Universite Laval
Universite Laval Universite Laval Universite Laval Universite Laval Universite Laval Universite Laval Universite Laval Universite Laval Universite Laval
Vous pensez qu'il y a une erreur sur ce lieu ?

Vos retours sont importants pour nous. Si vous avez remarqué une erreur concernant ce lieu, merci de nous en informer pour que nous puissions la corriger.

Signaler une erreur
Propriétaire de ce lieu ?

Nous récupérons automatiquement les informations disponibles sur votre lieu. Si jamais celles-ci ne sont pas correctes, connectez-vous gratuitement sur notre tableau de bord pour les modifier et bonus, accédez à vos statistiques détaillées.

mapstr icon Modifier les informations de votre lieu
La communauté mapstr
Enregistré par

22 utilisateurs

#Tags souvent utilisés
#Université #🏰 Site culturel remarquable (architectural, historique,...) #🕵️‍♂️ Histoire Itinérante #Divers #Culture
Ce qu'en disent les utilisateurs

"𝑭𝒐𝒏𝒅𝒆́𝒆 𝒆𝒏 1852, 𝒔𝒆𝒔 𝒓𝒂𝒄𝒊𝒏𝒆𝒔 𝒓𝒆𝒎𝒐𝒏𝒕𝒆𝒏𝒕 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒇𝒐𝒏𝒅𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑺𝒆́𝒎𝒊𝒏𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝑸𝒖𝒆́𝒃𝒆𝒄 𝒆𝒏 1663 𝒑𝒂𝒓 𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄̧𝒐𝒊𝒔 𝒅𝒆 𝑴𝒐𝒏𝒕𝒎𝒐𝒓𝒆𝒏𝒄𝒚-𝑳𝒂𝒗𝒂𝒍, 𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒆𝒏 𝒇𝒂𝒊𝒕 𝒍𝒆 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒂𝒏𝒄𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒅’𝒆𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒖𝒑𝒆́𝒓𝒊𝒆𝒖𝒓 𝒂𝒖 𝑪𝒂𝒏𝒂𝒅𝒂 𝒆𝒕 𝒍𝒆 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝒆́𝒕𝒂𝒃𝒍𝒊𝒔𝒔𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒏𝒐𝒓𝒅-𝒂𝒎𝒆́𝒓𝒊𝒄𝒂𝒊𝒏 𝒂̀ 𝒐𝒇𝒇𝒓𝒊𝒓 𝒖𝒏 𝒆𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒖𝒑𝒆́𝒓𝒊𝒆𝒖𝒓 𝒆𝒏 𝒇𝒓𝒂𝒏𝒄̧𝒂𝒊𝒔. Le Séminaire de Québec a été fondé le 26 mars 1663 par saint François de Laval, premier évêque de Québec et apôtre de l'Amérique. Il était constitué alors de prêtres réunis autour de leur évêque qui était saint François de Laval. Les prêtres du Séminaire de Québec se sont consacrés tout d’abord au service des paroisses et de la formation des futurs prêtres. En 1668, à la demande du Roi Louis XIV qui désirait franciser les jeunes amérindiens, le fondateur inaugure une résidence d’élèves qui étudient au Collège des jésuites. Ils étaient sept jeunes Canadiens dont quelques-uns étudiaient déjà au Collège des jésuites aux frais de Mgr de Laval. On leur joignit six jeunes Hurons et, le 9 octobre 1668, tout le groupe s’installa dans la maison de Madame Couillard dont les ruines