Sacra di San Michele
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"tlj sf lun. mat. et apr.-midi (juil, août et sept. tlj) Perchée sur un piton rocheux à 962 m d'altitude, cette abbaye bénédictine comptait au 13e s. plus de cent religieux et commandait à cent quarante monastères. Edifiée à la fin du 10e s. par un Auvergnat, Hughes de Montboissier, elle rappelle par son plan général l'abbaye du Mont-Saint-Michel. Après avoir franchi les portes de fer du châtelet d'entrée, on gravit le grand escalier, dit à juste titre « escalier des Morts », qui conduit à la porte du Zodiaque, dont les pilastres et les chapiteaux sont ornés de sculptures du « maestro Nicolò» (1135). Au sommet de la pointe rocheuse, l'église abbatiale de style roman-gothique, est décorée de fresques du 16e s. Au maître-autel, triptyque dû à Defendente Ferrari (début 16° s.). Remarquables chapiteaux sculptés. De l'esplanade, belle vue*** sur les montagnes et la vallée de la Doire. Puis voir Susa*(Suse) Au pied d'un énorme cercle de montagnes dominé par le Rocciamelone (3 538 m), la ville est située à l'intersection des deux routes qui conduisent en France, ce qui lui valut l'appellation de « Porte de l'Italie ». En raison de sa position stratégique, Susa, de fondation celtique et centre de commerce florissant à l'époque romaine, fut plusieurs fois détruit (par Constantin en 312 et Barberousse en 1174). Symbole de la ville, la porte de Savoie *, qui emprunte son nom français de la région, remonte à la fin du 3e s.-début du 4e s. apr. J.-C., lorsque les remparts furent élevés. À côté de la porte se dresse la cathédrale, fondée vers 1027-1029 et agrandie dans des formes gothiques au 14e s. Le côté sud donne sur la petite place San Giusto, dominée par un magnifique campanile roman**. Dans un petit coin de nature enchanteur se trouve l'élégant arc d'Auguste*, le plus vieux monument de la ville (8e s. av. J.-C.). Les bas-reliefs exécutés par l'école locale représentent le pacte d'alliance entre Cottius, seigneur de Suse, et Auguste. Précédant l'arc, vestiges d'un aqueduc romain (4e s. apr. J.-C.), au-delà desquels on parvient aux rochers celtiques en forme de coupelles (rocce coppelliformi - 6e-5e s. av. J.-C.) utilisés par les druides pour les rites sacrificiels. Au sud, excentré suivant l'usage, se trouve un amphithéâtre dans un cadre paisible, érigé aux 1er-2e s. apr. J.-C. Abbazia della Novalesa -www.abbazianovalesa.org - mat. et apr.-midi, j. fériés mat. - gratuit. Cette imposante abbaye bénédictine, fondée au 8e s. comme tête de pont de la domination franque en zone lombarde, fut détruite par les Sarrasins au 10e s., puis reconstruite, pour ensuite décliner progressivement à partir du 13e s. Joyau de l'abbaye, les extraordinaires fresques** de la chapelle Sant'Eldrado (12e s.), illustrant les Vies de saint Eldred et saint Nicolas de Bari. "
@cgnaya
"Incroyable monastère perché dans les montagnes. Très ancien et vues incroyables "
@louis.marchandise
"Monument that inspired Umberto eco in conceiving “il nome della rosa”, in the Church are buried the members of housse of Savoy family "
@chiarapettinelli