Musée des Augustins - Musée des beaux-arts à Toulouse
Le Musée des Augustins à Toulouse est un musée des beaux-arts installé dans un magnifique bâtiment historique. Lors de votre visite, vous pourrez admirer de superbes statues, dont celle de Marie Madeleine cf pulmonis Sanitas. Ne manquez pas de vous promener dans le beau cloître et d'apprécier la vue imprenable sur les environs. Cette balade culturelle vous plongera dans l'histoire et l'art de la région. Le musée est actuellement fermé, mais nous attendons avec impatience sa réouverture prochaine.
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Histoire Itinérante
@histoireitinerante
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6280places
"La qualité des collections et la beauté de l'ancien couvent des Augustins sont deux bonnes raisons pour faire une halte dans ce musée. Réputé pour sa collection de sculptures romanes, il possède également un vaste ensemble de peintures européennes du XIVe au XXe siècle. Le musée est en outre riche de belles curiosités liées à la mythologie toulousaine : on peut ainsi notamment y voir la fameuse sculpture des deux Vierges de Toulouse de la légende locale (qui auraient donné respectivement naissance à un lion et un agneau… !), ainsi que le tombeau de la reine Pédauque, épouse du roi wisigoth Euric et célèbre reine à la patte d'oie (Pédauque venant de l'occitan pé qui veut dire pied, et auco qui signifie oie !). 𝐋'𝐮𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐧𝐬 𝐦𝐮𝐬𝐞́𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 Fleuron du gothique languedocien, le couvent des Augustins, édifié au XIVe siècle, devint musée en 1793, à l'initiative de Condorcet et de l'abbé Grégoire, soucieux de protéger les témoignages du passé du zèle intempestif et destructeur de l'époque révolutionnaire. Privilégiant la clarté, évitant l'effet d'accumulation, la présentation des collections invite le visiteur à accomplir un passionnant parcours chronologique à travers l'art, du Moyen Age jusqu'au XXe siècle. 𝐔𝐧𝐞 𝐛𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐬𝐜𝐮𝐥𝐩𝐭𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐢𝐟𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐞́𝐩𝐨𝐪𝐮𝐞𝐬 Déployées dans l'ancien réfectoire du couvent, les sculptures provenant du prieuré Notre-Dame de la Daurade, de la basilique Saint-Sernin et de la cathédrale Saint-Étienne, trois des principaux édifices religieux de Toulouse au XIIe siècle, constituent un remarquable ensemble consacré à la statuaire romane. Une collection d'épigraphie médiévale, dans une salle mitoyenne, complète cet ensemble. Plusieurs salles présentent ensuite des œuvres caractéristiques de la sculpture gothique méridionale, dont plusieurs gisants, des statues en bois polychrome (belle Pietà du XVe siècle), et une inquiétante série de gargouilles. 𝐏𝐞𝐢𝐧𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐫𝐞𝐥𝐢𝐠𝐢𝐞𝐮𝐬𝐞 𝐞𝐭 𝐩𝐞𝐢𝐧𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐚𝐧𝐞 La nef de l'église, où l'on remarquera un magnifique Christ en croix de Rubens, et un San Diego en extase devant la croix de Murillo, abrite les collections de peinture religieuse du XVe jusqu'au XVIIIe siècle, en partie constituées à partir des saisies effectuées pendant la période révolutionnaire. Plus loin, au premier étage de l'aile Viollet-le-Duc, ont été regroupés des maîtres de l'école flamande et française (Philippe de Champaigne, Subleyras, Hyacinthe Rigaud, Oudry, Snayers,...). Consacré à la peinture du XIXe siècle, le « salon rouge », qui renferme quelques sculptures de Camille Claudel et de Falguière, expose notamment des toiles de Delacroix, d'Ingres, de Manet et de Toulouse-Lautrec. Toutes ces œuvres sont très bien présentées. 𝐋𝐚 𝐯𝐢𝐞 𝐝𝐮 𝐦𝐮𝐬𝐞́𝐞 𝐞𝐭 𝐬𝐚 𝐫𝐞́𝐧𝐨𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 Des visites commentées sont proposées en permanence. Trois à quatre expositions temporaires sont organisées chaque année (« Civilisations du soleil », « La Courte de l'An Mil »...). Des concerts d'orgue ont régulièrement lieu dans l'église. Installé dans un ancien couvent du XIVe siècle, transformé en musée à la fin du XVIIIe siècle, agrandi au XIXe siècle, modernisé au XXe siècle, le musée des Augustins a vécu de très nombreuses évolutions. De nouveaux travaux se sont avérés absolument nécessaires ces dernières années, afin de résoudre des problèmes structurels mais aussi de répondre à de nouveaux usages culturels. La réouverture du musée est à ce jour envisagée à la fin de l'année 2025. 𝐓𝐨𝐮𝐥𝐨𝐮𝐬𝐞, 𝐜𝐢𝐭𝐞́ 𝐡𝐞𝐫𝐦𝐞́𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 – 𝐞𝐭 𝐡𝐞𝐫𝐦𝐞́𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞 (𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒖 𝑺𝒂𝒏𝒈 𝒅𝒆𝒔 𝑪𝒂𝒕𝒉𝒂𝒓𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑮𝒆́𝒓𝒂𝒓𝒅 𝒅𝒆 𝑺𝒆̀𝒅𝒆) 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒̀𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑒 𝑠𝑒 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑎𝑢 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑣𝑒𝑛𝑢. 𝑆𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑎𝑏𝑜𝑟𝑑 𝑓𝑎𝑐𝑖𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑎 𝑣𝑜𝑙𝑢𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑎𝑐𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡𝑒, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑝𝑎𝑙𝑝𝑖𝑡𝑒́ 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑜𝑢𝑏𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑒, 𝑙'𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑛 𝑝𝑙𝑒𝑖𝑛 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙, 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑖𝑛𝑒. 𝐸𝑛𝑓𝑜𝑢𝑖𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑎̂𝑔𝑒𝑠, 𝑎̀ 𝑐𝑖𝑛𝑞 𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒𝑢𝑟, 𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑟𝑜𝑏𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑏𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑛𝑎𝑐𝑒 𝑐𝑢𝑟𝑖𝑜𝑠𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒𝑠. 𝐿'𝑒𝑠𝑠𝑜𝑟 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖̂𝑡 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒 : 𝑙'𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑠 𝑖𝑚𝑚𝑒𝑢𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑔𝑖𝑠 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑠'𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑠𝑒, 𝑙𝑎 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑚𝑒́𝑑𝑖𝑒́𝑣𝑎𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙'𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑢 𝑓𝑒𝑢 𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑡𝑒́. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒́, 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑑𝑒́𝑠𝑜𝑟𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑝𝑎𝑠 𝑎̀ 𝑝𝑎𝑠. 𝑆𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑒𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙, 𝑠𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑖𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑛𝑜𝑚𝑠 𝑒𝑛𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡𝑒́𝑠, 𝑠𝑒𝑠 𝑒́𝑛𝑖𝑔𝑚𝑒𝑠, 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑎, 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑒 𝑀𝑒𝑟𝑙𝑎𝑛𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑒 𝑀𝑎𝑔𝑒, 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐷𝑎𝑙𝑏𝑎𝑑𝑒 𝑎̀ 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑆𝑒𝑟𝑛𝑖𝑛, 𝑑𝑢 𝑇𝑎𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑙'ℎ𝑜̂𝑡𝑒𝑙 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝐽𝑒𝑎𝑛, 𝑛𝑒 𝑠𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑞𝑢'𝑎̀ 𝑙'𝑒𝑟𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑝𝑎𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡𝑒. 𝑅𝑜𝑠𝑒 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑒́𝑒, 𝑟𝑜𝑠𝑒 𝑔𝑎̂𝑐ℎ𝑒́𝑒, 𝑟𝑜𝑠𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑒́𝑡𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑒𝑟𝑠𝑒́𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒́𝑝𝑎𝑛𝑑 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑢𝑚 𝑒𝑡 𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑟 𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑚𝑢𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑖 𝑙'𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑 𝑙𝑒 𝑙𝑜𝑛𝑔 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑖𝑣𝑜𝑖𝑠𝑒𝑟. 𝐶𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑡𝑟𝑎ℎ𝑖 𝑙'𝑎𝑡𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑒̂𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑙𝑠𝑘𝑒𝑠, 𝑒𝑛 𝑏𝑜𝑛𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝐺𝑒́𝑟𝑦𝑜𝑛, 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑎𝑢𝑥 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑗𝑒𝑢𝑥 𝑠𝑢𝑏𝑡𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑛𝑎𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒. 𝐶𝑒𝑡 𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟, 𝑞𝑢'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑏𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒́ 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑓 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝐴𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑖𝑡𝑒́, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑟𝑜𝑔𝑒𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑙𝑎𝑠𝑜𝑛𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑡𝑎𝑡𝑢𝑒𝑠. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑟𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 : 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑠𝑡𝑖𝑔𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒́𝑑𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑛𝑒 𝑑𝑎𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑉𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝐼𝑏𝑒́𝑟𝑜-𝐿𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒𝑠 ; 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑙𝑙𝑒-𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒𝑠 𝐶𝑒𝑙𝑡𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑦 𝑏𝑎̂𝑡𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡, 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑, 𝑙'𝑜𝑝𝑝𝑖𝑑𝑢𝑚 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑜𝑛 𝑎 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́ 𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑖𝑛𝑞 𝑘𝑖𝑙𝑜𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑠𝑢𝑑 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑔𝑔𝑙𝑜𝑚𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑐𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑎̀ 𝑃𝑒𝑐ℎ 𝐷𝑎𝑣𝑖𝑑, 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑢 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒-𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒. 