Monastère de Yuste
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"𝑭𝒐𝒏𝒅𝒆́ 𝒂𝒖 𝑿𝑽𝒆 𝒔𝒊𝒆̀𝒄𝒍𝒆, 𝒊𝒍 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒏𝒖 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒂𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒆́𝒕𝒆́ 𝒍𝒆 𝒍𝒊𝒆𝒖 𝒅𝒆 𝒓𝒆́𝒔𝒊𝒅𝒆𝒏𝒄𝒆 𝒅𝒆 𝒍'𝒆𝒎𝒑𝒆𝒓𝒆𝒖𝒓 𝑪𝒉𝒂𝒓𝒍𝒆𝒔 𝑸𝒖𝒊𝒏𝒕 𝒂𝒖 𝒄𝒐𝒖𝒓𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝒅𝒆𝒓𝒏𝒊𝒆𝒓𝒔 𝒎𝒐𝒊𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒂 𝒗𝒊𝒆. 𝑵𝒊𝒄𝒉𝒆́ 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆 𝒎𝒂𝒔𝒔𝒊𝒇 𝒅𝒆 𝑻𝒐𝒓𝒎𝒂𝒏𝒕𝒐𝒔, 𝒊𝒍 𝒑𝒐𝒔𝒔𝒆̀𝒅𝒆 𝒅𝒆𝒖𝒙 𝒔𝒖𝒑𝒆𝒓𝒃𝒆𝒔 𝒄𝒍𝒐𝒊̂𝒕𝒓𝒆𝒔, 𝒍𝒆 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝒈𝒐𝒕𝒉𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒆𝒕 𝒍𝒆 𝒔𝒆𝒄𝒐𝒏𝒅 𝑹𝒆𝒏𝒂𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒄𝒆. L'origine du monastère de Yuste remonte à un petit ermitage, qui vit augmenter ses dimensions grâce à une donation de terres au début du XVe siècle. Appartenant à l'ordre des Hiéronymites et fondé en 1408, il doit sa renommée internationale au fait que dès 1557, l'empereur Charles Quint vint y passer les derniers mois de sa vie après avoir abdiqué en faveur de son fils Philippe II. Pour lui, il se fit construire un petit palais, austère, dans la partie sud du couvent. On peut y voir une intéressante église gothique, avec un retable de Juan de Herrera et un coro gothique sculpté. 𝐋𝐚 𝐝𝐞𝐫𝐧𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐦𝐞𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐩𝐮𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐚𝐢𝐧 𝐞𝐮𝐫𝐨𝐩𝐞́𝐞𝐧 𝐝𝐞 𝐥'𝐞́𝐩𝐨𝐪𝐮𝐞 Né le 24 février 1500 à Gand (comté de Flandre), élu en 1520 empereur sous le nom de Charles V, Charles de Habsbourg, plus connu en français sous le nom de Charles Quint, fut le monarque européen le plus puissant de la première moitié du XVIe siècle ! Fils de Philippe le Beau et de Jeanne la Folle, il est héritier par son père des possessions de la maison de Habsbourg (archiduché d'Autriche, etc.) ainsi que des dix-sept provinces des Pays-Bas et de la Franche-Comté, et par sa mère des royaumes de Castille et d'Aragon (sous le nom de Charles Ier) et de l'empire colonial espagnol, ainsi que du royaume de Naples (Charles II). Cette accumulation de territoires et de pouvoirs est en partie le résultat du hasard (la mort de sa tante, Isabelle d'Aragon, princesse des Asturies, en 1498, puis du fils de cette dernière, l'infant Miguel de la Paz, en juillet 1500, ont fait de sa mère l'héritière des deux couronnes espagnoles), mais surtout le résultat de la politique délibérée d'alliances matrimoniales des Habsbourg qui a fait de lui l'héritier de pas moins de quatre dynasties : petit-fils de la duchesse Marie de Bourgogne, de Maximilien d'Autriche, d'Isabelle la Catholique, reine de Castille, et de Ferdinand le Catholique, roi d'Aragon et de Naples, il est duc de Bourgogne sous le nom de Charles II, roi des Espagnes sous le nom de Charles Ier (en espagnol Carlos I), mais est surtout passé à la postérité comme l'empereur romain germanique Charles V (en allemand Karl V.). Il apparaît comme le dernier empereur qui ait souhaité réaliser le rêve carolingien d'un empire à la tête de la Chrétienté unie. Cette volonté d'unité chrétienne face à la progression de l'Empire ottoman dans les Balkans et en Méditerranée a été systématiquement combattue par les rois de France François Ier et Henri II, qui recherchent volontiers l'alliance turque (les fameuses "alliances de revers" contre l'ennemi Habsbourg), et remise en cause par la Réforme protestante, initiée par Martin Luther à partir de 1517. À ces problèmes qui se posent pendant tout son règne s'ajoutent des révoltes en Castille, dans le Saint-Empire, en Flandre et en Brabant. Au terme d'une vie de combats, miné physiquement et désabusé par ses échecs face à la France, aux luthériens et à sa propre famille, il se dépouille volontairement de ses pouvoirs. Par une série de conventions avec son frère Ferdinand, il lui cède les États autrichiens et la dignité impériale. Le 25 octobre 1555, à Bruxelles, il abdique ses droits sur les Pays-Bas, unis par la Pragmatique Sanction (1549) et séparés de l'Empire par la transaction d'Augsbourg, en faveur de son fils Philippe, déjà duc de Milan et roi de Naples, et lui cède enfin ses droits sur l'Espagne en 1556. Il se retire alors dans notre présent monastère de Yuste pour y passer les dernières années de sa vie (il y mourra en fait au bout de seulement quelques moins, le 21 septembre 1558, âgé de 58 ans). Ses restes sont transférés en 1574 du monastère à la nécropole royale de l'Escurial, édifiée par son fils Philippe à 40 km de Madrid. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑺𝒑𝒂𝒊𝒏.𝒊𝒏𝒇𝒐 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

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