sont dans la Cour du Vieux-Séminaire. Cette politique royale ne réussit pas et le dernier jeune huron quitta le Petit Séminaire en 1673 à la demande de ses parents. Le Petit Séminaire de Québec continua comme résidence pour des jeunes qui se préparaient à entrer au Grand Séminaire. Après la Conquête anglaise, il devint un collège dispensant l’enseignement des humanités et de la philosophie en remplacement du Collège des jésuites que les autorités anglaises avaient réquisitionné comme caserne. Les premières classes commencèrent à l’automne 1765 avec vingt-huit élèves, dont treize externes, et ainsi le Petit Séminaire de Québec, fondé en 1668, se transforma en collège sur le mo­dèle de celui des Jésuites. Délaissant petit à petit les paroisses et les missions, les Messieurs du Séminaire de Québec deviennent des éducateurs. S’ouvre alors une nouvelle période de l’histoire des prêtres du "Séminaire de Missions Étrangères et Épiscopal de Québec" (SME) comme l'appelait Mgr Briand dans le nouveau règlement qu'il donna en 1768 au Séminaire de Québec. 𝐃𝐮 𝐒𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐐𝐮𝐞́𝐛𝐞𝐜 𝐚̀ 𝐥'𝐔𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭𝐞́ 𝐋𝐚𝐯𝐚𝐥 En 1852, le Séminaire de Québec, s’appuyant sur une expertise reconnue, étendait son champ d’action à l’enseignement supérieur et fon­dait l’Université Laval grâce à la Charte royale obtenue de la reine Victoria le 8 dé­cembre de la même année. Les prêtres du Séminaire veillèrent à l’expansion de l’Université Laval jusqu’au moment où ils la cédèrent à une nouvelle corporation en 1970. Les prêtres du Séminaire devenus éducateurs après la Conquête anglaise se sont faits chercheurs, hommes de sciences, administrateurs, érudits et plusieurs comme l’abbé Jean Holmes , l'abbé Jérôme Demers ou Mgr J. Clovis K.-Laflamme marquèrent de façon durable l’évolution de la société québécoise et de l’Amérique française. Depuis 1970, dans le sillage du Concile Vatican II, le Séminaire de Québec connaît une troisième phase dans sa longue histoire. Avec la diminution des vocations sacerdotales, les prêtres éducateurs disparaissent petit à petit, mais les prêtres du Séminaire, fidèles à l'inspiration de leur fondation, s'ouvrent sur de nouvelles œuvres au service de l'Église diocésaine. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍'𝑼𝒏𝒊𝒗𝒆𝒓𝒔𝒊𝒕𝒆́ ; 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒖 𝑺𝒆́𝒎𝒊𝒏𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝑸𝒖𝒆́𝒃𝒆𝒄 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"