𝐴𝑣𝑎𝑛𝑡, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑛𝑢𝑖𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠, 𝑝𝑒𝑟𝑐𝑒́𝑒 𝑐̧𝑎̀ 𝑒𝑡 𝑙𝑎̀ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑟𝑒𝑓𝑠 𝑒́𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑒. 𝑅𝑖𝑒𝑛 𝑑'𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑐𝑢𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑒𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑟𝑜𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 : 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑡𝑖𝑠𝑠𝑢 𝑑'𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑔𝑜𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑎𝑖𝑡, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑒́𝑐𝑜𝑟𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒, 𝑒𝑛 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑡. 𝑈𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝑋𝑉𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝐴𝑛𝑡𝑜𝑖𝑛𝑒 𝑁𝑜𝑔𝑢𝑖𝑒𝑟, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑡ℎ𝑜𝑙𝑜𝑠𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑒𝑛 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́𝑒 1273 𝑎𝑛𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑡 3916 𝑎𝑛𝑠 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑒́𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑇𝑟𝑜𝑦𝑒𝑛 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑢𝑠, 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡-𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝐽𝑎𝑝ℎ𝑒𝑡 (𝑁𝑜𝑔𝑢𝑖𝑒𝑟 𝑎𝑝𝑝𝑢𝑖𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑝𝑟𝑒̂𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛 𝐼𝑠𝑖𝑜𝑑𝑜𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑙𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑛𝑜𝑚𝑒 𝑃𝑡𝑜𝑙𝑒́𝑚𝑒́𝑒). « 𝐸𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖, 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑢𝑠 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑎 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑜𝑠𝑒 𝑎𝑢 𝐵𝑜𝑟𝑖𝑠𝑡ℎ𝑒̀𝑛𝑒𝑠, 𝑠𝑖𝑥𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑐𝑙𝑖𝑚𝑎𝑡 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑎𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡 𝑏𝑒́𝑛𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑀𝑒𝑟𝑐𝑢𝑟𝑒, 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑑'𝑒́𝑙𝑜𝑞𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑜𝑢𝑣𝑖𝑠. » 𝐶𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑒́ 𝑑'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑗𝑒𝑢, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙'ℎ𝑜𝑟𝑜𝑠𝑐𝑜𝑝𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒. 𝑁𝑜𝑔𝑢𝑖𝑒𝑟 𝑛'𝑎 𝑝𝑢 𝑙'𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑟 𝑙𝑢𝑖- 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 : 𝑖𝑙 𝑙'𝑎 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑖 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑜𝑟 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒-𝑐𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒̂𝑡. 𝐼𝑙 𝑣𝑎 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒. 𝐶𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑖𝑐𝑖, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠, 𝑒𝑢𝑥, 𝑦 𝑐𝑟𝑜𝑦𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡. 𝐿𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 : 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑙𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑠'𝑒𝑛 𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠. 𝐿'𝑖𝑚𝑝𝑙𝑎𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑝𝑎𝑠 𝑎𝑢 ℎ𝑎𝑠𝑎𝑟𝑑, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑎𝑢 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑠 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑠 𝑗𝑢𝑔𝑒́𝑠 𝑓𝑎𝑣𝑜𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠. 𝐷𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑐𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢, 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑔𝑢𝑟𝑒𝑠. 𝑅𝑒𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑙, 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙'𝑎𝑠𝑠𝑖𝑠𝑒, 𝑖𝑛𝑣𝑖𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒𝑐𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒, 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑛𝑐𝑒𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒́𝑒. 𝐶𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑜𝑐𝑐𝑢𝑝𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑣𝑒́𝑐𝑢, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑓𝑖𝑒́𝑒, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑠 𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑐𝑟𝑢𝑐𝑖𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠, 𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑠 𝑐𝑎𝑟𝑑𝑖𝑛𝑎𝑢𝑥. 𝑂𝑟 𝑐𝑒 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑢𝑠, 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑖𝑙 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒, 𝑎𝑔𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑎𝑢𝑔𝑢𝑟𝑒. 𝐿𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑁𝑜𝑔𝑢𝑖𝑒𝑟 𝑟𝑎𝑡𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑠𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑐𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒𝑠, 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑎𝑛𝑡𝑒́𝑒𝑠, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝐷𝑒𝑙𝑝ℎ𝑒𝑠, 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚, 𝑅𝑜𝑚𝑒 𝑜𝑢 𝐿𝑎 𝑀𝑒𝑐𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒̀𝑔𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑒𝑟𝑑𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒. 𝐶𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑦 𝑎 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑛𝑔𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑢𝑠 𝑢𝑛 𝑇𝑟𝑜𝑦𝑒𝑛, 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑'𝐴𝑠𝑖𝑒 𝑀𝑖𝑛𝑒𝑢𝑟𝑒, 𝑒𝑡 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡-𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝐽𝑎𝑝ℎ𝑒𝑡, 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑝𝑟𝑒́-𝐼𝑛𝑑𝑜-𝐸𝑢𝑟𝑜𝑝𝑒́𝑒𝑛. 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑒́𝑑𝑒́𝑠 𝑎𝑢𝑔𝑢𝑟𝑎𝑢𝑥 𝑑'𝑖𝑚𝑝𝑙𝑎𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑠 𝑒𝑛 𝑂𝑐𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝐸́𝑡𝑟𝑢𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠 (𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑏𝑎̂𝑡𝑜𝑛 𝑎𝑢𝑔𝑢𝑟𝑒𝑙, 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑡𝑢𝑢𝑠, 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑢𝑒 𝑒́𝑡𝑟𝑢𝑠𝑞𝑢). 𝑂𝑟 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑇𝑎𝑟𝑡𝑒𝑠𝑠𝑜𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑞𝑢𝑖, 𝑚𝑒̂𝑙𝑒́𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝐼𝑏𝑒̀𝑟𝑒𝑠, 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑃𝑦𝑟𝑒́𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑛𝑎𝑞𝑢𝑖𝑡 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒. 𝐸𝑛𝑓𝑖𝑛, 𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑀𝑒𝑟𝑐𝑢𝑟𝑒 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒́𝑒, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑖𝑡𝑒́ ℎ𝑒𝑟𝑚𝑒́𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐼𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑛𝑛𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 ! 𝑁𝑜𝑔𝑢𝑖𝑒𝑟 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙'𝑎𝑚𝑖 𝑑𝑢 𝑓𝑎𝑚𝑒𝑢𝑥 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑎𝑖𝑛 𝐴𝑢𝑔𝑒𝑟 𝐹𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒𝑟, 𝑎𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝐽𝑢𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑛𝑎𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́𝑠 ; 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒, 𝑖𝑙𝑠 𝑠'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑝𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒́𝑠 𝑎̀ 𝑑𝑒́𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒́𝑛𝑖𝑔𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒́𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 ; 𝑖𝑙 𝑎 𝑠𝑢̂𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑖 𝑙'ℎ𝑜𝑟𝑜𝑠𝑐𝑜𝑝𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑏𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑎𝑚𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑙'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑢𝑖-𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑒́ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑐𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝐴𝑢𝑔𝑒𝑟 𝐹𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒𝑟, « 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑛 𝑣𝑢𝑙𝑔𝑎𝑖𝑟𝑒 », 𝑛'𝑎 𝑠𝑢̂𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑒́ 𝑎̀ 𝑁𝑜𝑔𝑢𝑖𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖-𝑐𝑖 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑖𝑡𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 ℎ𝑒́𝑟𝑜𝑠 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑠 ℎ𝑒́𝑟𝑜𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑐𝑙𝑒𝑓 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑙𝑒𝑓 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑔𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑙'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖. 𝑉𝑜𝑦𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑡𝑜̂𝑡. 𝐿𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝐴𝑞𝑢𝑎𝑟𝑖𝑢𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑒́𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛 : 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑛𝑢𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑛𝑜𝑛 𝑎𝑣𝑒𝑛𝑢𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑗𝑢𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠. 