St Michael's Mount
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#Tags souvent utilisés
#Landmark #Beach #Chiese - abbazie - monasteri #Zu versuchen #🏰 Attraction
Ce qu'en disent les utilisateurs

"come mont Saint Michel in francia"

@flupy83

"THE Castle on the Hill!! Price: ÂŁ26 for both garden and castle, free for national trust members Recommend for an exclusive trip: Yes Recommend if in the area: Yes"

@riyawadera2002

"Moins cĂ©lĂšbre mais tout aussi spectaculaire
 Le St Michael’s Mount, dans les Ăźles britanniques, est dĂ©diĂ© Ă  saint Michel, comme son cĂ©lĂšbre cousin normand ! 𝐋'đĄđąđŹđ­đšđąđ«đž 𝐝𝐼 "𝐌𝐹𝐧𝐭-𝐒𝐚𝐱𝐧𝐭-đŒđąđœđĄđžđ„ 𝐝𝐞 đ‚đšđ«đ§đšđźđšđąđ„đ„đžđŹ" Sur l’üle, haute de 60 mĂštres, un petit port de pĂȘche, une chapelle dĂ©diĂ©e Ă  saint Michel et un chĂąteau fastueux cernĂ© de jardins en terrasses surplombant la mer. L’importance religieuse de l’üle ne date pas d’hier. En effet, une lĂ©gende locale raconte qu’en 495 des pĂȘcheurs y auraient vu l’archange Michel sur un rocher Ă©mergeant de la mer. Le lieu commença donc Ă  attirer des pĂšlerins, et un monastĂšre celtique y fut construit. AprĂšs la conquĂȘte de l’Angleterre par Guillaume le ConquĂ©rant en 1066, son demi-frĂšre fit cadeau de l’üle aux BĂ©nĂ©dictins du monastĂšre du Mont-Saint-Michel en France. Ils y firent d’abord construire une Ă©glise (qui subsiste Ă  ce jour), puis un monastĂšre. Ce n’est donc pas un hasard si les deux sites se ressemblent autant. Tout allait bien jusqu’en 1425, alors que l’Angleterre et la France s’opposaient pendant la guerre de Cent Ans. Le monastĂšre fut saisi par la Couronne en tant que propriĂ©tĂ© Ă©trangĂšre, et les liens qu’il avait avec son homologue français cessĂšrent. Il fut plutĂŽt reliĂ© Ă  l’abbaye de Syon, situĂ©e prĂšs de Londres. L’activitĂ© monastique continua jusqu’au rĂšgne tourmentĂ© de Henri VIII, qui fonda l’Église anglicane en se dissociant de l’Église catholique. Le monastĂšre fut dissout, ses trĂ©sors saisis, et St Michael’s Mount devint une forteresse dĂ©diĂ©e Ă  la protection de la cĂŽte. Le nom de la famille St Aubyn est Ă©galement associĂ© Ă  l’üle anglaise depuis la guerre civile, au XVIIe siĂšcle, quand le colonel John St Aubyn y fut envoyĂ© par la Couronne pour assurer la paix dans la rĂ©gion. A demeure dans le chĂąteau, ses descendants font partie de la trentaine d’habitants qui peuplent l’üle : jardiniers, pĂȘcheurs, guides
 qui prennent soin de ses pierres, de ses jardins et de ses histoires lĂ©gendaires, mythes d’un rocher plantĂ© au milieu de l’eau Ă  la couleur aussi changeante que les nuages anglais. Le site est, enfin, remarquablement connu des amateurs d'Ă©sotĂ©risme pour se situer sur la mystĂ©rieuse ligne imaginaire qui unit sept monastĂšres, de l’Irlande Ă  IsraĂ«l. Cette ligne est connue comme Ă©tant la ligne sacrĂ©e de l’archange saint Michel. Cette ligne sacrĂ©e marque, selon la lĂ©gende, le coup d’épĂ©e que le saint a infligĂ© au diable pour envoyer le Malin aux Enfers aprĂšs une bataille apocalyptique. Chacun des sept monastĂšres traversĂ©s par cette ligne sacrĂ©e est dĂ©diĂ© Ă  saint Michel. » 𝐋𝐚 đ†đ«đžÌ€đœđž, 𝐉𝐞𝐚𝐧 đ‘đąđœđĄđžđ« 