du Nouvel An La deuxième salle sert de vestibule au sanctuaire avec, sur sa gauche, une petite pièce, sorte de vestiaire destiné à entreposer les vêtements de cérémonie de la déesse Hathor. A droite, on entre dans la cour à ciel ouvert ; elle précède le petit kiosque du Nouvel an. Au plafond du kiosque, on voit des représentations de Nout et de la naissance du soleil qui darde ses rayons sur le temple, représenté par une tête d’Hathor dressée sur une montagne, entre deux arbres. Dans le sanctuaire, on déposait les barques destinées à la déesse ainsi que ses statues. Des bas-reliefs exposent une succession des rites du culte journalier que devait accomplir le roi : il brise les scellés de la porte ; il adore Hathor ; il offre de l’encens ; il présente à Hathor et Horus une statuette de la déesse Maât. Les chapelles Tout autour du sanctuaire court un étroit couloir sur lequel s’ouvrent onze petites chapelles. En partant de la gauche, face au sanctuaire : elles sont dédiées à Hathor ; Isis ; Sokaris (à tête de faucon, assimilé à Osiris) ; Harsomthous (Horus qui réunit les Deux Terres, fils d’Hathor et d’Horus) ; les quatre chapelles suivantes sont consacrées à Hathor ; la neuvième à Horus d’Edfou ; les deux dernières à Hathor. Dans une salle centrale, derrière le sanctuaire, était déposé un naos (chapelle en bois ou en pierre, portative) avec une statue cultuelle d’Hathor. Les cryptes De petits couloirs très étroits, aménagés dans l’épaisseur des murailles ou des fondations, donnent accès à des pièces de petite dimension et décorées : les « cryptes », lieux cachés et exclusivement réservés aux prêtres. On y pénétrait alors, soit par des ouvertures ou des trappes dissimulées dans les parois ou dans le sol, soit par des dalles mobiles, les une comme les autres étant descellées chaque fois que le besoin s’en faisait sentir. Ces salles aménagées sur plusieurs niveaux servent à entreposer les objets sacrés et divins, les trésors et les richesses du temple, le matériel cultuel et les archives. La plus intéressante de ces « cryptes », dans laquelle on descend par un couloir aménagé dans une des salles entourant le « saint des saints », porte les cartouches de Ptolémée XIII – roi sur lequel on ignore tout puisqu’il n’a régné que quelques mois en 47 av. J.-C. Les textes relatent les processions qui se déroulent sur la terrasse du temple et qui consistent à promener en barque l’effigie d’Hathor. Quant aux dessins, d’une finesse rarement égalée dans l’art ptolémaïque, ils présentent des objets de culte spécialement ouvragés et, surtout, un très beau faucon coiffé d’une couronne à plumes. On peut y voir une fresque célèbre représentant un serpent, image d'Harsomthous et symbole de fécondité, protégé par une gangue, surgissant d'une fleur de lotus et étayé par un pilier humanisé, le pilier djed, symbole de la solidité et de la permanence. Le toit A l’est et à l’ouest de la « salle des offrandes », deux escaliers conduisent au toit bordé d’un parapet. C’est là que se tenait chaque année la fête du Nouvel An. Au soleil levant, au cours de la cérémonie appelée l’« Union au Disque », on transportait la statue d’Hathor sur le toit du temple afin qu’elle soit régénérée par les rayons solaires de son père Rê. Cette procession est représentée sur les murs de l'escalier menant au toit du temple. Le kiosque de l'Union au Disque A l’angle sud-ouest de la terrasse, se dresse un petit kiosque fort élégant qui commémore à travers les reliefs gravés sur ses parois, le rite de l’ « Union au Disque » : au cours de cette cérémonie, on sort les statues divines de leur tabernacle et on les dévoile aux rayons du soleil levant afin de les régénérer et de les recharger en énergie. De plan rectangulaire, ses douze colonnes montrent le visage d’Hathor vers les quatre points cardinaux. Il fut construit par Ptolémée XII et, à l'origine, possédait un plafond voûté en bois, ce qui est exceptionnel. A l’autre bout de la terrasse, deux chapelles d’Osiris s’ouvrent sur une cour. Le culte consacré à Osiris est ici important car Dendera était une des seize villes où était conservés l’une des parties du corps dépecé d’Osiris. 