𝐴𝑞𝑢𝑎𝑟𝑖𝑢𝑠 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑒́ 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑'𝐻𝑎𝑛𝑛𝑖𝑏𝑎𝑙, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑢̂𝑟 𝑞𝑢'𝐻𝑎𝑛𝑛𝑖𝑏𝑎𝑙 𝑎𝑖𝑡 𝑐𝑎𝑚𝑝𝑒́ 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒, 𝑒𝑡 𝑙'𝑒𝑢̂𝑡-𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑛'𝑦 𝑒𝑢̂𝑡 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́ 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛 𝑟𝑜𝑖, 𝑐𝑎𝑟 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑉𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑞𝑢'𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑎, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝑊𝑖𝑠𝑖𝑔𝑜𝑡ℎ𝑠, 𝑢𝑛 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑎𝑖𝑛. 𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛, « 𝑙'𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑖𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑝𝑡𝑒́𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 », 𝑖𝑙 𝑠𝑢𝑓𝑓𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑒𝑛 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑆𝑢𝑠𝑒 𝑒𝑛 𝐼𝑡𝑎𝑙𝑖𝑒 𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑎𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑙'ℎ𝑜𝑛𝑛𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑟𝑎̂𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑛'𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑𝑒𝑟 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑚𝑖𝑛𝑐𝑒 𝑐𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠, 𝑠'𝑖𝑙𝑠 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒́, 𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 ℎ𝑒́𝑟𝑜𝑠 𝑛'𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑠 𝑦𝑒𝑢𝑥, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑜𝑛 𝑣𝑒𝑟𝑟𝑎. 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛 𝑒𝑢𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑙ℎ𝑒𝑢𝑟𝑠. 𝑆'𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑚𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑡𝑒̂𝑡𝑒 𝑑'𝑎𝑏𝑎𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑙'𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑙𝑎 𝑃𝑜𝑟𝑡𝑎𝑟𝑖𝑒, 𝑖𝑙 𝑠𝑢𝑏𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑡𝑦𝑟𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙'𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑒́𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑎𝑡 𝑟𝑜𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑀𝑎𝑟𝑐𝑢𝑠. 𝐶𝑒𝑙𝑢𝑖-𝑐𝑖 𝑙𝑒 𝑓𝑖𝑡 𝑎𝑡𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑣𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑡𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑡 𝑡𝑟𝑎𝑖̂𝑛𝑒𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑣𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑢𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑜𝑟𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑢𝑛 𝑔𝑎𝑙𝑜𝑝 𝑑'𝑒𝑠𝑠𝑎𝑖, « 𝑙'𝑎𝑛𝑖𝑚𝑎𝑙 𝑜𝑛𝑐𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑛𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑙𝑢𝑡 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑜𝑢𝑙𝑡𝑟𝑒 ». 𝐴𝑢 𝑛𝑜𝑟𝑑 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑟𝑟𝑒̂𝑡𝑎, 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛 𝑓𝑢𝑡 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡, 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢 𝑒𝑡 𝑝𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑣𝑒𝑙𝑖 𝑒𝑛 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑃𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠. 𝑆𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑖𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑎 𝑅𝑜𝑠𝑒. 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑝𝑒𝑟𝑐𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒, 𝑖𝑙 𝑠𝑢𝑓𝑓𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑑'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖̂𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒𝑝𝑡 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒̀𝑡𝑒𝑠 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒̀𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑎𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑧𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠, 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒̀𝑡𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒, 𝑝𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑡𝑒, 𝑑𝑒́𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑜𝑢 𝑛𝑢𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑜𝑢̀ 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒̀𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑒𝑛 ℎ𝑎𝑟𝑚𝑜𝑛𝑖𝑒, 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑑𝑖𝑠𝑐𝑜𝑟𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝐷𝑒̀𝑠 𝑙𝑜𝑟𝑠, 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑖𝑚𝑝𝑖𝑑𝑒 : 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑑𝑟𝑎𝑚𝑒 𝑎̀ 𝑠𝑖𝑥 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒̀𝑡𝑒𝑠 : 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑀𝑎𝑟𝑠 (𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛, 𝑚𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑝𝑡𝑒́𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑒𝑡 𝑀𝑎𝑟𝑐𝑢𝑠) 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑞𝑢𝑒 : 𝑙𝑒 𝑉𝑒𝑟𝑠𝑒𝑎𝑢 (𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑙𝑎𝑡𝑖𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝐴𝑞𝑢𝑎𝑟𝑖𝑢𝑠), 𝑙𝑒 𝐵𝑒́𝑙𝑖𝑒𝑟 (𝑙𝑎 𝑃𝑜𝑟𝑡𝑎𝑟𝑖𝑒, 𝑑𝑢 𝑙𝑎𝑡𝑖𝑛 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎 𝑎𝑟𝑖𝑒𝑡𝑖𝑠, 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑏𝑒́𝑙𝑖𝑒𝑟), 𝑙𝑒 𝑇𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒 (𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑃𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠). 𝐿𝑒 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑉𝑒𝑟𝑠𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑠𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑒 : 𝑣𝑜𝑖𝑙𝑎̀ 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛 𝑒𝑥𝑒𝑟𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒́𝑣𝑎𝑛𝑔𝑒́𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒 𝑎𝑢 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑑'𝐴𝑞𝑢𝑎𝑟𝑖𝑢𝑠. 𝑃𝑎𝑟 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒, 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑟𝑜𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝐵𝑒́𝑙𝑖𝑒𝑟 : 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑎𝑏𝑎𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑜𝑟𝑡𝑎𝑟𝑖𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠, 𝑐𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡, 𝑖𝑙 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑙𝑖𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑀𝑎𝑟𝑐𝑢𝑠, 𝑐𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝐵𝑒́𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑒𝑠𝑡 𝑀𝑎𝑟𝑠 (𝑛𝑒 𝑓𝑢̂𝑡-𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑒𝑛 𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢 𝑑𝑢 𝑗𝑒𝑢 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑡𝑠 𝐴𝑟𝑖𝑒𝑠-𝐴𝑟𝑒̀𝑠). 𝐴𝑢 𝑇𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢, 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑚𝑎𝑙 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒́, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙'𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑀𝑎𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑢𝑙𝑙𝑒 : 𝑙𝑒 𝑡𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢 𝑡𝑟𝑎𝑖̂𝑛𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑟𝑒𝑓𝑢𝑠𝑒 𝑑'𝑎𝑐𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑖𝑟 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢'𝑎𝑢 𝑏𝑜𝑢𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑖𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑢𝑖 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒́𝑒 𝑀𝑎𝑟𝑐𝑢𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑒 𝑒𝑠𝑡 (𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑀𝑒𝑟𝑐𝑢𝑟𝑒) 𝑙'𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑃𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 ℎ𝑜𝑛𝑜𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛. 𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑎 𝑅𝑜𝑠𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑖𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡, 𝑠𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑚 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑟𝑜̂𝑙𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑔𝑜𝑟𝑖𝑒. 𝐺𝑎𝑔𝑒𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑔𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑙'𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑖𝑡 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑎𝑢 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑒𝑡 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑚𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑠𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑙'𝑦 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑟 𝑒𝑢𝑥-𝑚𝑒̂𝑚𝑒𝑠. 𝑁𝑢𝑙 𝑛𝑒 𝑠'𝑜𝑓𝑓𝑢𝑠𝑞𝑢𝑒𝑟𝑎, 𝑗'𝑒𝑠𝑝𝑒̀𝑟𝑒, 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑒́ 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒. 𝑆𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠-𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑔𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡, 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑣𝑖𝑟𝑡𝑢𝑜𝑠𝑒𝑠, 𝑑𝑖𝑥 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑏𝑎𝑑𝑜𝑢𝑟𝑠, 𝑙'𝑎𝑟𝑡 𝑠𝑢𝑏𝑡𝑖𝑙 𝑑𝑢 𝑡𝑟𝑜𝑏𝑎𝑟𝑐𝑙𝑢𝑠, 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒. 𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑛'𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑛𝑖 𝑠𝑎 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑇𝑎𝑢𝑟 𝑛𝑖 𝑠𝑎 𝑟𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑇𝑎𝑢𝑟 𝑜𝑢̀ 𝑠𝑒 𝑑𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑀𝑎𝑢𝑟𝑎𝑛 ; 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑒 𝑠'𝑒𝑛𝑜𝑟𝑔𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑖𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑎𝑠𝑖𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟, 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑆𝑒𝑟𝑛𝑖𝑛, 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑟𝑡 𝑟𝑜𝑚𝑎𝑛 𝑑𝑢 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙, 𝑙'𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑒̂𝑡𝑒 𝑎𝑟𝑖𝑠𝑡𝑜𝑡𝑒́𝑙𝑖𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑇ℎ𝑜𝑚𝑎𝑠 𝑑'𝐴𝑞𝑢𝑖𝑛, 𝑙𝑒 𝑟𝑒́𝑐𝑒𝑝𝑡𝑎𝑐𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 « 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑠 » 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑖𝑔𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒, 𝑙𝑎 𝑠œ𝑢𝑟 𝑗𝑢𝑚𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝐽𝑎𝑐𝑞𝑢𝑒𝑠-𝑑𝑒- 𝐶𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒. 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑆𝑒𝑟𝑛𝑖𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑙 : 𝑁𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑛 𝑡𝑜𝑡𝑜 𝑠𝑎𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑟 𝑜𝑟𝑏𝑒 𝑙𝑜𝑐𝑢𝑠 (𝐼𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡). 