@histoireitinerante

Approuvé par 1 partenaires officiels
certified badge Histoire Itinérante

Histoire Itinérante

@histoireitinerante

1484followers 6367places
"𝑭𝒐𝒏𝒅𝒆́𝒆 𝒆𝒏 1852, 𝒔𝒆𝒔 𝒓𝒂𝒄𝒊𝒏𝒆𝒔 𝒓𝒆𝒎𝒐𝒏𝒕𝒆𝒏𝒕 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒇𝒐𝒏𝒅𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑺𝒆́𝒎𝒊𝒏𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝑸𝒖𝒆́𝒃𝒆𝒄 𝒆𝒏 1663 𝒑𝒂𝒓 𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄̧𝒐𝒊𝒔 𝒅𝒆 𝑴𝒐𝒏𝒕𝒎𝒐𝒓𝒆𝒏𝒄𝒚-𝑳𝒂𝒗𝒂𝒍, 𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒆𝒏 𝒇𝒂𝒊𝒕 𝒍𝒆 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒂𝒏𝒄𝒊𝒆𝒏 𝒄𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒅’𝒆𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒖𝒑𝒆́𝒓𝒊𝒆𝒖𝒓 𝒂𝒖 𝑪𝒂𝒏𝒂𝒅𝒂 𝒆𝒕 𝒍𝒆 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝒆́𝒕𝒂𝒃𝒍𝒊𝒔𝒔𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒏𝒐𝒓𝒅-𝒂𝒎𝒆́𝒓𝒊𝒄𝒂𝒊𝒏 𝒂̀ 𝒐𝒇𝒇𝒓𝒊𝒓 𝒖𝒏 𝒆𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒖𝒑𝒆́𝒓𝒊𝒆𝒖𝒓 𝒆𝒏 𝒇𝒓𝒂𝒏𝒄̧𝒂𝒊𝒔. Le Séminaire de Québec a été fondé le 26 mars 1663 par saint François de Laval, premier évêque de Québec et apôtre de l'Amérique. Il était constitué alors de prêtres réunis autour de leur évêque qui était saint François de Laval. Les prêtres du Séminaire de Québec se sont consacrés tout d’abord au service des paroisses et de la formation des futurs prêtres. En 1668, à la demande du Roi Louis XIV qui désirait franciser les jeunes amérindiens, le fondateur inaugure une résidence d’élèves qui étudient au Collège des jésuites. Ils étaient sept jeunes Canadiens dont quelques-uns étudiaient déjà au Collège des jésuites aux frais de Mgr de Laval. On leur joignit six jeunes Hurons et, le 9 octobre 1668, tout le groupe s’installa dans la maison de Madame Couillard dont les ruines sont dans la Cour du Vieux-Séminaire. Cette politique royale ne réussit pas et le dernier jeune huron quitta le Petit Séminaire en 1673 à la demande de ses parents. Le Petit Séminaire de Québec continua comme résidence pour des jeunes qui se préparaient à entrer au Grand Séminaire. Après la Conquête anglaise, il devint un collège dispensant l’enseignement des humanités et de la philosophie en remplacement du Collège des jésuites que les autorités anglaises avaient réquisitionné comme caserne. Les premières classes commencèrent à l’automne 1765 avec vingt-huit élèves, dont treize externes, et ainsi le Petit Séminaire de Québec, fondé en 1668, se transforma en collège sur le mo­dèle de celui des Jésuites. Délaissant petit à petit les paroisses et les missions, les Messieurs du Séminaire de Québec deviennent des éducateurs. S’ouvre alors une nouvelle période de l’histoire des prêtres du "Séminaire de Missions Étrangères et Épiscopal de Québec" (SME) comme l'appelait Mgr Briand dans le nouveau règlement qu'il donna en 1768 au Séminaire de Québec. 𝐃𝐮 𝐒𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐐𝐮𝐞́𝐛𝐞𝐜 𝐚̀ 𝐥'𝐔𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭𝐞́ 𝐋𝐚𝐯𝐚𝐥 En 1852, le Séminaire de Québec, s’appuyant sur une expertise reconnue, étendait son champ d’action à l’enseignement supérieur et fon­dait l’Université Laval grâce à la Charte royale obtenue de la reine Victoria le 8 dé­cembre de la même année. Les prêtres du Séminaire veillèrent à l’expansion de l’Université Laval jusqu’au moment où ils la cédèrent à une nouvelle corporation en 1970. Les prêtres du Séminaire devenus éducateurs après la Conquête anglaise se sont faits chercheurs, hommes de sciences, administrateurs, érudits et plusieurs comme l’abbé Jean Holmes , l'abbé Jérôme Demers ou Mgr J. Clovis K.-Laflamme marquèrent de façon durable l’évolution de la société québécoise et de l’Amérique française. Depuis 1970, dans le sillage du Concile Vatican II, le Séminaire de Québec connaît une troisième phase dans sa longue histoire. Avec la diminution des vocations sacerdotales, les prêtres éducateurs disparaissent petit à petit, mais les prêtres du Séminaire, fidèles à l'inspiration de leur fondation, s'ouvrent sur de nouvelles œuvres au service de l'Église diocésaine. 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒆 𝒍'𝑼𝒏𝒊𝒗𝒆𝒓𝒔𝒊𝒕𝒆́ ; 𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒘𝒆𝒃 𝒅𝒖 𝑺𝒆́𝒎𝒊𝒏𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝑸𝒖𝒆́𝒃𝒆𝒄 ; 𝑾𝒊𝒌𝒊𝒑𝒆́𝒅𝒊𝒂 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
Autres lieux à voir autour
La meilleure expérience Mapstr est sur l'application mobile.
Enregistrez vos meilleures adresses, partagez les plus belles avec vos amis, découvrez les recommendations de vos magazines et influcenceurs préférés.