𝐋𝐞 𝐙𝐨𝐝𝐢𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐃𝐞𝐧𝐝𝐞𝐫𝐚 C’est dans l’une de ces chapelles que fut trouvé le célèbre Zodiaque de Dendera ; en grès, ramené au musée du Louvre dans des conditions rocambolesques. Il fut acheminé vers Marseille en 1821, puis à Paris, où il fut vendu au ministère de l’Intérieur et à la Maison du Roi. On le plaça au cabinet des Antiques de la Bibliothèque du Roi ; il entra au Louvre en 1918. Sur le site de Dendera, il est remplacé par un moulage. La voûte céleste est supportée par les quatre déesses, piliers du ciel, orientées vers les quatre points cardinaux. Sur leurs mains, repose le cortège des trente-six décans. Dans le cercle intérieur, les signes zodiacaux se mêlent aux planètes et aux constellations. Leur position précise et la figuration de l’éclipse qui eut lieu en mars 51 av. J.-C., permettent de confirmer que le zodiaque fut dessiné entre juin et août de l’année 50 av. J.-C., sous les Ptolémées. Le zodiaque de Dendérah est un planisphère, carte représentant le ciel étoilé en projection plane, avec les douze constellations de la bande zodiacale, les constellations formant les 36 décans (de dix jours chacun) et les planètes. Éric Aubourg y reconnaît la constellation de la Grande Ourse et les douze constellations zodiacales. Pour ces dernières, il précise qu'elles sont « héritées des zodiaques babyloniens (la Balance y figure, réinterprétée à l’égyptienne, alors que l’astrologie grecque l’incorporait au Scorpion) »19. Cette représentation d'un zodiaque circulaire est unique dans l'Égypte antique. Un autre zodiaque, rectangulaire, orne l'un des plafonds du rez-de-chaussée[réf. souhaitée]. La voûte céleste est représentée par un disque soutenu par quatre piliers du ciel représentés sous la forme de quatre femmes, aidées par quatre groupes de deux hommes à tête de faucon1. Selon l'orientation donné au zodiaque, ces quatre piliers sont les points inter-cardinaux ou les points cardinaux. Certains identifient les quatre femmes à la déesse Isis, et les huit hommes au dieu Osiris26. D'autres identifient les quatre femmes à la déesse Hehet, et les huit hommes à son époux, le dieu Heh. Selon Sextus Empiricus, les Babyloniens étaient à l'origine de la division en douze parties égales. « Les douze constellations des Grecs portaient les mêmes noms que celles des Chaldéens »21(page 40-41). L'observation des zodiaques de Dendérah et d'Esné montre que « les signes du zodiaque égyptien sont les mêmes que ceux des Grecs ». Il y a cependant une différence : Chaldéens et Égyptiens appellent Balance ou joug le signe que les Grecs appellent les serres ou les pinces du Scorpion. Sur le cercle intérieur, on trouve l'écliptique, sur lequel sont placées les constellations du zodiaque. Leur représentation est proche de leur désignation actuelle comme le Bélier, le Taureau, Scorpion, Capricorne. En revanche, le Verseau a une iconographie plus égyptienne : il est représenté comme le dieu de l’inondation Hâpy, tenant deux vases d’où jaillit de l’eau. Au centre se trouvent les constellations du ciel du Nord, dont la Grande Ourse, sous la forme d'une patte avant de taureau. Une déesse hippopotame, en face de la Petite et de la Grande Ourse, figure la constellation du Dragon1. Les autres personnages représenteraient des constellations. Le Louvre en désigne un certain nombre avec certitude (en plus des douze constellations de l'écliptique) : Aigle, Bouvier, Cassiopée, Cheval (Petit), Cygne-Lyre, Dragon, Loup, Orion, Ourse (Grande), Ourse (Petite), Serpent. Une pièce contiguë est ornée d'une scène où Osiris étendu sur un lit est réconforté par Hathor. Isis en oiseau plane au-dessus de lui, prête à recevoir sa semence et à enfanter Horus. Les murs extérieurs du temple d'Hathor Sur les murs extérieurs du temple d’Hathor, on verra quelques reliefs datés de l’époque romaine. Sur la façade sud, on remarquera spécialement Cléopâtre et son fils Césarion placés devant Hathor, Horus d’Edfou, Ihy et Hor-Semataouy. Les autres constructions de Dendera : Le temple de la naissance d’Isis, partiellement préservé. Il forme une entité cultuelle indépendante entourée par sa propre enceinte de briques crues; bien qu'endommagés, les reliefs de la paroi sud montrent que c'est en ce lieu précis qu'Isis a été mise au monde