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑎̀ 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑆𝑒𝑟𝑛𝑖𝑛, 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑝𝑖𝑙𝑖𝑒𝑟, 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑣𝑜𝑦𝑎𝑖𝑡 𝑗𝑎𝑑𝑖𝑠 𝑙'𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑎𝑢𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑔𝑖𝑡𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑒𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠, 𝑎𝑔𝑟𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡𝑒́ 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑎𝑣𝑎𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑐𝑟𝑦𝑝𝑡𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒 𝑒𝑥𝑒𝑟𝑐̧𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑎𝑔𝑎𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝐴𝑢𝑔𝑒𝑟 𝐹𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑙𝑐ℎ𝑖𝑚𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑜𝑐𝑐𝑖𝑡𝑎𝑛 𝐹𝑎𝑏𝑟𝑒. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑆𝑒𝑟𝑛𝑖𝑛, « 𝑎𝑢 𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑝𝑖𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑'𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒, 𝑓𝑎𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑇𝑎𝑢𝑟 » 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑖𝑙𝑙𝑢𝑠𝑡𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑒́𝑣𝑒́𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑒𝑢 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛 : 𝑎̀ 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒, 𝑎𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝐽𝑢𝑙𝑒𝑠 𝐶𝑒́𝑠𝑎𝑟, 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑢𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑙'𝑢𝑛𝑒 𝑢𝑛 𝑙𝑖𝑜𝑛, 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑎𝑔𝑛𝑒𝑎𝑢. 𝐶𝑒 𝑑𝑜𝑢𝑏𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑖𝑔𝑒 𝑑'𝑜𝑏𝑠𝑡𝑒́𝑡𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝐽𝑒́𝑟𝑜̂𝑚𝑒, 𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑟𝑎𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒́ 𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑟𝑜𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒𝑢𝑟 𝑁𝑖𝑐𝑜𝑙𝑎𝑠 𝐵𝑒𝑟𝑡𝑟𝑎𝑛𝑑. 𝐴𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖, 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑒𝑧 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑚𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑟𝑒𝑗𝑒𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑢 𝑚𝑢𝑠𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑢𝑔𝑢𝑠𝑡𝑖𝑛𝑠. 𝐴𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑙𝑢𝑟𝑒𝑧 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝐹. 𝑑𝑒 𝑀𝑒́𝑙𝑦 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑎𝑐𝑟𝑎 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑒 : « 𝐿𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑦𝑒𝑛 𝐴𝑔𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑝𝑒́𝑛𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 : 𝑖𝑙𝑠 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑠 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 (𝐹. 𝑑𝑒 𝑀𝑒́𝑙𝑦 : 𝐿𝑒𝑠 𝐷𝑒𝑢𝑥 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒. 𝑆𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑟𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑖𝑓𝑓𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑒̂𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡, 𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑝𝑖𝑒𝑑 𝑐ℎ𝑎𝑢𝑠𝑠𝑒́ 𝑒𝑡 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑛𝑢, 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑢𝑛 𝑝𝑖𝑒𝑑 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑡𝑒̂𝑡𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑙𝑖𝑜𝑛. 𝐿𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑖𝑔𝑒 𝑒́𝑣𝑜𝑞𝑢𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑠𝑎𝑖𝑡, 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝐽𝑒́𝑟𝑜̂𝑚𝑒, 𝑙𝑒 𝐽𝑢𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟). 𝑇𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝐷𝑎𝑢𝑟𝑎𝑑𝑒, 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒 𝑑𝑜𝑟𝑒́𝑒, 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒́𝑎𝑛𝑐𝑒 ; 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝐼𝑛𝑞𝑢𝑖𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒 𝑛𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑙𝑎 𝐷𝑎𝑚𝑒 𝑏𝑙𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐷𝑎𝑙𝑏𝑎𝑑𝑒, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠. 𝑃𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎̀, 𝑢𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒́𝑛𝑖𝑔𝑚𝑒 𝑠'𝑜𝑓𝑓𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑢 𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑜̂𝑡𝑒𝑙 𝑀𝑜𝑙𝑖𝑛𝑖𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑠𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑋𝑉𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒𝑠-𝑚𝑎𝑐̧𝑜𝑛𝑠, 𝐵𝑜𝑠𝑠𝑎𝑡 𝑒𝑡 𝑀𝑜𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑏𝑟𝑖𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐺𝑎𝑟𝑜𝑛𝑛𝑒. 𝑈𝑛𝑒 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑠𝑎 𝑡𝑒̂𝑡𝑒 𝑢𝑛 𝑣𝑎𝑠𝑒 𝑝𝑙𝑒𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑓𝑟𝑢𝑖𝑡𝑠 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑙'𝑒́𝑐𝑢 𝑎̀ 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑥 𝑝𝑎𝑡𝑡𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑠𝑎𝑡𝑦𝑟𝑒𝑠 ; 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑠𝑒 : 𝑆𝑢𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑎𝑏𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒. 𝐿𝑎 𝑓𝑙𝑎̂𝑛𝑒𝑟𝑖𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑢 𝑗𝑒𝑢 𝑑𝑒 𝑙'𝑂𝑖𝑒 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑖𝑡 𝑑'𝑢𝑛 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑣𝑜𝑠 𝑝𝑎𝑠 ; 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒 𝑙𝑎𝑏𝑦𝑟𝑖𝑛𝑡ℎ𝑒, 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎̂𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠, 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒𝑧 𝑡𝑎𝑛𝑡𝑜̂𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑖𝑙𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑣𝑜𝑠 𝑡𝑎𝑙𝑜𝑛𝑠, 𝑡𝑎𝑛𝑡𝑜̂𝑡 𝑎̀ 𝑣𝑜𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑑𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑚𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑜𝑚𝑏 ; 𝑖𝑐𝑖 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑔𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑧 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑣𝑜𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠, 𝑙𝑎̀ 𝑙𝑒 𝑚𝑢𝑡𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑜𝑏𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒́ 𝑑'𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑎𝑝𝑡𝑖𝑓 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑠, 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠, 𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑑𝑒. 𝐸𝑡 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑧 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒́ 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑝𝑢𝑧𝑧𝑙𝑒, 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑒𝑧 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑚𝑎𝑛𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑙'𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒. 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒, 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑣𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑛𝑜𝑚 ? 𝑉𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑡 𝑟𝑜𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑡𝑒́ : 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑎 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑢𝑒 𝑑'𝑜𝑐 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑒𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑡𝑠. 𝐿𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑑𝑢 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑒𝑢𝑡-𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 : 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑜𝑠, 𝑒𝑛 𝑔𝑟𝑒𝑐, 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑜𝑙𝑒, 𝑙𝑎 𝑣𝑜𝑢̂𝑡𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑒́𝑑𝑖𝑓𝑖𝑐𝑒. 𝐿𝑎 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑢𝑠 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢'𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑔𝑜𝑟𝑖𝑒 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙'𝑜𝑏𝑠𝑒𝑟𝑣𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑜𝑢̂𝑡𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑑𝑎 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑒́. 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑒𝑛𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑠𝑒́𝑒 𝑒𝑛 𝑑𝑜𝑢𝑧𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑠 ; 𝑜𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑐̧𝑎 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑜𝑢𝑙𝑠, 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑛𝑜𝑚𝑚𝑒́𝑠, 𝑑𝑖𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑟𝑜𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠, 𝑒𝑛 𝑚𝑒́𝑚𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑢𝑠 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎̀ 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠, 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑢𝑖𝑡, 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑝𝑜𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑙𝑙𝑒-𝑅𝑜𝑠𝑒. […] 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝑻𝒐𝒖𝒍𝒐𝒖𝒔𝒆 𝑴𝒆́𝒕𝒓𝒐𝒑𝒐𝒍𝒆 ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆 𝑳𝒆𝒔 𝒎𝒖𝒔𝒆́𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆 ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆 "𝑳𝒆 𝒔𝒂𝒏𝒈 𝒅𝒆𝒔 𝑪𝒂𝒕𝒉𝒂𝒓𝒆𝒔" 𝒅𝒆 𝑮𝒆́𝒓𝒂𝒓𝒅 𝒅𝒆 𝑺𝒆̀𝒅𝒆 (𝒑𝒑. 52-58) ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
La Bougeotte Française
@labougeottefrancaise
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1352places
"Retrouvez notre article : https://www.labougeottefrancaise.com/post/visiter-toulouse-notre-itinéraire-pour-découvrir-la-ville-rose"
Guide Vert MICHELIN Midi Toulousain - Pyrénées - Gers
@guidevert
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118places
"Installé dans les anciens bâtiments du couvent des Augustins, de style gothique méridional, le musée abrite d'exceptionnelles collections de peintures et de sculptures, du Moyen Âge au début du 20e s. : sculptures gothiques (14e-15e s.), peinture religieuse (14e-18e s.), peinture française (17e-19e s.) et surtout une admirable collection de sculptures romanes du 12e s. qui provient essentiellement du cloître de la basilique Saint-Sernin, du monastère N.-D.-de-la-Daurade et des bâtiments du chapitre de la cathédrale Saint-Étienne. Informations complémentaires : gratuit 1er dim. du mois. Fermeture pour travaux de rénovation jusqu'à mi-2020. Réouv. se rens."