𝐞𝐭 đ„'đšđ±đž 𝐒𝐚𝐱𝐧𝐭-đŒđąđœđĄđžđ„ đ€đ©đšđ„đ„đšđ§ Dans les annĂ©es 1950, le français Jean Richer installĂ© en GrĂšce fait des investigations Ă  propos des temples grecs, qu'il publie dans son livre « GĂ©ographie sacrĂ©e du monde grec ». Il remarque que les temples et les Oracles sont souvent situĂ©s Ă  des emplacements difficilement accessibles, ce qui n'Ă©tait pas compatible avec l'objectif d'une frĂ©quentation populaire. Il se demande donc quelle en est la raison. Il pressent que ces centres Ă©taient reliĂ©s, mais il ne sait pas pourquoi. C'est en rĂȘve qu'il obtient la rĂ©ponse. Une statue d'Apollon lui aurait montrĂ© la connexion entre les sanctuaires qui le reprĂ©sentaient Ă  Delphes et AthĂšnes. A Delphes se trouve en effet l'ancien Oracle de la Terre-MĂšre et AthĂšnes abrite quant Ă  elle le temple de l'Acropole dĂ©diĂ© Ă  Athena. Une fois rĂ©veillĂ©, il prend une carte, trace la ligne Delphes - AthĂšnes, et constate qu'elle se prolonge sur l'ile de DĂ©los, le lieu de naissance d'Apollon, et au temple d'Apollon de Kamiros sur l'ile de Rhodes. La ligne traverse d'autres sites sacres dĂ©diĂ©s Ă  ArtĂ©mis tel que le Temple d'Agra. Un peu plus tard, Lucien Richer, le frĂšre de Jean, poursuit cette recherche, prolonge la ligne vers le nord-ouest et vers le sud-est ou il trouve bien d'autres correspondances. Dans un article date de 1977 intitulĂ© « L'axe Saint-Michel Apollon », il dĂ©crit cet alignement qui s'Ă©tend jusqu'Ă  l'extrĂ©mitĂ© de l'Irlande, Ă  l'ile sacrĂ©e de Skellig Michael, traverse de nombreux sites cĂ©lĂšbres dĂ©diĂ©s Ă  St-Michel comme Saint Michael's mount dĂ©jĂ  nommĂ©, Ă  la pointe de la Cornouailles en Angleterre ; le Mont Saint-Michel en Normandie ; La Sacra di San Michele dans les Alpes italiennes et Monte Sant'Angelo dans la pĂ©ninsule italienne Gargano, sanctuaire ancien dĂ©diĂ© Ă  Saint-Michel ; le temple d'ArtĂ©mis Ă  Corfou ; Delphes ; Delos, et se prolonge jusqu'au Mont Carmel en IsraĂ«l, couvrant ainsi une distance d'environ 4.000 km. LĂ , il se diviserait en IsraĂ«l et en Egypte, puis rejoindrait La Mecque en Arabie Saoudite. Si le nom de Saint-Michel est chrĂ©tien, les sites qui lui sont dĂ©diĂ©s sont d'origine prĂ©chrĂ©tienne. Ils ont Ă©tĂ© auparavant dĂ©diĂ©s par les druides aux dieux du soleil et aux dĂ©esses-mĂšres de la terre. Puis ils ont Ă©tĂ© absorbĂ©s par les chrĂ©tiens et renommĂ©s. đ‘ș𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆(𝒔) : đ‘Ÿđ’Šđ’Œđ’Šđ’‘đ’†đ’…đ’Šđ’‚ ; 𝑳𝒆 𝑮𝒐𝒏𝒅𝒆 (𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒆𝒏 𝒍𝒊𝒈𝒏𝒆) ; 𝑮𝒐𝒏𝒔𝒊𝒆𝒖𝒓 + 𝑮𝒂𝒅𝒂𝒎𝒆 𝑬𝒙𝒑𝒍𝒐𝒓𝒆 (𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝒃𝒍𝒐𝒈) ; 𝑳𝒊𝒆𝒖𝒙 đ’”đ’‚đ’„đ’“đ’†Ìđ’” 𝒆𝒕 𝒈𝒓𝒊𝒍𝒍𝒆 đ’†Ìđ’đ’†đ’“đ’ˆđ’†Ìđ’•đ’Šđ’’đ’–đ’† đ’‘đ’đ’‚đ’đ’†Ìđ’•đ’‚đ’Šđ’“đ’† (𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒅'𝑹𝒍𝒂𝒊𝒏 đ‘©đ’đ’–đ’…đ’†đ’•) ; 𝑯𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 đ‘°đ’•đ’Šđ’đ’†Ìđ’“đ’‚đ’đ’•đ’†"

@histoireitinerante

"Le Mont Saint-Michel en version anglaise : plus petit, moins impressionnant mais sympa néanmoins. Traversée possible à pied selon la marée"

@lucasoden

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