Castlerigg Stone Circle
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"𝑺𝒊𝒕𝒖𝒆́ 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒑𝒍𝒂𝒕𝒆𝒂𝒖 𝒅𝒆́𝒈𝒂𝒈𝒆́ 𝒅𝒆 𝑪𝒂𝒔𝒕𝒍𝒆𝒓𝒊𝒈𝒈, 𝒂𝒖 𝒔𝒐𝒎𝒎𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒍𝒍𝒊𝒏𝒆 𝒅𝒆 𝑪𝒉𝒆𝒔𝒕𝒏𝒖𝒕, 𝒄𝒆 𝒄𝒓𝒐𝒎𝒍𝒆𝒄𝒉 𝒆𝒔𝒕 𝒍𝒆 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒕𝒐𝒖𝒓𝒊𝒔𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑪𝒖𝒎𝒃𝒓𝒊𝒂 𝒆𝒕 𝒇𝒂𝒊𝒕 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒐𝒑𝒓𝒊𝒆́𝒕𝒆́𝒔 𝒅𝒆 𝒍’𝑬𝒏𝒈𝒍𝒊𝒔𝒉 𝑯𝒆𝒓𝒊𝒕𝒂𝒈𝒆. Le cercle, aplati, mesure 32,6 mètres à son plus grand diamètre et 29,5 mètres à son plus court ; il est formé de 40 pierres exactement selon le National Trust. Cependant, certaines petites pierres étaient peut-être enterrées en soutien des grosses, apparaissant avec l’érosion ; ainsi, selon la méthode de calcul, on obtient entre 38 et 42 pierres. À l’est, 10 pierres supplémentaires forment un enclos rectangulaire, à l’intérieur du cercle, utilisant trois pierres de ce dernier comme petit côté ; ce lieu est appelé « le sanctuaire ». Le plus grand espacement entre deux pierres est orienté nord-est, mais l’English Heritage présente un trou de 3,3 mètres du côté nord comme étant l’entrée. Les pierres sont d’ardoise, une roche métamorphique, présente dans la région. La plus lourde pierre est estimée à 16 tonnes, et la plus haute mesure environ 2,3 mètres. Un agriculteur a, au début du XXe siècle, déterré à 90 mètres au sud-ouest du site une pierre massive (voyez cette illustration), dont on ne sait si elle faisait partie du cercle. Déterminer l’âge des cromlechs est difficile, et peu d’études ont été menées sur celui de Castlerigg. Il semble cependant que ce soit l’un des plus anciens de Grande-Bretagne, daté selon certains de 3.200 av. J.-C. et selon d’autres, dont l’English Heritage, de 3.000 av. J.-C., pendant le Néolithique. Les raisons de la construction de Castlerigg, ainsi que ses différents usages dans le temps, ne sont pas connus. Au XVIIIe siècle, deux haches de pierre et un bâton du même matériau ont été trouvées. Cela laisse penser qu’il a peut-être été associé à la production de haches de Great Langdale : en raison de l’utilisation rituelle des haches dans toute la Grande-Bretagne, on suppose que leur échange ou leur vente devait s’associer à un rituel ; une telle cérémonie aurait pu être associée à un tel cromlech, dans lequel se passeraient les échanges ou ventes. Aucune fouille n’a été menée depuis le XIXe siècle, et la compréhension globale des cromlechs n’a pas avancé. En 1985, l’English Heritage a lancé une étude géophysique, dont le rapport complet n’a jamais été publié. En 2004, Margarita Díaz-Andreu, du Département d’archéologie de l’université de Durham, a commandé une étude sur les pierres de Castlerigg, pour vérifier si de l’art rupestre préhistorique pouvait être découvert. Une technique d’enquête pionnière a été employée, se servant d’un laser pour enregistrer des images tridimensionnelles des pierres ; seuls des graffitis récents ont été trouvés. Le paysage préservé dans lequel s’inscrit le cromlech de Castlerigg a été une source d’inspirations pour les poètes et peintres romantiques au XIXe siècle. Samuel Taylor Coleridge s’y rend en 1799 avec William Wordsworth, et écrit qu’à un mile et demi (deux kilomètres et demi) de Keswick se trouve « un cercle druidique [où] les montagnes se tiennent les unes derrière les autres, en rang ordonné comme si elles étaient évoquées par et attentives à une assemblée de sorciers en veste blancheTrad. ». Le passage de l’épopée Hyperion de John Keats, « Scarce images of life, one here, one there,/Lay vast and edgeways; like a dismal cirque/Of Druid stones, upon a forlorn moor… », a probablement été inspiré par son passage ici. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

"Lonely planet : FREE Set on a hilltop a mile east of town, this jaw-dropping stone circle consists of 48 stones that are between 3000 and 4000 years old, surrounded by a dramatic ring of mountain peaks. "

@wheely

"On y passe après avoir fait une randonnée à Catbells."

@ohalain1

"A magical place where you can walk freely, unlike Stonehenge."

@taraanbudaiyan

"Perhaps the most atmospheric and dramatically sited of all British stone circles, with panoramic views and the mountains of Helvellyn and High Seat as a backdrop #englishheritage"

@daleg

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