Megan Vlt
@meganvlt
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Manon Suène Pradier
@manon_suene_pradier
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"La qualité des collections et la beauté de l'ancien couvent des Augustins sont deux bonnes raisons pour faire une halte dans ce musée. Réputé pour sa collection de sculptures romanes, il possède également un vaste ensemble de peintures européennes du XIVe au XXe siècle. Le musée est en outre riche de belles curiosités liées à la mythologie toulousaine : on peut ainsi notamment y voir la fameuse sculpture des deux Vierges de Toulouse de la légende locale (qui auraient donné respectivement naissance à un lion et un agneau… !), ainsi que le tombeau de la reine Pédauque, épouse du roi wisigoth Euric et célèbre reine à la patte d'oie (Pédauque venant de l'occitan pé qui veut dire pied, et auco qui signifie oie !). 𝐋'𝐮𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐧𝐬 𝐦𝐮𝐬𝐞́𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 Fleuron du gothique languedocien, le couvent des Augustins, édifié au XIVe siècle, devint musée en 1793, à l'initiative de Condorcet et de l'abbé Grégoire, soucieux de protéger les témoignages du passé du zèle intempestif et destructeur de l'époque révolutionnaire. Privilégiant la clarté, évitant l'effet d'accumulation, la présentation des collections invite le visiteur à accomplir un passionnant parcours chronologique à travers l'art, du Moyen Age jusqu'au XXe siècle. 𝐔𝐧𝐞 𝐛𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐬𝐜𝐮𝐥𝐩𝐭𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐢𝐟𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐞́𝐩𝐨𝐪𝐮𝐞𝐬 Déployées dans l'ancien réfectoire du couvent, les sculptures provenant du prieuré Notre-Dame de la Daurade, de la basilique Saint-Sernin et de la cathédrale Saint-Étienne, trois des principaux édifices religieux de Toulouse au XIIe siècle, constituent un remarquable ensemble consacré à la statuaire romane. Une collection d'épigraphie médiévale, dans une salle mitoyenne, complète cet ensemble. Plusieurs salles présentent ensuite des œuvres caractéristiques de la sculpture gothique méridionale, dont plusieurs gisants, des statues en bois polychrome (belle Pietà du XVe siècle), et une inquiétante série de gargouilles. 𝐏𝐞𝐢𝐧𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐫𝐞𝐥𝐢𝐠𝐢𝐞𝐮𝐬𝐞 𝐞𝐭 𝐩𝐞𝐢𝐧𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐚𝐧𝐞 La nef de l'église, où l'on remarquera un magnifique Christ en croix de Rubens, et un San Diego en extase devant la croix de Murillo, abrite les collections de peinture religieuse du XVe jusqu'au XVIIIe siècle, en partie constituées à partir des saisies effectuées pendant la période révolutionnaire. Plus loin, au premier étage de l'aile Viollet-le-Duc, ont été regroupés des maîtres de l'école flamande et française (Philippe de Champaigne, Subleyras, Hyacinthe Rigaud, Oudry, Snayers,...). Consacré à la peinture du XIXe siècle, le « salon rouge », qui renferme quelques sculptures de Camille Claudel et de Falguière, expose notamment des toiles de Delacroix, d'Ingres, de Manet et de Toulouse-Lautrec. Toutes ces œuvres sont très bien présentées. 𝐋𝐚 𝐯𝐢𝐞 𝐝𝐮 𝐦𝐮𝐬𝐞́𝐞 𝐞𝐭 𝐬𝐚 𝐫𝐞́𝐧𝐨𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 Des visites commentées sont proposées en permanence. Trois à quatre expositions temporaires sont organisées chaque année (« Civilisations du soleil », « La Courte de l'An Mil »...). Des concerts d'orgue ont régulièrement lieu dans l'église. Installé dans un ancien couvent du XIVe siècle, transformé en musée à la fin du XVIIIe siècle, agrandi au XIXe siècle, modernisé au XXe siècle, le musée des Augustins a vécu de très nombreuses évolutions. De nouveaux travaux se sont avérés absolument nécessaires ces dernières années, afin de résoudre des problèmes structurels mais aussi de répondre à de nouveaux usages culturels. La réouverture du musée est à ce jour envisagée à la fin de l'année 2025. 𝐓𝐨𝐮𝐥𝐨𝐮𝐬𝐞, 𝐜𝐢𝐭𝐞́ 𝐡𝐞𝐫𝐦𝐞́𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 – 𝐞𝐭 𝐡𝐞𝐫𝐦𝐞́𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞 (𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒖 𝑺𝒂𝒏𝒈 𝒅𝒆𝒔 𝑪𝒂𝒕𝒉𝒂𝒓𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑮𝒆́𝒓𝒂𝒓𝒅 𝒅𝒆 𝑺𝒆̀𝒅𝒆) 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒̀𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑒 𝑠𝑒 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑎𝑢 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑣𝑒𝑛𝑢. 𝑆𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑎𝑏𝑜𝑟𝑑 𝑓𝑎𝑐𝑖𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑎 𝑣𝑜𝑙𝑢𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑎𝑐𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑡𝑒, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑝𝑎𝑙𝑝𝑖𝑡𝑒́ 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑜𝑢𝑏𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑒, 𝑙'𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑛 𝑝𝑙𝑒𝑖𝑛 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙, 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑖𝑛𝑒. 𝐸𝑛𝑓𝑜𝑢𝑖𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑎̂𝑔𝑒𝑠, 𝑎̀ 𝑐𝑖𝑛𝑞 𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒𝑢𝑟, 𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑟𝑜𝑏𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑏𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑛𝑎𝑐𝑒 𝑐𝑢𝑟𝑖𝑜𝑠𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒𝑠. 𝐿'𝑒𝑠𝑠𝑜𝑟 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖̂𝑡 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒 : 𝑙'𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑠 𝑖𝑚𝑚𝑒𝑢𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑔𝑖𝑠 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑠'𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑑 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑠𝑒, 𝑙𝑎 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑚𝑒́𝑑𝑖𝑒́𝑣𝑎𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙'𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑢 𝑓𝑒𝑢 𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑡𝑒́. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒́, 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑑𝑒́𝑠𝑜𝑟𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑝𝑎𝑠 𝑎̀ 𝑝𝑎𝑠. 𝑆𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑒𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙, 𝑠𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑖𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑛𝑜𝑚𝑠 𝑒𝑛𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡𝑒́𝑠, 𝑠𝑒𝑠 𝑒́𝑛𝑖𝑔𝑚𝑒𝑠, 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑎, 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑒 𝑀𝑒𝑟𝑙𝑎𝑛𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑒 𝑀𝑎𝑔𝑒, 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐷𝑎𝑙𝑏𝑎𝑑𝑒 𝑎̀ 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑆𝑒𝑟𝑛𝑖𝑛, 𝑑𝑢 𝑇𝑎𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑙'ℎ𝑜̂𝑡𝑒𝑙 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝐽𝑒𝑎𝑛, 𝑛𝑒 𝑠𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑞𝑢'𝑎̀ 𝑙'𝑒𝑟𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑝𝑎𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡𝑒. 𝑅𝑜𝑠𝑒 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑒́𝑒, 𝑟𝑜𝑠𝑒 𝑔𝑎̂𝑐ℎ𝑒́𝑒, 𝑟𝑜𝑠𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑒́𝑡𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑒𝑟𝑠𝑒́𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒́𝑝𝑎𝑛𝑑 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑢𝑚 𝑒𝑡 𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑟 𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑚𝑢𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑖 𝑙'𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑 𝑙𝑒 𝑙𝑜𝑛𝑔 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑖𝑣𝑜𝑖𝑠𝑒𝑟. 𝐶𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑡𝑟𝑎ℎ𝑖 𝑙'𝑎𝑡𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑒̂𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑙𝑠𝑘𝑒𝑠, 𝑒𝑛 𝑏𝑜𝑛𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝐺𝑒́𝑟𝑦𝑜𝑛, 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑎𝑔𝑒𝑠, 𝑎𝑢𝑥 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑗𝑒𝑢𝑥 𝑠𝑢𝑏𝑡𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑛𝑎𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒. 𝐶𝑒𝑡 𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟, 𝑞𝑢'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑜𝑏𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒́ 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑓 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝐴𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑖𝑡𝑒́, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑟𝑜𝑔𝑒𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑙𝑎𝑠𝑜𝑛𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑡𝑎𝑡𝑢𝑒𝑠. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑟𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 : 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑠𝑡𝑖𝑔𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑒́𝑑𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑛𝑒 𝑑𝑎𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑉𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝐼𝑏𝑒́𝑟𝑜-𝐿𝑖𝑔𝑢𝑟𝑒𝑠 ; 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑙𝑙𝑒-𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒𝑠 𝐶𝑒𝑙𝑡𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑦 𝑏𝑎̂𝑡𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡, 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑, 𝑙'𝑜𝑝𝑝𝑖𝑑𝑢𝑚 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑜𝑛 𝑎 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́ 𝑡𝑟𝑎𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑖𝑛𝑞 𝑘𝑖𝑙𝑜𝑚𝑒̀𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑠𝑢𝑑 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑔𝑔𝑙𝑜𝑚𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑐𝑡𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑎̀ 𝑃𝑒𝑐ℎ 𝐷𝑎𝑣𝑖𝑑, 𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑢 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒-𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒. 𝐴𝑣𝑎𝑛𝑡, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑛𝑢𝑖𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠, 𝑝𝑒𝑟𝑐𝑒́𝑒 𝑐̧𝑎̀ 𝑒𝑡 𝑙𝑎̀ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑟𝑒𝑓𝑠 𝑒́𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑒. 𝑅𝑖𝑒𝑛 𝑑'𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑐𝑢𝑟𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑒𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑟𝑜𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 : 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑡𝑖𝑠𝑠𝑢 𝑑'𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑔𝑜𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑎𝑖𝑡, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑒́𝑐𝑜𝑟𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒, 𝑒𝑛 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑡. 