par sa mère Nout. Le lac sacré, sorte de vaste bassin desservi par quatre escaliers en pierre. Ce monument, très bien conservé, symbolise le Noun, nom donné à l'Océan primordial d’où a émergé le dieu solaire, donc la vie, à l’aube des temps. Outre sa fonction hautement symbolique, il sert à la purification des prêtres et aux promenades des barques divines lors des cérémonies rituelles. Plus loin, apparaissent les bains romains, appelés également « sanatorium », édifice de briques crues accueillant les malades venus chercher une guérison miraculeuse grâce à l’intervention divine. En repartant, dans la cour du temple, à droite de la porte de Domitien, on remarquera une statue remarquable du dieu Bès placée au sol. 𝐇𝐚𝐭𝐡𝐨𝐫, 𝐝𝐞́𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐥𝐮𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞 Fille de Rê, elle est la déesse de l'amour, du désir et de la joie, ainsi que de la musique. Elle a un parèdre (ou conjoint) : le dieu hiéracocéphale Horus dont elle fut la nourrice avant de devenir l'épouse; elle a pour fils, Ihy, un dieu-enfant musicien, incarnant la jeunesse. Hathor jouit d’un culte particulier depuis les plus hautes époques ; elle est représentée sous les traits d’une vache céleste ou d’une femme portant des cornes entourant un disque solaire. Elle est l’incarnation d’une déesse céleste qui porte le soleil, la voûte céleste étant assimilée à son pelage, ses cornes étant en forme de croissant de lune. On la considère à la fois comme une déesse lunaire, comme un soleil féminin. Elle représente l’étoile Sirius, la plus brillante de toutes les étoiles. Son nom se traduit généralement par « château d’Horus » qui désigne l’espace clos dans lequel Horus solaire se déplace. Hathor était particulièrement vénérée à Dendera mais également au temple de Deir-el-Bahari, dans la Vallée des Rois. Les Grecs l'assimilèrent à Aphrodite. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒃𝒍𝒐𝒈 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝒄𝒊𝒗𝒊𝒍𝒊𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒂𝒏𝒄𝒊𝒆𝒏𝒏𝒆𝒔 ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒖 𝒃𝒍𝒐𝒈 𝑷𝒂𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏 𝒆́𝒈𝒚𝒑𝒕𝒊𝒆𝒏𝒏𝒆 (𝒍𝒊𝒆𝒏𝒔 𝒄𝒊-𝒅𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒔) ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"After the death of Alexander the Great, in 323 B.c.m. his empire was divided up and Eqver went to one of his Macedonian gerterals, Prolemy, whose successors ruled the country until Roman times. Tombs at Dendera go back far earlier than this, however, and Include burials of sacred animals, including cows. One of the forms reputed to have been taken by the goddess Hathor was that of a cow. She suckled each infant pharaoh and was often depicted in human form with a cow's ears and a crown embellished with the disk of the sun between her horns. Hathor was the goddess of love and beauty, and in her capacity as the mistress of drunkenness, she was linked with dancing and revelry. She gradually merged with the goddess Isis, who was one of the most revered deities in the eastern Mediterranean world Hathor's Ptolemaic temple at Dendera replaced an earlier temple and was itself altered and added to, up until the time of the early Roman emperors. A unique feature in Egypt was a sanitorium where the sick could spend the night in hope of experiencing a healing dream sent by the goddess. The temple is decorated and on one exterior wall is a large relief of Queen Cleopatra, who died in 30 scE, depicted with Caesarion, her son by Julius Caesar Cleopatra may well have used this image to identify herself with the goddess. A few years after Cleopatra's death, Emperor Augustus built a separate temple to Isis scenes in the main temple show later emperors making offerings to the goddess. In the Emperor Tiberius's time 35 cc a hypostyle (columned) hall was added. It has column capitals in the shape of a sistrum -an ancient Egyptian musical instrument connected with the goddess: Isis and a ceiling bearing signs of the zodiac. Part of the building was turned into a Coptic Christian church in the fifth century"

@nchavotier

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