Península de Paracas
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"• Spiagge di Lagunillas, La Mina, Mendieta, la Playa Roja"
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"Au sud de Lima cohabitent en harmonie loups de mer, pingouins de Humboldt, flamants et autres espèces protégées. Le tout dans la Réserve Nationale de Paracas, qui porte ce nom en raison des tempêtes de sable ou « paracas », courantes à cet endroit. Pendant la traversée en bateau vers les Îles Ballestas, où vivent des milliers de loups de mer, il est possible de voir clairement sur le flanc d’une montagne un énorme géoglyphe à l’origine incertaine, baptisé « Le Chandelier ». Une énigme de plus parmi toutes celles qui existent dans cette région du Pérou. La région de Paracas est également très connue pour les crânes aux formes très bizarres, dont les fameux crânes allongés, que l'on y a retrouvé dans des tombes datant de 1100 à 1450. Quand de nombreux adeptes de la fameuse théorie des Anciens Astronautes y voient des créatures extraterrestres, des analyses ADN suggéraient qu'il s'agirait de simples déformations crâniennes, comme cela fut il est vrai pratiqués par de nombreuses cultures à travers le monde (jusqu'en France autrefois, avec la célèbre "déformation toulousaine"). Le crâne d'un nouveau-né est relativement flexible et peut être modelé s'il est mécaniquement contraint assez tôt. Ces formes bizarroïdes auraient ainsi été obtenues dans le cas des crânes allongés de Paracas, estiment ces spécialistes, par des procédés de contrainte mécanique alliant armature en bois et tissus ou cuirs. Pas sûr que la démonstration ne convainque tout le monde – d'autant que les détracteurs de cette contre-théorie argueront que la déformation crânienne ne modifie en aucun cas le volume de la boîte crânienne de ses pratiquants (or certaines momies semblent présenter des crânes aux volumes 20 à 30% supérieur à la moyenne d'Homo Sapiens Sapiens...) 𝑺𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : 𝑷𝒆𝒓𝒖 𝑻𝒓𝒂𝒗𝒆𝒍 ; 𝑳𝒆 𝑭𝒊𝒈𝒂𝒓𝒐 ; 𝑵𝒖𝒓𝒆́𝒂 𝑻𝑽 ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝑰𝒕𝒊𝒏𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆"
@histoireitinerante
"You can visit on quads or scooters, you’ll drive between the ocean and the desert. You can find penguins, sea lions, etc. "
@whereiscompa
"à faire en vélo 100%!!! ne pas prendre les bus, c’est écrit 40km mais on peut faire une plus petite boucle et ça se fait très bien, partir des l’ouverture a 9h, ne prévoir que ça dans la journée "
@eliseabboud
"Friday 28th: Leave the farm at 9; Drive to Kokopelli & drop bags; Reserva Nacional de Paracas; Night at hostel!"
@michaer
"Au sud de Paracas commence la réserve naturelle de 335 000 ha, avec ses plages désertes où l'on peut apercevoir des lézards, des flamants roses, des dauphins et des otaries. Le camping sauvage y est possible, à condition de prévoir alimentation et boisson. Plus loin, on pouvait observer une monumentale concrétion rocheuse, paradis des oiseaux, appelée la Catedral, mais celle-ci a été détruite par le tremblement de terre de 2007. On y passe toujours et depuis le mirador superbe plage au sable gris sur la gauche. La playa Roja avec son sable rouge est tout aussi photogénique. Pour se baigner les eaux calmes de la Mina sont parfaites, des dauphins viennent parfois vous saluer, attention la page est petite et l'affluence nombreuse en fin de semaine. Les tours marquent souvent un arrêt au petit port de Lagunillas, allez déjeuner dans la paillote " El Che " la plus recommandée. Vous pouvez aussi grimper un petit mirador pour avoir vue sur cette petite baie et ses bateaux de pêche. Pour la visiter : En tour organisé en taxi ou en minibus (entre S/ 25 et 80 pour 2 ou 3 heures de visite). On conseille cependant de louer un VTT (S/ 30 la journée sans guide, compter 7 h) ou un scooter (S/ 100) : attention il peut faire très chaud, dans ce cas nous vous conseillons de rester sur le secteur La Roja-Lagunillas et La Mina. Ou l'explorer en quad (S/ 80 pour 2 heures en groupe, un pilote + un passager derrière un quad de tête). Dans le Museo de Sitio Julio C. Tello de Paracas (au point de contrôle de la Reserva, entrée gratuite), on apprend que si les côtes péruviennes ne représentent que 0,1 % du littoral mondial, elles accueillent pourtant 10 % des richesses sous-marines ! On découvre aussi le beau site arraché aux sables de l'oubli, en 1927, par Julio C. Tello, qui révéla les textiles funéraires (bandes superposées de coton qui entouraient les morts et les protégeaient de l'humidité) des cultures paracas et nazca. Ce musée retrace l'évolution de ces civilisations de 200 à 700 apr. J.-C au fil de 120 pièces archéologiques. Il inclut également la nécropole de " Cabezas Largas ", datant de 500 av. J.-C. (les hommes de la civilisation paracas se faisaient étirer le crâne dès la naissance), d'où proviennent la plupart des momies du Museo Larco Herrera de Lima. Si vous marquez l'arrêt au Centre d'interprétation, ne surtout pas rater la plage tout de suite à droite au bout d'un long chemin où les flamants roses sont les plus nombreux pour vous souhaiter la bienvenue."
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"Dolphins, penguins, otters & birds "
@sasouuhkoala
"https://www.reddit.com/r/Travel_HD/comments/i6oncd/paracas_national_reserve_shoreline_in_ica_peru/?utm_medium=android_app&utm_source=share"
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"Désert, mer et îles. Dauphins, manchots, otaries et oiseaux. Plages La Mina, Candélabre (geoglyphe), museo Julio Tello. Buggy et sandboard"
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