𝑈𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝑋𝑉𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒, 𝐴𝑛𝑡𝑜𝑖𝑛𝑒 𝑁𝑜𝑔𝑢𝑖𝑒𝑟, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑡ℎ𝑜𝑙𝑜𝑠𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑒𝑛 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒́𝑒 1273 𝑎𝑛𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑡 3916 𝑎𝑛𝑠 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑒́𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑇𝑟𝑜𝑦𝑒𝑛 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑢𝑠, 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡-𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝐽𝑎𝑝ℎ𝑒𝑡 (𝑁𝑜𝑔𝑢𝑖𝑒𝑟 𝑎𝑝𝑝𝑢𝑖𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑝𝑟𝑒̂𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛 𝐼𝑠𝑖𝑜𝑑𝑜𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑙𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑛𝑜𝑚𝑒 𝑃𝑡𝑜𝑙𝑒́𝑚𝑒́𝑒). « 𝐸𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖, 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑢𝑠 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑎 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑜𝑠𝑒 𝑎𝑢 𝐵𝑜𝑟𝑖𝑠𝑡ℎ𝑒̀𝑛𝑒𝑠, 𝑠𝑖𝑥𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑐𝑙𝑖𝑚𝑎𝑡 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑎𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡 𝑏𝑒́𝑛𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑀𝑒𝑟𝑐𝑢𝑟𝑒, 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑠𝑐𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑑'𝑒́𝑙𝑜𝑞𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑒𝑠 ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑜𝑢𝑣𝑖𝑠. » 𝐶𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑒́ 𝑑'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑗𝑒𝑢, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙'ℎ𝑜𝑟𝑜𝑠𝑐𝑜𝑝𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒. 𝑁𝑜𝑔𝑢𝑖𝑒𝑟 𝑛'𝑎 𝑝𝑢 𝑙'𝑒́𝑡𝑎𝑏𝑙𝑖𝑟 𝑙𝑢𝑖- 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 : 𝑖𝑙 𝑙'𝑎 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑖 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑜𝑟 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒-𝑐𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒̂𝑡. 𝐼𝑙 𝑣𝑎 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒. 𝐶𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑖𝑐𝑖, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝐴𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠, 𝑒𝑢𝑥, 𝑦 𝑐𝑟𝑜𝑦𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡. 𝐿𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 : 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑙𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑠'𝑒𝑛 𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠. 𝐿'𝑖𝑚𝑝𝑙𝑎𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑝𝑎𝑠 𝑎𝑢 ℎ𝑎𝑠𝑎𝑟𝑑, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑎𝑢 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑝𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑠 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑠 𝑗𝑢𝑔𝑒́𝑠 𝑓𝑎𝑣𝑜𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠. 𝐷𝑒́𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑒𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑎𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑐𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢, 𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑔𝑢𝑟𝑒𝑠. 𝑅𝑒𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑙, 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑢 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙'𝑎𝑠𝑠𝑖𝑠𝑒, 𝑖𝑛𝑣𝑖𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒𝑐𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒, 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑛𝑐𝑒𝑖𝑛𝑡𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒́𝑒. 𝐶𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑜𝑐𝑐𝑢𝑝𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑣𝑒́𝑐𝑢, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑖𝑓𝑖𝑒́𝑒, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑖𝑡𝑒𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑠 𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑐𝑟𝑢𝑐𝑖𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑠, 𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑡𝑒́𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑠 𝑐𝑎𝑟𝑑𝑖𝑛𝑎𝑢𝑥. 𝑂𝑟 𝑐𝑒 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑢𝑠, 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑖𝑙 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒, 𝑎𝑔𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑎𝑢𝑔𝑢𝑟𝑒. 𝐿𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑁𝑜𝑔𝑢𝑖𝑒𝑟 𝑟𝑎𝑡𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑠𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑐𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑒𝑠, 𝑖𝑚𝑝𝑙𝑎𝑛𝑡𝑒́𝑒𝑠, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝐷𝑒𝑙𝑝ℎ𝑒𝑠, 𝐽𝑒́𝑟𝑢𝑠𝑎𝑙𝑒𝑚, 𝑅𝑜𝑚𝑒 𝑜𝑢 𝐿𝑎 𝑀𝑒𝑐𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒̀𝑔𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑒𝑟𝑑𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒. 𝐶𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑦 𝑎 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑛𝑔𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑢𝑠 𝑢𝑛 𝑇𝑟𝑜𝑦𝑒𝑛, 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑'𝐴𝑠𝑖𝑒 𝑀𝑖𝑛𝑒𝑢𝑟𝑒, 𝑒𝑡 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡-𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝐽𝑎𝑝ℎ𝑒𝑡, 𝑐'𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑝𝑟𝑒́-𝐼𝑛𝑑𝑜-𝐸𝑢𝑟𝑜𝑝𝑒́𝑒𝑛. 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑒́𝑑𝑒́𝑠 𝑎𝑢𝑔𝑢𝑟𝑎𝑢𝑥 𝑑'𝑖𝑚𝑝𝑙𝑎𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑠 𝑒𝑛 𝑂𝑐𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝐸́𝑡𝑟𝑢𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠 (𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑏𝑎̂𝑡𝑜𝑛 𝑎𝑢𝑔𝑢𝑟𝑒𝑙, 𝑙𝑒 𝑙𝑖𝑡𝑢𝑢𝑠, 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑢𝑒 𝑒́𝑡𝑟𝑢𝑠𝑞𝑢). 𝑂𝑟 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑇𝑎𝑟𝑡𝑒𝑠𝑠𝑜𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑞𝑢𝑖, 𝑚𝑒̂𝑙𝑒́𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝐼𝑏𝑒̀𝑟𝑒𝑠, 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑃𝑦𝑟𝑒́𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑙'𝑒́𝑝𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑛𝑎𝑞𝑢𝑖𝑡 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒. 𝐸𝑛𝑓𝑖𝑛, 𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙'𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑀𝑒𝑟𝑐𝑢𝑟𝑒 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒́𝑒, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑖𝑡𝑒́ ℎ𝑒𝑟𝑚𝑒́𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒. 𝐼𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑛𝑛𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 ! 𝑁𝑜𝑔𝑢𝑖𝑒𝑟 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑙'𝑎𝑚𝑖 𝑑𝑢 𝑓𝑎𝑚𝑒𝑢𝑥 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑎𝑖𝑛 𝐴𝑢𝑔𝑒𝑟 𝐹𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒𝑟, 𝑎𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝐽𝑢𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑛𝑎𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́𝑠 ; 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒, 𝑖𝑙𝑠 𝑠'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑝𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒́𝑠 𝑎̀ 𝑑𝑒́𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒́𝑛𝑖𝑔𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒́𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 ; 𝑖𝑙 𝑎 𝑠𝑢̂𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑖 𝑙'ℎ𝑜𝑟𝑜𝑠𝑐𝑜𝑝𝑒 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑏𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑎𝑚𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑙'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑢𝑖-𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑒́ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑐𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝐴𝑢𝑔𝑒𝑟 𝐹𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒𝑟, « 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑛 𝑣𝑢𝑙𝑔𝑎𝑖𝑟𝑒 », 𝑛'𝑎 𝑠𝑢̂𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑒́ 𝑎̀ 𝑁𝑜𝑔𝑢𝑖𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖-𝑐𝑖 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑖𝑡𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 ℎ𝑒́𝑟𝑜𝑠 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑠 ℎ𝑒́𝑟𝑜𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑐𝑙𝑒𝑓 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑙𝑒𝑓 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑔𝑒𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑙'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖. 𝑉𝑜𝑦𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑡𝑜̂𝑡. 𝐿𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑟𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑒́𝑡𝑒́ 𝐴𝑞𝑢𝑎𝑟𝑖𝑢𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑒́𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛 : 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑛𝑢𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑛𝑜𝑛 𝑎𝑣𝑒𝑛𝑢𝑒𝑠 𝑎𝑢 𝑗𝑢𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑟𝑖𝑒𝑛𝑠. 𝐴𝑞𝑢𝑎𝑟𝑖𝑢𝑠 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑒́ 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑'𝐻𝑎𝑛𝑛𝑖𝑏𝑎𝑙, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑢̂𝑟 𝑞𝑢'𝐻𝑎𝑛𝑛𝑖𝑏𝑎𝑙 𝑎𝑖𝑡 𝑐𝑎𝑚𝑝𝑒́ 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒, 𝑒𝑡 𝑙'𝑒𝑢̂𝑡-𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑛'𝑦 𝑒𝑢̂𝑡 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́ 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛 𝑟𝑜𝑖, 𝑐𝑎𝑟 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑉𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑞𝑢'𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑎, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝑊𝑖𝑠𝑖𝑔𝑜𝑡ℎ𝑠, 𝑢𝑛 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑎𝑖𝑛. 𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛, « 𝑙'𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑖𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑝𝑡𝑒́𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 », 𝑖𝑙 𝑠𝑢𝑓𝑓𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑒𝑛 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑆𝑢𝑠𝑒 𝑒𝑛 𝐼𝑡𝑎𝑙𝑖𝑒 𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑎𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑙'ℎ𝑜𝑛𝑛𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑟𝑎̂𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑛'𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑𝑒𝑟 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑚𝑖𝑛𝑐𝑒 𝑐𝑟𝑒́𝑑𝑖𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑐𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠, 𝑠'𝑖𝑙𝑠 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒́, 𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 ℎ𝑒́𝑟𝑜𝑠 𝑛'𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑠 𝑦𝑒𝑢𝑥, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑜𝑛 𝑣𝑒𝑟𝑟𝑎. 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛 𝑒𝑢𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑙ℎ𝑒𝑢𝑟𝑠. 𝑆'𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑚𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑡𝑒̂𝑡𝑒 𝑑'𝑎𝑏𝑎𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑙'𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑙𝑎 𝑃𝑜𝑟𝑡𝑎𝑟𝑖𝑒, 𝑖𝑙 𝑠𝑢𝑏𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑡𝑦𝑟𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙'𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑒́𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑎𝑡 𝑟𝑜𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑀𝑎𝑟𝑐𝑢𝑠. 𝐶𝑒𝑙𝑢𝑖-𝑐𝑖 𝑙𝑒 𝑓𝑖𝑡 𝑎𝑡𝑡𝑎𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑣𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑡𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑡 𝑡𝑟𝑎𝑖̂𝑛𝑒𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑣𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑞𝑢𝑖 𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑢𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑜𝑟𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑢𝑛 𝑔𝑎𝑙𝑜𝑝 𝑑'𝑒𝑠𝑠𝑎𝑖, « 𝑙'𝑎𝑛𝑖𝑚𝑎𝑙 𝑜𝑛𝑐𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑛𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑙𝑢𝑡 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑜𝑢𝑙𝑡𝑟𝑒 ». 𝐴𝑢 𝑛𝑜𝑟𝑑 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑖𝑙 𝑠'𝑎𝑟𝑟𝑒̂𝑡𝑎, 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛 𝑓𝑢𝑡 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡, 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢 𝑒𝑡 𝑝𝑖𝑒𝑢𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑣𝑒𝑙𝑖 𝑒𝑛 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑃𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠. 𝑆𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑓𝑢𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑖𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑎 𝑅𝑜𝑠𝑒. 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑝𝑒𝑟𝑐𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒, 𝑖𝑙 𝑠𝑢𝑓𝑓𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑑'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒. 𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒 𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖̂𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒𝑝𝑡 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒̀𝑡𝑒𝑠 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒̀𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑎𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑧𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠, 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙'𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒̀𝑡𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒, 𝑝𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑑𝑒́𝑟𝑎𝑛𝑡𝑒, 𝑑𝑒́𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑜𝑢 𝑛𝑢𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑜𝑢̀ 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒̀𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑒𝑛 ℎ𝑎𝑟𝑚𝑜𝑛𝑖𝑒, 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑑𝑖𝑠𝑐𝑜𝑟𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝐷𝑒̀𝑠 𝑙𝑜𝑟𝑠, 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑖𝑚𝑝𝑖𝑑𝑒 : 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑑𝑟𝑎𝑚𝑒 𝑎̀ 𝑠𝑖𝑥 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑒̀𝑡𝑒𝑠 : 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑀𝑎𝑟𝑠 (𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛, 𝑚𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑝𝑡𝑒́𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑒𝑡 𝑀𝑎𝑟𝑐𝑢𝑠) 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑧𝑜𝑑𝑖𝑎𝑞𝑢𝑒 : 𝑙𝑒 𝑉𝑒𝑟𝑠𝑒𝑎𝑢 (𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚 𝑙𝑎𝑡𝑖𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝐴𝑞𝑢𝑎𝑟𝑖𝑢𝑠), 𝑙𝑒 𝐵𝑒́𝑙𝑖𝑒𝑟 (𝑙𝑎 𝑃𝑜𝑟𝑡𝑎𝑟𝑖𝑒, 𝑑𝑢 𝑙𝑎𝑡𝑖𝑛 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎 𝑎𝑟𝑖𝑒𝑡𝑖𝑠, 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑏𝑒́𝑙𝑖𝑒𝑟), 𝑙𝑒 𝑇𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒 (𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑃𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠). 𝐿𝑒 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑉𝑒𝑟𝑠𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑠𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑒 : 𝑣𝑜𝑖𝑙𝑎̀ 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛 𝑒𝑥𝑒𝑟𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒́𝑣𝑎𝑛𝑔𝑒́𝑙𝑖𝑠𝑎𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒 𝑎𝑢 𝑟𝑜𝑦𝑎𝑢𝑚𝑒 𝑑'𝐴𝑞𝑢𝑎𝑟𝑖𝑢𝑠. 𝑃𝑎𝑟 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒, 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑟𝑜𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑢 𝐵𝑒́𝑙𝑖𝑒𝑟 : 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑎𝑏𝑎𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑜𝑟𝑡𝑎𝑟𝑖𝑒. 𝑀𝑎𝑖𝑠, 𝑐𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡, 𝑖𝑙 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑙𝑖𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑀𝑎𝑟𝑐𝑢𝑠, 𝑐𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝐵𝑒́𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑒𝑠𝑡 𝑀𝑎𝑟𝑠 (𝑛𝑒 𝑓𝑢̂𝑡-𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑒𝑛 𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢 𝑑𝑢 𝑗𝑒𝑢 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑡𝑠 𝐴𝑟𝑖𝑒𝑠-𝐴𝑟𝑒̀𝑠). 𝐴𝑢 𝑇𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢, 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑚𝑎𝑙 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒́, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙'𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑀𝑎𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑛𝑢𝑙𝑙𝑒 : 𝑙𝑒 𝑡𝑎𝑢𝑟𝑒𝑎𝑢 𝑡𝑟𝑎𝑖̂𝑛𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑟𝑒𝑓𝑢𝑠𝑒 𝑑'𝑎𝑐𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑖𝑟 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢'𝑎𝑢 𝑏𝑜𝑢𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑖𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑢𝑖 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒́𝑒 𝑀𝑎𝑟𝑐𝑢𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑒 𝑒𝑠𝑡 (𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑀𝑒𝑟𝑐𝑢𝑟𝑒) 𝑙'𝑢𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑃𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 ℎ𝑜𝑛𝑜𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑆𝑎𝑡𝑢𝑟𝑛𝑖𝑛. 𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙'𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒𝑣𝑒̂𝑞𝑢𝑒 𝑃𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑎 𝑅𝑜𝑠𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑖𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡, 𝑠𝑜𝑛 𝑛𝑜𝑚 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑟𝑜̂𝑙𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑔𝑜𝑟𝑖𝑒. 𝐺𝑎𝑔𝑒𝑜𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑔𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑙'𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑖𝑡 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑎𝑢 𝑐𝑖𝑒𝑙 𝑒𝑡 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑚𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑛𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑠𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑙'𝑦 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑟 𝑒𝑢𝑥-𝑚𝑒̂𝑚𝑒𝑠. 𝑁𝑢𝑙 𝑛𝑒 𝑠'𝑜𝑓𝑓𝑢𝑠𝑞𝑢𝑒𝑟𝑎, 𝑗'𝑒𝑠𝑝𝑒̀𝑟𝑒, 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑒́ 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒. 𝑆𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒𝑠-𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑟𝑔𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡, 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑛 𝑣𝑖𝑟𝑡𝑢𝑜𝑠𝑒𝑠, 𝑑𝑖𝑥 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑏𝑎𝑑𝑜𝑢𝑟𝑠, 𝑙'𝑎𝑟𝑡 𝑠𝑢𝑏𝑡𝑖𝑙 𝑑𝑢 𝑡𝑟𝑜𝑏𝑎𝑟𝑐𝑙𝑢𝑠, 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒. 𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑛'𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑛𝑖 𝑠𝑎 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑢 𝑇𝑎𝑢𝑟 𝑛𝑖 𝑠𝑎 𝑟𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑇𝑎𝑢𝑟 𝑜𝑢̀ 𝑠𝑒 𝑑𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑀𝑎𝑢𝑟𝑎𝑛 ; 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑒 𝑠'𝑒𝑛𝑜𝑟𝑔𝑢𝑒𝑖𝑙𝑙𝑖𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑎𝑠𝑖𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒̀𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟, 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑆𝑒𝑟𝑛𝑖𝑛, 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑟𝑡 𝑟𝑜𝑚𝑎𝑛 𝑑𝑢 𝑠𝑜𝑙𝑒𝑖𝑙, 𝑙'𝑒́𝑔𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑡𝑒̂𝑡𝑒 𝑎𝑟𝑖𝑠𝑡𝑜𝑡𝑒́𝑙𝑖𝑐𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝑇ℎ𝑜𝑚𝑎𝑠 𝑑'𝐴𝑞𝑢𝑖𝑛, 𝑙𝑒 𝑟𝑒́𝑐𝑒𝑝𝑡𝑎𝑐𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 « 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡𝑠 » 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑐𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑖𝑔𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒, 𝑙𝑎 𝑠œ𝑢𝑟 𝑗𝑢𝑚𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝐽𝑎𝑐𝑞𝑢𝑒𝑠-𝑑𝑒- 𝐶𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒. 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑆𝑒𝑟𝑛𝑖𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑖𝑙 : 𝑁𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑖𝑛 𝑡𝑜𝑡𝑜 𝑠𝑎𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑟 𝑜𝑟𝑏𝑒 𝑙𝑜𝑐𝑢𝑠 (𝐼𝑙 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡). 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑎̀ 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑆𝑒𝑟𝑛𝑖𝑛, 𝑠𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑝𝑖𝑙𝑖𝑒𝑟, 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑣𝑜𝑦𝑎𝑖𝑡 𝑗𝑎𝑑𝑖𝑠 𝑙'𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑎𝑢𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑔𝑖𝑡𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑑𝑢𝑒𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠, 𝑎𝑔𝑟𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡𝑒́ 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑛𝑠𝑐𝑟𝑖𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑎𝑣𝑎𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑐𝑟𝑦𝑝𝑡𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑖𝑒 𝑒𝑥𝑒𝑟𝑐̧𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑎𝑔𝑎𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑠𝑡𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝐴𝑢𝑔𝑒𝑟 𝐹𝑒𝑟𝑟𝑖𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑙𝑐ℎ𝑖𝑚𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑜𝑐𝑐𝑖𝑡𝑎𝑛 𝐹𝑎𝑏𝑟𝑒. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑆𝑎𝑖𝑛𝑡-𝑆𝑒𝑟𝑛𝑖𝑛, « 𝑎𝑢 𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑝𝑖𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑'𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒, 𝑓𝑎𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑇𝑎𝑢𝑟 » 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑎 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑖𝑙𝑙𝑢𝑠𝑡𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑒́𝑣𝑒́𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑒𝑢 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛 : 𝑎̀ 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒, 𝑎𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝐽𝑢𝑙𝑒𝑠 𝐶𝑒́𝑠𝑎𝑟, 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑢𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑙'𝑢𝑛𝑒 𝑢𝑛 𝑙𝑖𝑜𝑛, 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑢𝑛 𝑎𝑔𝑛𝑒𝑎𝑢. 𝐶𝑒 𝑑𝑜𝑢𝑏𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑖𝑔𝑒 𝑑'𝑜𝑏𝑠𝑡𝑒́𝑡𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝐽𝑒́𝑟𝑜̂𝑚𝑒, 𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑟𝑎𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒́ 𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑙 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑟𝑜𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒𝑢𝑟 𝑁𝑖𝑐𝑜𝑙𝑎𝑠 𝐵𝑒𝑟𝑡𝑟𝑎𝑛𝑑. 𝐴𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑'ℎ𝑢𝑖, 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑒𝑧 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑚𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑟𝑒𝑗𝑒𝑡𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑢 𝑚𝑢𝑠𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑢𝑔𝑢𝑠𝑡𝑖𝑛𝑠. 𝐴𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑙𝑢𝑟𝑒𝑧 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑢𝑡𝑒, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝐹. 𝑑𝑒 𝑀𝑒́𝑙𝑦 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑎𝑐𝑟𝑎 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑒 : « 𝐿𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑑𝑢 𝑀𝑜𝑦𝑒𝑛 𝐴𝑔𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑦𝑠𝑡𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑝𝑒́𝑛𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 : 𝑖𝑙𝑠 𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑠 𝑠𝑢𝑐𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 (𝐹. 𝑑𝑒 𝑀𝑒́𝑙𝑦 : 𝐿𝑒𝑠 𝐷𝑒𝑢𝑥 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑙𝑒́𝑔𝑒𝑛𝑑𝑒. 𝑆𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑜𝑛 𝑟𝑒𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑟𝑎 𝑛𝑜𝑡𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑖𝑓𝑓𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑒̂𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡, 𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑜𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑝𝑖𝑒𝑑 𝑐ℎ𝑎𝑢𝑠𝑠𝑒́ 𝑒𝑡 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑛𝑢, 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑢𝑛 𝑝𝑖𝑒𝑑 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑡𝑒̂𝑡𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑙𝑖𝑜𝑛. 𝐿𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑖𝑔𝑒 𝑒́𝑣𝑜𝑞𝑢𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑐𝑢𝑙𝑝𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑠𝑎𝑖𝑡, 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑠𝑎𝑖𝑛𝑡 𝐽𝑒́𝑟𝑜̂𝑚𝑒, 𝑙𝑒 𝐽𝑢𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟). 𝑇𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝐷𝑎𝑢𝑟𝑎𝑑𝑒, 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒 𝑑𝑜𝑟𝑒́𝑒, 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒́𝑎𝑛𝑐𝑒 ; 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑟𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝐼𝑛𝑞𝑢𝑖𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑒𝑟𝑔𝑒 𝑛𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑙𝑎 𝐷𝑎𝑚𝑒 𝑏𝑙𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐷𝑎𝑙𝑏𝑎𝑑𝑒, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠. 𝑃𝑟𝑒̀𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎̀, 𝑢𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒́𝑛𝑖𝑔𝑚𝑒 𝑠'𝑜𝑓𝑓𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑢 𝑓𝑟𝑜𝑛𝑡𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑜̂𝑡𝑒𝑙 𝑀𝑜𝑙𝑖𝑛𝑖𝑒𝑟 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑠𝑖𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑋𝑉𝐼𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒𝑠-𝑚𝑎𝑐̧𝑜𝑛𝑠, 𝐵𝑜𝑠𝑠𝑎𝑡 𝑒𝑡 𝑀𝑜𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒́𝑏𝑟𝑖𝑠 𝑑'𝑢𝑛 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑎𝑛𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐺𝑎𝑟𝑜𝑛𝑛𝑒. 𝑈𝑛𝑒 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑠𝑎 𝑡𝑒̂𝑡𝑒 𝑢𝑛 𝑣𝑎𝑠𝑒 𝑝𝑙𝑒𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑓𝑟𝑢𝑖𝑡𝑠 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑙'𝑒́𝑐𝑢 𝑎̀ 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑥 𝑝𝑎𝑡𝑡𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑜𝑟𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑠𝑎𝑡𝑦𝑟𝑒𝑠 ; 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑠𝑒 : 𝑆𝑢𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑎𝑏𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒. 𝐿𝑎 𝑓𝑙𝑎̂𝑛𝑒𝑟𝑖𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑎𝑢 𝑗𝑒𝑢 𝑑𝑒 𝑙'𝑂𝑖𝑒 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑖𝑡 𝑑'𝑢𝑛 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑢𝑖𝑠 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑣𝑜𝑠 𝑝𝑎𝑠 ; 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒 𝑙𝑎𝑏𝑦𝑟𝑖𝑛𝑡ℎ𝑒, 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒̂𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎̂𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠, 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒𝑧 𝑡𝑎𝑛𝑡𝑜̂𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑖𝑙𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑣𝑜𝑠 𝑡𝑎𝑙𝑜𝑛𝑠, 𝑡𝑎𝑛𝑡𝑜̂𝑡 𝑎̀ 𝑣𝑜𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑑𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑚𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑜𝑚𝑏 ; 𝑖𝑐𝑖 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑔𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑧 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑣𝑜𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠, 𝑙𝑎̀ 𝑙𝑒 𝑚𝑢𝑡𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑜𝑏𝑠𝑡𝑖𝑛𝑒́ 𝑑'𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑎𝑝𝑡𝑖𝑓 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑠, 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠, 𝑒𝑛 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑑𝑒. 𝐸𝑡 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑧 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒́ 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑝𝑢𝑧𝑧𝑙𝑒, 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑒𝑧 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑚𝑎𝑛𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑙'𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒. 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒, 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑣𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑛𝑜𝑚 ? 𝑉𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑟𝑜𝑠𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑡 𝑟𝑜𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑡𝑒́ : 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑎 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑢𝑒 𝑑'𝑜𝑐 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑜𝑛 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑒𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑡𝑠. 𝐿𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑑𝑢 𝑛𝑜𝑚 𝑑𝑒 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑒𝑢𝑡-𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑠𝑜𝑛 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 : 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑜𝑠, 𝑒𝑛 𝑔𝑟𝑒𝑐, 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑒𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑜𝑙𝑒, 𝑙𝑎 𝑣𝑜𝑢̂𝑡𝑒 𝑑'𝑢𝑛 𝑒́𝑑𝑖𝑓𝑖𝑐𝑒. 𝐿𝑎 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑢𝑠 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑞𝑢'𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑙𝑙𝑒́𝑔𝑜𝑟𝑖𝑒 ; 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙'𝑜𝑏𝑠𝑒𝑟𝑣𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑜𝑢̂𝑡𝑒 𝑐𝑒́𝑙𝑒𝑠𝑡𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑑𝑎 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑖𝑡𝑒́. 𝑇𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑠𝑒 𝑓𝑢𝑡 𝑒𝑛𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑠𝑒́𝑒 𝑒𝑛 𝑑𝑜𝑢𝑧𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑠 ; 𝑜𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑐̧𝑎 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑜𝑢𝑙𝑠, 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑛𝑜𝑚𝑚𝑒́𝑠, 𝑑𝑖𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑟𝑜𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠, 𝑒𝑛 𝑚𝑒́𝑚𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑇ℎ𝑜𝑙𝑢𝑠 𝑚𝑦𝑡ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑎̀ 𝑞𝑢𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠, 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑢𝑖𝑡, 𝑟𝑒́𝑣𝑒́𝑙𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑝𝑜𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑝𝑖𝑒𝑟𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑉𝑖𝑙𝑙𝑒-𝑅𝑜𝑠𝑒. […] 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝑻𝒐𝒖𝒍𝒐𝒖𝒔𝒆 𝑴𝒆́𝒕𝒓𝒐𝒑𝒐𝒍𝒆 ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆 𝑳𝒆𝒔 𝒎𝒖𝒔𝒆́𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆 ; 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆 "𝑳𝒆 𝒔𝒂𝒏𝒈 𝒅𝒆𝒔 𝑪𝒂𝒕𝒉𝒂𝒓𝒆𝒔" 𝒅𝒆 𝑮𝒆́𝒓𝒂𝒓𝒅 𝒅𝒆 𝑺𝒆̀𝒅𝒆 (𝒑𝒑. 52-58) ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@histoireitinerante
"Statue Marie Madeleine cf pulmonis Sanitas "
@lauraodona
"XIV-XVe siècle_accueille aujourd’hui un musée_gothique méridional "
@jdsbt
"Très joli musée tant extérieurement qu’intérieurement. En travaux en ce moment mais réouverture au premier trimestre 2021 prévue."
@takeyourliberty
"Étudiants : gratuit Tarif normal : 4€ (hors activités)"
@vaienvadrouille
"Musée d’art à Toulouse. Petit plus pour la partie exterieur "
@coline.rcz
"Museum of Middle Ages with peaceful garden, housed in a 13th century monastery."
@taraanbudaiyan